COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, saison III (3/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, saison III (3/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, saison III (3/4)
C’est sous une bretelle d’autoroute près du quai de la Rapée que j’ai atterri quand avec le chien Brutus, je cherchais d’Artagnan, le frère de Muller mon homme qui s’est fait serrer à la gare de Laroche - Migennes.

Pendant tout ce trajet, en plus de Brutus, je porte le sac de mon amant dans lequel j’ignorais qu’il contenait un sac de cocaïne.
C’est dans la tente d’Olga, pas la pute de mon début et surtout de mon mari qu’il m’installe.
Elle prend des produits dits illicites et me rend accro à ces substances qu’elle me présente comme des fortifiants.
Ancienne infirmière quand nous avons ce qu’il nous faut, c’est elle au début qui m’injecte notre dose.
Quand elle est incapable de le faire, étant trop planante, j’apprends rapidement à faire fondre et à me trouver une veine ou je peux encore me piquer.
Aujourd’hui je n’ai pas eu ma dose, pourtant j’ai réussi à sucer trois bites et à me faire enculer.
Brutus est de plus en plus indépendant, un matin où je viens retrouver mon vieux libidineux, je le vois sortir d’un immeuble cossu près de la Bastille.
J’attends et deux minutes après, je vois son amant canin sortir au bout de sa laisse tenue par la femme au manteau de fourrure.
Je les suis discrètement, j’ai trouvé une veste moins voyante que la rose qu’Olga m’avait donnée quand je suis arrivée.
Même pour un morceau de tissu, il faut payer de son cul surtout quand il s’agit d’immigrer qui n’ont pas eu de femme depuis des lustres.
Je suis donc cette femme qui se dirige vers l’impasse ou Brutus a sodomisé son loulou la première fois.
Cette femme aisée n’en reste pas moins une grande salope, quand j’arrive au fond de l’impasse dans l’ombre, elle a son manteau au sol et est nue.
Elle me regarde, ses yeux me font voir en se révulsant qu’elle apprécie le traitement que la verge de notre amant devenu commun lui inflige.
Je vois là le moyen de trouver du fric vite gagné.
Le lendemain, je suis Brutus qui attend à côté de la porte qui finit par s’ouvrir.
Il pénètre comme s’il était chez lui, je m’approche de cette femme âgée.

- Bonjour madame, je cherche une grande dame avec un manteau de fourrure et un loulou blanc.
- Madame Adèle, la femme de l’ex-sénateur, deuxième étage.

Cette femme me regarde avec un air de se demander ce qu’une clodo comme moi peut bien avoir à faire avec une telle femme.
C’est vrai que lorsque je vais dans les cafés entrants discrètement pour aller satisfaire les peu de besoins que j’ai, mangeant plus de la poudre dans mes veines que le dernier gigot du moment.
Il y en a un, près de la Bastille non loin d’ici qui me laisse descendre au sous-sol.
Le patron est veuf et ma chatte lui sert de vide couille presque deux fois par semaine.
J’évite l’ascenseur, deuxième une porte, j’écoute discrètement.

- Dick va doucement, mon Loulou est plus petit que toi, je sais que vous vous aimez bien que vous soyez des mâles.
Attends inutile d’essayer de vous décoller, après je te donnerais ta tranche de rumsteck.

Malgré ma situation bien précaire, je manque d’éclater de rire.
J’en suis arrivée à force de descendre l’échelle sociale moi qui était une bonne bourgeoise de province à faire la pute pour ma dose de fortifiant.
Brutus est la pute de Loulou pour un simple bifteck.

- Voilà vous êtes décollées, prend ton temps pour manger.

Brutus semble avoir dans ses mâchoires puissantes la viande, je l’entends grogner.
Chaque jour, il doit être pressé de manger son steak et doit sodomiser la petite tantouze non loin de la porte qui finit par s’ouvrir avant que je n’aie le temps de me retirer.

- Madame, que faite vous là ?

Cette grande femme en peignoir entrebâillé ignorant que je suis là me montre ses seins assez plat et tombant.
De près quel âge doit-elle avoir, 70 à 75 ans.
Brutus vient se coucher à mes pieds.

- Vous connaissez Dick !
- C’est Brutus le chien de mon compagnon dont j’attends la libération.
Je me demandais où il allait depuis que je l’ai vu et que je vous ai vu dans l’impasse sautant votre chien.
Puis vous, vous faisant prendre comme une vraie chienne le long du mur.
- Parlez moins fort, les voisins pourraient vous entendre et ma réputation serait entachée.
Entrez, je vais vous expliquer.
- Brutus reste couché devant cette porte, si tu viens de baiser Loulou, tu risquerais de le défoncer à recommencer.

J’entre, elle me conduit dans un salon comme je n’en aie vu que dans des films.
Style, ancien, inutile de chercher, j’ignore le style des meubles.

- Un thé.

Très vieille France, la dame fait tinter une sonnette, une jeune femme apparaît venant du couloir.

- Agnès veuillez nous servir le thé.

Elle lui parle en Anglais, la jeune fille, je devrais dire plutôt que la jeune femme nous quitte.

- C’est ma nouvelle bonne, elle est anglaise, c’est le seul pays qui sait former son personnel et qui plus ait, sait faire le thé.
Toutes les jeunes Françaises que j’ai employée faisaient un thé imbuvable et me volaient pour donner de l’argent à leur petit ami.

Pas un mot de plus en attendant Agnès, qui revient avec la théière et deux tasses ainsi que quelques petits gâteaux.
En anglais que je parle dans mes vieux souvenirs d'école et grâce à mon fils que je faisais réviser, l’anglais étant à son programme.

- Agnès, lorsque vous aurez servi, inutile d’attendre, vous débarrasserez demain matin, montez chez vous.

La jeune fille s’exécute lorsqu’elle a quitté la pièce, Adèle me dit.

- Je vous dois une explication, je vous reconnais c’est vous qui m’avez surprise dans l’impasse à me faire prendre par ce grand noir.
- Ce grand noir si vous l’ignorez s’appelle Mamadou et est aussi mon amant.
- Vous êtes jalouse et vous allez m’agresser.
- Pas le moindre du monde, je vais avec lui simplement pour qu’il nous donne nos vitamines.
- Je préfère ça, je suis une pacifiste.
- Comment une femme de votre classe en est réduite à se faire prendre par de grands noirs au fond de l’impasse où je vous aie vues !
- Pour commencer, comment vous appelez-vous ?
- Mira madame.
Je vais vous donner une explication, le sénateur mon mari dont vous me permettrez de taire le nom, est décédé il y a deux ans.
Enterrement presque national, il avait été ministre il y a de nombreuses années.
Nous avions un groupe d’amis avec lesquels nous avions fini par être très proche.
Nous étions des libertins, le sénateur était un libertin, alors que j’avais été élevée dans un couvent de province pour jeunes filles de bonne famille.
Il m’a entraîné dans sa débauche.
Je dois dire qu’au fil du temps, les parties carrées, les partouzes sont devenues si courantes que j’ai beaucoup aimer me faire faire l’amour par des hommes des femmes et la plupart du temps tous en même temps.
Quand il m’a quitté, j’ai gardé de nombre de ses amis, mais tous ont respecté la veuve que je suis devenue.
Il y a un an, un jour en promenant Loulou, un homme mal rasé m’a proposé de refaire ce que j’avais perdu de faire.
C’est dans cette impasse qu’une première fois, j’ai cédé à un Indien cherchant à vivre en France.
J’ai pris goût à ce sexe sauvage qu’ils me procuraient et j’ai continué.
J’ai rencontré celui que vous avez appelé Mamadou, c’est la plus grosse verge que j’ai eue en moi et l’insolite de l’endroit moi qui n’avait à ce jour baiser que dans des salons luxueux a ajouté à ma jouissance.
- Vous connaissez donc la puissance de Mamadou, si vous aviez connu celui que j’attends et qui me manque, vous auriez su ce qu’un homme peut apporter à une femme.
Il s’appelle Muller, le frère de d’Artagnan.
- Voulez-vous prendre une douche, vous pourriez venir dans ma cuisine laver vos vêtements.
Savez-vous démarrer une machine à laver ou j’appelle ma bonne Anglaise pour qu’elle le fasse.

Refaire une tâche ménagère, moi qui trouvais que j’étais trop dépendante de Sylvain, je retrouve l’envie de le faire.
Elle me conduit dans la cuisine.
La machine est là, là ou dans le temps, ma pudeur aurait fait que de me déshabiller devant une inconnue m’en empêche, le nombre d’étapes franchi dans ma déchéance volontaire pour le plaisir d’avoir le sexe de Muller en moi m’a ôté toutes barrières.
Tourner les boutons afin de démarrer, mettre sur séchage, la machine étant mixte, en quelques secondes elle tourne.
Madame Adèle m’entraîne dans sa salle de bain.

- Qu’avez-vous sur les bras, vous droguez-vous ?
- Pas du tout, ce sont des vitamines pour avoir chaud qu’Olga l’infirmière me met dans les veines.
- Malheureuses, vous risquez votre vie, dans mon milieu dans nos partouzes, nous snifions de la coque, mais jamais nous ne touchions à ce genre de produits.

Je monte dans la baignoire, elle fait tomber son peignoir m’apparaissant dans toute sa nudité.
Elle démarre l’eau qu’elle règle à bonne température et sans me donner l’impression qu’elle fait ça pour la première fois, elle commence à me savonner.
L’eau commence à monter, je m’assieds et sa main glisse jusqu’à mon sexe qu’elle pénètre de ses doigts.
Comprenant qu’elle retrouve des habitudes pratiquées avec ses amis, j’écarte les cuisses, la douceur du savon et ses doigts effilés commencent à me donner du plaisir…

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