COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (8/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (8/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (8/11)
• Oui, je le veux.

C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Ça fait trois mois que je suis là dans la maison de Dee.
Vous avez bien vu, trois mois alors que je devais rester une semaine.
Celle-ci a eu lieu et est passée plus vite que je le croyais le jour de mon arrivée en hélicoptère.
À quoi est dû ce temps qui passe me laissant là sans envie d’en partir ?
L’amour, l’Amour avec un grand « A » ou l’AMOUR en lettre majuscule.
L’amour inconnu d’Alice ma belle-mère qui a sacrifié ce mot à celui de « fric ».
L’amour lesbien que je découvre, bien que je me sois déjà gouinée avec cette belle-mère amorale.
Je dois reconnaitre un mérite à cette femme qui m’a initié aux jeux de Saphos.
C’est grâce à elle que j’ai pu approcher Dee qui m’a fait découvrir son paradis.
La maison au pied de cette cascade et de son lac si beau à la lumière du matin.
Cette maison avec cette chambre ou de la fenêtre de notre chambre je peux voir les truites sauter hors de l’eau et presque dans notre poêle simplement en leur enlevant leurs entrailles.
Nous les pêchons au lancer, souvent nu depuis le ponton où un bateau est amarré nous permettant de dériver seule dans les bras l’une de l’autre dès que le temps le permet.
Sa main, qui tient la mienne pendant des heures le long d’un chemin de montagne nous arrêtant de temps en temps pour nous embrasser à gorge déployée.
Dès la première semaine, nous savions que moi comme elle, nous nous étions trouvés.
Moi plus qu’elle qui découvrait l’amour pour une femme revenant ainsi à mes origines familiales.
Ma grand-mère était lesbienne, maman l’était aussi, j’ignorais que moi aussi je pouvais me satisfaire des caresses d’une femme légèrement plus âgé que moi.

Dans ces trois mois il y a eu deux horribles jours.
Mes règles, comme celle de Dee, que nénie, nous sommes femmes et nous savons nous organiser dans ces moments-là.
Les siennes, pas plus que les miennes, si nos mains sont dans l’impossibilité de caresser nos toisons rasées de prêt.
Je la rase, elle me rase, nul besoin d’institut de beauté hors de prix comme les pratique Alice.
Non, pendant ces deux jours, je suis resté au chalet pendant que Dee reprenait le manche de son hélico pour retourner à New York rencontrer Benoit comme il était prévu.
Elle a signé le contrat rapportant à la famille l’argent qui va leur permettre de garder leur train de vie contre ma liberté.
Tout est facile avec Dee, l’amour aussi bien par le cœur ou par nos heures à nous sucer nos chattes, déclenchant en nous des vagues de plaisirs, voire d’orgasmes.
Ou ses avocats qu’elle a chargés de gérer mon divorce sans que j’aie le besoin de retourner près de celui qui sait si bien se faire enculer pour plaire à sa petite maman.
Même ma rosette trouve grâce sous la langue de Dee après que nous nous soyons baignés dans le lac purificateur sur le ponton où nous profitons du soleil pour nos jeux amoureux.
Elle m’a appris quelque chose sans un amour total de sa partenaire.
Lui faire ou me faire faire dans de grandioses 69 des feuilles de rose, nos langues s’insinuant sans aucun problème dans l’anus, pardon, c’est un mot un peu scato.
Disons plutôt la « rosette » de ma partenaire.

Amour, eau fraiche, en attendant de retrouver papa et maman qui vont me rejoindre pour finir leurs jours dans ce havre de paix.
Papa comme maman qui apprend à vivre nus papa passant la plupart de son temps à nous pêcher des truites de montagne toujours plus grosse les unes que les autres.
Je vous vois venir, et l’hiver très rude en cette saison.
Ce sera la période où il est prévu que nous nous rendrons à Miami ou Dee a un appartement donnant sur la plage.
Là encore mes parents auront leur appartement distinct du nôtre en attendant que maman retrouve le petit potager qu’elle a installé près du chalet et où déjà nous mangeons ses haricots verts.
Depuis des années, papa se rendait régulièrement à l’hôpital pour rencontrer une diabétologue.
Depuis qu’il a quitté la civilisation de consommation, il a perdu plus de 20 kilos et a abandonné la pharmacopée si dévorante dans nos pays et surtout nos villes où tous sont sédentaires.

Au bout du lac, il y a un petit village nous permettant de nous approvisionner.
Maman y va souvent depuis quelque temps, dans le dodge pickup qui est à notre disposition, l’hélico et le hors-bord étant les moyens préférés de Dee pour se déplacer.
Maman est partie il y a peu, mais je m’aperçois que son porte-monnaie est resté dans la cuisine.1
Je prends le hors-bord pour la rejoindre et ainsi pouvoir payer.
Je suis encore à quelques kilomètres du village lorsque je vois un panache de poussière, le temps étant sec depuis des jours.
La couleur rouge, du dodge, me montre que maman est à quelques kilomètres de son but, mais alors que je ralentis pour la suivre lui faisant de grands signes de la main, nous arrivons vers la ferme de la grosse Andrée.
Cette femme habitant seule, est notre plus proche voisine.
Maman aurait pu me voir, mais elle semble plus attentionnée de sa conduite que de regarder sur sa droite.
Le dodge, tourne et viens s’arrêter devant la ferme.
Je coupe mon moteur, étonnée de cet arrêt, est-elle en panne et va-t-elle demander de l’aide.
Andrée avec sa chemise à carreaux et ses bretelles sort sur le devant de sa porte vite rejointe par maman.
Comment dans ce bout du monde, a-t-elle pu rencontrer cette femme, étant là depuis quinze jours ?
Je l’ignore, ce que je sais, c’est que la petite mouche qu’elle semble être dans les grosses pattes d’Andrée lorsqu’elle se jette dans ses bras me montre le degré d’intimité que ces deux femmes ont atteint.
Si j’avais des doutes, sur l’homosexualité de maman, j’ai quelques secondes devant mes yeux la preuve, que ma chère maman préfère la chatte d’Andrée à la verge paternelle.
Je suis à deux doigts de faire tourner mon bateau vers le ponton pour sauver maman, mais la façon dont les deux femmes semblent aimer se retrouver serait déplacée si j’interviens.
Je fais demi-tour, retour à ma base, le portemonnaie sera inutile dans les heures qui vont suivre, ça m’étonnerait qu’elle aille jusqu’au village.
Quoi que, l’un va avec l’autre dans ce monde dirigé par le sexe, suis-je entièrement lesbienne, être bi serait le terme le mieux approprié.
Cette particularité va aider mon couple avec Dee à devenir parents.

• Chérie, j’aimerais que nous ayons des enfants, j’ai amassé une fortune et j’aimerais leur transmettre.
Je suis incapable de porter notre enfant, pourrais-tu le faire pour nous ?
• En me mariant avec Christophe, j’étais sûr que notre union serait rapidement ponctuée par un nombre d’enfants désiré.
Le merdier dans lequel je m’étais fourré, m’a fait prendre conscience que je me serais bien gardé de fournir un héritier pour cette famille de dégénérées.
Pour toi ma chérie, je suis prêt à faire une PMA si tu connais un hôpital près d’ici la pratiquant et aussi un donneur de sperme, l’un va avec l’autre.
• Je t’aime, tu m’aimes, mais ici seul la fécondation par le sexe des hommes est possible.
Je connais de l’autre côté de la montagne un village où se retrouvent des bucherons privés de femmes pendant des mois.
Ils pourraient nous fournir la matière première à cette réalisation.
• Tu veux que je couche avec un homme et ainsi te tromper pour que notre couple puisse avoir un petit bébé !
• Ma puce, tu serais vierge de toute verge, j’aurais envisagé une autre solution.
Mais j’ai beau retourné le problème de tous côtés, si je suis près de toi et que nous choisissions ensemble notre géniteur, ça serait plus simple.

Pickup, de nombreux kilomètres nous arrivons dans le village où nous pensons trouvé le géniteur de notre enfant.
Hôtel, deux chambres, ça fait partie du plan de Dee et le soir nous nous dirigeons vers un bar ou nous voyons entrer principalement des hommes et aussi quelques femmes.
Nous entrons et nous nous asseyons à une table ou nous pouvons voir la plus grande partie de la salle.

• Dee, regarde ce barbu au bar, je le trouve pas mal.
• Quelle horreur, un rouquin, tu es blonde, je suis brune, la barbe passe encore, mais ses cheveux couleur renard, avoir mon enfant roux, moi jamais.
• Et un peu plus loin, celui avec la chemise à carreaux ?
• Ce sont tous des bucherons, ils ont les trois quarts des chemises à carreaux.
La bleue, t’as vu comme il est fait, un gringalet, je veux que notre fils soit costaud, un comme le roux, mais avec des cheveux blonds ou bruns.
• Alors celui qui boit seul près de la porte.
• Super, j’aime sa barbe de trois jours et il a l’air bien mis sur lui.
Attends, je m’en occupe, laisse-moi faire.

Je vois Dee se lever, se diriger vers l’homme que nous venons de choisir, elle s’assoit à sa table et commence à lui parler.
Que peut-elle lui dire, de temps en temps, elle se retourne vers moi ?...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Et la suite arrive quand je vais t’appeler Désirée !!! 😊😂🤣

La chipie

j'aime écrire et j'aime surprendre, souvent le matin dans mon lit j'ai des idées qui me vienne pour te surprendre Cyrille

Histoire Erotique
Où vas-tu trouver toute cette imagination...
Je suis bluffé à chaque texte...
Merci Chris

Cyrille

Histoire Libertine
Vivement la suite. 😊

La chipie



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (8/11)
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