COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Fin de la saison III (9/9)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Fin de la saison III (9/9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Matricule 100 605. Fin de la saison III (9/9)
- À ce moment là, t’es-tu senti libre ?

Étrange sentiment, de haine, pour celui qui avait été capable de tuer de sang-froid la femme du tailleur, même si je savais que c’était lui ou tous s’il s’était dévoilé.
Moi-même a quoi aurais-je servi à Josef s’il avait eu son traitre.
J’étais mal en point, je l’ai vu quand j’ai remis mes affaires que Günther avait récupérées dans la chambre de son supérieur.
Les vêtements, qui m’ont été faits sur mesure pour ma mission, je flotte dedans.
Nous avons roulé, arrêté près d’une rivière, rempli le réservoir avec l’essence dans le jerrican présent dans le coffre.
Je me demandais comment Günther s’y retrouvait dans toutes ces routes la plupart sans panneau.
Au bord d’un lac dont j’ignore encore le nom, Günther en vrai mâle allemand a voulu se baigner.
La nudité pour eux semblait naturelle, mais pour moi, j’étais plus pudique.
J’ai fini par faire comme lui et avec un peu de mal j’ai fini dans l’eau.
Nous avons joué à nous asperger, c’était la première fois que je revoyais un homme nu en dehors d’expérience infâme que je t’ai dit vouloir éviter d’en parler.
J’aurais dû me sentir tendu même si les plans pour rejoindre le Danemark de Günther semblaient avoir été bien préparés.
Le lac était un peu froid aussi, je suis sortie de l’eau m’allongeant sur le carré d’herbe fraîche près de la voiture.
Je me sentais tout de même libre et c’est en toute impudeur que je montrais ma touffe à mon amant les cuisses écartées.
Le soleil chauffait l’intérieur de mon corps en me faisant l’amour.
Je voyais mon bel allemand s’éloigner dans un crawl parfait.
Le soleil a dû m’endormir ainsi que la clarté sur le lac car c’est la fraicheur des gouttes tombant de son corps qui me ramène dans ce monde si perturbé depuis que j’ai décidé de quitter mon village.
Ça me fait sursauter, mais surtout lorsqu’il se couche sur moi, le cri que je pousse est dû à mes seins qu’il écrase douloureusement.
Je l’enserre de mes bras et me retrouvant dessus, c’est en toutes consciences que je prends sa verge en main.
Il m’a donné froid, il a froid, pardon, elle a froid, je me laisse glisser dans l’impossibilité de la rentrer en moi.
Nouvelle fellation, mais consentit cette foi avant de remonter et de me la planter dans le vagin.
Depuis combien de temps, mes règles ont-elles disparu, mais sans pour autant être enceinte ?
Une ou deux fois depuis que j’étais à Treblinka sans pour autant que je m’en inquiète.
Le docteur Ebert s’en serait fichu, voir contre fichus, seule ses expériences sur moi et sur des détenus l’importaient.
D’ailleurs, qui peut me prouver qu’il est réellement médecin.
Assez parlés de ce tortionnaire, espérant qu’un jour des gens auraient assez de courage pour le torturer autant qu’il nous a torturés.

- Tu redevenais femme, alors que dans ce camp tu étais le simple numéro tatoué sur ton bras.

Excuse, je revis la scène et s’était bon.
Je le fais entrer doucement en moi jusqu’à m’assoir sur ses couilles.
C’est mon cul que le soleil chauffait et c’est avec délice sans pour autant jouir énormément que j’ai reçu sa semence en moi.
Ce devait être, pour lui, la dernière fois où il a fait l’amour à une femme.

- Mon dieu, je crains le pire !

Tu as raison, son plaisir pris, nous nous sommes rhabillés et nous sommes repartis.
À peine dix kilomètres plus loin, à un croisement un barrage de soldats nous a fait stopper.
Un camion et une voiture avec sur ses ailes des fanions avec le signe des SS.
Günther a montré des papiers par sa vitre ouverte à un officier.
Il est venu vers moi me saluant a demandé les miens.
J’ai tendu la carte que Günther m’avait donnée.
En lui tendant, ma manche de chemisier est remontée dévoilant mon tatouage et le chiffre 100 605.
Par malchance, ce gradé avait servi dans un camp d’Adolphe et savait ce que cela signifiait.
C’est en allemand qu’il a donné l’ordre.

- Sortez tous les deux et agenouillez-vous devant ce talus.

Nous l’avons fait, j’étais terrorisée, je sentais le sperme de mon amant couler entre mes jambes.
Comment pouvons-nous passer de plaisirs comme ceux qu’il m’avait donné peu de temps avant au bord de ce lac à l’horreur de la balle qui a traversé son cerveau ?
J’attendais la balle suivante, pensant à mes parents tendrement enlacés dans leur synagogue certainement non loin de l’endroit où nous nous trouvions.
Je me suis jeté sur son cadavre, retombant dans les horreurs de la guerre.
L’ordre est tombé froid comme l’étaient ces hommes.
C’était le chef qui l’a donné comme le faisait un bon SS.
Lui a regardé alors que les quatre pauvres troufions qui étaient avec lui se soient empressés de me violer.
Ils m’avaient arraché mes vêtements et alors que l’un était en moi, un autre agenouiller a entrepris de me pilonner la gorge.
Entre ses jambes, je voyais le regard mort de Günther qui pour toujours aura été un amant m’ayant rendu ma liberté.
Quatre, ils sont passés à quatre sur moi, même cinq, car le chauffeur du camion qui les avait conduits est venu participer à la fête.
Une nouvelle fois leurs couilles vidées, les hommes m’ont libérée et ils sont remontés dans leur camion avant de disparaître.
Le SS m’a tiré jusqu’à sa voiture où un chauffeur l’attendait et nous avons pris une route sans ce que je sache ou il me conduisait.

- Tu t’es de nouveau trouvée dans camp de concentration !

Après des kilomètres, c’est une nouvelle fois nue que j’ai vu ce qui ressemblait en plus délabré à ce que j’avais découvert à Treblinka.
J’ai rapidement appris que l’on m’affectait aux cuisines du camp de Buchenwald.
C’est Odette qui m’a chaperonnée, écartant de moi toutes les convoitises d’autres femmes.
Odette se retrouvait là, non pas, car elle était juive, mais parce qu’elle était communiste française et s’opposait à la dictature d’Hitler.
Nous préparions la soupe pour les prisonniers, il y avait des Tsiganes, leur façon de vivre déplaisait et ils préferaient les enfermer.

- J’ai lu que dans ces camps et autour de ces camps, l’odeur était insupportable !

À Treblinka, j’étais relativement isolée dans la prison de ce pourri d’Ebert.
À Buchenwald, c’était une tout autre chose, Odette m’a dit que ce camp avait été créé pour les condamnés politiques.
L’odeur était si forte que c’est seulement après guerre que l’on a trouvé les fours crématoires ayant servi à exterminer tant de gens.
Lorsque je suis arrivée je t’ai dit que mes vêtements m’avaient été arrachés.
Le commandant qui a reçu son collègue nous ayant arrêté voulait me faire rejoindre le bordel qu’il avait organisé pour ses soldats, mais à la vue de mes seins, il y a renoncé.
J’étais persuadé qu’une balle allait interrompre tout ça, mais comme je viens de te le dire, c’est aux cuisines du camp que je dois ma vie aujourd’hui.
Avec d’autres détenus six hommes et trois femmes aux fil des mois qui sont passés ce que nous mettions dans l’eau étaient de plus en plus clairsemés.
Quelquefois, nous amenions la pitance à ces filles après l’avoir préparé.
Un jour deux d’entre nous et l’autre deux autres, car les salopes qui gardaient cette gamelle était à l’affut du moindre d’entre nous ayant trempé leurs doigts dedans.
Pour elles, le commandant voulait qu’elle reste femme avec des attributs de femme alors que dans le camp, les autres la plupart avaient des seins tombants.
Le système employé pour nous garder se faisait en deux parties.
L’enceinte du camp gardé par des soldats allemands dans des miradores prompts de la gâchette si nous nous approchions un peu de la clôture.
Le deuxième, c’est là qu’ils étaient malins surtout au fil du temps ou les soldats devaient aller servir au front.
Les kapos nous surveillaient muni de bâtons dont ils se servaient dès que l’un ou l’une de nous leur déplaisait.
Odette a joué un grand rôle dans ma protection.
Les quatre femmes, nous avions une partie d’un baraquement avec deux lits superposés.
La nuit elle me rejoignait et ce fût ma période lesbienne.
Ma chatte, c’est elle qui se la réservait.
Elle me suçait chaque fois qu’elle le pouvait et lors des rondes des kapos aucune d’entre elles semblaient voir que nous étions deux dans le même lit.
À ce jour, j’ignore, comment elle s’y prenait pour les avoir dans sa poche.
Sa langue passait mes grandes lèvres et cherchait mon clitoris.
Elle me faisait jouir comme elle le faisait lorsque c’était moi qui lui passais ma langue.
Après quelques jours mes seins coupés me faisaient de moins en moins mal et elle adorait me les sucer.
Grâce à elle, j’ai été relativement protégé par les kapos et les soldats allemands.
Nous commencions à entendre des rumeurs comme quoi des troupes susceptibles de venir nous délivrer arriveraient dans les jours ou les semaines suivantes.
Les soldats allemands étaient de plus en plus jeunes.
Les plus vieux partant au front.
Un jour l’un d’eux se trompant de baraquement s’est trompé et est rentré dans le nôtre.
Odette aimait les femmes, mais aussi les hommes en dehors de notre lieu de détention.
C’est elle qui lui a ouvert son pantalon pour sortir sa queue.
Nous étions seules toute les deux à ce moment là.
Nous avons sucé sa queue chacune d’un côté.
Il avait une petite bite.
Helmut, c’est le nom qu’il nous avait donné bandait pour la première fois dans la bouche de deux femmes.
Il était puceau.
Il tenait toujours sa mitraillette tout au long de la fellation.
Je l’avais à quelques centimètres de mes yeux.

Depuis mon viol par les cinq soldats, à part sous la langue d’Odette, lorsqu’il m’a pris à quatre pattes mes seins posés sur mon lit, ce fut divin.
Odette a son tour, s’est faite enfiler, par camaraderie elle m’avait laissée passer la première.
Ce fut la seule fois où une telle opportunité s’est fait jour.
Helmut lui aussi j’ignore ce qu’il est devenu.
Mort au front ou grand-père dans un coin d’Allemagne.
Si c’est le cas, parle-t-il de son dépucelage par deux femmes prisonnières !
Un midi, apportant la soupe à ces demoiselles, j’ai pu voir une voiture arrêtée devant l’entrée du camp.
En temps normal, je voyais les soldats sur les miradors, bizarrement, pas l’ombre d’un d’entre eux.
C’est à ce moment que je me suis aperçue que la porte était ouverte et auprès du véhicule se tenait un homme noir...

Voilà, nous sommes au terme de la saison III des aventures d’Aleksandra.
Dans la saison IV, nous verrons qui ce noir était à la porte de ce camp semblant avoir été abandonné par les Allemands.

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