COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (9/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille bizarre (9/11)
• Oui, je le veux.
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Je vois Dee se lever, se diriger vers l’homme que nous venons de choisir, elle s’assoit à sa table et commence à lui parler.
Que peut-elle lui dire ?
Dee ma maîtresse et moi Susy, sommes en quête d’un sexe mâle pour effectuer une sorte de PMA naturelle.
Je m’explique, Dee toujours à la pointe de nouvelles idées pour notre couple décide, je vais dire avec mon accord que nous ayons un enfant.
Nous aurions pu tirer à la courte paille ou tout autre système pour déterminer qui porterait cet enfant.
Il s’avère que depuis que j’ai rencontré Dee, je sais qu’elle est vierge de toute bite d’homme ayant défloré son vagin.
C’est loin, pour moi, d’être le cas même si je me suis mariée vierge, étant tombé dans une famille plus que bizarre, aussi bien mon mari que mon beau-père, m’ayant fait l’amour.
Sans oublier Lourenço le steward dans les toilettes de l’avion nous amenant au départ pour une semaine rencontrer Dee avec Benoit mon beau-père.
Je me suis même gouinée avec Alice la mère, retrouvant les élans de ma famille. Maman et grand-mère même si elles ont connu le loup puisque je suis là, étaient lesbiennes comme je le deviens en rencontrant Dee qui m’aide à me libérer de cette famille plus que bizarre, je dirais des dégénérés.
C’est donc moi qui dois rencontrer un homme, certainement un bucheron canadien pour que nous fassions l’amour et qu’il me féconde, je suis dans une zone de mon cycle propice à enfanter.
C’est dans une ville de l’autre côté de la montagne que nous nous rendons et ou après avoir pris deux chambres dans l’hôtel du village nous entrons dans un pub principalement remplis d’hommes et à la vue de leur carrure, certainement des bucherons.
Nous devons être d’accord pour le choix de l’homme qui me fécondera sans savoir qu’il a un enfant, nous voulons qu’il soit seulement à nous.
La transaction au bout de la salle doit aller bon train car l’homme fini par se lever, prendre sa chope de bière et venir vers moi.
• Bonjour, je m’appelle Bob, je suis bucheron en repos dans cette ville avant de retourner dans la forêt abattre des arbres.
Ta copine m’a dit que tu cherchais un homme pour faire des galipettes.
J’allais me payer l’une de ces putes qui travaille dans ce bar.
Ta copine m’a dit qu’avec toi c’était gratuit et comme tu as un joli petit cul, je finis ma bière et on y va.
C’est en français, avec un fort accent canadien que Bob, me parle d’amour.
Une femme jouant au billard, l’air vulgaire, habillée pute, maquillée pute, vient vers nous et s’adresse à moi.
À ses mots, elle aussi est bien canadienne.
• Dis donc les pouffes, vous venez nous piquer nos mecs, vous êtes un peu gonflé, tirez-vous sinon avec mes copines nous allons vous ravaler vos jolies petites gueules.
Bob, si tu montes avec ces salopes, ta bite, tu te la mettra sous le bras à tes prochaines vacances.
Je vois Dee se lever de l’autre table où elle a trouvé notre PMA naturelle et ouvre son sac à main.
• Tiens, prend ça et partage ces billets avec tes copines.
J’ai rapidement compté cinq putes dans ce bar, ça payera largement la perte que ma copine en emmenant ce beau mec va vous causer.
Avec ces billets, la pute, c’est moi, mais l’ai-je déjà été le jour de mon mariage dans cette famille bizarre dans laquelle je m’étais fourré croyant m’élever dans l’échelle sociale ?
J’emmène Bob dans ma chambre d’hôtel.
• Que veux-tu que je te fasse ?
• Suce-moi, j’adore que Marthe, c’est la fille avec qui j’ai des rapports et que ta copine à payé lorsque je descends de la montagne toutes les cinq semaines.
Elle le fait très bien, j’ai compris que tu es française et j’aimerais voir si ce qui est dit sur vous est bien réel.
Pute sans le savoir par mon mariage pour le bien de la famille et pute pour ma copine pour que nous ayons un enfant, si possible un garçon, Dee préfère.
Je prends cette bite dans ma bouche et je le suce en masturbant bien ses bourses, en faisant attention qu’il évite de juter.
Je le veux en moi et que son sperme vienne me féconder.
• Baise-moi, je mouille de désir que tu me prennes !
À ce moment après mon injonction, je le vois faire une chose non prévue dans notre plan d’attaque avec Dee.
Ça me cloue le bec sinon à lui faire comprendre que je suis là seulement pour son sperme en moi.
• Qu’est-ce que tu fais, que cherches-tu dans ta poche de pantalon ?
• La capote que je vais mettre, je mets toujours des capotes, qui me dit si hier ou avant-hier, la salope que tu es à baiser sans protection et que tu as chopé une maladie transmissible par le sexe.
La remarque est évidente, et c’est ainsi que je me fais prendre et qu’au bout du compte, il décharge dans son espèce de baudruche.
• Alors ma chérie, c’est fait, cet homme a conçu notre bébé, dans neuf mois je serais père et toi maman !
• Non, Dee, nous avions pensé à tous sauf à ce que ce bucheron se serve d’une capote, regarde dans la corbeille dans la salle de bain, il l’a jeté après l’avoir enlevé.
Notre bébé est là perdu à tout jamais.
• Pourtant de ma chambre je t’ai entendu jouir, m’as-tu trompé ?
• Oh ! non, ma chérie, mais comme tu l’as dit, j’ai connu des hommes et pas des plus reluisants côtés mentalités, je t’ai tout dit de ma vie d’avant, pourtant j’ai joui avec eux.
Comme hier étant dans l’impossibilité de le repousser après qu’il m’ait dit mettre une capote.
Deux doigts dans ma chatte, trois doigts dans la sienne, c’est comme ça que nous nous réconcilions en nous embrassant avant d’aller déjeuner et reprendre la route.
Au lieu de redescendre la montagne, ayant peu le sens de l’orientation, je vois bien que nous continuons à monter.
• Où va-t-on, je pensais que notre chalet était à l’opposé de cette route que nous avons prise.
• J’ai une autre idée, il est impossible de retourner à la taverne pour y rencontrer un autre bucheron.
J’ai donné tout mon fric à cette pute afin d’éviter de nous faire écharper.
Je pense qu’elle verrait d’un mauvais œil que nous venions lui chiper encore un autre de ses clients.
De l’autre côté de cette montagne il y a un autre village, ou je sais que d’autres hommes trappeurs ou bucherons viennent, nous en trouverons un je te le promets et je sais comment contourner le problème des capotes.
Dee s’est contentée de ces explications, je sais pour la connaitre depuis que nous sommes amants qu’elle se confie quand elle le désire.
Surtout que la route serpente et il y a même encore de la neige, formant talus de plus en plus haut vu l'altitude.
En plus aujourd’hui il pleut, nous avons dû courir pour récupérer le pickup, mais rapidement cette pluie se transforme en neige qui tombe de plus en plus épaisse malgré que nous soyons au printemps.
Nous avons pris la décision d’enfanter au retour de Miami ou nous avons passé l’hiver trop rude ici.
• Mince, j’ai pensé à ce que nous pourrions faire dans l’autre village, sans penser que nous aurions dû passer par la vallée pour le rejoindre.
Nous aurions fait trente kilomètres de plus, mais sans rencontrer la neige.
Et de plus, je suis partie sans mes chaines, il va falloir que nous fassions demi-tour.
Je suis un peu anxieuse, lorsque je vois Dee garer la voiture à un endroit où la neige a été enlevée et assez large pour pouvoir faire tourner le pickup, mais très près du précipice.
Les roues se mettent à patiner, la neige bien qu’elle ait été enlevée, est déjà épaisse avec ce qu’il tombe.
• On est bloqué, j’ai une couverture de survie, le chasse neige va certainement passer, nous allons l’attendre et le suivre.
Nous étions presque au sommet du col.
• Mon cœur, sur notre droite, alors que tu conduisais j’ai vu un panneau de pub pour le « chalet des cimes », j’ai eu le temps de voir, trois kilomètres, nous en avons fait au moins un.
Si nous montions jusqu’à lui à pied nous pourrions demander de l’aide et même trouver le gîte et le couvert !
Heureusement que pour ce voyage nous sommes habillés décontractés, mais peu couvertes avec ce froid.
Difficilement, nous montons vers le sommet et d’un coup après un virage, nous sommes sauvés.
Le chalet est là, il y a même de la fumer qui monte au-dessus venant de la cheminée, feu donc entretien donc du monde.
Nous sommes devant la porte principale, une seule camionnette sur le parking se trouve déjà sous la neige et de plus nous sommes frigorifiées.
Dee frappe, nulle réponse, nous allons nous transformer en bonhomme de neige congelé.
Elle insiste tambourinant de plus en plus fort à la porte, bien sûr elle a clanché mais la porte est fermée à double tour.
D’un coup des bruits venant de l’intérieur et une grosse voix se fait entendre.
• Cinq minutes, on a le droit de chier un coup, de toute façon l’hôtel est fermé jusqu’à l’automne, revenez à ce moment-là, tout mon personnel a quitté le chalet.
• Monsieur, nous sommes en perdition, la neige nous a bloqué à quelques kilomètres que nous avons faits à pied, votre cheminée fume.
Excusez pour le dérangement, mais nous pourrions nous réchauffer.
L’homme derrière la porte, vitrée ouvre les verrous pour nous faire entrer.
Il l’ouvre pour nous laisser passer.
Il doit faire deux mètres de haut, je vois ses mains, de vrais battoirs, d’un coup de poing, il doit pouvoir tuer une biche, ici un élan.
J’ignorais que le père Noël habitait au Canada !...
C’est comme cela que je me suis retrouvée introduit dans la famille de Christophe s’avérant être une famille très bizarre.
Je vois Dee se lever, se diriger vers l’homme que nous venons de choisir, elle s’assoit à sa table et commence à lui parler.
Que peut-elle lui dire ?
Dee ma maîtresse et moi Susy, sommes en quête d’un sexe mâle pour effectuer une sorte de PMA naturelle.
Je m’explique, Dee toujours à la pointe de nouvelles idées pour notre couple décide, je vais dire avec mon accord que nous ayons un enfant.
Nous aurions pu tirer à la courte paille ou tout autre système pour déterminer qui porterait cet enfant.
Il s’avère que depuis que j’ai rencontré Dee, je sais qu’elle est vierge de toute bite d’homme ayant défloré son vagin.
C’est loin, pour moi, d’être le cas même si je me suis mariée vierge, étant tombé dans une famille plus que bizarre, aussi bien mon mari que mon beau-père, m’ayant fait l’amour.
Sans oublier Lourenço le steward dans les toilettes de l’avion nous amenant au départ pour une semaine rencontrer Dee avec Benoit mon beau-père.
Je me suis même gouinée avec Alice la mère, retrouvant les élans de ma famille. Maman et grand-mère même si elles ont connu le loup puisque je suis là, étaient lesbiennes comme je le deviens en rencontrant Dee qui m’aide à me libérer de cette famille plus que bizarre, je dirais des dégénérés.
C’est donc moi qui dois rencontrer un homme, certainement un bucheron canadien pour que nous fassions l’amour et qu’il me féconde, je suis dans une zone de mon cycle propice à enfanter.
C’est dans une ville de l’autre côté de la montagne que nous nous rendons et ou après avoir pris deux chambres dans l’hôtel du village nous entrons dans un pub principalement remplis d’hommes et à la vue de leur carrure, certainement des bucherons.
Nous devons être d’accord pour le choix de l’homme qui me fécondera sans savoir qu’il a un enfant, nous voulons qu’il soit seulement à nous.
La transaction au bout de la salle doit aller bon train car l’homme fini par se lever, prendre sa chope de bière et venir vers moi.
• Bonjour, je m’appelle Bob, je suis bucheron en repos dans cette ville avant de retourner dans la forêt abattre des arbres.
Ta copine m’a dit que tu cherchais un homme pour faire des galipettes.
J’allais me payer l’une de ces putes qui travaille dans ce bar.
Ta copine m’a dit qu’avec toi c’était gratuit et comme tu as un joli petit cul, je finis ma bière et on y va.
C’est en français, avec un fort accent canadien que Bob, me parle d’amour.
Une femme jouant au billard, l’air vulgaire, habillée pute, maquillée pute, vient vers nous et s’adresse à moi.
À ses mots, elle aussi est bien canadienne.
• Dis donc les pouffes, vous venez nous piquer nos mecs, vous êtes un peu gonflé, tirez-vous sinon avec mes copines nous allons vous ravaler vos jolies petites gueules.
Bob, si tu montes avec ces salopes, ta bite, tu te la mettra sous le bras à tes prochaines vacances.
Je vois Dee se lever de l’autre table où elle a trouvé notre PMA naturelle et ouvre son sac à main.
• Tiens, prend ça et partage ces billets avec tes copines.
J’ai rapidement compté cinq putes dans ce bar, ça payera largement la perte que ma copine en emmenant ce beau mec va vous causer.
Avec ces billets, la pute, c’est moi, mais l’ai-je déjà été le jour de mon mariage dans cette famille bizarre dans laquelle je m’étais fourré croyant m’élever dans l’échelle sociale ?
J’emmène Bob dans ma chambre d’hôtel.
• Que veux-tu que je te fasse ?
• Suce-moi, j’adore que Marthe, c’est la fille avec qui j’ai des rapports et que ta copine à payé lorsque je descends de la montagne toutes les cinq semaines.
Elle le fait très bien, j’ai compris que tu es française et j’aimerais voir si ce qui est dit sur vous est bien réel.
Pute sans le savoir par mon mariage pour le bien de la famille et pute pour ma copine pour que nous ayons un enfant, si possible un garçon, Dee préfère.
Je prends cette bite dans ma bouche et je le suce en masturbant bien ses bourses, en faisant attention qu’il évite de juter.
Je le veux en moi et que son sperme vienne me féconder.
• Baise-moi, je mouille de désir que tu me prennes !
À ce moment après mon injonction, je le vois faire une chose non prévue dans notre plan d’attaque avec Dee.
Ça me cloue le bec sinon à lui faire comprendre que je suis là seulement pour son sperme en moi.
• Qu’est-ce que tu fais, que cherches-tu dans ta poche de pantalon ?
• La capote que je vais mettre, je mets toujours des capotes, qui me dit si hier ou avant-hier, la salope que tu es à baiser sans protection et que tu as chopé une maladie transmissible par le sexe.
La remarque est évidente, et c’est ainsi que je me fais prendre et qu’au bout du compte, il décharge dans son espèce de baudruche.
• Alors ma chérie, c’est fait, cet homme a conçu notre bébé, dans neuf mois je serais père et toi maman !
• Non, Dee, nous avions pensé à tous sauf à ce que ce bucheron se serve d’une capote, regarde dans la corbeille dans la salle de bain, il l’a jeté après l’avoir enlevé.
Notre bébé est là perdu à tout jamais.
• Pourtant de ma chambre je t’ai entendu jouir, m’as-tu trompé ?
• Oh ! non, ma chérie, mais comme tu l’as dit, j’ai connu des hommes et pas des plus reluisants côtés mentalités, je t’ai tout dit de ma vie d’avant, pourtant j’ai joui avec eux.
Comme hier étant dans l’impossibilité de le repousser après qu’il m’ait dit mettre une capote.
Deux doigts dans ma chatte, trois doigts dans la sienne, c’est comme ça que nous nous réconcilions en nous embrassant avant d’aller déjeuner et reprendre la route.
Au lieu de redescendre la montagne, ayant peu le sens de l’orientation, je vois bien que nous continuons à monter.
• Où va-t-on, je pensais que notre chalet était à l’opposé de cette route que nous avons prise.
• J’ai une autre idée, il est impossible de retourner à la taverne pour y rencontrer un autre bucheron.
J’ai donné tout mon fric à cette pute afin d’éviter de nous faire écharper.
Je pense qu’elle verrait d’un mauvais œil que nous venions lui chiper encore un autre de ses clients.
De l’autre côté de cette montagne il y a un autre village, ou je sais que d’autres hommes trappeurs ou bucherons viennent, nous en trouverons un je te le promets et je sais comment contourner le problème des capotes.
Dee s’est contentée de ces explications, je sais pour la connaitre depuis que nous sommes amants qu’elle se confie quand elle le désire.
Surtout que la route serpente et il y a même encore de la neige, formant talus de plus en plus haut vu l'altitude.
En plus aujourd’hui il pleut, nous avons dû courir pour récupérer le pickup, mais rapidement cette pluie se transforme en neige qui tombe de plus en plus épaisse malgré que nous soyons au printemps.
Nous avons pris la décision d’enfanter au retour de Miami ou nous avons passé l’hiver trop rude ici.
• Mince, j’ai pensé à ce que nous pourrions faire dans l’autre village, sans penser que nous aurions dû passer par la vallée pour le rejoindre.
Nous aurions fait trente kilomètres de plus, mais sans rencontrer la neige.
Et de plus, je suis partie sans mes chaines, il va falloir que nous fassions demi-tour.
Je suis un peu anxieuse, lorsque je vois Dee garer la voiture à un endroit où la neige a été enlevée et assez large pour pouvoir faire tourner le pickup, mais très près du précipice.
Les roues se mettent à patiner, la neige bien qu’elle ait été enlevée, est déjà épaisse avec ce qu’il tombe.
• On est bloqué, j’ai une couverture de survie, le chasse neige va certainement passer, nous allons l’attendre et le suivre.
Nous étions presque au sommet du col.
• Mon cœur, sur notre droite, alors que tu conduisais j’ai vu un panneau de pub pour le « chalet des cimes », j’ai eu le temps de voir, trois kilomètres, nous en avons fait au moins un.
Si nous montions jusqu’à lui à pied nous pourrions demander de l’aide et même trouver le gîte et le couvert !
Heureusement que pour ce voyage nous sommes habillés décontractés, mais peu couvertes avec ce froid.
Difficilement, nous montons vers le sommet et d’un coup après un virage, nous sommes sauvés.
Le chalet est là, il y a même de la fumer qui monte au-dessus venant de la cheminée, feu donc entretien donc du monde.
Nous sommes devant la porte principale, une seule camionnette sur le parking se trouve déjà sous la neige et de plus nous sommes frigorifiées.
Dee frappe, nulle réponse, nous allons nous transformer en bonhomme de neige congelé.
Elle insiste tambourinant de plus en plus fort à la porte, bien sûr elle a clanché mais la porte est fermée à double tour.
D’un coup des bruits venant de l’intérieur et une grosse voix se fait entendre.
• Cinq minutes, on a le droit de chier un coup, de toute façon l’hôtel est fermé jusqu’à l’automne, revenez à ce moment-là, tout mon personnel a quitté le chalet.
• Monsieur, nous sommes en perdition, la neige nous a bloqué à quelques kilomètres que nous avons faits à pied, votre cheminée fume.
Excusez pour le dérangement, mais nous pourrions nous réchauffer.
L’homme derrière la porte, vitrée ouvre les verrous pour nous faire entrer.
Il l’ouvre pour nous laisser passer.
Il doit faire deux mètres de haut, je vois ses mains, de vrais battoirs, d’un coup de poing, il doit pouvoir tuer une biche, ici un élan.
J’ignorais que le père Noël habitait au Canada !...
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Les avis des lecteurs
Je rebondis tellement que j'ignore ou ça va s'arrêter...
J'ai aussi peur de me cogner la tête dans mon plafond...
J'ai aussi peur de me cogner la tête dans mon plafond...
Que de rebondissements mon cher Chris...👍🏼💪🏼💖
Cyrille
Cyrille