COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison II (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison II (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison II (6/6)
Douze jours, j’apprends à être une bonne routarde grâce à Rocco qui m’a permis d’être femme et d’être libre de disposer de ma vie.
Terminé les contraintes de ma famille basée sur la bienséance et le pas de vague.
Terminé les contraintes qu’ils veulent m’imposer en me conditionnant afin que dans quelques années j’épouse Benoit fils de notaire entrant dans les plans de nos deux familles.
C’est la fin des duperies découvertes lors de mon bref passage à leur domicile qui fut le mien afin de récupérer mes chaussures de marche.
Alice est le trait d’union, avec l’avant Prudence et la nouvelle Prudence.
Alice qui couche avec celui qui a été mon père le soir et celle qui a été ma mère le matin.
Mais j’ai assez vu leur duplicité pour comprendre que pour une jeune fille issue des milieux dit défavorisés, si Alice le fait c’est qu’elle doit y trouver son compte.

Arrivant sur Troyes, avec Rocco nous sommes allés faire des achats dans le premier supermarché que nous avons croisé.
J’avais besoin de laver mes fringues qui commençaient à tenir debout toutes seules après ces premiers jours de routes.
Il y avait une petite laverie automatique près de la station d’essence.
Au campement le soir, la petite fille prude que j’étais, se promène la chatte à l’air libre excitant par là même son homme.
J’ai appris à abandonner ma pudeur presque maladive aider et celà par les joints que j’ai appris à aimer.
Je me serais bien vue nue dans ce petit coin assez calme le temps de laver et sécher les vêtements que je porte, mais je me souviens que je suis en fugue et qu’il serait aisé à la maréchaussée de me ramener chez mes parents.
Nue c’est dans les coins retirés où nous nous sommes arrêtés.
Lors d’une de ces étapes, en plus des petits coups de sexe matinal, ce sont mes mains posées sur un arbre que Rocco m’a sollicité en me faisant écarter les jambes et me pénétrant par-derrière comme sous la tente, mais debout.
Là encore, il m’a appris qu’une femme était capable de prendre son plaisir dans cette position.

Nous avons laissé Brutus à l’entrée du supermarché avec nos sacs à dos.
Nous avons terminé au rayon vêtement féminin où j’ai choisi plusieurs tenues dont celle que j’avais décidé de piquer.

C’est encore Rocco qui m’a dit comment faire.
Tu commences par faire les achats que tu vas payer.
Là, un sac de croquettes pour chiens.
Tu changes celle que Brutus mangeait jusqu’à ce jour, car tu sais que s’il a des flatulences, c’est dû à la qualité de ces dernières.
À vos pieds, une paire de baskets pour remplacer vos chaussures de marche.

Pour le reste, à part les croquettes que tu payes, tu sors vêtue d’un short en jeans ras la chatte et un gilet lui aussi en jeans emprisonnant tes seins.
Tu les mets en avant, car ils sont assez galbés pour attirer l’œil du caissier seul homme à ce poste et tu payes.
Petit détail, au moment de rentrer, Rocco sort de son sac un appareil permettant d’enlever les protections contre le vol.
Bref, nous avons récupéré Brutus et nos sacs, j’ai lavé ma tenue portée à ce jour.
La tente montée, Rocco me quitte pour aller faire un ravitaillement en shit que nous consommons à bonne dose, il connaît un lieu de deal.
Je pensais avoir horreur des cigarettes et de ceux qui fument, ma mère en bonne bourgeoise, le fait devant ses amies cela lui donnant un genre.
Mais depuis que j’ai tiré ma première taffe, chaque fois qu’il roule un joint, je pompe en le partageant.
Mon dieu quelle dépravée je suis devenue en si peu de temps.
Lorsque j’emploie le mot « pompe », je repense au nombre de fois que mes lèvres et ma bouche ont pompé Rocco.
Surtout depuis la nouvelle tente deux places achetées dans un magasin de sport, facilitant mes mouvements et m’aidant à atteindre sa verge comme j’aime et qu’il aime.

Je suis au bord de la Seine, une péniche passe à quelques dizaines de mettre, je la regarde, la dernière que j’aie vue, c’était à Paris, il y a un mois où j’avais pris le métro.
Cette fois, j’avais payé avec ma carte et je m’étais promenée sur les quais de Seine.
Je cherchais chez les bouquinistes des livres sur Montaigne , la Fontaines ou Montesquieu au programme de mon bac de Français.
Dire que ce jour-là, toute ma vie était orientée sur cette fin d’année et mon bac que j’aurais dû passer dans quelques jours.
Elle est à quelques mètres quand je m’entends appeler.

• Et jolie salope, tu veux sucer nos queues !

Je me retourne, trois jeunes de mon âge, trois mecs leur bite en main.
J’ai devant les yeux toutes les tailles et tous les types de raideur.
Est-ce mon short découpant parfaitement mes fesses qui en excitent un plus que les autres, mais il bande déjà presque à fond.
Il se paluche me montrant pourquoi Rocco se fait appeler Rocco.

• C’est tout ce que vous avez à m’offrir les mecs, passez votre chemin, sinon j’appelle mon chien.

Avant de me retourner regarder passer la péniche, Brutus venait d’entrer sous la tente se mettre à l’ombre.
Les trois garçons s’approchent de moi.

• Le coup du chien qui va nous attaquer, tu nous prends pour des cons, suce.
• Brutus attaque !

Tel un ours sortant de sa tanière Brutus est dehors montrant les crocs.
C’est après cette scène et le second ordre que je lui donne que je pense au risque que j’ai pris avec un tel animal.
Que se serait passé si Brutus, poursuivant les garçons s’éparpillant comme une volée de moineaux la culotte au bas des pieds avaient refusés de faire demi-tour et de venir se coucher à mes pieds.

• Aux pieds Brutus.

Un, deux, trois castrés et les emmerdes avec la police qui serait intervenue.
C’est le seul moment où je peux dire que j’ai eu peur depuis le début de ma cavale.
Deux heures après, Rocco revient, je lui raconte ce qui m’est arrivé.

• C’est bien Brutus, tu as su défendre ta maîtresse, tu auras une ration de croquette supplémentaire ce soir.
Quand je te regarde, dans ton petit short et tes seins semblant vouloir jaillir de ton boléro, je comprends ces trois pauvres mecs qui voulaient te sauter.
Moi aussi je te mettrais bien ma queue quelque part bébé.

Brutus nous regarde avec ses gros yeux et dodeline de la tête comme s’il nous disait merci pour sa ration de croquette supplémentaire.
C’est la première fois que Rocco m’appelle bébé.
Il me prend par la main m’entraine dans la tente, baisse mon short, j’ai appris à aimer avoir ma chatte libre.
Je me mets à quatre pattes et Rocco me prend en levrette, l’une des positions que j’apprécie le plus, son sexe venant défoncer mon utérus.
J’ai un seul problème depuis que ma virginité s’est envolée, je sens le besoin d’exprimer ce que je ressens, mais mon vocabulaire érotique est encore trop restreint.

• Ah ! je jouis, ah ! je jouis, as ! je jouis, oh ! c’est bon.

Très peu excitant, mais le principal, c’est que c’est la réalité, je jouis comme une folle.
Mon plaisir pris et son plaisir pris, nous ressortons et nous nous assayons Rocco, le dos appuyé à un arbre.
Je viens le long de lui, nos bouches s’embrassent et nos langues s’enlacent aussi.

• Et toi, as-tu fait bonne chasse.
• 5 barrettes soit 10 grammes à 10 € tarif actuel, une trentaine, de weeds avant Beaune ou je sais trouver plus de barrettes, nettement plus de barrettes.

J’ignore ce que weeds et barrettes veulent dire, mais je paraîtrais cruche si je posais la question, j’aurais mon portable, je regarderais sa signification.
Hélas, c’est le flic qui me l’a pris.
Depuis ma fuite, nous avons croisé de nombreuses voitures de gendarmerie, mais aucun pour s’intéresser à nous.

• Pardon madame, je vois que votre plaque montre que vous êtes du 21, vous allez vers Dijon.
• Je suis de Dijon et vous voudriez que je vous emmène.
On voit tellement de choses à la télé qu’à mon âge, j’ai peur de prendre des jeunes en stop.

Il est 14 heures quand nous démarrons de Troyes, pour la première fois, une de plus, je me suis baignée dans l’eau glacée.
C’est Rocco qui m’a initié, une fois de plus au prenant des bains dans l’eau glacée.

C’est dans l’étang, qu’il a voulu que je me baigne.
Il m’a couru après, nous étions nus et quand il a vu que j’étais plus rapide que lui, il a plongé me glaçant de partout.
Il me demandait de le rejoindre, j’ai refusé, il est ressorti sans que je me méfie et m’a attrapée.
Sa peau était gelée, il m’a portée, je pensais qu’il voulait m’emmener vers la tente ou sur l’herbe pour me baiser.
Il est retourné dans l’eau qui rapidement a mouillé ma chatte, j’ai frissonné, mais, hélas, loin d’être de plaisir.
Il m’a lâchée et rapidement j’ai nagé, mon corps se mettant à la température.
À 11 heures, nous sommes allés tous les deux ensemble profiter de la Seine, nue, prenant des risques avec la maréchaussée.
Lorsque nous sommes sortis après un quart d’heure, nous avons rejoint la tente et pendant que Brutus montait la garde, c’est sur le dos, sa verge bien calée en moi que je l’ai ceinturé de mes jambes prenant une nouvelle fois un plaisir incommensurable.
En hurlant mon plaisir, j’ai une certitude.
Maman et papa faisant chambre à part, ils baisaient avec la bonne, mais pas ensemble, à aucun moment des cris de plaisir a été saisi par mes oreilles.

• Madame, s’il vous plait, nous sommes cool, je dois aller à Beaune voir ma grand-mère pour son anniversaire, nous vous promettons d’être irréprochables mon compagnon et moi.
• Bon, mais c’est le chien, il me fait peur.
• Brutus, il est gentil, un véritable amour.
Il va se coucher entre les jambes de son maître.
• Et les sacs, mon coffre est plein et je dois m’arrêter à Is-sur-Tille, chez ma soeur.

La grand-mère finit par céder et Rocco, moi, chien, sacs à dos et guitare finissent par entrer dans sa petite voiture.
Tatie Danielle est très sympa, sa voiture s’arrête à Is-sur-Tille devant un pavillon, elle entre, dix minutes et en ressort, avec la même qu’elle, sa sœur est sa jumelle.
Nous remontons en voiture, j’ai un sac de provisions en plus sur mes genoux.

• J’étais chez mon fils à Paris, depuis Pâques avec mes quatre petits enfants.
Ma sœur m’a fait des courses pour ce soir.
Et si je vous invitais à rester chez moi ce soir, demain je vous conduirais à Beaune...

Nous acceptons, cette grande femme, toute maigre à 70 ans et nous allons découvrir qui elle est.
Mais dans la saison III des aventures de Prudence.

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison II (6/6)
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