COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, saison III (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, saison III (2/4)
Du Trocadéro au-dessous de l’autoroute près du quai de la Rapée, je finis par trouver d’Artagnan.
Même carrure que Muller mon homme, quoique légèrement plus petit.
Il récupère le sac de sport de son frère et sous le parka jaune trouve un paquet de drogue.
Les frères trafiquent et j’ai pris le risque de me retrouver en taule.
Il me conduit avec Brutus que je tiens toujours en laisse au pied d’un pilier qui soutient la route au-dessus de nous et appelle une dénommée Olga, même nom que la pute maquée par Jules qui montait Sylvain mon mari.
Olga ouvre sa tente Décathlon et nous apparaît.
- Oui d’Artagnan que veux-tu ?
- J’ai reçu le paquet que mon frère devait nous apporter en attendant que je fasse le partage, occupe-toi de sa copine, met la dans ta tente.
Vous vous tiendrez chaud toutes les deux.
C’est ainsi que je découvre cette nouvelle Olga, femme frêle, dans ses formes mais que l’on sent fort dans sa tête.
Je sens que si je la contredis, je vais me retrouver sur la bouche de métro du Trocadéro à sucer les bites des mecs qui crèche là-bas.
- Fait comme chez toi, tu peux me rendre service, trois tentes plus loin tu trouveras Mamadou, il vient de Darfour, il a quelque chose pour moi.
Je sors de la tente, à la voix, je sens qu’elle n’aurait pas aimé que je la contredise.
Arrivé trois tentes plus loin, un grand noir presque aussi grand que Muller est là de dos.
- Pardon, vous êtes Mamadou !
- Oui ma belle que me veux-tu ?
- Olga m’envoie chercher une chose que vous devez me donner.
- Pas de vous dit moi tu comme tout le monde ici.
J’ai su que la femme à Muller était arrivée, entre dans ma tente, j’arrive.
Je fais ce qu’il dit, je retrouve une couverture aussi crade que le matelas du squat au coin de ma rue.
Il entre à quatre pattes.
- Soulève ta robe, si Olga t’a envoyé c’est pour que dès ton arrivée tu tâtes de mon gourdin.
Si Muller te mettait avant de se faire arrêter, tu vois les nouvelles vont vite ici, ma dague va rentrer comme dans du beurre.
Ici, je serais ton protecteur.
En femme docile que je suis devenue si chez moi dans ma vie d’avant, je croyais que j’étais une forte femme, je me laisse faire.
Il arrache ma culotte, ce sera la dernière que je porterais mais ça c’est après avoir raconté dans le trou sans fond où je m’enfonce.
Je m’enfonce avec délice quand Mamadou me prend par la chatte me faisant retrouver mes élans avec Muller.
Cuisses entourant son dos afin qu’il me prenne au plus loin où sa grosse verge arrive à aller.
Tout le camp doit savoir que Mamadou vient de marquer son territoire sur moi en attendant le retour de mon homme.
Je jouis, il décharge, ouvre sa tente et sort.
Je le suis, mon vagin dégoulinant de sperme.
- Tient donne ça à Olga, dit lui qu’il y en aura encore quand elle nous donnera notre fric.
Il sort de sa poche un petit paquet que je porte à ma compagne de tente.
Mamadou m’a épuisé sur la couverture aussi pourrie que chez mon nouvel amant, j’ai soif mais ma cave est vide, je dors.
Je me réveille Olga fait du bruit.
Elle a allumé un petit réchaud à gaz et semble faire cuire quelque chose dans une cuillère.
Je m’aperçois qu’après avoir transporté de la drogue, je suis témoin de cette femme se préparant un shoot de drogue, c’est une camée.
Elle voit que je la vois, elle se sert d’un élastique pour prise de sang et s’injecte le produit dans ses veines.
- T’en veux, il en reste un peu, tu verras ça tient chaud et le peut qu’il reste dans la cuillère ne te rendra pas accro.
C’est ainsi que je tends mon bras tombant un degré plus bas que je suis déjà tombée en me laissant faire l’amour par Muller finissant par en devenir accro.
Toute la nuit j’ai chaud mais aussi je plane, je n’ai jamais été aussi bien.
Brutus est à nos pieds, il me regarde me détruire sans émettre le moindre bruit.
Au matin, j’avais envie de retrouver les sensations que j’avais ressenti après que le produit injecté dans mes veines eut fait son effet.
- Olga, as-tu encore un peu de ce merveilleux produit que tu m’as offert !
- Tu crois que tu peux me demander de partager mes fortifiants gratuitement.
- Ça coûte combien ?
- Ce que tu peux gagner, as-tu de l’argent ?
- Non, j’ai juste un fond de pinard, d’Artagnan m’a pris la seule valeur que son frère m’avait laissée.
Si je vais voir Mamadou et que je me laisse faire comme hier, croix-tu que je pourrais nous en récupérer !
- Mamadou quand il en a il partage, nous partageons tout ici, va dans les rues, emmène Brutus, il te protègera et cherche des pigeons à qui tu pourras soutirer quelques billets, je vais aller de mon côté.
- Dis, Olga, tu as su très bien me piquer la nuit dernière, ou as-tu appris.
- Ma pauvre, bien sûr que je sais piquer, je suis infirmière, je travaillais dans un hôpital mais le travail était tellement stressant que je me suis mis à fumer.
- Des cigarettes ?
- Pauvre innocente, je me demande combien de temps tu vas pouvoir durer sous ces ponts en gardant ton ingénuité.
Je fumais, de l’herbe, des joints.
- J’ai compris de la marijuana !
- Je vois que tu es un peu moins con que tu en as l’air, réagit, tu ignores dans combien de temps Muller reviendra, il suffit de voir son chien, il est paisible, si tu le vois s’agiter c’est que son maître ne sera pas loin.
- Tu fumais et après.
- Tant que je me contentais de fumer tout allais bien.
Mais un jour lors d’une soirée un garçon m’a proposé de respirer de la poudre blanche.
Je l’ai fait, comme toi, j’ai plané et pour finir, les doses ne suffisant plus je me suis piquée.
J’ai fini par perdre mon appartement et mon travail, tant que je n’avais pas ma dose, j’étais incapable de piquer un malade.
Allée assez parler tient un morceau de pain et en route si ce soir on veut avoir notre dose, il faut gagner du fric.
Tu verras dans Paris de vieux libidineux qui veulent baiser des salopes comme nous, ça se trouve assez facilement.
J’ai remonté le quai de l’Arsenal, faisant attention par où je passais.
À un feu, une voiture s'est arrêtée, le conducteur devait avoir oublié depuis quand il était né.
Je me suis approché, il a ouvert sa fenêtre côté passager.
- Vous voulez passer un petit moment avec moi.
- Combien prends-tu ?
- Ce que vous voulez !
- Attache ton cabot à ce lampadaire et montre, je connais une petite impasse tranquille.
Je fais ce qu’il me demande.
Brutus semble être en colère que je le laisse là.
L’envie de me mettre du fortifiant dans les veines commence à me manquer de plus en plus.
Je monte, il démarre, il connaît bien Paris, mais j'apprends vite.
Olga m’a fait comprendre que si je veux attendre mon homme en tenant le coup ici, il fallait que je donne du mien.
- 50 € pour me sucer, si tu me fais ça bien, la prochaine fois je t’amènerai plus et je te baiserais.
Quand on a sucé Muller, sans vomir, le petit bout de chaire que ce vieux me sort de son pantalon est ridicule pour une salope comme moi.
J’ai l’impression de rejoindre l’autre Olga, la pute de mon mari quand je prends l’argent que je mets dans ma poche de manteau rose.
À oui, j’ai oublié de parler du manteau rose, c’est Olga, celle du pont sous l’autoroute qui me l’a donné tout à l’heure en cherchant dans le fond de sa tente.
- Mets ça, tu auras plus chaud.
C’est ce qu’elle m’a dit en partant de l’autre côté vers la morgue de Paris à quelques mètres de notre campement.
Quand je la rejoins, ayant récupéré Brutus, j’ai gagné un peu plus de 110 €, elle me sort une dose de son divin produit et nous nous piquons allègrement toutes les deux.
À partir de ce jour, ma vie tourne afin de trouver de quoi me payer ma dose.
Quand je suis en manque car l’approvisionnement n’est pas arrivé bien que j’aie gagné assez de fric pour nous en payer, je picole, mais le vin m’est de moins en moins nécessaire.
Un jour je vais rejoindre mon vieux qui m’attend dans notre impasse, il est devenu accro de mon cul et il paye bien.
Au fond de l’impasse une femme d’un certain âge en manteau de fourrure est là avec un loulou blanc.
Brutus s’approche, la femme tire sur sa laisse, mon chien lui montre les crocs et sans plus se poser de questions lui monte sur le dos comme les chiens savent le faire.
- Madame éloignez votre monstre, il va défoncer mon petit trésor.
- Trop tard madame, votre chien va vous donner de beaux petits dans quelles semaines.
- Vous êtes folle, mon loulou est un mâle.
- Alors nous avons toutes les deux des chiens PD, regardez comment il aime la bite de Brutus, ils sont tous les deux collés.
Les chiens ont fini par se séparer et la femme est partie courroucer, mais que faisait-elle au fond de cette ruelle avec son manteau qui doit couter bonbon ?...
Même carrure que Muller mon homme, quoique légèrement plus petit.
Il récupère le sac de sport de son frère et sous le parka jaune trouve un paquet de drogue.
Les frères trafiquent et j’ai pris le risque de me retrouver en taule.
Il me conduit avec Brutus que je tiens toujours en laisse au pied d’un pilier qui soutient la route au-dessus de nous et appelle une dénommée Olga, même nom que la pute maquée par Jules qui montait Sylvain mon mari.
Olga ouvre sa tente Décathlon et nous apparaît.
- Oui d’Artagnan que veux-tu ?
- J’ai reçu le paquet que mon frère devait nous apporter en attendant que je fasse le partage, occupe-toi de sa copine, met la dans ta tente.
Vous vous tiendrez chaud toutes les deux.
C’est ainsi que je découvre cette nouvelle Olga, femme frêle, dans ses formes mais que l’on sent fort dans sa tête.
Je sens que si je la contredis, je vais me retrouver sur la bouche de métro du Trocadéro à sucer les bites des mecs qui crèche là-bas.
- Fait comme chez toi, tu peux me rendre service, trois tentes plus loin tu trouveras Mamadou, il vient de Darfour, il a quelque chose pour moi.
Je sors de la tente, à la voix, je sens qu’elle n’aurait pas aimé que je la contredise.
Arrivé trois tentes plus loin, un grand noir presque aussi grand que Muller est là de dos.
- Pardon, vous êtes Mamadou !
- Oui ma belle que me veux-tu ?
- Olga m’envoie chercher une chose que vous devez me donner.
- Pas de vous dit moi tu comme tout le monde ici.
J’ai su que la femme à Muller était arrivée, entre dans ma tente, j’arrive.
Je fais ce qu’il dit, je retrouve une couverture aussi crade que le matelas du squat au coin de ma rue.
Il entre à quatre pattes.
- Soulève ta robe, si Olga t’a envoyé c’est pour que dès ton arrivée tu tâtes de mon gourdin.
Si Muller te mettait avant de se faire arrêter, tu vois les nouvelles vont vite ici, ma dague va rentrer comme dans du beurre.
Ici, je serais ton protecteur.
En femme docile que je suis devenue si chez moi dans ma vie d’avant, je croyais que j’étais une forte femme, je me laisse faire.
Il arrache ma culotte, ce sera la dernière que je porterais mais ça c’est après avoir raconté dans le trou sans fond où je m’enfonce.
Je m’enfonce avec délice quand Mamadou me prend par la chatte me faisant retrouver mes élans avec Muller.
Cuisses entourant son dos afin qu’il me prenne au plus loin où sa grosse verge arrive à aller.
Tout le camp doit savoir que Mamadou vient de marquer son territoire sur moi en attendant le retour de mon homme.
Je jouis, il décharge, ouvre sa tente et sort.
Je le suis, mon vagin dégoulinant de sperme.
- Tient donne ça à Olga, dit lui qu’il y en aura encore quand elle nous donnera notre fric.
Il sort de sa poche un petit paquet que je porte à ma compagne de tente.
Mamadou m’a épuisé sur la couverture aussi pourrie que chez mon nouvel amant, j’ai soif mais ma cave est vide, je dors.
Je me réveille Olga fait du bruit.
Elle a allumé un petit réchaud à gaz et semble faire cuire quelque chose dans une cuillère.
Je m’aperçois qu’après avoir transporté de la drogue, je suis témoin de cette femme se préparant un shoot de drogue, c’est une camée.
Elle voit que je la vois, elle se sert d’un élastique pour prise de sang et s’injecte le produit dans ses veines.
- T’en veux, il en reste un peu, tu verras ça tient chaud et le peut qu’il reste dans la cuillère ne te rendra pas accro.
C’est ainsi que je tends mon bras tombant un degré plus bas que je suis déjà tombée en me laissant faire l’amour par Muller finissant par en devenir accro.
Toute la nuit j’ai chaud mais aussi je plane, je n’ai jamais été aussi bien.
Brutus est à nos pieds, il me regarde me détruire sans émettre le moindre bruit.
Au matin, j’avais envie de retrouver les sensations que j’avais ressenti après que le produit injecté dans mes veines eut fait son effet.
- Olga, as-tu encore un peu de ce merveilleux produit que tu m’as offert !
- Tu crois que tu peux me demander de partager mes fortifiants gratuitement.
- Ça coûte combien ?
- Ce que tu peux gagner, as-tu de l’argent ?
- Non, j’ai juste un fond de pinard, d’Artagnan m’a pris la seule valeur que son frère m’avait laissée.
Si je vais voir Mamadou et que je me laisse faire comme hier, croix-tu que je pourrais nous en récupérer !
- Mamadou quand il en a il partage, nous partageons tout ici, va dans les rues, emmène Brutus, il te protègera et cherche des pigeons à qui tu pourras soutirer quelques billets, je vais aller de mon côté.
- Dis, Olga, tu as su très bien me piquer la nuit dernière, ou as-tu appris.
- Ma pauvre, bien sûr que je sais piquer, je suis infirmière, je travaillais dans un hôpital mais le travail était tellement stressant que je me suis mis à fumer.
- Des cigarettes ?
- Pauvre innocente, je me demande combien de temps tu vas pouvoir durer sous ces ponts en gardant ton ingénuité.
Je fumais, de l’herbe, des joints.
- J’ai compris de la marijuana !
- Je vois que tu es un peu moins con que tu en as l’air, réagit, tu ignores dans combien de temps Muller reviendra, il suffit de voir son chien, il est paisible, si tu le vois s’agiter c’est que son maître ne sera pas loin.
- Tu fumais et après.
- Tant que je me contentais de fumer tout allais bien.
Mais un jour lors d’une soirée un garçon m’a proposé de respirer de la poudre blanche.
Je l’ai fait, comme toi, j’ai plané et pour finir, les doses ne suffisant plus je me suis piquée.
J’ai fini par perdre mon appartement et mon travail, tant que je n’avais pas ma dose, j’étais incapable de piquer un malade.
Allée assez parler tient un morceau de pain et en route si ce soir on veut avoir notre dose, il faut gagner du fric.
Tu verras dans Paris de vieux libidineux qui veulent baiser des salopes comme nous, ça se trouve assez facilement.
J’ai remonté le quai de l’Arsenal, faisant attention par où je passais.
À un feu, une voiture s'est arrêtée, le conducteur devait avoir oublié depuis quand il était né.
Je me suis approché, il a ouvert sa fenêtre côté passager.
- Vous voulez passer un petit moment avec moi.
- Combien prends-tu ?
- Ce que vous voulez !
- Attache ton cabot à ce lampadaire et montre, je connais une petite impasse tranquille.
Je fais ce qu’il me demande.
Brutus semble être en colère que je le laisse là.
L’envie de me mettre du fortifiant dans les veines commence à me manquer de plus en plus.
Je monte, il démarre, il connaît bien Paris, mais j'apprends vite.
Olga m’a fait comprendre que si je veux attendre mon homme en tenant le coup ici, il fallait que je donne du mien.
- 50 € pour me sucer, si tu me fais ça bien, la prochaine fois je t’amènerai plus et je te baiserais.
Quand on a sucé Muller, sans vomir, le petit bout de chaire que ce vieux me sort de son pantalon est ridicule pour une salope comme moi.
J’ai l’impression de rejoindre l’autre Olga, la pute de mon mari quand je prends l’argent que je mets dans ma poche de manteau rose.
À oui, j’ai oublié de parler du manteau rose, c’est Olga, celle du pont sous l’autoroute qui me l’a donné tout à l’heure en cherchant dans le fond de sa tente.
- Mets ça, tu auras plus chaud.
C’est ce qu’elle m’a dit en partant de l’autre côté vers la morgue de Paris à quelques mètres de notre campement.
Quand je la rejoins, ayant récupéré Brutus, j’ai gagné un peu plus de 110 €, elle me sort une dose de son divin produit et nous nous piquons allègrement toutes les deux.
À partir de ce jour, ma vie tourne afin de trouver de quoi me payer ma dose.
Quand je suis en manque car l’approvisionnement n’est pas arrivé bien que j’aie gagné assez de fric pour nous en payer, je picole, mais le vin m’est de moins en moins nécessaire.
Un jour je vais rejoindre mon vieux qui m’attend dans notre impasse, il est devenu accro de mon cul et il paye bien.
Au fond de l’impasse une femme d’un certain âge en manteau de fourrure est là avec un loulou blanc.
Brutus s’approche, la femme tire sur sa laisse, mon chien lui montre les crocs et sans plus se poser de questions lui monte sur le dos comme les chiens savent le faire.
- Madame éloignez votre monstre, il va défoncer mon petit trésor.
- Trop tard madame, votre chien va vous donner de beaux petits dans quelles semaines.
- Vous êtes folle, mon loulou est un mâle.
- Alors nous avons toutes les deux des chiens PD, regardez comment il aime la bite de Brutus, ils sont tous les deux collés.
Les chiens ont fini par se séparer et la femme est partie courroucer, mais que faisait-elle au fond de cette ruelle avec son manteau qui doit couter bonbon ?...
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