COLLECTION ZONE ROUGE. Première de classe (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Première de classe (1/1)
• Tiens, prends, tu verras ce sont des vitamines, ça va te donner un coup de fouet et t’aidera dans tes études.
• Tu me fais peur, ce sont bien des vitamines, je refuse l’alcool et toute forme de drogues.
• Oui, je te promets Gladys juste un fortifiant après tu verras tes idées te paraîtront plus claires.
• Je veux bien essayer, il est vrai qu’à quelques heures de mes partielles, pour la première fois de ma vie, je me sens un peu patraque.
Je sens que je me suis vidée à tout mettre dans ma tête.
Comme vous l’entendez, je m’appelle Gladys, j’ai 20 ans, je fais des études en vue de rentrer à l’E.N.A. pour devenir au moins haut fonctionnaire comme papa.
Bachelière à 16 ans, tout a été facile pour moi.
Il faut dire que depuis mon plus jeune âge, je suis une bête à concours.
Papa haut fonctionnaire et maman championne de plongeon de haut vol.
Dix mètres de haut, après une grossesse, moi entre parenthèses, elle est remontée au plongeoir le plus élevé pour devenir championne d’Europe ainsi que deuxième aux J.O et championnat du monde.
Une petite Japonaise lui a toujours piqué la première place dans ces deux dernières épreuves planétaires.
Quand j’étais petite, toujours première, toujours la couronne de laurier et les livres qui allaient avec à la distribution des prix.
Ça c’était pour papa, il était fier au premier rang des parents, sa place étant réservée, tous savaient qui nous étions.
Pour maman, elle a espéré que ce serait en haut du plongeoir à la piscine où elle continue à aller pour se tenir en forme que je lui donnerais satisfaction.
Hélas, ma peur du vide et la fermeture du plongeoir de haut vol suite à un accident m’a empêché de lui apporter la joie d’être sa digne relève.
Le plongeoir, mais pas la piscine, ainsi tous les soirs, je m’entraîne espérant gagner les championnats d’Île-de-France avec de fortes chances de faire ceux de France sur 100 mètres nage libre.
Bref tout allait bien, mon bac avec mention très bien, j’intègre sciences Po en avance sur l’âge de nombreux élèves avant je l’espère préparer l’E.N.A.
Tout roule sauf depuis quelques jours où je prends un coup de froid et que je me retrouve dans mon lit avec plus de 40 de fièvre.
Marraine, tante Marthe la sœur de maman, habitant non loin de ma petite chambre de bonne que j’ai souhaité avoir à égale distance de la piscine et de mon lieu d’étude viens me soigner.
Allant un peu mieux, je décide de retourner en cours, prendre du retard serait catastrophique.
Je mets en sourdine, la natation me voyant mal presque à poil dans ce bassin.
C’est à ce moment entre deux cours qu’Adrien celui que je prenais pour mon ami me fait la proposition de prendre des vitamines.
Je finis par accepter et rentrant chez moi, jusqu’à trois heures du matin, je dévore les cours en retard que je suis allée récupérer.
Incroyable, ma vision des choses est au sommet de ce que je suis capable de faire, mais dès que je me réveille, j’ai l’impression d’avoir la gueule de bois.
Je voudrais voir Adrien, mais pendant trois jours, il brille par son absence.
Enfin, il est là, depuis quelques jours je tire ma peine.
• Adrien, aurais-tu encore des cachets comme celui que tu m’as donné, la vision des choses et mes facultés à apprendre ont été décuplées !
• Bien sur Gladys, en voilà deux, tes partielles c’est dans la poche.
Un, puis l’autre entrecoupé de moments d’angoisses, il me faut d’autres cachets.
• Tu vois, je t’avais dit qu’ils étaient formidables, je te les ai fait découvrir, mais je les paie, c’est 100 € chacun.
Tient, je t’aime bien, en voilà un, mais la prochaine fois tu m’amènes de l’argent.
Je te donne mon numéro de portable, si tu en veux, je te livre, donne-moi ton adresse.
Je travaille cinq jours, la veille des partielles, dans ma tête, je sais que je vais échouer.
Je regarde l’argent qu’il me reste jusqu’à la fin du mois où je toucherai le chèque de papa pour vivre le mois.
• Allô Adrien !
• J’ai compris, j’arrive.
Il est là quelques minutes après.
• Tient en voilà cinq, inutile que je revienne toutes les cinq minutes, tu me dois 400 €, je te fais un prix de gros et je te fais confiance.
Et dire que je lui ai dit merci, qu’il était magnanime et qu’il pouvait avoir confiance en moi.
Les partielles, les doigts dans le nez, j’ai des moments de découragement, mais dès que le cachet a fait effet, je pète la santé.
Direction le dernier trimestre.
• Tu me dois presque 1 000 €, comment penses-tu me rembourser, mes fournisseurs s’impatientent ?
• Je vais trouver Adrien, je t’ai donné 200 € lorsque j’ai eu mon argent par papa.
• J’ai bien une solution, je dois m’absenter, mais si tu as un besoin, appelle ce numéro l’homme que tu auras au téléphone te dira ce que tu dois faire.
Une nouvelle fois, j’aurais dû me méfier, mais seul mon but à atteindre me fait avancer.
• Gladys, Adrien m’a prévenu, je t’attends voilà l’adresse.
C’est en toute insouciance que je frappe au troisième étage de ce quartier louche de Paris.
• Tu veux des cachets, j’ai une poudre qu’il faut aspirer par le nez, tu verras c’est deux fois plus efficace que tes cachets.
• Je peux en avoir, mais je suis désargentée.
• On peut s’arranger, je suis un homme seul, tu as une jolie petite bouche, suce-moi et je t’en fournirais une petite dose.
Je suis parti, j’ai compris que j’étais tombé dans un piège qui m’avait rendu accro à leur merde.
Je réussis à faire avaler qu’étude et sport de haut niveau, c’est impossible et je quitte la piscine me concentrant sur mon travail d’études.
Deux jours, il me faut un cachet ou une dose de cette poudre.
• Allô !
C’est fait, j’ai sucé ma première verge, par chance Léon en est resté là, je suis vierge.
Snif, snif, deux rails de poudre et je pète le feu.
Léon a un sperme un peu fade mais une poudre magique, je vole au-dessus des immeubles parisiens.
• Allô !
Léon m’a envoyé voir un ami qui avait deux doses de cette poudre dont je deviens de plus en plus accro.
C’est sur son canapé qu’il a soulevé ma jupe, m'a arraché ma culotte placée à quatre pattes et ôté mon pucelage.
Heureusement, depuis l’âge de 16 ans, maman m’a amené chez son gynécologue qui m’a prescrit la pilule.
Je suis une femme maintenant, mais loin de prendre du plaisir chaque fois que Léon me saute avant de me donner mon sachet de poudre.
Je vois aussi divers, soi-disant, amis qui me baise avant de me fournir mes doses.
• Gladys, je suis en panne de poudre et de cachet, mais j’ai quelque chose de mieux.
Amène ton bras, je vais te faire voir, comment t’injecter le produit que tu feras chauffer comme ça.
On pourrait croire que je suis simplette, je sais bien que de la cocaïne, je vais passer à l’héroïne, mais j’en ai besoin pour continuer à vivre.
Ceux qui ont fait mon parcours, savent par quelle étape on passe pour satisfaire le mal qui nous ronge.
Je me pique, je me sens mieux, pour ma dose, je me fais sauter, je pleure la bite de Léon contre un shoot.
Il m’envoie de plus en plus me prostituer, moi la fille de bonne famille à qui j’arrive à cacher que je suis devenue une pute toxico.
Aujourd’hui, je viens de passer un nouveau cap, c’est une gouine sadique qui m’a aidé à faire ma piqure.
Elle m’a frappée avec des badines flexibles, jusqu’à ma chatte les jambes écartées, attachée par des lanières en cuir aux barreaux du lit où elle m’a allongée.
Mon corps surtout mes seins, mon dos et mon derrière sont en feu.
Pour clore la séance avant que, j’ai le droit de me soulager avec ma piqure, elle m’encule pour la première fois avec un gode placé autour de sa taille.
J’arrive à monter chez moi, je veux dormir, dormir et encore dormir.
Je sais demain matin examen de fin d’année, il y a peu de chance qu’il me voit.
• Gladys, te voilà, mais dans quel état ?
Qui a dit ces mots, dans l’état où je suis, je suis incapable de m’apercevoir de quoi que ce soit.
• Il y a quelqu’un.
Il y a quelqu’un, marraine, tu es là, je reconnais le papier et ta chambre d’amis.
Je suis attachée au lit, j’ai mal partout, je suis dans mes vomissures.
• Tu émerges enfin, je t’ai trouvé devant la porte de ton studio.
• Détache-moi, je vais mieux.
• Tu rigoles, tu as vu ton corps, je suis sûre que tu te laisses martyriser pour avoir ta dose.
Crois-tu que lorsque je t’ai dénudée pour te laver et te mettre sur ton lit, tu as pu me cacher les piqures à tes bras .
Tu te cames ma pauvre Gladys, je vais te désintoxiquer.
• Salope, détache-moi, t’as beau être ma marraine, je vais te massacrer.
Je me tortille dans mes liens, je crie et j’éructe tellement mon ventre me fait mal.
La bave vient aux commissures de mes lèvres.
Depuis combien de temps, m’a-t-elle emmenée dans cette chambre avec des hauts et des bas.
Je vais éviter de dire par où ma marraine me fait passer.
• Gladys, peux-tu t’occuper de madame, pendant que je finis avec ma cliente ?
• Oui, marraine, je te remercie de t’être occupée de moi.
• Tu es encore fragile, pour te surveiller, je te garde tout le temps avec moi, de toute façon j’avais besoin d’une assistante.
Marraine, m’a sauvé la vie, c’est elle qui me conduit à l’hôtel pour épouser Sacha.
Je l’ai connu aux toxicos repentis.
Je suis cline depuis deux ans, Sacha mon référent depuis cinq.
Il sait tout de moi, tout de mon parcours jusqu’à la putain que j’ai été.
Lui c’est loin d’être mieux, il était à deux doigts de tuer pour sa drogue.
Il refuse de me faire l’amour, il tient à ce que je sois à lui pendant notre nuit de noces.
J’ai un rêve, non pas d’études, j’ai fait une croix dessus comme j’ai fait une croix sur ma famille sauf tantine bien sûr.
Ils ont su que j’avais des problèmes, mais ils m’ont rejetée.
Mon rêve, c'est d’avoir des enfants à qui j’éviterai de devenir des bêtes de foires et de concours
• Voulez-vous Sacha pour époux ?
• Oui, je le veux.
Voyez, dans la vie avec un peu de chance on peut avoir une vie heureuse avec l’homme que l’on aime !
Il vous fait découvrir cette magique nuit de noces après qu’il vous ait porté dans ses bras pour franchir le seuil de votre chambre de jeune fille.
Excusez si je lui demande de fermer la porte pour être seul avec lui, vous en avez assez vu quand ma vie a dérapé.
• Tu me fais peur, ce sont bien des vitamines, je refuse l’alcool et toute forme de drogues.
• Oui, je te promets Gladys juste un fortifiant après tu verras tes idées te paraîtront plus claires.
• Je veux bien essayer, il est vrai qu’à quelques heures de mes partielles, pour la première fois de ma vie, je me sens un peu patraque.
Je sens que je me suis vidée à tout mettre dans ma tête.
Comme vous l’entendez, je m’appelle Gladys, j’ai 20 ans, je fais des études en vue de rentrer à l’E.N.A. pour devenir au moins haut fonctionnaire comme papa.
Bachelière à 16 ans, tout a été facile pour moi.
Il faut dire que depuis mon plus jeune âge, je suis une bête à concours.
Papa haut fonctionnaire et maman championne de plongeon de haut vol.
Dix mètres de haut, après une grossesse, moi entre parenthèses, elle est remontée au plongeoir le plus élevé pour devenir championne d’Europe ainsi que deuxième aux J.O et championnat du monde.
Une petite Japonaise lui a toujours piqué la première place dans ces deux dernières épreuves planétaires.
Quand j’étais petite, toujours première, toujours la couronne de laurier et les livres qui allaient avec à la distribution des prix.
Ça c’était pour papa, il était fier au premier rang des parents, sa place étant réservée, tous savaient qui nous étions.
Pour maman, elle a espéré que ce serait en haut du plongeoir à la piscine où elle continue à aller pour se tenir en forme que je lui donnerais satisfaction.
Hélas, ma peur du vide et la fermeture du plongeoir de haut vol suite à un accident m’a empêché de lui apporter la joie d’être sa digne relève.
Le plongeoir, mais pas la piscine, ainsi tous les soirs, je m’entraîne espérant gagner les championnats d’Île-de-France avec de fortes chances de faire ceux de France sur 100 mètres nage libre.
Bref tout allait bien, mon bac avec mention très bien, j’intègre sciences Po en avance sur l’âge de nombreux élèves avant je l’espère préparer l’E.N.A.
Tout roule sauf depuis quelques jours où je prends un coup de froid et que je me retrouve dans mon lit avec plus de 40 de fièvre.
Marraine, tante Marthe la sœur de maman, habitant non loin de ma petite chambre de bonne que j’ai souhaité avoir à égale distance de la piscine et de mon lieu d’étude viens me soigner.
Allant un peu mieux, je décide de retourner en cours, prendre du retard serait catastrophique.
Je mets en sourdine, la natation me voyant mal presque à poil dans ce bassin.
C’est à ce moment entre deux cours qu’Adrien celui que je prenais pour mon ami me fait la proposition de prendre des vitamines.
Je finis par accepter et rentrant chez moi, jusqu’à trois heures du matin, je dévore les cours en retard que je suis allée récupérer.
Incroyable, ma vision des choses est au sommet de ce que je suis capable de faire, mais dès que je me réveille, j’ai l’impression d’avoir la gueule de bois.
Je voudrais voir Adrien, mais pendant trois jours, il brille par son absence.
Enfin, il est là, depuis quelques jours je tire ma peine.
• Adrien, aurais-tu encore des cachets comme celui que tu m’as donné, la vision des choses et mes facultés à apprendre ont été décuplées !
• Bien sur Gladys, en voilà deux, tes partielles c’est dans la poche.
Un, puis l’autre entrecoupé de moments d’angoisses, il me faut d’autres cachets.
• Tu vois, je t’avais dit qu’ils étaient formidables, je te les ai fait découvrir, mais je les paie, c’est 100 € chacun.
Tient, je t’aime bien, en voilà un, mais la prochaine fois tu m’amènes de l’argent.
Je te donne mon numéro de portable, si tu en veux, je te livre, donne-moi ton adresse.
Je travaille cinq jours, la veille des partielles, dans ma tête, je sais que je vais échouer.
Je regarde l’argent qu’il me reste jusqu’à la fin du mois où je toucherai le chèque de papa pour vivre le mois.
• Allô Adrien !
• J’ai compris, j’arrive.
Il est là quelques minutes après.
• Tient en voilà cinq, inutile que je revienne toutes les cinq minutes, tu me dois 400 €, je te fais un prix de gros et je te fais confiance.
Et dire que je lui ai dit merci, qu’il était magnanime et qu’il pouvait avoir confiance en moi.
Les partielles, les doigts dans le nez, j’ai des moments de découragement, mais dès que le cachet a fait effet, je pète la santé.
Direction le dernier trimestre.
• Tu me dois presque 1 000 €, comment penses-tu me rembourser, mes fournisseurs s’impatientent ?
• Je vais trouver Adrien, je t’ai donné 200 € lorsque j’ai eu mon argent par papa.
• J’ai bien une solution, je dois m’absenter, mais si tu as un besoin, appelle ce numéro l’homme que tu auras au téléphone te dira ce que tu dois faire.
Une nouvelle fois, j’aurais dû me méfier, mais seul mon but à atteindre me fait avancer.
• Gladys, Adrien m’a prévenu, je t’attends voilà l’adresse.
C’est en toute insouciance que je frappe au troisième étage de ce quartier louche de Paris.
• Tu veux des cachets, j’ai une poudre qu’il faut aspirer par le nez, tu verras c’est deux fois plus efficace que tes cachets.
• Je peux en avoir, mais je suis désargentée.
• On peut s’arranger, je suis un homme seul, tu as une jolie petite bouche, suce-moi et je t’en fournirais une petite dose.
Je suis parti, j’ai compris que j’étais tombé dans un piège qui m’avait rendu accro à leur merde.
Je réussis à faire avaler qu’étude et sport de haut niveau, c’est impossible et je quitte la piscine me concentrant sur mon travail d’études.
Deux jours, il me faut un cachet ou une dose de cette poudre.
• Allô !
C’est fait, j’ai sucé ma première verge, par chance Léon en est resté là, je suis vierge.
Snif, snif, deux rails de poudre et je pète le feu.
Léon a un sperme un peu fade mais une poudre magique, je vole au-dessus des immeubles parisiens.
• Allô !
Léon m’a envoyé voir un ami qui avait deux doses de cette poudre dont je deviens de plus en plus accro.
C’est sur son canapé qu’il a soulevé ma jupe, m'a arraché ma culotte placée à quatre pattes et ôté mon pucelage.
Heureusement, depuis l’âge de 16 ans, maman m’a amené chez son gynécologue qui m’a prescrit la pilule.
Je suis une femme maintenant, mais loin de prendre du plaisir chaque fois que Léon me saute avant de me donner mon sachet de poudre.
Je vois aussi divers, soi-disant, amis qui me baise avant de me fournir mes doses.
• Gladys, je suis en panne de poudre et de cachet, mais j’ai quelque chose de mieux.
Amène ton bras, je vais te faire voir, comment t’injecter le produit que tu feras chauffer comme ça.
On pourrait croire que je suis simplette, je sais bien que de la cocaïne, je vais passer à l’héroïne, mais j’en ai besoin pour continuer à vivre.
Ceux qui ont fait mon parcours, savent par quelle étape on passe pour satisfaire le mal qui nous ronge.
Je me pique, je me sens mieux, pour ma dose, je me fais sauter, je pleure la bite de Léon contre un shoot.
Il m’envoie de plus en plus me prostituer, moi la fille de bonne famille à qui j’arrive à cacher que je suis devenue une pute toxico.
Aujourd’hui, je viens de passer un nouveau cap, c’est une gouine sadique qui m’a aidé à faire ma piqure.
Elle m’a frappée avec des badines flexibles, jusqu’à ma chatte les jambes écartées, attachée par des lanières en cuir aux barreaux du lit où elle m’a allongée.
Mon corps surtout mes seins, mon dos et mon derrière sont en feu.
Pour clore la séance avant que, j’ai le droit de me soulager avec ma piqure, elle m’encule pour la première fois avec un gode placé autour de sa taille.
J’arrive à monter chez moi, je veux dormir, dormir et encore dormir.
Je sais demain matin examen de fin d’année, il y a peu de chance qu’il me voit.
• Gladys, te voilà, mais dans quel état ?
Qui a dit ces mots, dans l’état où je suis, je suis incapable de m’apercevoir de quoi que ce soit.
• Il y a quelqu’un.
Il y a quelqu’un, marraine, tu es là, je reconnais le papier et ta chambre d’amis.
Je suis attachée au lit, j’ai mal partout, je suis dans mes vomissures.
• Tu émerges enfin, je t’ai trouvé devant la porte de ton studio.
• Détache-moi, je vais mieux.
• Tu rigoles, tu as vu ton corps, je suis sûre que tu te laisses martyriser pour avoir ta dose.
Crois-tu que lorsque je t’ai dénudée pour te laver et te mettre sur ton lit, tu as pu me cacher les piqures à tes bras .
Tu te cames ma pauvre Gladys, je vais te désintoxiquer.
• Salope, détache-moi, t’as beau être ma marraine, je vais te massacrer.
Je me tortille dans mes liens, je crie et j’éructe tellement mon ventre me fait mal.
La bave vient aux commissures de mes lèvres.
Depuis combien de temps, m’a-t-elle emmenée dans cette chambre avec des hauts et des bas.
Je vais éviter de dire par où ma marraine me fait passer.
• Gladys, peux-tu t’occuper de madame, pendant que je finis avec ma cliente ?
• Oui, marraine, je te remercie de t’être occupée de moi.
• Tu es encore fragile, pour te surveiller, je te garde tout le temps avec moi, de toute façon j’avais besoin d’une assistante.
Marraine, m’a sauvé la vie, c’est elle qui me conduit à l’hôtel pour épouser Sacha.
Je l’ai connu aux toxicos repentis.
Je suis cline depuis deux ans, Sacha mon référent depuis cinq.
Il sait tout de moi, tout de mon parcours jusqu’à la putain que j’ai été.
Lui c’est loin d’être mieux, il était à deux doigts de tuer pour sa drogue.
Il refuse de me faire l’amour, il tient à ce que je sois à lui pendant notre nuit de noces.
J’ai un rêve, non pas d’études, j’ai fait une croix dessus comme j’ai fait une croix sur ma famille sauf tantine bien sûr.
Ils ont su que j’avais des problèmes, mais ils m’ont rejetée.
Mon rêve, c'est d’avoir des enfants à qui j’éviterai de devenir des bêtes de foires et de concours
• Voulez-vous Sacha pour époux ?
• Oui, je le veux.
Voyez, dans la vie avec un peu de chance on peut avoir une vie heureuse avec l’homme que l’on aime !
Il vous fait découvrir cette magique nuit de noces après qu’il vous ait porté dans ses bras pour franchir le seuil de votre chambre de jeune fille.
Excusez si je lui demande de fermer la porte pour être seul avec lui, vous en avez assez vu quand ma vie a dérapé.
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