Compelled au Château - Suite de l'épisode N°429 - histoire érotique

Compelled au Château - Suite de l'épisode N°429 -
- Baise moi les pieds, espèce de chien MDE bon à être dressé… Remercie moi, espèce de vermine obéissante, n’oublie jamais ta place d’esclave, tu vis désormais exclusivement pour me satisfaire, rien n’est plus important pour toi ! Intima le Maître à compelled MDE, sitôt la punition terminée.

Le chien soumis tomba à genoux, le regard bas, puis posa délicatement ses lèvres sur chacun des pieds du Maître en signe d’une profonde reconnaissance et déposa un doux baiser puis resta prosterner ainsi, cul relevé, lombes cambrées, devant tous les esclaves présents, jusqu’au moment où le Maître lui ordonna de se lever et d’aller se mettre debout face contre le mur, mains sur la tête, cuisses bien écartées. Tel un enfant au piquet, humilié, rabaissé, il entendit quelques murmurent d’esclaves quittant la vaste pièce.

- Silence les chiennes ! ordonna un garde.

Marie, la perverse cuisinière était la seule à être restée près du Maître. Elle s’approcha de compelled MDE, lui empoigna ses deux lobes fessiers, les lui écarta, se pencha et fixa son regard sur ce qu’elle appela le trou à bites de l’esclave… Elle en resta là, relâchant les fesses de compelled MDE, murmura quelques mots à Monsieur le Marquis et s’en alla. Cette humiliation, presque banale, après ce qu’avait vécu compelled MDE au cours de cette journée, l’excita et le fit bander. A l’évidence, il aimait l’obéissance, se sentir dépossédé de son corps, n’être qu’un vulgaire objet, n’être qu’une vermine comme le lui avait dit le Maître quelques instants plus tôt. Les images de sa vie d’homme revenaient à toute vitesse dans son cerveau enfiévré. Il comprit que son destin n’était autre que cette transformation de son plein gré, d’une vie différente : Un chemin de croix masochiste où chaque étape mûrement réfléchie et consentie allait sceller un peu plus sa descente vers la dégradation. Et ces étapes suivies d’autres, plus intenses, plus sauvagement jouissives, où les codes sociaux seraient dissous lui permettraient d’atteindre cette transgression voulue et assumée désormais !

Monsieur le Marquis s’approcha de ce chien en rut, lui attrapa fermement la queue, le branla quelque peu, puis entraina compelled MDE toujours mains sur la tête, en le maintenant ainsi à travers un long couloir capitonné d’une luxueuse moquette murale de couleur bordeaux et d’épais tapis d’Orient au sol. Sur ces murs de chaque cotés étaient exposés des tableaux anciens : Une galerie de portraits des ancêtres du Maître des Lieux. Tous les Marquis d’Evans étaient représentés avec, pour chacun un grand portait encadré. Oui ils y étaient tous, depuis le tout premier Marquis en 1625 jusqu’à nos jours. Il eut l’impression que ces visages immobiles, aux regards fixes et Dominateurs, aux yeux tous bleus pétillants le regardaient défiler au milieu d’eux. Impossible pour compelled MDE de réprimer une bandaison plus forte encore. Son sexe comprimé entre ces doigts cherchait désespérément à s’échapper de cette main ferme. Mais Monsieur le Marquis sentant ces frémissements comprimait un peu plus cette queue gonflée de désir. Monsieur le Marquis poussa une lourde porte en bois massif, et sculptée aux Armoiries de cette Noble Famille. Lui et compelled MDE entrèrent dans une des pièces les plus célèbres du Château : La fameuse et Grande Bibliothèque du Château !

- A genoux chien !

Pas le temps pour compelled MDE d’admirer, ces boiseries luxueuses couvrant les murs de cette vaste pièce, encore moins de regarder les multiples ouvrages anciens voire très anciens et d’autres plus contemporains, soigneusement rangés dans des rayonnages couvrant les trois autres murs de la pièce et jusqu’au plafond … Des milliers de livres étaient exposés ici et ce depuis plusieurs siècles et cette bibliothèque s’enrichissait régulièrement de nouveau et onéreux livres depuis plus de 3 siècles d’existence…
- T’ai exigé d’ôter tes mains de dessus ta tête ?

compelled MDE se repositionna immédiatement, un peu honteux, le regard un peu plus bas encore, pour exprimer de plates excuses. Monsieur le Marquis prit place dans un fauteuil crapaud capitonné en velours gris Venise, face à celui qui marquait sa servilité et son désir d’appartenir. A ce moment précis, entrèrent, Monsieur le Majordome, Madame la Cuisinière, Monsieur le Médecin et enfin Monsieur Alain. Tous quatre restèrent debout, bras croisés, justes de part et d’autre du Maître.

- Relève la tête chien MDE et regarde-moi. Lui ordonna le Maître
Difficile pour compelled MDE de soutenir ce regard captivant et appuyé, il ressentit un certain malaise, une sensation dérangeante, un regard droit, convainquant, motivant et fascinant.

- Nous avons à te parler chien MDE, écoute bien ce que nous avons à te dire.

compelled MDE tremblant et impressionné hocha de la tête en signe d’approbation.

- Nous cinq, nous nous sommes réunis deux longues heures cette fin d’après-midi, à ton sujet. Nous avons eu un long débat animé quant à ta volonté de m’appartenir, corps et âme. Chacun de nous cinq, avons analysé les éléments de faisabilité et ta capacité à devenir un esclave MDE, à ta volonté à t’engager librement avec fermeté, près de moi sur les rudes chemins de la soumission. Dois-je t’avouer que nous avons été stupéfaits par le soin avec lequel tu t’es laissé conduire jusqu’alors. Tu sembles déterminé et résigné à vivre, ce pourquoi tu es fait. Nous avons analysé l’intensité et la rigueur que tu mettais à notre service, à ta capacité à souffrir en te donnant à la lanière de mon fouet. Nous en sommes fiers et heureux.

Le Maître se tut quelques instants, laissant juste le temps à compelled MDE de déglutir un trop plein de salive tant il était ému. Monsieur le Marquis reprit :
- Puisse qu’il en est ainsi, chien tu es, chien tu vas m’appartenir, pendant un mois minimum, en quelque sorte une période d’essai. Pendant ce mois, tu vas de dévouer à Moi, totalement, entièrement, te donner de ton plein gré, quels que soient les traitements que Je ou nous t’infligerons. Nous allons te faire découvrir ce qu’est le plaisir masochiste, ce qu’est une vie d’esclave MDE. Je suis certain qu’avec détermination tu sauras apprendre, tu sauras souffrir, tu sauras strictement obéir, tu sauras te donner. (Un silence glacial s’installa encore, puis le Maître reprit) Si cette période d’essai est concluante, comme je l’espère pour toi, comme nous l’espérons tous ici, tu deviendras alors définitivement Mon esclave MDE. A toi de nous montrer ta motivation, ta résignation, ta volonté, ton acceptation, ta confiance, ta soif d’appartenance, bref ton obéissante totale, j’ai bien dit TOTALE…
Les yeux de compelled MDE se remplirent de larmes. Impossible pour lui de cacher son émotion, elle le submergeait totalement. Le Maître se leva, s’approcha tout près de compelled MDE, il reprit la parole :
- Regarde-moi bien chien, redresse la tête !

Compelled MDE obtempéra rapidement, laissant rouler et couler ses larmes de joie sur ses joues.

- T’engages-tu librement, solennellement devant nous tous à respecter les règles de vie des esclaves en ce Château ? Acceptes-tu sincèrement à vivre en confiance la vie que je te réserve désormais ? A être de ton plein gré sous Mon joug et à subir TOUS ce qui te sera exigé dans une dévotion totale à Mon égard ?... Réponds chien ! (le ton devint plus ferme)
Avec des sanglots d’émotion plein la voix compelled MDE répondit :
- Ou… Oui …Maî… Maître Vénéré, je… J’accepte librement, totalement, sincèrement, votre entière et complète Domination. Je m’engage devant tous ceux présents ici à donner le meilleur de moi-même, à vous obéir strictement, à souffrir si tel est votre désir pour m’accomplir dans cette vie d’esclave près de Vous.

Le Maître attrapa compelled MDE par le menton, le souleva un peu plus encore le visage et lui posa un baiser sur le front.

- Désormais compelled MDE, tu es à Moi, ton corps et ton âme m’appartiennent, tu es Ma propriété absolue. Baises mes pieds et les pieds de tous ceux ici présents, en signe de ta profonde reconnaissance qui est évidente à deviner, à voir ton émotion via tes larmes....

Tel un chien affectueux, il chemina à quatre pattes, posa un baiser sur chacun des pieds des protagonistes et resta prosterné, cul en l’air, reins cambrés, pendant un long moment, se laissant palper et caresser en toute impudeur. Puis Walter l’attrapa par son collier, le fit se redresser, lui exigea de mettre les mains sur la tête une nouvelle fois, d’écarter les jambes. Monsieur le Marquis s’approcha, tenant en main une cage de chasteté, il prit la parole :
- La chasteté est une partie essentielle de ton entraînement à la soumission compelled MDE. A Mes côtés, tu ne jouiras pas souvent. Chaque orgasme est une récompense qui doit se mériter. Tu verras, ainsi, ta soumission progressera beaucoup plus vite. Viendra peut-être plus tard un temps où je t'accorderai la permission de me supplier pour un orgasme. Je te veux chaste et bien frustré.

Le Maître attrapa la nouille de compelled MDE, il ne bandait plus. Walter lui attrapa les bras, et les lui fit tenir dans le dos. Il sentit le métal froid d'un bracelet de menotte lui restreindre le poignet gauche. Puis ce fut le tour du poignet droit. Avec précision le Maître ajusta la cage, sorte de modèle réduit de l'impressionnant appareillage que compelled MDE avait déjà testé seul chez lui, un jour… L'opération l’intriguait. Avant de lui passer l'instrument, Monsieur le Marquis prît soin d'ajuster un filament argenté à l'intérieur. Sorte de petite boucle fermée de métal, elle s'insérait parfaitement dans de minuscules sillons ouvragés à l'intérieur des anneaux de la cage.

- Te voilà bien curieux compelled MDE, lui lança le Maître avec un sourire quelque peu narquois, ça, c'est le ‘’collet’’… Laisse-moi une minute et je te montrerais comment ça fonctionne!

Monsieur le Marquis avait ajusté le collet qui formait, selon les observations de compelled MDE, désormais trois boucles distinctes mais liées dans l'appareil. Le Maître n'eût plus qu'à positionner la cage désormais complète autours du pénis ramolli du chien soumis, et à serrer le tout. Un cliquetis distinctif faisait comprendre que l'appareil était désormais verrouillé autours de l'intimité de l’esclave. La taille en était parfaite, exactement à la mesure des dimensions du sexe qu'elle était censée contenir.

- Pour satisfaire ta curiosité, mon chien, le collet, ça sert à ça!

Joignant le geste à la parole, Le Maître empoigna la cage et tira dessus comme l'aurait fait un soumis désireux de l'ôter mais n'ayant pas possession des clés. Très vite, compelled MDE comprît l'effet du collet. La première boucle commençait déjà à se resserrer autour de son pénis, la seconde autour de ses bourses, et la troisième autour de l'ensemble. Monsieur le Marquis tira un peu plus, forçant pour l'exemple une évasion clairement hors de portée. La fine lame de métal flexible qui constituait le collet commençait désormais à meurtrir les chairs de compelled MDE. La douleur de cette morsure commençait à être insupportable. Le chien soumis MDE prît peur que le collet ne commence à lui entailler le corps.

- Ahhh, pitié Maître, arrêtez, je vous en prie…
Le Maître relâcha son étreinte sur la cage. Celle-ci revint en place sans difficulté. Le fil du collet rejoint les sillons qui l'accueillaient auparavant. Un autre cadeau fut donner à compelled MDE, Le Maître lui présenta un magnifique collier de soumis. En acier patiné à l’extérieur, il semblait être recouvert d’une épaisseur noire, probablement du cuir, à l’intérieur. Un mécanisme de verrou le maintenait à l’arrière et un anneau semblait incrusté dedans à l’avant. Mais ce qui retint le plus l'attention de compelled MDE, c'était les larges lettres incrustées dans la surface du métal. En capital, elles épelaient les Nobles Initiales « MDE » sans aucune équivoque. Le Maître ôta le collier de cuir et le remplaça par celui-ci. Les Armoiries des Evans étaient aussi incrustées sur ce nouveau collier.

- Voilà ce chien paré pour la nuit, Walter, je te laisse le conduire à Mon chenil, telle est sa place désormais.

A son arrivée en ces lieux, compelled MDE fut pris très rapidement et sans ménagement en charge par un gardien, une espèce de molosse, mal rasé et rustre. Il attrapa compelled MDE par l’anneau du collier, le fit s’agenouiller devant lui. Sans se presser, il dégrafa les boutons de sa braguette, sortit son chibre flasque et le pointa sur les lèvres de compelled MDE
- Suce chien !

Pas un mot de plus ! compelled MDE obtempéra sans la moindre discutions, il œuvra jusqu’au moment où le sexe dure du gardien se retira prestement de cette bouche obéissante.

- Ton cul, présente-moi ton cul, salope, vite !

Alors compelled MDE, s’agenouilla, se positionna en levrette, posa la tête au sol, écarta de ses deux mains les fesses, et se laissa prendre à sec et ramoner un long moment. Le gardien le pilonna sans ménagement, prenant son plaisir sans se préoccuper du chien soumis placé entre ses cuisses velues. Il brama tel un cerf en rut et éjacula par spasmes successifs tout en claquant les fesses du soumis.

- Tu m’as bien vidé les burnes salopes, elles en avaient besoin, redresse toi maintenant et suis-moi.

compelled MDE fut placé dans une cage, où se trouvait déjà, trois mâles endormis sur une espèce de paillasse avec une simple couverture rêche sur le dos. Il se glissa subrepticement au milieu d’eux, sans les réveiller… Un bras vint s’entourer autour de son cou, le mâle à sa droite lui susurra à l’oreille :
- Dors bien, p’tit frère…
compelled MDE se lova contre ce corps chaud et s’endormit rapidement totalement repu et épuisé.

(A suivre …)