COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison IV (12/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison IV (12/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison IV (12/12)
« Fister, qu’est-ce que cela veut dire ? »
C’est la question que je me pose lorsque je découvre, qu’une belle négresse comme Anna veut que je lui entre l’intégralité de main entièrement dans sa chatte.
Je m’interroge si Rocco m’a assez ouverte avec son gros engin, pour que ma nouvelle amie, m’amenant sur le terrain des amours féminins me le démontre.
Étant née d’une famille que l’on pourrait dire puritaine, il a fallu que je décide de ma vie, pour m’apercevoir que j’ai de graves lacunes du côté du sexe.
C’est un enchaînement de circonstances qui m’a fait comprendre que l’amour exclusif pour un homme pouvait déboucher sur les petits arrangements avec la morale.
Papa avec la bonne et maman elle aussi avec Alice, notre bonne.
Si j’avais adhéré à toutes ces conneries, j’aurais continué à être une promise consentante à un mari qui m’aurait amené à être une jeune femme aigrie par la vie, uniquement tournée vers la reproduction de notre espèce.
Lorsque je dis espèce, c’est de la race des dirigeants, celle qui se remplit les fouilles sur le dos des petits alors qu’ils ont déjà du mal à dépenser ce qu’ils ont.
Un grand capitaine d’industrie un soir où j’avais eu le droit de manger avec eux, c’était après mes seize ans, disait à mon père.
« Tu sais, la fortune, c’est d’avoir 1 million par jour d’argent de poche à dépenser.
Si à la fin de la journée, tu en as brûlé 10 000, le lendemain, c’est 1 million 900 que tu as à dépenser.
Au bout d’un moment, tu veux te débarrasser de ce trop-plein d’argent.
Tu vas au casino et tu mets toutes tes plaques sur le rouge ou sur le noir.
Tu as donc une chance sur deux de tout perdre.
La fortune, c’est que là encore tu gagnes. » J’avais écouté et j’en avais déduit que si je restais dans ce milieu, je serais peut-être hors du besoin, mais la vie trépidante que je vis actuellement me serait passée sous le nez.
Fister donc, mon tatouage, certainement mes piercings demain, assez d’expérience pour ce soir.
Le principal, c’est de savoir que cela existe.
Si on m’en parle j’aurai l’air un peu moins conne que ces jours derniers lorsque l’on m’a parlé de Rocco et sa grosse bite.
C’est à ce moment qu’une voiture se fait entendre.
Je me redresse, par la fenêtre, je vois une voiture arrêter devant la maison.
Un homme en descend, il a un Borsalino.

• C’est un homme, il a un Borsalino sur la tête.

Je vois Anna rigoler, assise sur le canapé, je m’attends à ce qu’elle se couvre, mais semble à l’aise dans cette position équivoque lorsqu’on frappe et que l’on rentre sans attendre.

• Jane, il y a bien longtemps que nous avons été éloignées l’une de l’autre.
Que deviens-tu ?
Prudence a cru qu’un homme venait me rendre visite.
Quand penses-tu ?
• Quelle horreur, alors voici, celle dont toute la France parle aux infos.

Je suis sidérée, je sais qu’on a parlé de moi aux infos comme on l’a fait de Ludivine. Comment cette femme élégante dans son costume trois-pièces pour hommes et son Borsalino, connaît-elle mon histoire ?
Un détail tout de même, cette femme est perchée sur une paire de talons hauts, ce qui préserve son allure féminine.

• Soit sans crainte Prudence, Jane était inspecteur de police, mais elle a démissionné pour ouvrir son agence de détectives privés à Dijon.
Tu travailles sur quoi, je vois que tu es déjà bronzée pour cet été.
J’arrive, de Jamaïque, j’ai suivi un gros propriétaire viticole qui trompait sa femme.
J’ai fait de magnifiques clichés de cette pute blonde, qu’il se trimbalait.
Ma cliente que je viens de rencontrer sur la côte dijonnaise, va se régaler lors de son divorce.
• Et je te connais assez pour savoir qu’en plus d’un gros chèque, tu as dû lui apprendre, comment s’occuper de ta jolie chatte.
• Anna, pour qui me prends-tu, avec une cliente, comment penser une telle situation ?
• Car je te connais, depuis que je t’ai rencontrée et que tu m’as séduite, je connais ton sens de l’honneur.
• Qu’est-ce que tu en pense petite Prudence, crois-tu que je sois une fille facile ?

En prononçant ces mots, Jane s’approche de moi et me prend dans ses bras.

• Aie.
• Pardon petite fille, fais-moi voir ce qu’Anna te fait endurer en te tatouant.
Un ange de la mort, en combien de fois t’a-t-elle fait subir ce calvaire.
• Une fois cet après-midi ?
• Prudence est loin d’être une poule mouillée comme tu l’as été.
• Vous êtes tatouée !
• Regarde-moi cette petite fille qui me vouvoie, ça me ramène des années en arrière lors de ma première fois avec une femme.
C’était ma prof de français, elle me donnait des cours particuliers, je l’appelais madame en lui bouffant la chatte.

En même temps qu’elle me dit, comment elle a découvert son homosexualité, elle enlève sa veste, son gilet et sa chemise d’homme.
Jane est bien foutue qui eut cru qu’elle eut des seins qui attirent ma main.
Elle me prend la tête à défaut de mettre sa main dans mon dos, encore douloureux.
Et je me retrouve avec mes lèvres sur cette nouvelle poitrine féminine.

• Prends ton temps, on est là pour la nuit, j’ai rendez-vous demain matin à la gendarmerie, pour des renseignements sur une autre affaire.
Si vous saviez ces richards les turpitudes qu’ils se trimbalent sous-couverts qu’ils ont du fric.

J’étais à deux doigts de fister Anna, quand elle nous rejoint, c’est tour à tour deux bouches, l’une noire, l’autre blanche qui m’embrassent suivant nos envies.
C’est Anna qui détache la ceinture et le pantalon de cette femme, elle porte un string.
Mais le plus surprenant ce sont ses tatouages, invisible dans son costume.
Ses seins, quand je repense à la douleur endurée sur ma peau du dos, il doit falloir être une forte femme lorsqu’on se fait de tels tatouages.

• Tu admires, gaffe avec Anna quand elle vous prend comme muse, elle a toujours une nouvelle inspiration.

Dans ce trio que nous formons, c’est ma chatte qu’elle vient sucer et surtout mon clitoris qu’elle aspire me faisant littéralement fondre.
Comment ai-je retrouvé le canapé, je l’ignore et pendant que je me fais lécher le minou, c’est la chatte noire d’Anna qui vient se poser sur mes lèvres.
Comme je suis placé, en sandwich entre les deux femmes, un orgasme m’atteint en même temps qu’Anna, cette dernière doit avoir trouvé le moyen de caresser Jane qui explose, elle aussi.
Lorsque je reprends vie, je suis allongée sur le canapé, les deux femmes sont assises côte à côte et conversent.

• Tient, c’est de la Jamaïquaine, j’ai réussi à en passer quelques sachets, en voilà quatre.
• Ta chatte est une très bonne cachette, nous l’avons souvent fait ensemble dans nos belles années.

Un bruit déjà entendu se fait entendre.

« Snif, ouah ! »
• Putain elle déchire.
• Et moi, j’en veux aussi.
• Regardez ce petit bébé qui veut jouer dans la cour des grandes.
• Anna m’en a donné tout à l’heure, ça m’a aidé à supporter la douleur.

Jane prend son sachet et en met sur son ongle, je me rends compte qu’elle est femme, de vraies griffes de panthère.

« Snif, snif ! »
Voilà, j’ai pris ma deuxième dose de coke, j’attends les effets, je sens que la nuit va être longue et chaude.

« Putain qu’elle est bonne, c’est ce que je me dis quand je commence à planer et retrouver l’ange vu lors de ma première prise. »
Je finis par émerger, tout est calme dans la maison, je sors après avoir fait ma toilette et avoir remis mes vêtements.
Je me suis réveillée seule sur le canapé.
J’avais la bouche pâteuse.
Je récupère ma brosse à dents dans mon sac à dos.
On a beau être devenue une parfaite routarde en peu de temps, si le fric de papa, je m’en tape le coquillard, je vis bien sans, mais l’hygiène reste une valeur primordiale.
Me laver la chatte dans les étangs et les rivières, c’est important, je garde ces valeurs, les dents, c’est trois fois par jour même sans dentifrice.

Je sors, la voiture de Jane est partie avec cette femme coiffée comme un garçon avec ses cheveux bruns, sa dégaine de garçon, mais pourtant si féminine dès qu’elle laisse tomber son costume d’homme.
J’ai passé une soirée qui marquera ma vie, hors de la poudre que j’ai snifée et qui m’a achevée.
Reverrais-je Jane un jour, rien de moins sûr, je sais que la route que je suis avec Rocco risque de me conduire à des aventures dures à imaginer, il y a peu ?
La pluie s’est arrêtée, Anna est au jardin.
Et si je lui demandais de rester avec elle !

Avec son jean et ses bottes, ses cheveux entourés d’un bandana, Anna est désirable, mais l’image de Rocco revient à mon cerveau.
Serais-je infidèle à la première personne rencontrée, ça c’est bourgeois comme maman l’est et ça pour rien au monde, j’imagine lui ressembler ?

• Tu as remis les pieds sur terre, nous allons partir d’ici peu, juste le temps de finir de bêcher ce carré que je vais semer dans quelques jours.
Nous partons pour Beaune, nous passerons à Carrouf pour acheter de la teinture.
Je vais te rafraîchir ta coupe et reteindre ta crête, je la verrais bien en bleu.

Anna a raison, pendant mon séjour chez elle, j’étais redevenue Prudence.
Dès que Rocco me rejoindra, je veux redevenir l’iroquoise...

Voilà, on arrive au terme du chapitre IV des aventures de Prudence.
Que va-t-elle devenir, Rocco va-t-il revenir et reprendre la main sur elle après son intermède lesbien ?
Prudence aura-t-elle des nouvelles de Ludivine qui semble avoir pris le même chemin qu’elle ?
Nous le verrons dans la saison V, mais Prudence va-t-elle être assez prudente, même moi je l’ignore, mais notre amie va rapidement nous éclairer.

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Fin de la saison IV (12/12)
Histoire sexe : Une rose rouge
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