COLLECTION ZONE ROUGE. Mamy Sexe (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Mamy Sexe (2/2)
- Mes sincères condoléances Arlette.
- Merci.
- Mes condoléances madame Arlette.
- Vous avez perdu le meilleur des hommes.
J’entre dans la grande salle du bar, c’est impensable et pourtant je l’ai fait, quand ces gens au cimetière m’ont présenté leurs condoléances, plus ils défilaient devant moi, plus je me sentais à la place de Raymond mon mari dans son cercueil.
C’est lui qui était devant moi entre ces planches, mais c’était un peu la femme que j’étais que l’on enterrait.
C'est en voulant conjurer la fatalité et la vie de none que toutes femmes veuves de mon âge suivent que je franchis la porte du Mistik, club échangiste de notre région, dans la tenue que je portais aux heures chaudes de notre vie avec mon défunt mari.
Comme je le dis, j’entre dans la grande salle du bar derrière la tenture rouge.
La première chose que je fais, mais qu’il va falloir que j’évite de réitérer, c’est de toujours comparer l’avant du maintenant.
J’ai décidé de venir retrouver les sensations avant de devenir une none.
J’ai beau dire que je veux effacer le passé, ainsi que mon âge, quand j’entre, les couples, hommes seuls, personnes vingt ans plus jeunes que moi, me regardent, mais aucun n’approche.
De mon temps, le rideau bleu remplaçait ce rideau rouge et dès que je le franchissais, la plupart d’entre eux s’approchaient qui, pour un baisemain, qui pour une invitation à prendre un verre.
Aujourd'hui je vais sur la droite dans le secteur des barres dont j’étais l’une des meilleures dans ma vie précédente.
Je m’assieds sur un canapé, rien n’est pareil mais tout est identique.
Rien de pareil, mais c’est moi pour autant qui suis fautive, avant il y aurait longtemps que j’aurais fait l’amour avec une des barres, il y en a deux de disponibles sur les quatre.
Il y a une grande rousse, certainement celle dont la fille de Marie m’a parlé à l’entrée.
C’est la seule rousse du moins dans cette pièce, surtout qu’un homme certainement son mari la mange des yeux.
Raymond avait les mêmes yeux quand je faisais comment dire, le grand écart inversé, accrochée à la barre.
Un jeune homme faisant partie d’une bande de potes s’approche, flamberge au vent, regarde l’homme qui opine du chef.
Accord pris, elle se laisse glisser jusqu’au sol, tournant autour de la barre et finissant assise devant le garçon et commençant une fellation.
Quand je faisais comme la rousse, Raymond donnait souvent son accord lui aussi, il aimait baiser, mais était un tantinet candaulisme.
La sono dans cette salle elle aussi a changé, de mon temps, un DJ mettait l’ambiance, rationnelle.
Marie a certainement remplacé ce garçon par des bandes préenregistrées mettant l’ambiance.
À la fin d’un morceau, le son faiblit pour repartir de plus bel.
Là, un léger blanc et d’un coup, ma chanson démarre.
Je dis bien ma chanson.
Celle sur laquelle je faisais sensation avec cette barre.
Cloclo : "Comme d’habitude".
Ça fait un moment que je tergiverse, je me lève, je sais qui a mis cette musique, Marie bien sûre.
Bien sûre, cette glace sans tain au-dessus de la salle, Marie est là, dans le bureau qui surveille ce qui se passe et elle a dû voir que je suis là.
Si elle a mis ma musique, c’est qu’elle se souvient de nos nuits mémorables qui inexorablement finissaient dans la cage où les voyeurs, des libertins, venaient voir deux salopes se brouter la chatte.
Attiré comme par un aimant, pendant que la rousse pompe toujours son boy-friend devant les yeux de son mari, je me lève et j’approche de ce bout de métal.
Je me frotte la chatte, retrouvant le contact froid de l’Inox, qui aurait pu refroidir mes ardeurs mais qui avait comme effet de me subjuguer.
Je commence à louvoyer, monter et descendre, retrouvant mes habitudes, faisant l’amour à cette barre.
Je sens dans mon dos un corps et une verge tendue.
- Mamy, ta maman sait que tu es venue t’encanailler, tu sais qu’il y a des hommes, des vrais ici !
- Enfile-moi, on parlera de ma mère plus tard.
- T’es malade Mamy, mes potes se ficheront de ma gueule si je te mets ma verge dans le vagin.
- Petite bite, ils t’ont déjà dit que tu étais une petite bite, regarde, si je suis dans l’impossibilité de faire mon 180, inverser la tête en bas, ma chatte est capable de t’en apprendre.
- Tu me provoques Mamy et bien tiens.
Incroyable, je réussis, le soir de l’enterrement de Raymond, je lui rends hommage en me faisant prendre par ce garçon qui pourrait être mon arrière-petit-fils.
- Fais-moi voir ce spécial.
J’espère que ça va marcher, dans le temps, j’étais la reine et de la barre et des contractions de mes sprinters vaginaux.
C’était une vieille maîtresse, quand j’avais l’âge de ce jeune prétentieux, fort bien monté à ce que je sens, qui m’avait appris à les faire fonctionner.
Ça marchait à tous les coups, mes partenaires sentant leurs bites malaxées jouissaient en quelques minutes.
On dit toujours qu’une fois que vous savez faire du vélo, c’est à vie.
Faire fonctionner mes sprinters il en va de même.
Je force un peu mon cerveau au début et le naturel revient, ça redémarre.
- Mamy Sexe qu’est-ce que tu me fais, tu me malaxes, tu me broies la verge, t’es conne, je vais décharger.
Ces jets que je croyais à jamais bannis de ma vie viennent percuter mon utérus.
C’est beau les jeunes, il m’a baisé trop vite, mais le temps qu’il se vide les couilles, un orgasme me dévaste.
Il reprend son souffle, me prend par la main et m’emmène dans le coin ou deux couples et une fille seule se faisant caresser la chatte lisse, sont assis devant une bouteille de champagne.
- Les amis, je vous présente Mamy Sexe, Aurélie offre lui une coupe, elle l’a bien méritée.
- Tu es malade, Marc, t’as baisé avec ta grand-mère !
Je te savais tarer, mais de là à baiser cette vieille il y a un monde, on laisse entrer n’importe qui dans cette boîte de merde.
- N’importe qui, c’est mon amie, nous étions les reines des soirées, il y a plusieurs années.
- Comment va Raymond Arlette ?
- Je l’ai enterré cette après-midi, je voulais lui rendre hommage, il aurait apprécié que je viens passer la soirée ici.
Marie, oui car c’est Marie qui m’a rejoint, Aurélie, tu sais que je t’aime bien, je vais te dire demande à celle que Marc a appelée Mamy Sexe de te donner des cours.
- Aurélie madame Marie a raison, Mamy Sexe m’a enserré la verge dans sa chatte, j’étais dans l’impossibilité d’en sortir.
Elle m’a si bien malaxé avec des muscles dans son vagin, que moi qui suis capable de vous sauter des heures sans décharger, j’ai lâché la purée en quelques secondes.
Tu as enterré ton mari cette après-midi, tu es plus tcharbée que les plus tcharbés d’entre nous.
Le champagne a coulé dans les verres, les garçons se bousculaient pour connaître le secret de Mamy Sexe.
Aurélie a fait la gueule tout le reste de la soirée.
Marie, restée avec nous, prend une initiative.
- Arlette, pardon Mamy Sexe, j’adorne le nom que ces jeunes t’ont donné, te souviens-tu de notre final ?
- Qui pourrait avoir oublié le final que les clients voulaient voir, mais tu as enlevé la cage.
- Modernisé, seulement modernisé, Aurélie arrête de faire la gueule, suis-nous, tu vas connaître une autre facette de Mamy Sexe toi qui aime les femmes.
Marie enlève sa robe 1920 avec des franges comme celles que portaient les femmes dansant le Charleston.
Elle est nue, dessous, à peine la cinquantaine, l’âge que j’avais quand nous finissions nos soirées dans la cage entourée d’une partie du public voulant regarder deux salopes se donner du plaisir.
Quand je suis arrivée, sa fille dont j’ai oublié le nom si elle me l’a dit, avait la même place jusqu’à une certaine heure où elle venait faire le show.
Au début ce fut un jeu et à la fin, ça dépassait le simple plaisir lesbien.
Je me souviens du jour à quelques heures des ennuis de santé de Raymond, c’est la seule fois où il l’a baisée à la sortie de cette cage.
C’est aussi la seule fois que je la voyais accepter la queue d’un homme, de mon homme.
Dans un coin de la salle, la cage est là, en verre fumé, mais suffisamment clair pour que les clients d’un genre voyeur nous voient nous brouter en tête-bêche, elle avec Aurélie, moi retrouvant les grandes lèvres de ma salope de copine.
Ces grandes lèvres me semblent plus grandes, ma chatte en a-t-elle fait autant malgré qu’elle soit restée inactive depuis si longtemps.
Ce qui est certain c’est qu’Aurélie change de point de vue quand c’est notre tour de nous donner en spectacle.
Les voyeurs applaudissent, comme dans les temps anciens, quand nous sortons.
- Mamy Sexe excusez-moi d’avoir été désagréable, vous êtes une grande salope.
- Mamy Sexe, si ma copine vous dit ça, c’est très vrai, elle est avare de ses compliments.
- Arlette, viens chez moi, je suis si heureuse de t’avoir retrouvé, si j’ai bien compris, personne ne t’attend, finissons la nuit ensemble.
Je dis à bientôt à la petite troupe et je suis Marie qui monte un escalier, ayant simplement récupéré sa robe qu’elle tient en main.
J’avais raison, une vitre sans tain lui permet de tout voir.
La sono avec la bande, son bureau et deux fauteuils où je m’installe.
- Champagne ?
- Champagne, c’est moi qui paye.
Marie, je voulais te poser une question, la jeune femme à l’entrée quand je suis arrivée m’a dit être ta fille, certes elle te ressemble, mais elle a un regard qui me rappelle quelqu’un, j’ignore qui.
Marie semble gênée !
- Tu sembles avoir un secret à cacher, si quelqu’un peut savoir qui t’a fait un enfant, c’est bien toi, dit moi, je saurai garder ton secret même devant elle.
- C’est dur à te l’avouer, tu te souviens de la soirée avec Raymond.
J’avais un peu bu, nous avons terminé ensemble et je me suis fait prendre par ton homme.
- Je me souviens très bien, c’était de l’échangisme, nous faisions ça chaque fois que nous venions dans ce club.
- J’ai honte, comment vas-tu le prendre.
- Tu en as trop dit !
- Ça a été la seule fois où j’ai fait ça avec un homme.
- Mais c’est bien sûr, ce regard, c’est celui de Raymond, c’est lui le père.
- Oui.
Ce oui dit d’une voix chevrotante.
Conclusion de cette journée.
Toutes les semaines Mamy Sexe fait le show le samedi.
Toutes les semaines Marc se bat presque pour venir me prendre quand je suis à la barre.
Je progresse, j’arrive à relever mes vieilles jambes aidées par les jeunes mâles qui veulent baiser Mamy Sexe.
Hier, j’ai revu Raymond, non, pas en rêve, à la morgue quand le couvercle de son cercueil a été réouvert, étaient présentes Marie et moi chez qui j’habite au-dessus de la grande salle du club.
Vu mon, âge, Mamy Sexe va à la cage avec plaisir avec Aurélie et Marie, chacun de ces samedis.
Pour éviter de casser l’ambiance festive du club libertin, un test ADN confirme la paternité de mon homme.
Ce test lui permet d’hériter de son père.
Ça la mettra à l’abri, nous avions outre notre maison un petit pécule.
Raymond refusait d’avoir des enfants, il est préférable que ce soit la petite au lieu de l’État qui hérite.
- Merci.
- Mes condoléances madame Arlette.
- Vous avez perdu le meilleur des hommes.
J’entre dans la grande salle du bar, c’est impensable et pourtant je l’ai fait, quand ces gens au cimetière m’ont présenté leurs condoléances, plus ils défilaient devant moi, plus je me sentais à la place de Raymond mon mari dans son cercueil.
C’est lui qui était devant moi entre ces planches, mais c’était un peu la femme que j’étais que l’on enterrait.
C'est en voulant conjurer la fatalité et la vie de none que toutes femmes veuves de mon âge suivent que je franchis la porte du Mistik, club échangiste de notre région, dans la tenue que je portais aux heures chaudes de notre vie avec mon défunt mari.
Comme je le dis, j’entre dans la grande salle du bar derrière la tenture rouge.
La première chose que je fais, mais qu’il va falloir que j’évite de réitérer, c’est de toujours comparer l’avant du maintenant.
J’ai décidé de venir retrouver les sensations avant de devenir une none.
J’ai beau dire que je veux effacer le passé, ainsi que mon âge, quand j’entre, les couples, hommes seuls, personnes vingt ans plus jeunes que moi, me regardent, mais aucun n’approche.
De mon temps, le rideau bleu remplaçait ce rideau rouge et dès que je le franchissais, la plupart d’entre eux s’approchaient qui, pour un baisemain, qui pour une invitation à prendre un verre.
Aujourd'hui je vais sur la droite dans le secteur des barres dont j’étais l’une des meilleures dans ma vie précédente.
Je m’assieds sur un canapé, rien n’est pareil mais tout est identique.
Rien de pareil, mais c’est moi pour autant qui suis fautive, avant il y aurait longtemps que j’aurais fait l’amour avec une des barres, il y en a deux de disponibles sur les quatre.
Il y a une grande rousse, certainement celle dont la fille de Marie m’a parlé à l’entrée.
C’est la seule rousse du moins dans cette pièce, surtout qu’un homme certainement son mari la mange des yeux.
Raymond avait les mêmes yeux quand je faisais comment dire, le grand écart inversé, accrochée à la barre.
Un jeune homme faisant partie d’une bande de potes s’approche, flamberge au vent, regarde l’homme qui opine du chef.
Accord pris, elle se laisse glisser jusqu’au sol, tournant autour de la barre et finissant assise devant le garçon et commençant une fellation.
Quand je faisais comme la rousse, Raymond donnait souvent son accord lui aussi, il aimait baiser, mais était un tantinet candaulisme.
La sono dans cette salle elle aussi a changé, de mon temps, un DJ mettait l’ambiance, rationnelle.
Marie a certainement remplacé ce garçon par des bandes préenregistrées mettant l’ambiance.
À la fin d’un morceau, le son faiblit pour repartir de plus bel.
Là, un léger blanc et d’un coup, ma chanson démarre.
Je dis bien ma chanson.
Celle sur laquelle je faisais sensation avec cette barre.
Cloclo : "Comme d’habitude".
Ça fait un moment que je tergiverse, je me lève, je sais qui a mis cette musique, Marie bien sûre.
Bien sûre, cette glace sans tain au-dessus de la salle, Marie est là, dans le bureau qui surveille ce qui se passe et elle a dû voir que je suis là.
Si elle a mis ma musique, c’est qu’elle se souvient de nos nuits mémorables qui inexorablement finissaient dans la cage où les voyeurs, des libertins, venaient voir deux salopes se brouter la chatte.
Attiré comme par un aimant, pendant que la rousse pompe toujours son boy-friend devant les yeux de son mari, je me lève et j’approche de ce bout de métal.
Je me frotte la chatte, retrouvant le contact froid de l’Inox, qui aurait pu refroidir mes ardeurs mais qui avait comme effet de me subjuguer.
Je commence à louvoyer, monter et descendre, retrouvant mes habitudes, faisant l’amour à cette barre.
Je sens dans mon dos un corps et une verge tendue.
- Mamy, ta maman sait que tu es venue t’encanailler, tu sais qu’il y a des hommes, des vrais ici !
- Enfile-moi, on parlera de ma mère plus tard.
- T’es malade Mamy, mes potes se ficheront de ma gueule si je te mets ma verge dans le vagin.
- Petite bite, ils t’ont déjà dit que tu étais une petite bite, regarde, si je suis dans l’impossibilité de faire mon 180, inverser la tête en bas, ma chatte est capable de t’en apprendre.
- Tu me provoques Mamy et bien tiens.
Incroyable, je réussis, le soir de l’enterrement de Raymond, je lui rends hommage en me faisant prendre par ce garçon qui pourrait être mon arrière-petit-fils.
- Fais-moi voir ce spécial.
J’espère que ça va marcher, dans le temps, j’étais la reine et de la barre et des contractions de mes sprinters vaginaux.
C’était une vieille maîtresse, quand j’avais l’âge de ce jeune prétentieux, fort bien monté à ce que je sens, qui m’avait appris à les faire fonctionner.
Ça marchait à tous les coups, mes partenaires sentant leurs bites malaxées jouissaient en quelques minutes.
On dit toujours qu’une fois que vous savez faire du vélo, c’est à vie.
Faire fonctionner mes sprinters il en va de même.
Je force un peu mon cerveau au début et le naturel revient, ça redémarre.
- Mamy Sexe qu’est-ce que tu me fais, tu me malaxes, tu me broies la verge, t’es conne, je vais décharger.
Ces jets que je croyais à jamais bannis de ma vie viennent percuter mon utérus.
C’est beau les jeunes, il m’a baisé trop vite, mais le temps qu’il se vide les couilles, un orgasme me dévaste.
Il reprend son souffle, me prend par la main et m’emmène dans le coin ou deux couples et une fille seule se faisant caresser la chatte lisse, sont assis devant une bouteille de champagne.
- Les amis, je vous présente Mamy Sexe, Aurélie offre lui une coupe, elle l’a bien méritée.
- Tu es malade, Marc, t’as baisé avec ta grand-mère !
Je te savais tarer, mais de là à baiser cette vieille il y a un monde, on laisse entrer n’importe qui dans cette boîte de merde.
- N’importe qui, c’est mon amie, nous étions les reines des soirées, il y a plusieurs années.
- Comment va Raymond Arlette ?
- Je l’ai enterré cette après-midi, je voulais lui rendre hommage, il aurait apprécié que je viens passer la soirée ici.
Marie, oui car c’est Marie qui m’a rejoint, Aurélie, tu sais que je t’aime bien, je vais te dire demande à celle que Marc a appelée Mamy Sexe de te donner des cours.
- Aurélie madame Marie a raison, Mamy Sexe m’a enserré la verge dans sa chatte, j’étais dans l’impossibilité d’en sortir.
Elle m’a si bien malaxé avec des muscles dans son vagin, que moi qui suis capable de vous sauter des heures sans décharger, j’ai lâché la purée en quelques secondes.
Tu as enterré ton mari cette après-midi, tu es plus tcharbée que les plus tcharbés d’entre nous.
Le champagne a coulé dans les verres, les garçons se bousculaient pour connaître le secret de Mamy Sexe.
Aurélie a fait la gueule tout le reste de la soirée.
Marie, restée avec nous, prend une initiative.
- Arlette, pardon Mamy Sexe, j’adorne le nom que ces jeunes t’ont donné, te souviens-tu de notre final ?
- Qui pourrait avoir oublié le final que les clients voulaient voir, mais tu as enlevé la cage.
- Modernisé, seulement modernisé, Aurélie arrête de faire la gueule, suis-nous, tu vas connaître une autre facette de Mamy Sexe toi qui aime les femmes.
Marie enlève sa robe 1920 avec des franges comme celles que portaient les femmes dansant le Charleston.
Elle est nue, dessous, à peine la cinquantaine, l’âge que j’avais quand nous finissions nos soirées dans la cage entourée d’une partie du public voulant regarder deux salopes se donner du plaisir.
Quand je suis arrivée, sa fille dont j’ai oublié le nom si elle me l’a dit, avait la même place jusqu’à une certaine heure où elle venait faire le show.
Au début ce fut un jeu et à la fin, ça dépassait le simple plaisir lesbien.
Je me souviens du jour à quelques heures des ennuis de santé de Raymond, c’est la seule fois où il l’a baisée à la sortie de cette cage.
C’est aussi la seule fois que je la voyais accepter la queue d’un homme, de mon homme.
Dans un coin de la salle, la cage est là, en verre fumé, mais suffisamment clair pour que les clients d’un genre voyeur nous voient nous brouter en tête-bêche, elle avec Aurélie, moi retrouvant les grandes lèvres de ma salope de copine.
Ces grandes lèvres me semblent plus grandes, ma chatte en a-t-elle fait autant malgré qu’elle soit restée inactive depuis si longtemps.
Ce qui est certain c’est qu’Aurélie change de point de vue quand c’est notre tour de nous donner en spectacle.
Les voyeurs applaudissent, comme dans les temps anciens, quand nous sortons.
- Mamy Sexe excusez-moi d’avoir été désagréable, vous êtes une grande salope.
- Mamy Sexe, si ma copine vous dit ça, c’est très vrai, elle est avare de ses compliments.
- Arlette, viens chez moi, je suis si heureuse de t’avoir retrouvé, si j’ai bien compris, personne ne t’attend, finissons la nuit ensemble.
Je dis à bientôt à la petite troupe et je suis Marie qui monte un escalier, ayant simplement récupéré sa robe qu’elle tient en main.
J’avais raison, une vitre sans tain lui permet de tout voir.
La sono avec la bande, son bureau et deux fauteuils où je m’installe.
- Champagne ?
- Champagne, c’est moi qui paye.
Marie, je voulais te poser une question, la jeune femme à l’entrée quand je suis arrivée m’a dit être ta fille, certes elle te ressemble, mais elle a un regard qui me rappelle quelqu’un, j’ignore qui.
Marie semble gênée !
- Tu sembles avoir un secret à cacher, si quelqu’un peut savoir qui t’a fait un enfant, c’est bien toi, dit moi, je saurai garder ton secret même devant elle.
- C’est dur à te l’avouer, tu te souviens de la soirée avec Raymond.
J’avais un peu bu, nous avons terminé ensemble et je me suis fait prendre par ton homme.
- Je me souviens très bien, c’était de l’échangisme, nous faisions ça chaque fois que nous venions dans ce club.
- J’ai honte, comment vas-tu le prendre.
- Tu en as trop dit !
- Ça a été la seule fois où j’ai fait ça avec un homme.
- Mais c’est bien sûr, ce regard, c’est celui de Raymond, c’est lui le père.
- Oui.
Ce oui dit d’une voix chevrotante.
Conclusion de cette journée.
Toutes les semaines Mamy Sexe fait le show le samedi.
Toutes les semaines Marc se bat presque pour venir me prendre quand je suis à la barre.
Je progresse, j’arrive à relever mes vieilles jambes aidées par les jeunes mâles qui veulent baiser Mamy Sexe.
Hier, j’ai revu Raymond, non, pas en rêve, à la morgue quand le couvercle de son cercueil a été réouvert, étaient présentes Marie et moi chez qui j’habite au-dessus de la grande salle du club.
Vu mon, âge, Mamy Sexe va à la cage avec plaisir avec Aurélie et Marie, chacun de ces samedis.
Pour éviter de casser l’ambiance festive du club libertin, un test ADN confirme la paternité de mon homme.
Ce test lui permet d’hériter de son père.
Ça la mettra à l’abri, nous avions outre notre maison un petit pécule.
Raymond refusait d’avoir des enfants, il est préférable que ce soit la petite au lieu de l’État qui hérite.
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