COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille libertine (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille libertine (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Une famille libertine (1/1)
• Mère, je vous présente Justine nous allons nous marier.

Enfin Gilles m’a demandé en mariage après trois mois de cour assidue.
Justine de la Tourrette, je vais devenir la femme d’un garçon qui a comme l’on dit une particule avec un titre perdu à la révolution.
Gilles était à Paris pour ses besoins professionnels au salon de la viticulture.
Il a son château dans le Bordelais.
C’est au moment où il me demande des renseignements sur la tireuse avec étiqueteuse incorporée pour laquelle cette société m'a embauché, le temps du salon que nous nous rencontrons.
Il va de soi que j’ignore à ce moment que c’est un descendant de la noblesse.
Je vois qu’il s’intéresse à moi, car chaque jour il est là me demandant un renseignement supplémentaire.
Le salon fermé, il me propose de m’emmener au restaurant à deux pas de son hôtel.
Je m’attends à finir dans sa chambre et ce grand gaillard me plaisant, je serais honoré qu’il m’invite à voir Paris d’en haut, son hôtel étant à la défense.
J’ai le droit à une main dans sa main et un baiser comme entre frère et sœur avant qu’il me propose de me revoir le lendemain.
Il arrête un taxi et me laisse avec mes envies et mes fantasmes.

Le lendemain rebelotte, il est là dès l’ouverture alors que j’ai les petits yeux à m’être caressé une partie de la soirée et de la nuit sans pour autant éteindre le fru brûlant en moi.
Ce soir-là, rebelotte pour le taxi entrainant mes frustrations avec seulement en plus son numéro de portable.

Avant cette rencontre, j’ai eu une aventure, je sais ce qu’est le loup.
Hélas, ce petit coup rapide dans la voiture de celui qui m’a dépucelé a été loin de me laisser un souvenir impérissable.
Le salon terminé chacun est rentré chez soi.

Pendant deux mois j’ai reçu trois fois par jour des SMS et des coups de téléphone de plus en plus enflammésEt puis un jour, il m’a proposé de m’envoyer son chauffeur pour venir passer un week-end chez lui dans son château.
Lorsqu’il m’a parlé de son château, je me suis demandée dans quel monde j’atterrissais.

C’est dans une grosse limousine que j’ai fait la connaissance de deux choses.
Son château et ma future belle-mère, car c’est pendant ce week-end au milieu de ce qui va devenir mes vignes qu’il a sorti sa bague que je me suis empressé de le laisser passer à mon doigt.
Château avec salle à manger de gala et petit boudoir où nous avons dîner avec Sara, celle qui va devenir ma belle-mère.
Sara la cinquantaine est veuve du propriétaire de cette demeure et de 130 hectares de vignes ainsi que d’une usine de produit du terroir.
Elle est grande, je dirais même longiligne et elle m’apparaît chaque fois que nous nous croisons dans une grande robe blanche avec une fente sur le côté.
Par cette fente, chaque fois qu’elle fait un pas elle me montre le galbe parfait de sa jambe gainé de bas de soie .
Ses pieds sont chaussés par des mules aussi blanches que sa robe.

Bref chaque fois que je vais me coucher dans la chambre dont j’ai hérité, bien loin des leurs, j’attends mon prince charmant qui brille par son absence.
Je suis revenue avec mes maigres affaires.
Elle décide de me choisir ma robe de mariée.

C’est toujours son vieux chauffeur qui nous accompagne.
C’est normal, je suis orpheline et très démunie.
Je travaillais au salon de la viticulture afin de gagner de quoi vivre pendant deux mois.
Le reste du temps, j’émarge à Pôle emploi.

La noce a lieu dans la chapelle de notre château alors que le repas se tient dans une grande hostellerie des bords de la Garonne.
Je fais la connaissance de bon nombre de couples qui semblent bien connaître Gilles.
À une heure du matin, Gaspard le chauffeur nous ramène au château avec pour moi une alliance en diamant dont le prix m’échappe.
Mon mari me laisse aller seul dans ma chambre, ce qui m’étonne un peu.
J’avais rêvé qu’il me porte dans ses bras jusqu’à mon lit et qu’il arrache mes vêtements même avec ses dents.
Je m’écroule frustrée après la tension de la journée ou j’ai fait attention aux moindres détails afin de paraître à la hauteur de celui qui m’a épousé.
Le lendemain, comme si de rien, nous nous retrouvons dans la petite salle avec belle-maman toujours pimpante malgré la nuit qu’elle a dû passer.

• Justine à 14 heures, nous aurons un défilé dans la grande salle et nous choisirons ensemble votre nouvelle garde-robe pour que vous soyez au niveau de notre famille.

Demande à ton fils quand il va me baiser, j’en ai marre ma chatte dégoulinant de l’attendre.
Je pense ces mots sans pour autant les prononcer surtout quand je regarde les diamants scintiller à mon doigt.
Bague de fiançailles, comme alliance.
Comme pour ma robe de mariée, elle me guide dans mes choix, insistants mêmes sur des modèles assez osés.
Elle me fait prendre une guêpière magnifiquement portée par l’un des trois mannequins que le magasin a fait venir pour moi.

On me livre tout le jeudi et le vendredi midi, elle m’annonce qu’elle a organisé une soirée en mon honneur pour quelques intimes.
Elle tient à me choisir ma tenue.
Osée, mais sans plus.
Une de celles que je préférais.

À 21 heures, quand je descends, une coiffeuse est venue me préparer faisant de moi une femme du monde tinté d’une légère tendance à ressembler à une pute.
Bref quand je me regarde dans ma psyché, je me donne envie.
J’entends de la musique quand je descends le grand escalier sur mes hauts talons à semelles rouges du plus grand chausseur français pour les dames du monde.
Je me demande pourquoi mon mari est toujours resté sourd à mes sollicitations.
Je serais arrivée vierge ici, je le serais toujours huit jours plus tard.
La salle, très grande avec ces canapées et sa table immense m’apparaît en même temps qu’un spectacle inattendu.
Une soixantaine de personnes, les hommes en smoking les femmes plus ou moins dénudées.

• Justine vient, je vais te présenter nos amis.

Gilles est là, lui aussi dans un magnifique smoking blanc mais sa queue sortie et qui est dans la bouche d’une dame inconnue de moi.
Un couple, la femme, en levrette sur un canapé se fait prendre par un homme alors qu’un autre la regarde.
Je suis à deux doigts de prendre mes jambes à mon cou.
Mon mari et sa mère sont des libertins, car Sara vient de se faire entraîner par un homme sur la grande table couverte de victuailles Elle écarte les pans de sa robe blanche à croire que c’est la seule qu’elle possède et l’homme lui attaque le clitoris.

• Justine amuse-toi, mes amis doivent devenir tes amis.

Je fais le tour croisant certains et certaines d’entre eux qui étaient à notre mariage.
Je vais me réfugier sur une bergère pour regarder dans quel monde je viens de basculer.
J’analyse très vite, ce sont tous des fornicateurs, en priorité Sara ma belle-mère prise sans aucune pudeur.
Tout ceci malgré la présence de son fils et de sa belle-fille par un homme dans la force de l’âge.
J’entends ses cris de jouissance.
Il la quitte sans un mot sa queue prête à saillir une autre chatte plus jeune au regard qu’il porte vers une blonde.
Souplement elle repose ses pieds au sol et s’approche de moi.

• Tu es étonnée de ce que tu découvres, je parie que tu attendais ta nuit de noce que ton mari semble te refuser.
Ta nuit de noce, c’est ce soir, je suis chargée de te la faire connaître.
Vois-tu nous sommes des libertins et à ce titre les époux ont interdiction toute leur vie de sauter leur propre femme ?
Ce sera le cas de Gilles, regarde, il est avec Gladys sur ce canapé, il a déjà sa bite au fond de sa bouche.

Une rousse s’approche de nous nue.

• Tu te souviens, je suis Salomé, j’étais avec Luc à ton mariage.
Luc, c’est le monsieur qui a sauté Sara sur la table.
Lui et moi avons trois enfants tous sont de père autre que lui.
Tu auras l’occasion de reconnaître mon deuxième quand tu les croiseras.
Mon fils est chocolat, son père étant martiniquais.
Il est absent ce soir, en vacances dans son île.
Tu as deux solutions, tu vas vers ta belle-mère, tu lui donnes les bagues qu’il t’a offertes et tu vas faire ta valise.
Le divorce sera prononcé le plus rapidement possible.
Ou tu acceptes et dès ce soir, tu choisiras ceux que tu acceptes qu’ils te baisent.
Te souviens-tu, Gilles t’a demandé si tu étais vierge et tu lui as dit non, c’est ce jour qu’il t’a choisi pour t’épouser.
Quand je dis ceux, c’est aussi bien homme que femme, nous sommes tous bisexuels.
Tu dois te demander pourquoi ces pratiques, ça évite les cocufiages.
En baisant devant les uns et les autres, tout le monde s’en porte mieux.

Ou suis-je tombée, je suis à deux doigts de quitter cette famille semblant déjà bien dégénéré quand on m’invite à danser.

• Tu danses Justine.

Je comprends mieux les tenues sexy, quand je me lève à la sollicitation de ce beau ténébreux.
J’ai fait mon choix, luxure et fric, pourquoi trimer toute sa vie pour quelques malheureux euros.
Mon cavalier me colle littéralement et je sens qu’il a déjà sa verge qui veut de moi.
Embrasser un autre homme devant celui à qui j’ai dit oui, il y a peu, ç’a me semble bizarre, mais ces bagues qui me chauffent les doigts ont très vite fait d’emporter ma décision.
Il me guide vers le canapé que Gilles vient de déserter se séparant de Gladys pour aller compter fleurette à au grand rousse semblant très réceptif à son charme.
Je suis en mini avec mes bas et mes jarretelles.
Quand je m’assieds, elle remonte.
Je présente un tableau de toute beauté à l’assistance qui semble attendre le moment où Boris, c’est le nom que mon cavalier m’a donné, va me pénétrer la chatte libre de tout voile.
Il tombe entre mes jambes et commence à me lécher, je dégouline d’envie, j’ai rarement autant dégouliné.
Au moment où il sent que je suis prête, il me pénètre me faisant rugir de plaisir.
Je suis loin d’être la seule, des cris de jouissances homme et femme se font entendre à travers la salle.
J’ai le temps de voir ma belle-mère en levrette sur un tapis la queue d’un nouveau partenaire au fond elle.
Elle est assez prête pour que je l’entende dire.

• Sodomise-moi.

J’ai fait peu d’études, mais j’apprends par là même que les plaisirs dits interdits se pratiquent dans le milieu que je viens d’intégrer.
Surtout quand Salomé a poil elle aussi vient par-dessus ma figure et que je vois sa chatte venir se poser sur ma bouche.
Instinctivement, alors qu’avec ses doigts elle écarte ses grandes lèvres, son clito bien plus gros que le mien se trouve sous ma langue.
Une bite, un clito, je jouis mêlant mes cris à ceux d’une autre femme non loin de moi.
Belle-maman jouie par l’anus.
Remplis du sperme de mon amant, artistiquement Salomé rejoint ma chatte dégoulinante de sperme et de ma cyprine s’attelant à me faire une toilette intime très approfondie.
Elle a du mal, car je coule de nouveau, inondant sa langue quand je sens que je me vide littéralement.
Devant le buffet à notre disposition, j’apprends que sous cette jouissance très profonde, je suis une femme fontaines qui semble plaire à Salomé.
Salomé qui me chaperonne, quand deux autres hommes viennent nous enlacer.
Un coup d’œil rapide quand je me coule dans les bras d’un beau blond, Gilles me regarde céder à ce futur amant.
Belle maman aussi, mais en discutant avec un autre homme qui va certainement se servir de son corps pour assouvir leurs désirs réciproques.
Ma belle-mère semble une gloutonne, je décide que dès ce soir, ce sera moi qui épuiserais la dernière goutte de sperme présente dans les couilles des hommes présents.
Je sais que je viens de trouver la vie idéale.
Pognon, plus baise et baise encore.
Combien vais-je accepter de donner à mon homme de progéniture pour perpétrer notre famille.
On dit qu’il est loin d’être bavard.

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