COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (27/30)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (27/30)
Ayant maté Paulo à qui je dois trouver son surnom à la demande du sénateur.
Une fois de plus, il m’a testé en écoutant derrière la porte la façon dont j’arrivais à me sortir de la situation avec celui à qui nous voulons confier les filles à Vegas pour remplacer Bob mon beau-père.
Inutile de rappeler que je l’ai fait basculer par-dessus la rambarde du balcon du sénateur.
Je suis contente de cette fin de journée surtout après le rendez-vous donné à Abby pour qu’elle m’accompagne chez le policier récupérer les clefs de ma voiture.
Voiture Mustang qu’il a acheté après m’avoir volée mon argent cacher sous le plancher dans ma chambre.
Elle a son permis moi non.
- Cristopher, c’est bon je constate que tu es à l’heure voici l’adresse où nous devons nous rendre mais avant il faut que je passe relever le courrier chez maman.
J’ai complètement oublié de faire mon changement d’adresse.
- Bien madame, je connais la route, nous y serons rapidement.
Nous roulons et j’ai le temps de remarquer la tenue d’Abby.
- Il va falloir que nous allions faire les boutiques.
J’aime faire du shopping et dans ma vie antérieure elle était rythmée en fonction de mes rendez-vous à Vegas.
J’achetais mes tenues pour que Bob fasse du pognon avec mon cul et celui des grognasses qu’il drivait.
- Me trouves-tu trop classique ?
- Classique non, mais il va falloir arranger ton look, coiffeur et épilation de ta toison et vêtements plus près de ton corps, je vais faire de toi une bombe sexuelle.
- Attention quand je vais exploser.
J’adore quand nous éclatons de rire.
La voiture décélère et par les vitres sans tain je vois que nous sommes arrivés.
J’aime que l’on m’ouvre ma porte, il y a peu je servais sexuellement les autres, maintenant je me fais servir, l’argent à tout de même de bons côtés.
- Attends deux minutes nous repartons.
J’ouvre la boîte et hormis des publicités il y a une lettre.
« Banque of America.
Madame, le notaire vient de nous faire savoir que vous étiez l’héritière de votre maman et de votre beau-père qui possédait un compte et un coffre dans notre banque veuillez prendre rendez-vous avec nos services. »
Une banque, c’est normal, que me veulent-ils, que vont-ils m’annoncer, pourquoi un coffre ?
Dans la voiture je téléphone et l’on me donne rendez-vous pour le vendredi matin.
Nouvel arrêt, la porte s’ouvre.
- Vous êtes arrivée à destination, j’avais mis mon GPS.
Dans la cour de la maison une belle voiture Mustang toute rutilante est garée.
Cristopher toujours serviable va sonner.
Nous sommes un peu loin pour entendre.
- Mesdames, le monsieur va vous recevoir.
Sur le pas de la porte un homme de couleur nous attend.
Abby se penche vers moi et me parle à l’oreille.
- Il doit en avoir une comme Gai-luron tout du moins la couleur.
- Veux-tu que je lui demande de te la faire voir ?
- Tu es folle je suis fidèle moi.
Nous approchons et arrêtons de dire nos bêtises.
- Bonjours mesdames, je vous attendais, j’espère que vous me pardonnerez la bêtise que j’ai commise en vous volant la boîte où vous cachiez votre argent.
- C’est facile monsieur, on vole et on s’excuse.
Vous croyez qu’il vous suffit de vous excuser et croire que nous allons vous pardonner.
Vous nous êtes redevable sans compter la voiture que vous allez me restituer en me donnant ses papiers comme si vous me l’aviez vendu.
- Cela va me déchirer le cœur mais c’est normal, je voulais me l’acheter et le jour j’ai vu votre argent la seule chose à quoi j’ai pensé c’est aux clefs que j’allais pouvoir m’offrir.
- Perdre son emploi surtout dans la police pour une poignée de dollars le jeu en a-t-il valut la chandelle.
- Je vais vous surprendre et oui, rouler capote ouverte, les cheveux aux vents dans les rues à Hollywood m’ont apporté une jouissance qu’aucune femme ne m’avait apportée, je m’en excuse mesdames.
- Voulez-vous la garder ?
- Qui voulez-vous que je tue ?
- Personne, mais je me trouve à la croisée de chemins et selon celui que je choisirais nous aurons besoin de protection.
Je pense que vous savez que je vais épouser le sénateur que l’inspecteur Tex poursuit depuis des années.
J’ai passé un contrat avec lui, mon futur mari à un coffre où il garde des registres qui vont lui permettre de l’arrêter.
Si je lui donne, il me permettra de garder la fortune en liquide et autres lingots et fera son rapport en me protégeant.
Je crois que j’ai une bonne idée pour le berner et garder liquide et organisation pour nous.
Si vous acceptez, vous serez notre garde du corps.
- Claudia, je sais que vous appelez Claudia, votre offre m’intéresse surtout si vous blousez l’inspecteur qui a toujours été odieux avec moi car je suis noir.
Votre garde du corps, pourquoi pas, qui est cette jeune femme avec vous ?
Je m’appelle Trevor.
- Ma copine s’appelle Abby, c’est bien nous vous engageons.
Pour celer notre pacte, baissez votre pantalon.
- Pourquoi ?
- Avec nous si on vous donne un ordre vous l’exécutez sans poser de question, sinon adieu la Mustang.
Trevor défait son ceinturon et fait tomber son jean en même temps que son boxer.
- Abby voila ton gage, va le sucer.
Son sexe contrairement à ce que l’on dit des blacks est loin de la longueur qui fait fantasmer beaucoup de femmes, mais je vois qu’il est massif.
Voyant qu’il m’obéit, je peux passer à ma deuxième phase quand je donne son gage à Abby quand elle a perdu sur la composition du cocktail qui remplissait les couilles de Gai-luron.
- Non, tu sais que je refuse d’avoir des rapports avec un homme.
- Tu as perdu c’est ton gage, regarde comment je le masturbe pour qu’il bande, il va ressembler à notre ami du soir.
- Je vais le faire, attends Claudia, je sais que je vais le faire.
Trevor se saisit de la tête d’Abby pour la rapprocher de sa queue que je lui ai imposé de sucer.
D’un coup comme si elle se jetait à l’eau elle avance sa langue qui vient toucher le gland du sexe.
J’ai l’impression que ce contact la brûle tellement elle se retire rapidement pour mieux revenir et donner un coup de la pointe vers les testicules.
- Prends-la dans ta main, regarde, elle a grossi et est aussi belle en diamètre que Gai-luron, Soupèse les couilles, regarde comme elles sont douces.
C’est bien mon cœur, tu l’as placé dans ta bouche et tu es encore vivante, tu vas voir que tu vas aimer au fil du temps.
C’est par ce stratagème que je réussis à ce qu’Abby admette que le sexe d’un homme peut être une source de plaisir aussi grande que notre gode même si celui-ci s’appelle Gai-luron.
Je vois que c’est gagné quand elle est accroupie devant lui les jambes écartées pompant ardemment la verge qu’elle a un peu de mal à faire entrer vu son diamètre.
Elle l’empoigne avec ses deux mains comme si elle craignait que je ne lui prenne.
Le garçon lui tient les oreilles et se projette dans son tabernacle puissamment.
J’arrive à me glisser derrière elle sans casser le lien qui les unit et atteindre l’anus et le bas de la chatte de ma copine.
Je me suis allongé sur la moquette et la vue est extraordinaire car pour sortir en ville Abby semble avoir oublié sa petite culotte.
Oublions ce genre d’objet où le fait-on sciemment espérant profité d’un moment comme celui que nous avons la chance de vivre.
En relevant la tête ma langue vient au contact de son gros clito qui vibre rapidement m’inondant une nouvelle fois le visage.
Je me souviens de la première fois il y a peu de temps, elle m’a rempli la bouche de sa cyprine m’expliquant que ce phénomène se déclenchait au terme de l’excitation maximale de son intimité.
Suivant les mouvements de Trevor je vois son sexe entrer dans la bouche de ma copine me montrant le plaisir qu’elle semble prendre avec ce pénis placé dans sa cavité buccale.
Je suis contente, moi jeune fille de 18 ans de permettre à cette femme plus vieille de découvrir les plaisirs masculins autant qu’elle m’a appris les plaisirs féminins.
Je sens qu’Abby fatigue dans cette position mais voulant éviter de la brusquer je me redresse et je donne un ordre au garçon.
- C’est bien, accélère et éjacule dans sa bouche…
Une fois de plus, il m’a testé en écoutant derrière la porte la façon dont j’arrivais à me sortir de la situation avec celui à qui nous voulons confier les filles à Vegas pour remplacer Bob mon beau-père.
Inutile de rappeler que je l’ai fait basculer par-dessus la rambarde du balcon du sénateur.
Je suis contente de cette fin de journée surtout après le rendez-vous donné à Abby pour qu’elle m’accompagne chez le policier récupérer les clefs de ma voiture.
Voiture Mustang qu’il a acheté après m’avoir volée mon argent cacher sous le plancher dans ma chambre.
Elle a son permis moi non.
- Cristopher, c’est bon je constate que tu es à l’heure voici l’adresse où nous devons nous rendre mais avant il faut que je passe relever le courrier chez maman.
J’ai complètement oublié de faire mon changement d’adresse.
- Bien madame, je connais la route, nous y serons rapidement.
Nous roulons et j’ai le temps de remarquer la tenue d’Abby.
- Il va falloir que nous allions faire les boutiques.
J’aime faire du shopping et dans ma vie antérieure elle était rythmée en fonction de mes rendez-vous à Vegas.
J’achetais mes tenues pour que Bob fasse du pognon avec mon cul et celui des grognasses qu’il drivait.
- Me trouves-tu trop classique ?
- Classique non, mais il va falloir arranger ton look, coiffeur et épilation de ta toison et vêtements plus près de ton corps, je vais faire de toi une bombe sexuelle.
- Attention quand je vais exploser.
J’adore quand nous éclatons de rire.
La voiture décélère et par les vitres sans tain je vois que nous sommes arrivés.
J’aime que l’on m’ouvre ma porte, il y a peu je servais sexuellement les autres, maintenant je me fais servir, l’argent à tout de même de bons côtés.
- Attends deux minutes nous repartons.
J’ouvre la boîte et hormis des publicités il y a une lettre.
« Banque of America.
Madame, le notaire vient de nous faire savoir que vous étiez l’héritière de votre maman et de votre beau-père qui possédait un compte et un coffre dans notre banque veuillez prendre rendez-vous avec nos services. »
Une banque, c’est normal, que me veulent-ils, que vont-ils m’annoncer, pourquoi un coffre ?
Dans la voiture je téléphone et l’on me donne rendez-vous pour le vendredi matin.
Nouvel arrêt, la porte s’ouvre.
- Vous êtes arrivée à destination, j’avais mis mon GPS.
Dans la cour de la maison une belle voiture Mustang toute rutilante est garée.
Cristopher toujours serviable va sonner.
Nous sommes un peu loin pour entendre.
- Mesdames, le monsieur va vous recevoir.
Sur le pas de la porte un homme de couleur nous attend.
Abby se penche vers moi et me parle à l’oreille.
- Il doit en avoir une comme Gai-luron tout du moins la couleur.
- Veux-tu que je lui demande de te la faire voir ?
- Tu es folle je suis fidèle moi.
Nous approchons et arrêtons de dire nos bêtises.
- Bonjours mesdames, je vous attendais, j’espère que vous me pardonnerez la bêtise que j’ai commise en vous volant la boîte où vous cachiez votre argent.
- C’est facile monsieur, on vole et on s’excuse.
Vous croyez qu’il vous suffit de vous excuser et croire que nous allons vous pardonner.
Vous nous êtes redevable sans compter la voiture que vous allez me restituer en me donnant ses papiers comme si vous me l’aviez vendu.
- Cela va me déchirer le cœur mais c’est normal, je voulais me l’acheter et le jour j’ai vu votre argent la seule chose à quoi j’ai pensé c’est aux clefs que j’allais pouvoir m’offrir.
- Perdre son emploi surtout dans la police pour une poignée de dollars le jeu en a-t-il valut la chandelle.
- Je vais vous surprendre et oui, rouler capote ouverte, les cheveux aux vents dans les rues à Hollywood m’ont apporté une jouissance qu’aucune femme ne m’avait apportée, je m’en excuse mesdames.
- Voulez-vous la garder ?
- Qui voulez-vous que je tue ?
- Personne, mais je me trouve à la croisée de chemins et selon celui que je choisirais nous aurons besoin de protection.
Je pense que vous savez que je vais épouser le sénateur que l’inspecteur Tex poursuit depuis des années.
J’ai passé un contrat avec lui, mon futur mari à un coffre où il garde des registres qui vont lui permettre de l’arrêter.
Si je lui donne, il me permettra de garder la fortune en liquide et autres lingots et fera son rapport en me protégeant.
Je crois que j’ai une bonne idée pour le berner et garder liquide et organisation pour nous.
Si vous acceptez, vous serez notre garde du corps.
- Claudia, je sais que vous appelez Claudia, votre offre m’intéresse surtout si vous blousez l’inspecteur qui a toujours été odieux avec moi car je suis noir.
Votre garde du corps, pourquoi pas, qui est cette jeune femme avec vous ?
Je m’appelle Trevor.
- Ma copine s’appelle Abby, c’est bien nous vous engageons.
Pour celer notre pacte, baissez votre pantalon.
- Pourquoi ?
- Avec nous si on vous donne un ordre vous l’exécutez sans poser de question, sinon adieu la Mustang.
Trevor défait son ceinturon et fait tomber son jean en même temps que son boxer.
- Abby voila ton gage, va le sucer.
Son sexe contrairement à ce que l’on dit des blacks est loin de la longueur qui fait fantasmer beaucoup de femmes, mais je vois qu’il est massif.
Voyant qu’il m’obéit, je peux passer à ma deuxième phase quand je donne son gage à Abby quand elle a perdu sur la composition du cocktail qui remplissait les couilles de Gai-luron.
- Non, tu sais que je refuse d’avoir des rapports avec un homme.
- Tu as perdu c’est ton gage, regarde comment je le masturbe pour qu’il bande, il va ressembler à notre ami du soir.
- Je vais le faire, attends Claudia, je sais que je vais le faire.
Trevor se saisit de la tête d’Abby pour la rapprocher de sa queue que je lui ai imposé de sucer.
D’un coup comme si elle se jetait à l’eau elle avance sa langue qui vient toucher le gland du sexe.
J’ai l’impression que ce contact la brûle tellement elle se retire rapidement pour mieux revenir et donner un coup de la pointe vers les testicules.
- Prends-la dans ta main, regarde, elle a grossi et est aussi belle en diamètre que Gai-luron, Soupèse les couilles, regarde comme elles sont douces.
C’est bien mon cœur, tu l’as placé dans ta bouche et tu es encore vivante, tu vas voir que tu vas aimer au fil du temps.
C’est par ce stratagème que je réussis à ce qu’Abby admette que le sexe d’un homme peut être une source de plaisir aussi grande que notre gode même si celui-ci s’appelle Gai-luron.
Je vois que c’est gagné quand elle est accroupie devant lui les jambes écartées pompant ardemment la verge qu’elle a un peu de mal à faire entrer vu son diamètre.
Elle l’empoigne avec ses deux mains comme si elle craignait que je ne lui prenne.
Le garçon lui tient les oreilles et se projette dans son tabernacle puissamment.
J’arrive à me glisser derrière elle sans casser le lien qui les unit et atteindre l’anus et le bas de la chatte de ma copine.
Je me suis allongé sur la moquette et la vue est extraordinaire car pour sortir en ville Abby semble avoir oublié sa petite culotte.
Oublions ce genre d’objet où le fait-on sciemment espérant profité d’un moment comme celui que nous avons la chance de vivre.
En relevant la tête ma langue vient au contact de son gros clito qui vibre rapidement m’inondant une nouvelle fois le visage.
Je me souviens de la première fois il y a peu de temps, elle m’a rempli la bouche de sa cyprine m’expliquant que ce phénomène se déclenchait au terme de l’excitation maximale de son intimité.
Suivant les mouvements de Trevor je vois son sexe entrer dans la bouche de ma copine me montrant le plaisir qu’elle semble prendre avec ce pénis placé dans sa cavité buccale.
Je suis contente, moi jeune fille de 18 ans de permettre à cette femme plus vieille de découvrir les plaisirs masculins autant qu’elle m’a appris les plaisirs féminins.
Je sens qu’Abby fatigue dans cette position mais voulant éviter de la brusquer je me redresse et je donne un ordre au garçon.
- C’est bien, accélère et éjacule dans sa bouche…
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