COLLECTION ZONE ROUGE. Promenade en montagne (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Promenade en montagne (1/2)
• Ma chérie, notre excursion en montagne dans huit jours est prête, j’ai fini le tracé de ce que nous allons faire.
2 000 mètres de dénivelé, 220 kilomètres en 10 jours, tu vois, c’est moins bien rude que l’an passé où tu avais trouvé que j’avais exagéré tes performances.
Il est vrai qu’au bout de plus de 300 kilomètres, nous avons failli manquer notre train nous obligeant le dernier jour à marcher une partie de la nuit pour être à l’heure.
C’est bon, sac à dos prêt, nous entamons notre première journée de marche.
Je pourrais aller un quart plus vite, mais j’ai conscience qu’une femme a moins de faculté physique que nous les hommes.
J’ai trente-cinq ans, Sophia, trente et un, nous avons un garçon qui a cinq ans mais qui est chez ma mère lorsque nous allons nous oxygéner en montagne.
Je suis chef d’entreprise et s’aérer le cerveau a toujours été mon truc.
Sophia je l’ai connue près de Cluny en Saône et Loire, département 71 lorsque j’ai entrepris mon voyage pour Saint-Jacques-de-Compostelle.
C’est à l’étape dans le gîte qui nous accueillait qu’elle a partagé ma table et ensuite ma couche de façon fougueuse et intense.
J’ai vu très vite qu’elle aimait marcher, mais aussi le sexe, surtout depuis que nous sommes ensemble.
Je venais de créer mon entreprise de façonnage de pièces mécaniques, elle avait son diplôme de secrétaire, elle est devenue la mienne.
Je dois dire que d’avoir sa femme près de soi presque 24 heures sur 24, ça permet de baiser de façon insolite.
Jules, notre fils, il y a de fortes chances que nous l’ayons conçu sur mon bureau en région parisienne un soir où les employés étaient rentrés chez eux.
Comme fréquemment, elle était venue me chauffer la chatte en fusion et comme j’aime baiser, pardon, la baiser, inutile d’attendre d’être à la maison.
À la naissance de Jules, je lui ai offert un bijou il va de soi et une bonne qui s’occupe de notre fils et de notre maison.
Lorsque nous rentrons, nous mettons les pieds sous la table avant de nous relaxer devant la télé où souvent nous nous endormons repus de fatigue.
Nous profitons de Jules les samedis et dimanches, mais seulement l’après-midi car le matin entrainement en prévision des vacances.
Ça fait trois jours que nous marchons, largement dans les temps.
Le temps, on peut en parler, magnifique avec un paysage exceptionnel !
Le chemin sur lequel nous marchons sur la carte nous amène au pied d’une cascade se déversant dans une baignoire naturelle de toute beauté.
Par chance, nous sommes seuls et nous pouvons nous mettre nus pour nous baigner.
L’eau est froide, une dizaine de degrés voir moins et Sophia sort plus rapidement que moi.
Elle s’allonge sur une pierre plate où je finis par la retrouver.
Depuis le départ, nous vivons à la dure, je dirais même en mode survie.
Un tapi de sol, un petit réchaud et le bivouac est prêt.
La toilette est fonction de l’eau que nous trouvons au fil de nos pas, alors les poils de sa chatte rousse repoussent.
Le reste de l’année, elle les rase tous les matins.
Ça me coute un max en rasoir à main car elle en change chaque jour.
J’approche ma bouche, hélas, elle sort de l’eau et son odeur caractéristique est atténuée.
Elle aime que je lui suce la chatte en insistant sur son clito.
Son clito, hypersensible, je l’ai constaté dès Cluny quand pour la première fois je l’ai pris dans ma bouche.
Baiser dans la nature rien de meilleur et sur cette pierre, nous en profitons un max avant de reprendre notre chemin.
Nous avançons lorsque le ciel s’assombrir, un violent orage de montagne semble monter.
Nous aimons monter la tente que je porte sur mon sac à dos, mais il y a deux ans, ayant déjà subi un orage de montagne particulièrement violent, je prends la carte.
Un kilomètre en contrebas, une masure est indiquée, il nous suffit de descendre un champ pour finir par l’atteindre.
Il nous faut contourner un petit bois, mais très vite nous sommes guidés par la fumée sortant de cette maison en pierre que nous finissons par atteindre.
Cheminée et fumée, même au bout de nulle part, ça signifie vie, elle est bien là, moutons et un chien semblent faire partie du décor.
Sortant de la grange, un être venu de nulle part nous apparaît rapidement rejoint par un autre, copie conforme mais plus jeune.
Copie conforme, car même type d’habit, même barbe et même coupe de cheveux certainement faits de l’un l’autre.
• Bonjour, pouvez-vous nous abriter, l’orage monte et il va être violent.
• C’est pour ça qu’avec François nous rentrons les moutons.
Nous serions enchantés de vous accueillir avec votre jolie petite dame.
Ils nous font entrer dans ce qui doit être la pièce principale, une cheminée avec une grande bassine brûle des buches qui donnent de la braise.
• Je m’appelle Pierre et ma femme Sophia, merci de nous abriter, surtout que les grondements du tonnerre nous disent qu’il va être violent.
• Mon fils François et moi c’est Jules je suis son père, François fait voir ta chambre à ces gens pendant que met le couvert, le ragout est près.
Tu coucheras avec moi cette nuit.
C’est vrai que ça sent bon, ce qui cuit dans la marmite doit mijoter depuis des heures comme à l’ancienne dans nos vieilles campagnes.
C’est Sophia qui leur dit que notre fils s’appelle Jules comme le père lorsque nous suivons François et nous posons nos sacs à dos.
Le lit est petit et les draps sont incertains, mais en mettant nos sacs de couchage dessus, nous passerons une nuit au sec.
• Vous pouvez me laisser, je vais passer ma robe, pour retrouver une certaine féminité.
Elle arrive dans la cuisine, Jules nous a servi un verre de vin rouge, loin d’être désagréable.
Sophia porte la petite robe qu’elle met quant au détour d’un chemin nous mangeons dans un restaurant au détour d’un chemin.
Avec sa coiffure flamboyante elle est super lorsqu’elle enlève pantalon et chaussures de marche.
Ce soir, je suppute qu’en se changeant elle est envie de faire baver ces êtres frustes qui nous reçoivent.
Je reconnais bien là son esprit perverse même si depuis que je la connais elle allume sans jamais se brûler.
Nous prenons place devant les assiettes, François en bon fils se sert d’une louche pour nous servir une assiette de ragout.
Nous gouttons, ragout divin la viande étant mangeable sans avoir besoin d’un couteau.
• Que mettez-vous dans votre ragout, du mouton ?
• Du mouton, non, la viande ce sont les animaux que nous tuons au fil de la montagne et que nous rajoutons dans la marmite.
Il y a du lièvre, de la marte, nous avons tué un bouquetin il y a huit jours, il se peut qu’il en reste des morceaux, mais surtout du loup.
Ce vieux mâle nous a bouffé deux moutons mais Rex, a réussi à nous montrer où il se cachait.
Du loup, Rex est aux pieds de son maître, le tonnerre frappe certainement très prêt.
Nous sursautons avec Sofia, Rex allongé au sol se met les pattes sur la tête.
Nous avons dit que c’était bon, nous savons que nous avons mangé un animal protégé nous mettant mal à l’aise quelques secondes.
• François va chercher les gnoles de Noël pour Sophia et Pierre.
Vous verrez, ce sont des boissons intégralement faites avec des plantes de ces montagnes, certaines sont rares à trouver et leur propriété étonnante.
Il revient des chambres avec deux bouteilles, il sert Sophia avec une bouteille et moi avec l’autre.
J’aime la Gentiane, gouttant, c’est fort mais c’est bon, Sophia en fait de même et vide son verre.
• Et vous, vous nous laisser boire seuls ?
• Oui, nous connaissons les effets, nous voulions vous en faire profiter.
J’aurais dû me méfier, mais lorsque je me suis senti très bien au début pour finir par ma prendre pour une plante verte, je vois tout, j’entends tout, mais il m’est impossible de bouger la moindre partie de mon corps.
• Mettons-le dans le fauteuil, sa femme commence à avoir chaud aux miches...
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2 000 mètres de dénivelé, 220 kilomètres en 10 jours, tu vois, c’est moins bien rude que l’an passé où tu avais trouvé que j’avais exagéré tes performances.
Il est vrai qu’au bout de plus de 300 kilomètres, nous avons failli manquer notre train nous obligeant le dernier jour à marcher une partie de la nuit pour être à l’heure.
C’est bon, sac à dos prêt, nous entamons notre première journée de marche.
Je pourrais aller un quart plus vite, mais j’ai conscience qu’une femme a moins de faculté physique que nous les hommes.
J’ai trente-cinq ans, Sophia, trente et un, nous avons un garçon qui a cinq ans mais qui est chez ma mère lorsque nous allons nous oxygéner en montagne.
Je suis chef d’entreprise et s’aérer le cerveau a toujours été mon truc.
Sophia je l’ai connue près de Cluny en Saône et Loire, département 71 lorsque j’ai entrepris mon voyage pour Saint-Jacques-de-Compostelle.
C’est à l’étape dans le gîte qui nous accueillait qu’elle a partagé ma table et ensuite ma couche de façon fougueuse et intense.
J’ai vu très vite qu’elle aimait marcher, mais aussi le sexe, surtout depuis que nous sommes ensemble.
Je venais de créer mon entreprise de façonnage de pièces mécaniques, elle avait son diplôme de secrétaire, elle est devenue la mienne.
Je dois dire que d’avoir sa femme près de soi presque 24 heures sur 24, ça permet de baiser de façon insolite.
Jules, notre fils, il y a de fortes chances que nous l’ayons conçu sur mon bureau en région parisienne un soir où les employés étaient rentrés chez eux.
Comme fréquemment, elle était venue me chauffer la chatte en fusion et comme j’aime baiser, pardon, la baiser, inutile d’attendre d’être à la maison.
À la naissance de Jules, je lui ai offert un bijou il va de soi et une bonne qui s’occupe de notre fils et de notre maison.
Lorsque nous rentrons, nous mettons les pieds sous la table avant de nous relaxer devant la télé où souvent nous nous endormons repus de fatigue.
Nous profitons de Jules les samedis et dimanches, mais seulement l’après-midi car le matin entrainement en prévision des vacances.
Ça fait trois jours que nous marchons, largement dans les temps.
Le temps, on peut en parler, magnifique avec un paysage exceptionnel !
Le chemin sur lequel nous marchons sur la carte nous amène au pied d’une cascade se déversant dans une baignoire naturelle de toute beauté.
Par chance, nous sommes seuls et nous pouvons nous mettre nus pour nous baigner.
L’eau est froide, une dizaine de degrés voir moins et Sophia sort plus rapidement que moi.
Elle s’allonge sur une pierre plate où je finis par la retrouver.
Depuis le départ, nous vivons à la dure, je dirais même en mode survie.
Un tapi de sol, un petit réchaud et le bivouac est prêt.
La toilette est fonction de l’eau que nous trouvons au fil de nos pas, alors les poils de sa chatte rousse repoussent.
Le reste de l’année, elle les rase tous les matins.
Ça me coute un max en rasoir à main car elle en change chaque jour.
J’approche ma bouche, hélas, elle sort de l’eau et son odeur caractéristique est atténuée.
Elle aime que je lui suce la chatte en insistant sur son clito.
Son clito, hypersensible, je l’ai constaté dès Cluny quand pour la première fois je l’ai pris dans ma bouche.
Baiser dans la nature rien de meilleur et sur cette pierre, nous en profitons un max avant de reprendre notre chemin.
Nous avançons lorsque le ciel s’assombrir, un violent orage de montagne semble monter.
Nous aimons monter la tente que je porte sur mon sac à dos, mais il y a deux ans, ayant déjà subi un orage de montagne particulièrement violent, je prends la carte.
Un kilomètre en contrebas, une masure est indiquée, il nous suffit de descendre un champ pour finir par l’atteindre.
Il nous faut contourner un petit bois, mais très vite nous sommes guidés par la fumée sortant de cette maison en pierre que nous finissons par atteindre.
Cheminée et fumée, même au bout de nulle part, ça signifie vie, elle est bien là, moutons et un chien semblent faire partie du décor.
Sortant de la grange, un être venu de nulle part nous apparaît rapidement rejoint par un autre, copie conforme mais plus jeune.
Copie conforme, car même type d’habit, même barbe et même coupe de cheveux certainement faits de l’un l’autre.
• Bonjour, pouvez-vous nous abriter, l’orage monte et il va être violent.
• C’est pour ça qu’avec François nous rentrons les moutons.
Nous serions enchantés de vous accueillir avec votre jolie petite dame.
Ils nous font entrer dans ce qui doit être la pièce principale, une cheminée avec une grande bassine brûle des buches qui donnent de la braise.
• Je m’appelle Pierre et ma femme Sophia, merci de nous abriter, surtout que les grondements du tonnerre nous disent qu’il va être violent.
• Mon fils François et moi c’est Jules je suis son père, François fait voir ta chambre à ces gens pendant que met le couvert, le ragout est près.
Tu coucheras avec moi cette nuit.
C’est vrai que ça sent bon, ce qui cuit dans la marmite doit mijoter depuis des heures comme à l’ancienne dans nos vieilles campagnes.
C’est Sophia qui leur dit que notre fils s’appelle Jules comme le père lorsque nous suivons François et nous posons nos sacs à dos.
Le lit est petit et les draps sont incertains, mais en mettant nos sacs de couchage dessus, nous passerons une nuit au sec.
• Vous pouvez me laisser, je vais passer ma robe, pour retrouver une certaine féminité.
Elle arrive dans la cuisine, Jules nous a servi un verre de vin rouge, loin d’être désagréable.
Sophia porte la petite robe qu’elle met quant au détour d’un chemin nous mangeons dans un restaurant au détour d’un chemin.
Avec sa coiffure flamboyante elle est super lorsqu’elle enlève pantalon et chaussures de marche.
Ce soir, je suppute qu’en se changeant elle est envie de faire baver ces êtres frustes qui nous reçoivent.
Je reconnais bien là son esprit perverse même si depuis que je la connais elle allume sans jamais se brûler.
Nous prenons place devant les assiettes, François en bon fils se sert d’une louche pour nous servir une assiette de ragout.
Nous gouttons, ragout divin la viande étant mangeable sans avoir besoin d’un couteau.
• Que mettez-vous dans votre ragout, du mouton ?
• Du mouton, non, la viande ce sont les animaux que nous tuons au fil de la montagne et que nous rajoutons dans la marmite.
Il y a du lièvre, de la marte, nous avons tué un bouquetin il y a huit jours, il se peut qu’il en reste des morceaux, mais surtout du loup.
Ce vieux mâle nous a bouffé deux moutons mais Rex, a réussi à nous montrer où il se cachait.
Du loup, Rex est aux pieds de son maître, le tonnerre frappe certainement très prêt.
Nous sursautons avec Sofia, Rex allongé au sol se met les pattes sur la tête.
Nous avons dit que c’était bon, nous savons que nous avons mangé un animal protégé nous mettant mal à l’aise quelques secondes.
• François va chercher les gnoles de Noël pour Sophia et Pierre.
Vous verrez, ce sont des boissons intégralement faites avec des plantes de ces montagnes, certaines sont rares à trouver et leur propriété étonnante.
Il revient des chambres avec deux bouteilles, il sert Sophia avec une bouteille et moi avec l’autre.
J’aime la Gentiane, gouttant, c’est fort mais c’est bon, Sophia en fait de même et vide son verre.
• Et vous, vous nous laisser boire seuls ?
• Oui, nous connaissons les effets, nous voulions vous en faire profiter.
J’aurais dû me méfier, mais lorsque je me suis senti très bien au début pour finir par ma prendre pour une plante verte, je vois tout, j’entends tout, mais il m’est impossible de bouger la moindre partie de mon corps.
• Mettons-le dans le fauteuil, sa femme commence à avoir chaud aux miches...
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