COLLECTIONS LIBERTINAGE. Nos erreurs (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTIONS LIBERTINAGE. Nos erreurs (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTIONS LIBERTINAGE. Nos erreurs (1/1)
Ma chance a commencé le jour où j’ai rencontré Elvire jeune fille de 19 ans alors que j’en avais 25.
C’est à l’occasion d’une petite sauterie offerte par notre patron pour fêter les 20 000 clients payants venants de s’inscrire sur notre site de rencontres qu’il nous a présenté la nouvelle employée qu’il venait d’embaucher le jour même.
Elle sortait directement de son école ou elle venait d’acquérir son BTS en informatique de gestion et devait grossir nos rangs, car ce nombre atteint nous donnait à chacun une part de travail supplémentaire.
Nicolas notre patron légèrement plus vieux que nous m’a confié son éducation au sein de notre boîte.
Une vraie chipie, dès les premières minutes, j’ai su que cette fille m’indisposait avec ses grands yeux verts et sa chevelure blonde tombant en cascade sur ses épaules.
Trop belle et trop surfaite, une vraie poupée Barbie.
Chipie, car les premiers moments, elle n’a eu de cesse de me mettre ses seins sous le nez chaque fois qu’elle se penchait pour un oui ou pour un non.
Pour son premier jour, elle avait mis un chemisier à la limite de l’indécence et je savais pertinemment que Nicolas l’avait embauché pour les charmes qu’elle lui avait présentés lors de son audition d’embauche.
Si on m’a confié son introduction dans notre société, c’est qu’il savait que j’avais horreur de ce genre de fille surfaite.
Il savait que pour moi, la fille idéale était certes les filles aussi longilignes qu’Elvire, mais avec moins de poitrines et surtout des cheveux auburn et plus proches de mon âge.
Il savait tout cela, car j’avais été dans la même école que lui et il m’avait servie de tuteur pour ma formation en entreprise avant de m’embaucher dès que j’avais eu mon diplôme.
Nous étions très proches, je savais qu’il courrait les filles chaque fois qu’il le pouvait bien qu’il soit marié depuis cinq ans à Jennifer magnifique métisse Guadeloupéenne.
Chaque fois qu’il est sur un nouveau coup, je lui sers de chaperon dans les boîtes où ils les emmènent.

C’est encore le cas avec Elvire qu’il invite le samedi suivant au restaurant après m’avoir tout de même demandée, si j’étais libre.
Elle se savait en période d’essai, l’emploi permanent étant si dur à acquérir par ces temps de chômage, même si elle avait un peu joué de ses charmes pour avoir le poste.
Quand elle nous rejoint, c’est une jeune femme complétement différente par son habillement, sa coiffure et surtout son maquillage, faisant moins pute, que les jours de travail.
Un jean avec genoux percés, des baskets éculées avec la seule touche un peu érotique un débardeur mettant ses seins un peu en valeur, mais comment pouvait-elle faire autrement avec les obus que la nature lui a donnés.
Au restaurant chaque fois que Nicolas essaye de se placer, elle lui répond avec beaucoup d’intelligence et je sens que son plan cul s’éloigne de lui.

Il tente une dernière manœuvre en nous emmenant dans une boîte, mais il choisit un endroit trop sélect et Elvire est rejetée à l’entrer sa tenue étant choquante face à celle des jeunes femmes et femmes que nous voyons entrer.
Un café est ouvert et nous en profitons pour nous rendre aux toilettes.

• Tu peux raccompagner Elvire, j’en ai ma claque de cette soirée pourrie, j’ai tout foiré et je dois dire que cette fille a tout fait pour y participer, je lui revaudrais sa tenue, a-t-on idée de venir à une invitation de son patron dans un tel accoutrement.

C’est la queue à la main, en urinant, que nous avons cette conversation.

• Je te connais Nicolas, pas de connerie, elle a de la valeur côté travail, tu ferais une connerie en la renvoyant.
• Voyez-vous cela, ce grand dadais est amoureux, vas-y, je te la laisse, hier, j’ai reçu une nouvelle jeune femme pour aider à la comptabilité, je vais l’inviter un jour prochain, je compte sur toi.

C’est comme cela que je remonte vers la petite qui nous attend à une table et que je la raccompagne, elle habite non loin de chez moi, j’aurais pu la rencontrer le matin, car nous prenons la même ligne de métro pour nous rendre à notre travail.

• Tu montes prendre un verre.
• Non, Elvire, j’aurais l’impression de vouloir faire comme Nicolas qui a essayé toute la soirée de te faire tomber dans ses filets.
• Lionel, crois-tu que depuis le début son plan drague pour me sauter m’a échappé, je suis vierge et je vois mal me faire déflorer par mon patron, je sais que lundi, j’ai des chances d’être viré, ma maman nous a donné une éducation à moi et à ma sœur Laétitia et je cours ce risque.
• Tu verras, il va te garder, je viens de faire le nécessaire et il a une autre proie en vue.

Pour me remercier, dans un élan, elle me saute au cou et sans le chercher nos bouches se soude dans un baiser qui me tarabistouille.

• Viens.

Cinq minutes après, je pénètre dans sa chambre, je la dénude autant qu’elle me dénude, elle écarte ses cuisses et ma verge la déflore dans un joli cri de pucelle ayant un peu mal au moment où je lui déchire son hymen.
C’est mon premier, je sens une boule venir me tarauder.

Le lundi, nous partons ensemble, car le dimanche, elle a amené ses affaires chez moi d’un commun accord.
On peut penser que tout est rapide, mais notre complicité intellectuelle et sexuelle est complète et Elvire est très coopérative dans notre lit.
Dans les jours qui suivent une évidence, apparaît, notre amour devrait se concrétiser par notre mariage.

Elle m’emmène chez sa maman à Cergy qui l’a élevée seule avec sa sœur aînée Laétitia qui a 22 ans.
La journée est agréable, autant ma future est blonde autant sa sœur est presque rousse, le weekend suivant, c’est mon jeune cadet Alban que je lui présente.
Il habite chez ma grand-mère à Nevers d’où nous sommes originaires et à 20 ans vient d’avoir son diplôme d’infirmier, il vient de trouver un job à l’hôpital Georges-Pompidou.

Avec Elvire, nous nous habituons très bien à sa présence, car nous lui proposons de vivre chez moi dans la chambre d’amis le temps qu’il trouve un logement ce qui est très difficile.
Nous avons pensé à celui d’Elvire, avant de venir chez moi, mais il était déjà loué.
Certains matins quand nous prenons notre petit-déjeuner tous les deux avec Alban dans la cuisine alors qu’elle fait les deux lits, chaque fois nous avons un regard de connivence ensemble, il est impossible et nous le savons, que les cris de plaisir qu’elle émet quand je la baise en levrette pendant presque une heure, se sont arrêtés à la porte de notre chambre.
Il est discret et nous nous accommodons de sa présence.

Au boulot, tout baigne, notre amour nous rend plus efficaces et Nicolas a réussi à avoir une relation avec Angélique, celle qu’il convoitait le jour où nous nous sommes rencontrés avec Elvire, sans mon aide.
Ange, début de son prénom, était la seule chose qui la caractérisait, rapidement, elle lui a fait du chantage avec pas mal de conséquence pour lui, Jennifer le quittant et retournant dans l’île de ses parents.
Certes, il a maintenant une belle salope dans son lit, je le sais, au début de sa relation, il aimait me raconter comment il la baisait jusque dans son bureau, sans parler des week-ends qu’il lui payait dans un manoir en Normandie.
Un lundi après l’une de ses baises sans limites, il s’est même vanté auprès de moi de l’avoir sodomisée lui qui rêvait de le faire à sa Guadeloupéenne, mais qui lui refusait ce plaisir.
Dès qu’elle a su que sa femme était partie, elle a emménagé avec lui, lui pourrissant la vie de plus en plus.

• Nicolas, pourquoi te fais-tu manipuler par cette fille, ici cela devient intenable, plusieurs de nos copains et copines parlent de nous quitter et nous venons de perdre plus de 1 000 de nos clients.
Tu as perdu ta femme, elle va te faire perdre ton entreprise.
• Que veux-tu que je fasse ?
• Vire là, de chez-toi et de son boulot.
• Elle me fait du chantage de nous mettre aux prud’hommes et de me faire casquer.
• Vire là, nous allons t’aider.

C’est ce qu’il a fait deux jours plus tard, elle a fait le tour de tous nos collaborateurs pour recueillir des lettres disant qu’il l’avait harcelé.
Ces lettres, elle les a eues, mais à charge contre elle, nous avons écrit qu’elle essayait de se faire baiser par chacun d’entre nous et même par les femmes étant à voile et à vapeur.

Elle est partie sans indemnité, Nicolas m’en est très reconnaissant, car je viens de signer un contrat me donnant la vice-présidence avec l’assentiment de tout le monde.
Elvire est montée en grade à ma place alors que je prenais le bureau contigu au sien.

Je me suis fendu des frais de téléphone à Jennifer lui expliquant que Nicolas avait compris la leçon et nous l’attendons dimanche soir, la belle que j’aime bien, comme une sœur a accepté de revenir.
Le samedi, j’ai invité Elvire au restaurant pour fêter nos avancements et moi qui me croyais un célibataire endurci, je me revois mettre un genou au sol au dessert.

• Elvire veux-tu m’épouser ?
• Oh !
Mon cœur, je croyais que jamais ces mots sortiraient de ta bouche, oui bien sûr, c’est mon vœu le plus cher.

C’est comme cela que je prépare avec elle notre mariage qui va avoir lieu dans deux mois, régulièrement Laétitia couche sur le canapé pour préparer le mariage de ma compagne en tant que grande sœur et surtout témoin de ma future.
Il en est de même pour Alban qui s’occupe avec moi de la partie restauration et sera mon témoin.
Un samedi, je dois aller en Normandie pour arrêter la restauration et les chambres pour la nuit étant trop loin de chez nous pour prendre le risque de rentrée surtout si nous avons un peu picolé.
Au dernier moment Alban attrape une sciatique carabinée qui le cloue au lit.
Laétitia se propose de m’accompagner, car avec sa sœur elles souhaitent qu’elle s’occupe de la décoration et nous devons coucher au manoir.
Coucher nous avons couché, mais dans le même lit, sans que nous ayons prémédité ce que nous considérons comme un moment d’égarement.
Il est hors de question que Laétitia fasse du mal à sa sœur et me demande d’oublier la nuit de folie que nous avons passé.
C’est ainsi que le grand jour arrive, Monsieur le Maire est devant nous et commence la cérémonie jusqu’au moment fatidique.

• Elvire, voulez-vous prendre Lionel comme époux ?

Un blanc, un très grand blanc, un immense blanc et d’un coup Elvire dans sa robe blanche tombe en larmes.

• Lionel, je suis tombé amoureux d’Alban et quand tu es allé en Normandie avec ma sœur, j’étais devenue son amante, sa maladie étant feinte pour que nous passions une soirée ensemble avant de devenir ta femme.
Alban, si tu m’aimes part avec moi.

Estomaqué, je les vois partir main dans la main se regardant amoureusement.
Six moi plus tard, je me retrouve dans la même mairie en face du même maire.

• Elvire, voulez-vous prendre Alban pour époux ?
• Oui, je le veux et toi Alban, veux-tu être mon époux.
• Oui, je le veux.
• Je vous déclare mari et femme, Alban, vous pouvez embrasser la mariée.

Et je vois mon frère embrasser celle qui devait préalablement devenir ma femme.

• Et vous Laétitia, voulez-vous prendre Lionel pour époux ?
• Oui, je le veux et toi Lionel veux-tu être mon époux.
• Oui, je le veux.
• Je vous déclare unis par les liens du mariage, vous pouvez embrasser la mariée.

Derrière nous, notre grand-mère et la maman de nos femmes sont dans les bras l’une de l’autre en pleurs, Nicolas notre témoin avec mon frère a la main de Jennifer dans la sienne, elle est témoin des deux sœurs.
Comme le dit la phrase célèbre nous avons vécu heureux, Elvire, Laétitia, Jennifer avec Alban, Lionel et Nicolas et avons eu beaucoup d’enfants.
Nous avons acheté un manoir en Normandie où nous passons nos weekend et nos vacances tous les six avec les bénéfices gagnés dans notre société qui vient de franchir les 50 000 abonnés.

Attention, nous sommes trois couples fusionnement unis chacun avec notre chacune, il est certain que l’expérience de notre jeunesse nous a vaccinés d’aller chercher ailleurs ce que nous avons trouvé et qui nous rend les plus heureux du monde.

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