COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison VI (45/46)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison VI (45/46) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(45.0 / 10)

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COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison VI (45/46)
Une nouvelle fois, j’ai frappé, douceur et rudesse, la jeune femme est déboussolée.
J’adore affirmer mon autorité sur ma troupe.
Va-t-elle nous révéler ce qui m’intéresse ?
Lana est là pendue la chatte offerte.

- Détachez là, nous sommes assez nombreux pour la maîtriser si elle veut s’échapper.
Asseyez là sur cette chaise.
- Merci madame Claudia, vous êtes bonne.
J’ignore où est Johnny !
Vous savez, il est très, souvent du temps du sénateur il disparaissait sans me donner le moindre signe jusqu’à ce qu’il réapparaisse.
- Je suis peut-être bonne, mais je vais t’apprendre à ne pas te foutre de ma gueule Lana.

Je la prends par les cheveux et lui tire la tête en arrière.

- Aie, vous me faite mal.
Vous êtes folle.
- Fred, donnez-moi de quoi traiter cette femme à sa juste valeur, une pute restera toujours une pute.
Je le sais n’en suis-je pas une.
Fred tu lui as dit que son mec m’a mis son sexe dans ma chatte sans mon autorisation bien sûr.
Regarde-moi au lieu de pleurer.
Eh oui, tu es cocu, tu dois bien t’amuser avec ton mec, moi malgré la contrainte j’ai passé un très bon moment.
Je t’ai dit d’arrêter de pleurer.
- Mais je te jure que je ne sais rien Claudia.

Je lui tire la tête encore plus en arrière.

- Mais dit donc on n’a pas gardé les truies ensemble, je t’interdis de me tutoyer.
- Mais comment voulez-vous que je vous dise ce que je ne sais pas ?
Je suis incapable de répondre à cette question madame Claudia.
- Fred, je vois que vous avez trouvé une cravache.
Pour commencer les seins.

Méticuleusement Fred homme paraissant gentil commence à frapper la poitrine de Lana.
Il doit frapper fort car ils rougissent en peu de temps et elle hurle à plein poumons.

- Levez là !
Fred, la chatte, frappez la chatte, ses seins ont assez ramassé.
- Non, pas ma chatte mes seins me fond déjà trop mal.
Dans notre chambre, dans le placard, il y a une boîte avec plein de vieux téléphone.
Ce sont des leurres, un seul est opérationnel, c’est le bleu.
Il répondra si j’appelle.
- Eh bien voilà poupée c’est si facile de se mettre à table à moins que tu aimes souffrir.

Je lui tiens toujours les cheveux, sa bouche est à quelques centimètres de la mienne.
J’approche la mienne, elles se soudent.
Ma langue prend possession de la sienne.
J’aime comme elle embrasse.
Une nouvelle fois, je distille mon venin pour mieux les tenir dans le creux de ma main.

- Fil de Fer retourne chez elle et ramène-nous ce portable.
J’ignore le degré d’intimité que tu as avec Johnny belle Gueule.
Je te préviens que si tu l’appelles pour lui dire que sa femme a parlé, ta corde à piano ce sera autour de ton cou que je la placerais.
- Madame Claudia, le sénateur m’a souvent sorti des galères où je me fourrais, je vous serais aussi fidèle qu’à lui.
- C’est bien, Fil de Fer.
Cassidy, Cristopher et vous qu’en dites-vous ?
- Nous vous serons fidèle madame, c’est vous qui avez fait de nous ce que nous sommes.
- Fred et Abby, je sais déjà votre dévotion inutile de me donner votre consentement.
Remontez-moi cette jolie femelle dans le bureau en attendant le retour de Fil de Fer.

Dans le bureau prévu par le sénateur comme salle de réunion de tous les participants qu’il organisait, je fais monter Lana sur la table la forçant à être à quatre pattes.
La sonnerie de la porte d'entrée retenti créant un moment de tension.

- N’ayez pas peur, ce sont les avocats qui reviennent au retour de Fil de Fer nous serons au complet.
Cristopher va ouvrir.

- Bonjour messieurs, je suis Claudia la femme de Miguel que vous connaissez encore sous le nom de sénateur.
Nous finissons de régler une petite affaire qui vient de se faire jour dans notre organisation.
Vous voyez cette femme tenue nue sur ce bureau ?
Elle a ouvertement cru qu’elle était capable de se foutre de ma gueule.
Elle vient enfin de comprendre à qui elle avait affaire.
- Pardon madame Claudia, c’est Johnny qui m’a entraîné à vous mentir.
Si vous m’épargnez, vous aurez une fille fidèle à votre service.

En bas, je la tenais par ses cheveux, là sous le regard de tous ces hommes, je lui passe ma main entre les cuisses et je n’hésite pas à lui fourrer deux doigts dans le vagin.

- C’est bien belle salope, je vois que tu mouilles, tiens, j’entends Fil de Fer qui revient.
Fil de Fer donne le portable à cette salope qu'elle opère comme elle doit le faire.
Gaffe, si tu déconnes et que ton Jule nous échappe, tu redescendant illico dans l’atelier.

Elle s’assoit sur ses fesses face à moi.
Assise en tailleur sa chatte me fait de l’œil.
La situation serait moins tragique, tout de suite je la culbuterai mais l’intérêt de mes affaires passe avant le reste et surtout la bagatelle.

- Johnny, c’est moi, Claudia veut te parler.
- Allo, Johnny tu as 48 heures pour ramener tes miches sinon ta pétasse qui est là devant nous à poil va se retrouver à Vegas dans les pattes d’un de nos souteneurs à pomper des bites.
Cassidy qui vient d’être promu la regarde avec envie, il fera très bien l’affaire.
Pour le moment elle est sous ma protection, mais si dans quarante-huit heures je ne vois pas ta belle gueule devant moi dès le premier soir elle sera la vedette d’un gang bang que j’organiserais en son honneur.
Je raccroche, 48 heures pas une de plus.
Fred avez-vous un endroit où mettre cette petite girelle aux frais en attendant le retour de son mec ?

À ma voix je suis sûr qu’il a compris que je ne plaisantais pas.

- Oui, dans mes appartements j’ai un petit placard où elle sera très bien pour attendre le retour de l’homme prodige.

Le couple part quelques minutes et Fred revient seul.

- Passons aux choses sérieuses, le médecin qui s’occupe de mon mari nous met devant le fait accompli.
Soit, nous débranchons le sénateur, soit nous le laissons à ses soins mais toutes notre fortune amasser risque d’y passer.
Je dirige votre organisation depuis peu de temps.
Je sais que de le laisser brancher serais pour moi la solution malgré le cout de l’opération.
Mais je n’ai aucun droit de dilapider ce que vous avez eu du mal à amasser, nous allons donc voter.
Ceux qui sont pour ?
Les contres ?
Abstentions ?
Je vois que vous votez à la majorité moins une voix « contre » celle de Fil de Fer et une « abstention » ma voix.
Je vais aller voir le docteur avec Abby pour faire débrancher le sénateur.
Messieurs les avocats, à nous maintenant, voici mon idée pour faire perdurer notre travail.

J’explique à tous mon projet, au début un peu éberlué tous finissent par applaudir.

- Vous avez bien compris ?
- Oui, nous allons de ce pas commencer à mettre en place votre projet.
Je dois vous dire que ce ne sera pas très facile.
Surtout si nous travaillons dans différents pays du monde.
Chaque fois nous devrons étudier d'une façon très pointue les us et coutumes de ces pays.
- Pourquoi croyez-vous que nous vous payions à prix d’or ?
J’ai vu les tarifs que vous prenez.
Filez et donnez-nous entière satisfaction car je connais des avocats aussi doués que vous qui seront enchantés de vous remplacer.
- Le sénateur savait ce qu’il voulait, vous êtes sa digne héritière.

Ils nous quittent, une fois leur voiture démarrée, je regarde l’impression faite sur mes troupes.
Tous sont à ma dévotion.

- Cristopher conduisez-nous auprès de mon mari, je dois rencontrer le docteur Alain et lui donner le résultat de votre vote.
Miguel en m’épousant à l’église m’a montré que comme tout bon Américain d’origine italienne sa foi en Dieu va lui servir s’il veut continuer à vivre.
Abby, viens avec moi, n’oublie pas la mission que je t’ai confié…

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