COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (24/30)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (24/30)
Nuit de rêve chez Abby où elle me fait rencontrer Gai-luron caché dans son placard à la mort de Cassidy qui lui avait offert mais qu’elle se servait avec beaucoup de précaution, Cassidy étant séropositif.
Je rejoins le sénateur qui a digéré ses gouttes et qui est en train de se préparer.
Il m’emmène à Hollywood dans un restaurant Français pensant me faire plaisir.
Depuis le nombre d’années que je suis ici, ma culture est américaine surtout au niveau nourriture, le coin-coin est ma base nutritionnelle.
La crème brûlée terminée, mon chevalier servant tente une chose impossible pour lui.
- Claudia, la tradition en France veut que l’amoureux se mette à genoux pour demander en mariage sa promise.
Il y a 70 ans que j’attends de faire ce geste mais je vais éviter car j’ai bien peur de me ridiculiser en restant bloqué.
Voici une bague que je t’offre et que j’espère tu vas accepter.
Avance ton doigt que je te la passe au doigt avant que mardi après midi je te passer un anneau d’or.
- Mon cœur t’est acquis, tu le sais bien j’accepte bien volontiers.
Il me passe ma bague que je regarde avec des yeux d’enfants car le diamant qui est en son centre doit valoir une fortune.
- Miguel vient m’embrasser, je t’aime.
Les tables voisines sont dans l’incompréhension de ce qui se passe mais quand ils comprennent que je viens d’accepter d’épouser ce vieux croûton, ils se sentent obligés d’applaudir ?
Je viens d’accepter la bague que Miguel m’offre pour nos fiançailles et c’est sous les applaudissements que nous nous embrassons.
J’ai conscience du ridicule de la situation, mais le pouvoir plus que la richesse guide de plus en plus mes décisions.
Miguel sort son téléphone.
Je l’entends donner un ordre.
- Claudia tu es déjà monté à l’intérieur mais voici officiellement mon cadeau pour avoir accepté que je finisse ma vie avec toi.
Je vois approcher Cristopher tout de blanc vêtu jusqu’à la casquette qu’il a sous son bras.
- Voilà, je t’offre plus que la limousine que conduit ce jeune homme.
J’ai conscience qu’à mon âge je suis dans l’impossibilité de t’apporter les plaisirs sexuels que ta jeunesse mérite même si le jour de ma rencontre j’ai réussi à t’honorer.
À partir de ce jour, il sera ton unique amant car si j’apprends que tu me trompes avec un autre que lui mes avocats te dépouilleront de tous tes biens.
Bien sûr de l’acte de propriété que tu as laissé dans mon coffre en fera partie.
À ce titre je suis étonné que Bob t’ait laissé ce seul acte après tous ce qu’il a gagné grâce à nos filles.
Je sais qu’il se droguait avec ta mère et il a dû tout faire disparaître en poudre blanche pour se l’injecter dans les narines ou dans les veines.
Allé file et passe une bonne soirée, on se retrouve demain avec Paulo à 11 heures chez nous.
Je vais demander à Fred de me raccompagner et je vais me coucher immédiatement car les escargots que j’ai mangés pour faire le malin devant toi ont bien des difficultés à passer et ils m’ont fait revenir mon mal de tête.
J’allais me lever quand une chose inattendue arrive.
- Bonjour sénateur, bonjours madame, félicitation pour votre bague, je vois que monsieur sait toujours aussi bien se tenir avec les femmes, il doit vous avoir en haute estime pour vous faire un tel cadeau.
- Inspecteur que faîte vous ici, j’espère qu’ils vous payent en heures supplémentaires le dimanche.
- Vous savez monsieur le sénateur, vous avez la chance d’avoir pris votre retraite du moins du Sénat mais nous petit fonctionnaire somme toujours obligé de jouer au gendarme ou au voleur même les dimanches et jours fériés.
- Je vous plains, vous avez une vie difficile.
- Pas tant que cela, je déjeunais à une table au fond de la salle, j’allais venir vous saluer quand je vous ai vu sortir un écrin et offrir cette bague à madame.
Quand ce jeune homme s’est approché dans son costume blanc impeccable j’ai compris que vous lui offriez cette limousine garée devant l’établissement et que vous alliez partir alors je me permets de vous déranger.
Combien d’innocentes vont payer ces présents en heures de travail à Vegas ou ici à Los Angeles, New York ou tout autre ville des États-Unis.
Monsieur le sénateur, madame j’espère que vous serez heureuse avec monsieur, il est assez riche pour vous donner une vie en or, voir en or massif.
- Monsieur l’inspecteur, vous semblez porter des accusations très graves contre moi sur mes activités.
J’espère que vous avez de très bonnes preuves cette fois si de vos allégations, souvenez-vous, la dernière fois mes avocats vous ont cassé les reins.
Cette fois vous serez bon pour vous retrouver à inspecter une réserve indienne à l’autre bout du pays.
- Sénateur, je crois que cette fois-ci mon dossier est blindé et le procureur vous fera une très belle proposition pour que vous gardiez votre liberté surtout quand on a une femme aussi belle que celle que vous allez épouser mardi.
- Vous savez cela aussi !
- Je vous l’ai dit, j’ai un dossier blindé, même un char d’assaut serait inutile contre lui.
J’ajouterais que j’ai eu une aussi belle beauté que vous madame dans mon lit dernièrement, il serait bête d’attendre que votre mari sorte de prison pour vous honorer.
Je suis certain que certaines personnes respecteront leur promesse si j’en suis sûr, elles veulent rester en liberté.
C’est pour cela que je vais vous saluer messieurs-dames.
Tex salue le sénateur, me baise la main en me regardant avec insistance dans les yeux me faisant passer clairement le message qu’il attend ces putains de registres et faisant demi-tour sort.
- Rien à craindre ma douce ce monsieur se croit fort mais c’est un bouffon, nous ne craignons rien du tout.
Il cherche simplement à me faire faire un faux pas mais à nous deux nous allons être les plus forts.
Cristopher emmenez madame profiter de son cadeau de fiançailles, elle l’a bien mérité.
Je quitte le restaurant comprenant que je suis un peu piégé par cet homme et par l’inspecteur croyant que je dominais les deux.
- Cristopher conduisez-moi chez mon mari, je dois récupérer une amie.
Cristopher, j’ignore jusqu’à où vous êtes à la solde du sénateur et ce qui lui permet de vous tenir, mais sachez que vous avez plus à perdre avec lui qu’avec moi.
Je vous comprends madame, soyez sûr que je vous serais toujours fidèle, je sais choisir mon camp.
Je marque un point, ce que me dit Cristopher à demi-mot, c’est que le sénateur pense m’avoir fait un cadeau emprisonné, mais une nouvelle fois, je vais faire attention aux événements prochains.
- Allo Abby, tu peux descendre dans cinq minutes je viens te chercher.
Arrivé au bas de l’immeuble Cristopher vient m’ouvrir ma portière persuadée que je vais descendre.
- Faites monter madame et conduisez-nous à la maison où je suis allé récupérer une valise avec vous l’autre jour.
Cristopher, à partir de ce jour la vitre de séparation sera toujours close et soyez persuadé que ce que vous a dit votre patron tout à l’heure restera pur fantasme d’un vieux monsieur car je me passe très bien de ce que vous avez entre les jambes, pas vrai Abby.
Nous éclatons de rire, je viens de contrer le sénateur, je m’en fiche, j’ai Gai-luron pour me satisfaire avant que les choses se décantent.
- Explique-moi mon cœur.
- Mon futur mari m’a offert cette bague que j’ai acceptée, tu t’en doutes.
Il a exigé que j’évite de le tromper avec d’autres hommes.
Comme je suis jeune et que j’ai des besoins sexuels qu’il est dans l’impossibilité de satisfaire tous les jours, il accepte que Cristopher soit mon amant.
- Accepte, toi qui aimes les hommes il est beau.
- Prend le comme amant, je te l’offre.
- Non, nous nous avons Gai-luron et il nous suffit.
- Réfléchi, quel amoureux offre sa promise à un autre homme.
- Tu as raison, il veut te mettre à l’épreuve, tu es diabolique, depuis le temps que je te le dis.
La chose est dite, Cristopher restera mon simple chauffeur et le temps que j’explique à Abby ces détails, il arrête la voiture et viens nous ouvrir.
- Cristopher attendez dans la voiture jusqu’à ce que nous resortions.
Je fais entrer Abby dans la maison sens dessus dessous après le passage de Tex et de ses hommes.
- Il y a eu un ouragan.
- Non, simplement une perquisition après la mort de mon beau-père, la police sait foutre le bordel, mais ranger ils sont nuls.
Viens que je te montre ma chambre de jeune fille…
Je rejoins le sénateur qui a digéré ses gouttes et qui est en train de se préparer.
Il m’emmène à Hollywood dans un restaurant Français pensant me faire plaisir.
Depuis le nombre d’années que je suis ici, ma culture est américaine surtout au niveau nourriture, le coin-coin est ma base nutritionnelle.
La crème brûlée terminée, mon chevalier servant tente une chose impossible pour lui.
- Claudia, la tradition en France veut que l’amoureux se mette à genoux pour demander en mariage sa promise.
Il y a 70 ans que j’attends de faire ce geste mais je vais éviter car j’ai bien peur de me ridiculiser en restant bloqué.
Voici une bague que je t’offre et que j’espère tu vas accepter.
Avance ton doigt que je te la passe au doigt avant que mardi après midi je te passer un anneau d’or.
- Mon cœur t’est acquis, tu le sais bien j’accepte bien volontiers.
Il me passe ma bague que je regarde avec des yeux d’enfants car le diamant qui est en son centre doit valoir une fortune.
- Miguel vient m’embrasser, je t’aime.
Les tables voisines sont dans l’incompréhension de ce qui se passe mais quand ils comprennent que je viens d’accepter d’épouser ce vieux croûton, ils se sentent obligés d’applaudir ?
Je viens d’accepter la bague que Miguel m’offre pour nos fiançailles et c’est sous les applaudissements que nous nous embrassons.
J’ai conscience du ridicule de la situation, mais le pouvoir plus que la richesse guide de plus en plus mes décisions.
Miguel sort son téléphone.
Je l’entends donner un ordre.
- Claudia tu es déjà monté à l’intérieur mais voici officiellement mon cadeau pour avoir accepté que je finisse ma vie avec toi.
Je vois approcher Cristopher tout de blanc vêtu jusqu’à la casquette qu’il a sous son bras.
- Voilà, je t’offre plus que la limousine que conduit ce jeune homme.
J’ai conscience qu’à mon âge je suis dans l’impossibilité de t’apporter les plaisirs sexuels que ta jeunesse mérite même si le jour de ma rencontre j’ai réussi à t’honorer.
À partir de ce jour, il sera ton unique amant car si j’apprends que tu me trompes avec un autre que lui mes avocats te dépouilleront de tous tes biens.
Bien sûr de l’acte de propriété que tu as laissé dans mon coffre en fera partie.
À ce titre je suis étonné que Bob t’ait laissé ce seul acte après tous ce qu’il a gagné grâce à nos filles.
Je sais qu’il se droguait avec ta mère et il a dû tout faire disparaître en poudre blanche pour se l’injecter dans les narines ou dans les veines.
Allé file et passe une bonne soirée, on se retrouve demain avec Paulo à 11 heures chez nous.
Je vais demander à Fred de me raccompagner et je vais me coucher immédiatement car les escargots que j’ai mangés pour faire le malin devant toi ont bien des difficultés à passer et ils m’ont fait revenir mon mal de tête.
J’allais me lever quand une chose inattendue arrive.
- Bonjour sénateur, bonjours madame, félicitation pour votre bague, je vois que monsieur sait toujours aussi bien se tenir avec les femmes, il doit vous avoir en haute estime pour vous faire un tel cadeau.
- Inspecteur que faîte vous ici, j’espère qu’ils vous payent en heures supplémentaires le dimanche.
- Vous savez monsieur le sénateur, vous avez la chance d’avoir pris votre retraite du moins du Sénat mais nous petit fonctionnaire somme toujours obligé de jouer au gendarme ou au voleur même les dimanches et jours fériés.
- Je vous plains, vous avez une vie difficile.
- Pas tant que cela, je déjeunais à une table au fond de la salle, j’allais venir vous saluer quand je vous ai vu sortir un écrin et offrir cette bague à madame.
Quand ce jeune homme s’est approché dans son costume blanc impeccable j’ai compris que vous lui offriez cette limousine garée devant l’établissement et que vous alliez partir alors je me permets de vous déranger.
Combien d’innocentes vont payer ces présents en heures de travail à Vegas ou ici à Los Angeles, New York ou tout autre ville des États-Unis.
Monsieur le sénateur, madame j’espère que vous serez heureuse avec monsieur, il est assez riche pour vous donner une vie en or, voir en or massif.
- Monsieur l’inspecteur, vous semblez porter des accusations très graves contre moi sur mes activités.
J’espère que vous avez de très bonnes preuves cette fois si de vos allégations, souvenez-vous, la dernière fois mes avocats vous ont cassé les reins.
Cette fois vous serez bon pour vous retrouver à inspecter une réserve indienne à l’autre bout du pays.
- Sénateur, je crois que cette fois-ci mon dossier est blindé et le procureur vous fera une très belle proposition pour que vous gardiez votre liberté surtout quand on a une femme aussi belle que celle que vous allez épouser mardi.
- Vous savez cela aussi !
- Je vous l’ai dit, j’ai un dossier blindé, même un char d’assaut serait inutile contre lui.
J’ajouterais que j’ai eu une aussi belle beauté que vous madame dans mon lit dernièrement, il serait bête d’attendre que votre mari sorte de prison pour vous honorer.
Je suis certain que certaines personnes respecteront leur promesse si j’en suis sûr, elles veulent rester en liberté.
C’est pour cela que je vais vous saluer messieurs-dames.
Tex salue le sénateur, me baise la main en me regardant avec insistance dans les yeux me faisant passer clairement le message qu’il attend ces putains de registres et faisant demi-tour sort.
- Rien à craindre ma douce ce monsieur se croit fort mais c’est un bouffon, nous ne craignons rien du tout.
Il cherche simplement à me faire faire un faux pas mais à nous deux nous allons être les plus forts.
Cristopher emmenez madame profiter de son cadeau de fiançailles, elle l’a bien mérité.
Je quitte le restaurant comprenant que je suis un peu piégé par cet homme et par l’inspecteur croyant que je dominais les deux.
- Cristopher conduisez-moi chez mon mari, je dois récupérer une amie.
Cristopher, j’ignore jusqu’à où vous êtes à la solde du sénateur et ce qui lui permet de vous tenir, mais sachez que vous avez plus à perdre avec lui qu’avec moi.
Je vous comprends madame, soyez sûr que je vous serais toujours fidèle, je sais choisir mon camp.
Je marque un point, ce que me dit Cristopher à demi-mot, c’est que le sénateur pense m’avoir fait un cadeau emprisonné, mais une nouvelle fois, je vais faire attention aux événements prochains.
- Allo Abby, tu peux descendre dans cinq minutes je viens te chercher.
Arrivé au bas de l’immeuble Cristopher vient m’ouvrir ma portière persuadée que je vais descendre.
- Faites monter madame et conduisez-nous à la maison où je suis allé récupérer une valise avec vous l’autre jour.
Cristopher, à partir de ce jour la vitre de séparation sera toujours close et soyez persuadé que ce que vous a dit votre patron tout à l’heure restera pur fantasme d’un vieux monsieur car je me passe très bien de ce que vous avez entre les jambes, pas vrai Abby.
Nous éclatons de rire, je viens de contrer le sénateur, je m’en fiche, j’ai Gai-luron pour me satisfaire avant que les choses se décantent.
- Explique-moi mon cœur.
- Mon futur mari m’a offert cette bague que j’ai acceptée, tu t’en doutes.
Il a exigé que j’évite de le tromper avec d’autres hommes.
Comme je suis jeune et que j’ai des besoins sexuels qu’il est dans l’impossibilité de satisfaire tous les jours, il accepte que Cristopher soit mon amant.
- Accepte, toi qui aimes les hommes il est beau.
- Prend le comme amant, je te l’offre.
- Non, nous nous avons Gai-luron et il nous suffit.
- Réfléchi, quel amoureux offre sa promise à un autre homme.
- Tu as raison, il veut te mettre à l’épreuve, tu es diabolique, depuis le temps que je te le dis.
La chose est dite, Cristopher restera mon simple chauffeur et le temps que j’explique à Abby ces détails, il arrête la voiture et viens nous ouvrir.
- Cristopher attendez dans la voiture jusqu’à ce que nous resortions.
Je fais entrer Abby dans la maison sens dessus dessous après le passage de Tex et de ses hommes.
- Il y a eu un ouragan.
- Non, simplement une perquisition après la mort de mon beau-père, la police sait foutre le bordel, mais ranger ils sont nuls.
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