Compelled au Château - Suite
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Compelled au Château - Suite
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°415 -
Des larmes coulèrent encore sur le visage du soumis. Il était venu s’assoir face à Compelled. Son regard sembla désespéré, vide, creux, malgré des yeux d’un bleu soutenu. Il était mince, mais musclé, parut avoir un peu plus d’une trentaine d’année. Son corps parfaitement lisse et imberbe portait les stigmates de blessures récentes. Il n’avait pas de cheveux non plus, sans doute avait-il été rasé ? Il était assis sans pudeur, ses jambes entre-ouvertes ne dissimulaient en rien ce sexe flasque, reposant sur des testicules souples.
Elle, la jeune femme, était venue s’assoir tout près de compelled, comme pour trouver un peu de réconfort. Elle avait d’ailleurs posée son visage au creux d’une de ses épaules. Elle paraissait plus jeune, vingt-cinq ans maximum, un visage parfait, des yeux noirs charbon en amande, un nez quelque peu retroussé, des lèvres fines, une dentition parfaite, une chevelure fournie, épaisse, brune, cheveux mi- longs. Son joli corps était également très agréable à regarder, de petits seins fermes, des tétons redressés et tonics, une taille de guêpe, un fessier arrondi, de longues jambes fines. Elle non plus ne cachait pas son intimité. Totalement dépilé, sa vulve charnue laissait apparaitre de grandes lèvres rougeâtres sans doute encore meurtries par le traitement subi.
Les chiens s’étaient mis de nouveau à aboyer sauvagement, peu après, la porte du chenil s’ouvrait. Le gardien revenait vers ceux séquestrés à grands pas. Il ouvrit la cage, attrapa compelled par le collier, le tira jusqu’à lui, déverrouilla le cadenas maintenant la chaine à son collier, le sortit de la cage avec force et détermination, lui ordonna de se mettre à genoux, et une fois installé dans la posture ordonnée, lui plaqua le visage au sol.
- Ne bouge surtout pas salope !
Compelled trembla de tout son corps, il était bien incapable de faire le moindre mouvement. Un cliquetis annonça enfin la libération de ses poignets.
- A quatre pattes, maintenant chienne, et vous deux sortez de là et suivez-moi !
Bien difficile pour compelled de déambuler à quatre pattes dans ce sinistre couloir, à coté de ses deux congénères ayant eux aussi été contraints à se déplacer de la même manière, bien difficile aussi pour lui d’accepter une telle situation : Passer de la liberté d’action à la contrainte brutale et sévère, de n’être plus considéré comme un homme libre mais comme un simple animal, voire peut-être moins encore ? Un ressenti humiliant, dégradant, avilissant, un sentiment de honte, d’abjection, d’abomination l’envahissait, mais aussi, paradoxalement, devait-il se l’avouer, une prise de conscience d’une certaine excitation, pour preuve, un certain émoi physique bien incontrôlable, mais bien visible à son bas-ventre avec une petite érection, pas des plus tonitruante certes, mais tout de même ! Ce ressenti contraria Compelled : Par quel mécanisme mental pouvait-il trouver une forme de plaisir à se voir rabaissé et avili ainsi ? Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il le constatait, un jour, se rappelait-il, son Chef de Service, l’avait sévèrement humilié devant tous les collaborateurs de l’entreprise, le traitant de moins que rien, de petite bite minable, d’incapable, de tout juste bon à faire le larbin, et encore… Compelled avait reçu cette humiliation telle une violente claque en plein visage, mais avait également senti son sexe gonfler sous son pantalon de costume. Bien étrange sensation ! Et à chaque fois que son supérieur hiérarchique l’humiliait, il ne s’en privait pas le bougre, compelled à chaque fois percevait ce même ressenti…. Les trois chiennes, puisqu’ainsi les nommait-on, étaient maintenant à l’extérieur, dans un enclos grillagé, jouxtant le chenil !
- Vous pouvez vous soulager les chiennes ! lançait le geôlier
Compelled ne compris pas tout de suite le message dicté. Ce n’est qu’en voyant son congénère mâle lever sa jambe droite contre le grillage et uriner tel un chien, qu’il discernait l’annonce faite par le garde. La femelle, elle, accroupie, son fessier à quelques centimètres du sol, déféquait sans gêne ni retenue. Abasourdi, figé et stupéfait Compelled ne trouvait pas les mots justes pour décrire son malaise. La situation abominable et dégradante avait atteint un summum. Lui, serait incapable de se soulager ainsi, il lui fallait un minimum d’intimité pour cela.
- Alors salope, ne veux-tu point pisser ?
Le garde s’était approché de compelled toujours à quatre pattes, lui attrapait la queue, lui la massait et la branlait tranquillement et ce qui devait arriver, arriva…
- Mais on dirait que tu aimes çà la chienne, tu es une sacrée salope toi, dès qu’on te tripote un peu tu te mets à bander, tu es une vraie pute en fait !
Ces mots n’étaient point faits pour calmer les ardeurs de compelled, il le savait, l’humiliation l’excitait.
- je saurai calmer tes bandaisons intempestives, sois en sûr, pour l’heure, je veux et j’exige que tu pisses là, immédiatement !.
Voyant que la situation pouvait tourner très vite au vinaigre, compelled dans un ultime effort se mit à pisser en faisant abstraction de tout l’environnement. Pas simple pour lui d’uriner avec ce sexe encore érigé, un premier jet dru lui avait inondé l’abdomen, un second ses mains posées au sol, il aurait bien dû suivre l’exemple de son congénère mâle et lever une jambe pour se soulager… A la fin de sa miction, il reçut deux sévères claques sur son postérieur :
- Ca, c’est pour que tu saches qu’ici, lorsqu’un ordre est donné à un esclave, il doit être exécuté dans l’instant !
Compelled surpris n’avait pu réprimer ni soubresauts, ni plaintes, il s’attendait au pire. Il n’en fut rien. Surpris fut-il aussi, par ce mot utilisé : esclave ! Ce qualificatif le terrorisait, est-ce cela qu’il allait devenir ici, il ne le voulait certes pas.
- Allez suivez-moi, la soupe va vous être donnée
La déambulation jusqu’à un petit abri au fond de l’enclos se fit comme à l’aller en quadrupédie, le garde ouvrit la porte. A l’intérieur, une femme vociférait des mots envers un autre esclave :
- Tu n’es qu’un incapable, combien de temps te faudra-t-il pour être parfaitement dressé et accomplir à la perfection les ordres donnés et éviter les maladresses ? Crois-tu que Le Maître, Monsieur le Marquis, pourra supporter très longtemps encore de telles fautes ?
La femme frappait à la volée et à l’aide d’une cravache, un homme nu prostré au sol. Ses mains enveloppaient son visage afin de le protéger.
- Tends ton cul, chienne !
- Alors Marie, il semblerait que tu aies des soucis avec l’esclave e6934 MDE !
- Oui, un bon à rien, tout juste bon à se faire enculer et encore… Il vient de renverser une partie de la soupe que j’avais concoctée pour les salopes du chenil…
La cravache cingla l’air une fois ou deux encore et s’abattit ici ou là sur le corps de ce malheureux.
- Relève-toi et va servir ces chiennes affamées, maintenant !
Trois gamelles étaient posées dans une espèce de mangeoire de bois. e6934 MDE, avec moult précautions les remplissit à l’aide d’une louche : une espèce de bouillie compacte bien peu appétissante. Compelled saisi par le collier était avancé vers cette mangeoire quelque peu originale. Une fois la tête engagée dans un espace en demi-cercle, une planche au-dessus de sa nuque était rabattue. Ainsi coincé, dans ce carcan, le nez dans l’écuelle, compelled compris qu’il devrait manger ainsi, sans l’aide de ses mains, dans une posture bien peu confortable. Mais compelled n’avait pas tout imaginé encore, Il allait vivre la pire des humiliations. A peine avait il reçut l’ordre de manger, qu’il sentit couler sur ces cheveux un liquide tiède. Il tenta d’échapper à ce jet dru, en vain ! En levant quelque peu les yeux, il comprit bien vite que son geôlier était en train de lui pisser dessus, et bien son urine finissait dans sa gamelle.
- Mange salope ! Tels furent les simples ordres reçus.
Affamé, compelled se plia aux ordres, mais à peine avait-il trempé les lèvres dans cette infâme pitance, qu’il sentit qu’une main lui saisit sans ménagement les couilles. Il sursauta et se heurta la tête au carcan. Cette main agile et experte, lui empoigna sa virilité fermement en les tirants vers le haut.
- Enfin, cette salope s’est décidée à venir se faire dresser, il était temps ! Depuis combien de temps nous l’attendions ?
C’était une voix féminine, celle qui se prénommait Marie ! Sans lâcher les attributs mâles de compelled, elle reprenait en dictant des ordres au gardien du chenil.
- Il sera présenté ce soir à Monsieur le Marquis d’Evans. Walter viendra le récupérer vers 19 heures, il devrait être prêt !
Compelled ne comprit rien du discours tenu. Pourquoi l’attendait-on ici depuis si longtemps ? Qui était ce Walter ? Que lui voulait ce Monsieur le Marquis d’Evans ?
Mais le plus incroyable, le plus surprenant pour compelled, c’est que, même choqué par la situation dégradante laquelle il se trouvait, il ne pouvait cacher sa forte excitation d’être ainsi humilié, animalisé, oui au plus profond de lui-même, quelque chose lui procurait cette sensation si agréable, un immense plaisir en lui-même qu’il ne saurait expliquer, de se sentir ainsi avili et si heureux de l’être…
(A suivre …)
Des larmes coulèrent encore sur le visage du soumis. Il était venu s’assoir face à Compelled. Son regard sembla désespéré, vide, creux, malgré des yeux d’un bleu soutenu. Il était mince, mais musclé, parut avoir un peu plus d’une trentaine d’année. Son corps parfaitement lisse et imberbe portait les stigmates de blessures récentes. Il n’avait pas de cheveux non plus, sans doute avait-il été rasé ? Il était assis sans pudeur, ses jambes entre-ouvertes ne dissimulaient en rien ce sexe flasque, reposant sur des testicules souples.
Elle, la jeune femme, était venue s’assoir tout près de compelled, comme pour trouver un peu de réconfort. Elle avait d’ailleurs posée son visage au creux d’une de ses épaules. Elle paraissait plus jeune, vingt-cinq ans maximum, un visage parfait, des yeux noirs charbon en amande, un nez quelque peu retroussé, des lèvres fines, une dentition parfaite, une chevelure fournie, épaisse, brune, cheveux mi- longs. Son joli corps était également très agréable à regarder, de petits seins fermes, des tétons redressés et tonics, une taille de guêpe, un fessier arrondi, de longues jambes fines. Elle non plus ne cachait pas son intimité. Totalement dépilé, sa vulve charnue laissait apparaitre de grandes lèvres rougeâtres sans doute encore meurtries par le traitement subi.
Les chiens s’étaient mis de nouveau à aboyer sauvagement, peu après, la porte du chenil s’ouvrait. Le gardien revenait vers ceux séquestrés à grands pas. Il ouvrit la cage, attrapa compelled par le collier, le tira jusqu’à lui, déverrouilla le cadenas maintenant la chaine à son collier, le sortit de la cage avec force et détermination, lui ordonna de se mettre à genoux, et une fois installé dans la posture ordonnée, lui plaqua le visage au sol.
- Ne bouge surtout pas salope !
Compelled trembla de tout son corps, il était bien incapable de faire le moindre mouvement. Un cliquetis annonça enfin la libération de ses poignets.
- A quatre pattes, maintenant chienne, et vous deux sortez de là et suivez-moi !
Bien difficile pour compelled de déambuler à quatre pattes dans ce sinistre couloir, à coté de ses deux congénères ayant eux aussi été contraints à se déplacer de la même manière, bien difficile aussi pour lui d’accepter une telle situation : Passer de la liberté d’action à la contrainte brutale et sévère, de n’être plus considéré comme un homme libre mais comme un simple animal, voire peut-être moins encore ? Un ressenti humiliant, dégradant, avilissant, un sentiment de honte, d’abjection, d’abomination l’envahissait, mais aussi, paradoxalement, devait-il se l’avouer, une prise de conscience d’une certaine excitation, pour preuve, un certain émoi physique bien incontrôlable, mais bien visible à son bas-ventre avec une petite érection, pas des plus tonitruante certes, mais tout de même ! Ce ressenti contraria Compelled : Par quel mécanisme mental pouvait-il trouver une forme de plaisir à se voir rabaissé et avili ainsi ? Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il le constatait, un jour, se rappelait-il, son Chef de Service, l’avait sévèrement humilié devant tous les collaborateurs de l’entreprise, le traitant de moins que rien, de petite bite minable, d’incapable, de tout juste bon à faire le larbin, et encore… Compelled avait reçu cette humiliation telle une violente claque en plein visage, mais avait également senti son sexe gonfler sous son pantalon de costume. Bien étrange sensation ! Et à chaque fois que son supérieur hiérarchique l’humiliait, il ne s’en privait pas le bougre, compelled à chaque fois percevait ce même ressenti…. Les trois chiennes, puisqu’ainsi les nommait-on, étaient maintenant à l’extérieur, dans un enclos grillagé, jouxtant le chenil !
- Vous pouvez vous soulager les chiennes ! lançait le geôlier
Compelled ne compris pas tout de suite le message dicté. Ce n’est qu’en voyant son congénère mâle lever sa jambe droite contre le grillage et uriner tel un chien, qu’il discernait l’annonce faite par le garde. La femelle, elle, accroupie, son fessier à quelques centimètres du sol, déféquait sans gêne ni retenue. Abasourdi, figé et stupéfait Compelled ne trouvait pas les mots justes pour décrire son malaise. La situation abominable et dégradante avait atteint un summum. Lui, serait incapable de se soulager ainsi, il lui fallait un minimum d’intimité pour cela.
- Alors salope, ne veux-tu point pisser ?
Le garde s’était approché de compelled toujours à quatre pattes, lui attrapait la queue, lui la massait et la branlait tranquillement et ce qui devait arriver, arriva…
- Mais on dirait que tu aimes çà la chienne, tu es une sacrée salope toi, dès qu’on te tripote un peu tu te mets à bander, tu es une vraie pute en fait !
Ces mots n’étaient point faits pour calmer les ardeurs de compelled, il le savait, l’humiliation l’excitait.
- je saurai calmer tes bandaisons intempestives, sois en sûr, pour l’heure, je veux et j’exige que tu pisses là, immédiatement !.
Voyant que la situation pouvait tourner très vite au vinaigre, compelled dans un ultime effort se mit à pisser en faisant abstraction de tout l’environnement. Pas simple pour lui d’uriner avec ce sexe encore érigé, un premier jet dru lui avait inondé l’abdomen, un second ses mains posées au sol, il aurait bien dû suivre l’exemple de son congénère mâle et lever une jambe pour se soulager… A la fin de sa miction, il reçut deux sévères claques sur son postérieur :
- Ca, c’est pour que tu saches qu’ici, lorsqu’un ordre est donné à un esclave, il doit être exécuté dans l’instant !
Compelled surpris n’avait pu réprimer ni soubresauts, ni plaintes, il s’attendait au pire. Il n’en fut rien. Surpris fut-il aussi, par ce mot utilisé : esclave ! Ce qualificatif le terrorisait, est-ce cela qu’il allait devenir ici, il ne le voulait certes pas.
- Allez suivez-moi, la soupe va vous être donnée
La déambulation jusqu’à un petit abri au fond de l’enclos se fit comme à l’aller en quadrupédie, le garde ouvrit la porte. A l’intérieur, une femme vociférait des mots envers un autre esclave :
- Tu n’es qu’un incapable, combien de temps te faudra-t-il pour être parfaitement dressé et accomplir à la perfection les ordres donnés et éviter les maladresses ? Crois-tu que Le Maître, Monsieur le Marquis, pourra supporter très longtemps encore de telles fautes ?
La femme frappait à la volée et à l’aide d’une cravache, un homme nu prostré au sol. Ses mains enveloppaient son visage afin de le protéger.
- Tends ton cul, chienne !
- Alors Marie, il semblerait que tu aies des soucis avec l’esclave e6934 MDE !
- Oui, un bon à rien, tout juste bon à se faire enculer et encore… Il vient de renverser une partie de la soupe que j’avais concoctée pour les salopes du chenil…
La cravache cingla l’air une fois ou deux encore et s’abattit ici ou là sur le corps de ce malheureux.
- Relève-toi et va servir ces chiennes affamées, maintenant !
Trois gamelles étaient posées dans une espèce de mangeoire de bois. e6934 MDE, avec moult précautions les remplissit à l’aide d’une louche : une espèce de bouillie compacte bien peu appétissante. Compelled saisi par le collier était avancé vers cette mangeoire quelque peu originale. Une fois la tête engagée dans un espace en demi-cercle, une planche au-dessus de sa nuque était rabattue. Ainsi coincé, dans ce carcan, le nez dans l’écuelle, compelled compris qu’il devrait manger ainsi, sans l’aide de ses mains, dans une posture bien peu confortable. Mais compelled n’avait pas tout imaginé encore, Il allait vivre la pire des humiliations. A peine avait il reçut l’ordre de manger, qu’il sentit couler sur ces cheveux un liquide tiède. Il tenta d’échapper à ce jet dru, en vain ! En levant quelque peu les yeux, il comprit bien vite que son geôlier était en train de lui pisser dessus, et bien son urine finissait dans sa gamelle.
- Mange salope ! Tels furent les simples ordres reçus.
Affamé, compelled se plia aux ordres, mais à peine avait-il trempé les lèvres dans cette infâme pitance, qu’il sentit qu’une main lui saisit sans ménagement les couilles. Il sursauta et se heurta la tête au carcan. Cette main agile et experte, lui empoigna sa virilité fermement en les tirants vers le haut.
- Enfin, cette salope s’est décidée à venir se faire dresser, il était temps ! Depuis combien de temps nous l’attendions ?
C’était une voix féminine, celle qui se prénommait Marie ! Sans lâcher les attributs mâles de compelled, elle reprenait en dictant des ordres au gardien du chenil.
- Il sera présenté ce soir à Monsieur le Marquis d’Evans. Walter viendra le récupérer vers 19 heures, il devrait être prêt !
Compelled ne comprit rien du discours tenu. Pourquoi l’attendait-on ici depuis si longtemps ? Qui était ce Walter ? Que lui voulait ce Monsieur le Marquis d’Evans ?
Mais le plus incroyable, le plus surprenant pour compelled, c’est que, même choqué par la situation dégradante laquelle il se trouvait, il ne pouvait cacher sa forte excitation d’être ainsi humilié, animalisé, oui au plus profond de lui-même, quelque chose lui procurait cette sensation si agréable, un immense plaisir en lui-même qu’il ne saurait expliquer, de se sentir ainsi avili et si heureux de l’être…
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