D'une réunion d'Elus à la soumission - (suite)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : D'une réunion d'Elus à la soumission - (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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D'une réunion d'Elus à la soumission - (suite)
D'une réunion d'Elus à la soumission - (suite) -
Alors on lui enleva son bandeau ... Mais elle n’y voyait absolument rien pour autant, c’était la nuit totale ! On venait tout simplement d’éteindre la lumière juste avant le retrait du bandeau dans cette pièce en sous-sol qu’elle supposait être une haute cave voûtée. Puis elle entendit un bruissement de pas et un peu plus loin des vagues bruits de succions. Elle sentait une présence énigmatique à quelques centimètres d’elle. Des mains inconnues commençaient à se balader sur ses seins, sur son ventre pour remonter sur sa nuque, ses épaules et revenir sur ses tétons qui commençaient à réagir … En effet aussi bizarrement, cela l’excitait. Même si elle aurait voulu crier mais le bâillon était bien serré quand une voix qu’elle ne reconnut pas tout de suite se fit entendre à son oreille dans un murmure :
- Alors, comme ça on se caresse dans les couloirs ... Je vais vous montrer ce qu'il en coûte de faire ça dans ce château mais surtout d’être allée dans cette aile gauche qui vous avait été interdite d’accès
Mûriana reconnut alors la voix, c’était simplement celle de son hôte. Celui-ci poursuivit mais d’une voix plus forte au moment où la lumière revint ce qui fit instinctivement fermer les yeux de Mûriana :
- Regardez mes Amis, ce que je viens de trouver se caressant dans Mes couloirs... (puis à Mûriana) Et vous ne savez pas qu'il est interdit de se caresser dans Mes couloirs sans mon approbation ... ?
- Il faut que cette chienne en chaleur retienne la leçon, dit une voix à quelques mètres
A ces mots Mûriana osa enfin ouvrir les yeux pour se retrouver nue et exhibée à cette croix de Saint André face à une assemblée assise de Maîtres et Maîtresses qui l’observèrent avec des yeux ironiques. Quelle ne fut pas l’immense surprise pour Muriana de reconnaître parmi la dizaine de notables, qui l’a scrutait sous toutes les coutures, quelque uns des Elus de la réunion. La deuxième grosse surprise était de constater qu’ils étaient tous assis sur de confortables fauteuils et que pour chacun d’eux, il y avait une esclave agenouillé entre leurs jambes et qui suçait ou léchait avidement le sexe de la Maîtresse ou du Maître confortablement installés. Le Marquis d’Evans reprit la parole :
- Attendez mes amis ! Vous savez que je n’ai jamais obligé qui que ce soit à faire quoi que ce soit …Pour que cette chienne retienne la leçon, il me faut son consentement…
Alors le Noble enleva le bâillon, Mûriana impressionnée ne disait rien car elle sentait son bas ventre s’humidifier grandement à la vue de ces esclaves qui continuaient comme si rien n’était à pratiquer leur fellation. Elle ne pouvait pas retirer son regard fixé sur cette scène obscène. Et plus la situation évoluait plus elle sentait l’excitation monter en elle ce qui lui fit tortiller légèrement les hanches d’envies. Cela n’échappa pas au Marquis qui voulait profiter de cette situation pour la soumettre. Il fixa alors d’un regard bleu les yeux de la belle et lui dit sur un ton à la fois doucereux et ferme :
- Un seul mot négatif de ta part et tu seras libre de regagner ta chambre et tu oublieras tout cela. Si dans les secondes qui vont suivre tu ne dis aucun mot, cela voudra dire que tu consens à te faire dominer par notre assemblée. Réfléchit bien mais réfléchit vite, je te donne 30 secondes…
Durant les trente secondes le silence tomba, seul quelques bruits de succions des esclaves se firent entendre. Mûriana était tortillée entre l’envie d’hurler et de pouvoir ainsi partir à toutes jambes et l’envie de rester tant elle commençait à dégouliner de plaisirs entre ses jambes. Pendant tout ce temps le Marquis d’Evans, immobile face à elle, n’avait pas retiré son regard la fixant droit dans les yeux et elle en fut si troublée au point de baisser ses yeux sans dire un mot. Ce regard si troublant mais si parlant avait finit par vaincre les dernières craintes de Mûriana quand les 30 secondes furent passées.

- Alors ma chère ? Tu ne dis aucun mot, l'évidence est là ! Tu es à partir de cet instant mon esclave. J’exige que tu me le confirme par un ‘’Oui Maître’’ car à partir de cette seconde tu m’appelleras ainsi.

Quelques instants encore d’hésitation puis Mûriana osa relever son regard et comme hypnotisée par l’envie, elle laissa échapper un faible :- Oui Maître, dit-elle sur un ton timide- Plus fort, j’ai mal entendu- Oui Maître, dit la belle cette fois sûre de ce qu’elle affirmait- Alors soit ce que tu dois être. Et reçoit ce collier qui sera le symbole de ta soumission.

Il sortit un collier d’où on ne sait où et l’apposa autour du cou de Sa nouvelle soumise.

- Qu’on la détache de cette croix et qu’on me l’amène sur le grand lit mais toujours avec ses poignets entravés
En effet derrière les fauteuils des Maîtres et Maîtresses, un grand et large lit trônait sur une estrade et c’est totalement impudique et attachée que Mûriana fut amenée et couchée sur ce vaste lit par deux esclaves noirs qui jusque là étaient restés en retrait. Ses liens commençaient à la faire un peu souffrir mais elle ne pouvait pas s’en plaindre. Son nouveau Maître et les deux hommes s’installèrent sur le lit suite au signe de la main du Marquis les invitant à venir se joindre à lui. Un se plaça au dessus de son visage. Et sans préambule, il lui fourra aussitôt son sexe bandé dans la bouche. Son nouveau Maître lui dit- Allez, applique-toi à bien le sucer. Montre nous quelle bonne soumise tu peux être ».

Elle s’appliqua alors à sucer l’homme, avec passion et gourmandise pour bien montrer à quoi elle s’était engager avec son ‘’Oui Maître’’ exprimé à toute l’assemblée. Durant cette fellation, son Maître positionna un gode dans sa chatte qui se mit à vibrer lentement, puis de plus en plus vite. Elle essayait de se concentrer sur la fellation qu’elle prodiguait mais son corps était envahi par des vagues de jouissance. Elle allait ‘gicler’ son plaisir. Mûriana essayait de se contenir mais ne put résister longtemps. Elle inonda le drap. Son Maître le Marquis lui dit sur un ton sec :
- Je ne t’ai pas autorisé à jouir.... Aidez-moi à la détacher. Nous allons la punir comme il se doit ». Mûriana se retrouva détachée très rapidement.

Alors le Marquis d’Evans l’attrapa par les cheveux et l’a mit sur Ses genoux, fesses en l’air. Il dit à un des deux hommes de prendre le martinet pour lui administrer la correction qu’elle méritait. Puis s’adressant à la belle soumise :
- Tu vas compter jusqu’à 25.

Il commença par lui donner une bonne fessée. Mûriana ne put retenir un cri quand sa main s’abattit plus fortement sur ses fesses.

- Je n’ai rien entendu. Je t’ai demandé de compter. Puisque c’est ainsi, tu vas te prendre 50 coups Allez, petite chienne, je veux t’entendre compter haut et fort
Sa main lui claqua les fesses une seconde fois. « Un » cria-t-elle, puis ce fut un coup de martinet et ainsi de suite. Arrivé à 50, elle ne sentait plus ses fesses tellement elle étaient rougies. Son Maître l’agrippa par les cheveux de nouveau et lui exigea de se mettre à 4 pattes par terre. Le Marquis d’Evans s’exclama aux autres Maîtres.

- Qui veut commencer à bourrer cette chienne ?

Un des deux se glissa sous elle, lui plaqua les mains sur les fesses et l’empala violemment. Son Maître proposa à l’autre homme « Baise lui bien la bouche ». L’homme ne se fit pas prier et se mit à genoux et lui colla son sexe dans la bouche. Le Noble Marquis vint s’installer derrière elle. Il lui enfonça un doigt lubrifié dans l’anus. Puis au bout d’un long moment le temps de bien la dilater par des vas et viens anaux, elle sentit le sexe de son Maître à l’entrée de son anus. Il l’attrapa par les cheveux et la tira vers lui, pendant qu’Il la pénétrait d’un coup après avoir préalablement lubrifié sa capote et de nouveau le trou du cul de Mûriana. Ses trous avaient tellement été bien préparés, dilatés qu’elle ne ressentit aucune souffrance mais juste du plaisir. Elle était totalement excitée. L’idée d’être une véritable chienne et de se faire remplir ses 3 trous en même temps la rendait folle. Le Marquis demanda aux hommes de retenir leur jouissance car il souhaitait que tous les trois lui giclent dessus en même temps. Les pénétrations, anale et vaginale, allaient rapidement lui donner la jouissance qu’elle attendait depuis qu’elle avait exprimé le fatidique ‘’Oui Maître’’.

Quand tout d’un coup, Mûriana poussa des cris de jouissance de véritable chienne qui laissait exploser son orgasme. Le châtelain se retira et ordonna aux hommes d’en faire autant et à Sa soumise de s’allonger par terre. Ils se placèrent tous les trois au dessus d’elle, se masturbèrent et éjaculèrent sur son visage et ses seins. Son maître lui ordonna de promener ses mains sur ses seins et son visage et d’étaler les spermes pour ensuite de se sucer les doigts. Puis, il lui ordonna aussi de se masturber. Sa main descendit alors le long de son ventre pour arriver à sa fente. Mûriana avait les doigts poisseux du mélange des 3 liqueurs des hommes. Elle commença à se caresser le clitoris. Il était encore tout gonflé du plaisir qu’elle avait ressenti et qu’elle ressentait encore d’être ainsi humiliée et utilisée. Le Marquis lui dicta « Fourre-toi un doigt dans ta chatte, petite chienne », ce qu’elle s’empressa de faire. Voir Son Maître et les deux hommes l’observer l’excitait beaucoup.

- Mets tous les doigts de ta main dans ta chatte. Regarde comme tu es dilatée. Tu es une véritable chienne et nous allons encore te baiser. Prends ce vibro et enfonces le dans ton trou de chienne ».

Mûriana s’empara du vibro qu’Il lui tendait et se l’introduit aussitôt. Le vibro rentra sans difficulté. Pendant qu’elle maniait avec dextérité son vibro, un des hommes se pencha au dessus d’elle et vint la lécher. Sa langue sur son clitoris et le vibro dans la chatte lui procurèrent rapidement du plaisir. Elle sentait sa chatte couler à flots. Son Maître avait de nouveau le sexe érigé, comme les deux hommes d’ailleurs.

- Nous allons te défoncer à tour de rôle, ma chienne et cela devant notre noble assemblée ici présente et je peux t’assurer que demain tu te souviendras encore de nos assauts. Mets-toi à 4 pattes tout de suite lui ordonna-t-il. C’est moi qui va commencer à te fourrer.

Mûriana s’exécuta. Le Marquis d’Evans commença à la labourer de puissants coups de reins. Il la remplissait jusqu’au fond de son vagin. Il se retira et laissa la place à un des hommes, qui la défonça avec la même virilité. A tour de rôle, ils la prirent ainsi pendant de longues minutes. Son sexe n’était que plaisir, tellement elle se faisait défoncer. Elle ne savait même plus qui la prenait, si c’était Son Maître ou les deux hommes. Ils déchargèrent leur semence à tour de rôle dans son sexe, puis allèrent s’allonger sur le lit, comme venait de le demander le Maître des lieux. Là, il exigea à Sa soumise « Lève-toi, chienne et vient nous nettoyer la bite à tour de rôle ». Mûriana se leva. Son entrejambe n’était que inondation de mouille et de spermes. Elle commença par Son Maître, le prit en bouche et le lécha doucement. Mûriana s’attarda longuement sur son gland. A petits coups de langue, elle se régala de son sexe. Elle aimait le sucer. Elle le savourait et ne s’en lasserait jamais, elle le savait en elle même
Elle entendait les soupirs de Son Marquis et sentit son sexe durcir dans sa bouche. Il lui ordonna alors :
- Suce nos hôtes. Ils le méritent bien.

Mûriana passa au premier homme et recommença son travail. Ensuite vint le tour d’un deuxième homme. Elle sentait son excitation inonder de nouveau le drap. Son Maître s’en aperçut et lui dit qu’elle n’était qu’une insatiable chienne. Le Marquis d’Evans l’agrippa alors par les hanches, l’attira vers lui et l’empala sur son sexe érigé et bien dur de nouveau. Elle n’avait plus la force de bouger et avait le sexe en feu mais elle ne broncha pas et s’abandonna totalement entre les mains de Son Maître. Elle pensait qu’elle ne jouirait pas tellement car elle avait un peu mal mais à force de mouvements, mais le châtelain la fit jouir encore une fois, en même temps qu’il déchargea sa semence.

- Remercie Moi à genoux puis tu prendras cette porte et tu trouveras au fond du couloir la salle de bain N°5 et tu iras te laver. Tu l’as bien mérité. Ensuite tu resteras nue pour le dîner. Dîner que tu passeras à Mes pieds sous la table à me sucer.
- Maître, Je vous remercie pour ce que vous avez fait de votre nouvelle chienne. Vous venez de bouleverser ma vie car j’ai toujours rêvé d’être une soumise sans jamais le dire à personne et le hasard a voulu que ce soit ce soir que ce vieux rêve devienne réalité, je vous en suis infiniment reconnaissante, dit Mûriana agenouillée
Puis sans un mot de plus, elle se dirigea donc vers la porte, la franchit pour traverser le couloir du sous-sol et entrer dans la salle d’eau et se glissa sous une douche bien chaude. L’eau qui coulait sur son corps lui fit du bien, elle était bien, elle avait un sentiment de bien-être incroyable et levant la tête au plafond comme pour voir le ciel sombre et pluvieux, elle pensa :
- Merci la météo, merci Madame destinée, Merci à mon nouveau Maître, Monsieur le Marquis d’Evans...

Quelques temps après : Un SMS, juste un petit SMS : « Je serai là à 14 heures. » Comment a-t-Il su que je serai seule chez moi ce jour là ? J’ai certainement du laisser échapper ce détail au cours de nos échanges. Il sera là à 14 heures… Il est 9 heures, que dois-je préparer pour Le recevoir ? Comment dois-je me préparer ? …
Je ne l’ai pas revu depuis cette réunion sur Ses terres et cette mémorable nuit dans son château. Cette nuit où j’ai accepté de devenir sa soumise. Nous avons, en revanche, beaucoup discuté et je lui obéis de plus en plus en dépit de la distance. J’ai vraiment envie de Lui plaire, de Le satisfaire, de répondre à Ses désirs, à Ses volontés. Je dois me préparer et je dois rendre ma maison accueillante, je dois tout prévoir pour être totalement disponible, attentive à Ses désirs et prompte à les réaliser. Je commence alors à ranger frénétiquement mon appartement, ne laissant rien traîner, ne laissant rien au hasard. Et s’Il avait faim ? Je n’ai rien qui convienne. Vite, j’attrape mon manteau et file faire des courses. Quelques mets fins chez le traiteur, du champagne chez le caviste et me voilà revenue chez moi. Il est 11 heures. Bien, maintenant je dois me préparer. Je me fais couler un bain parfumé pour me détendre et me préparer à sa venue. Sortie de mon bain, je vérifie mon épilation, tout va bien. Je me parfume, me maquille légèrement, enfile mes bas et une petite robe, sans sous vêtements. Mon Maître aime que je n’aie pas de culotte… Il me reste plus d’une heure avant son arrivée, je tourne en rond…quand une idée me vient. Je dois absolument m’imprégner de sa visite, je dois me mettre en état de soumission….

J’enlève ma robe, règle mon réveil pour une heure de temps. Je vais maintenant pouvoir m’adresser à Vous, directement et non à Lui. Je vais donc refaire la punition que Vous m’aviez un jour ordonnée lors de nos échanges. Je vais donc m’enfermer, nue, dans le placard les yeux bandés. Debout, je m’incline et commence à chuchoter, doucement et lentement : "JE SUIS LA SOUMISE DE MON MAITRE LE MARQUIS D'EVANS, HEUREUSE DE L'ETRE ET JE SAIS QU IL FERA DE MOI UNE BONNE SOUMISE" … L’heure passe … Sonnerie. Je sors hagarde du placard, enfile de nouveau ma petite robe et me mets à genoux dans l’entrée. Au bout d’un moment, la sonnette de la porte. Je me précipite pour Vous ouvrir, tremblante. J’ai le souffle court en vous ouvrant la porte, Votre regard me fait instantanément baisser les yeux. Vous prenez immédiatement le pouvoir Maître.

- Maître, je suis si heureuse de Vous voir. Voulez Vous quelque chose à boire ?
- Mûriana, ce n’est pas ce que j’attends de toi à ce moment …
Alors, vous me fixez une laisse à l’anneau mon collier. Vous refremez la porte derrière vous. Cette fois ci, on ne va plus jouer avec les mots. Vous Vous asseyez dans le fauteuil Voltaire de l’entrée, me tenant par ma laisse à vos genoux. Je sais ce qu’il me reste à faire. Je me dois de Vous saluer comme Vous l’attendez d’une bonne petite chienne. Je vous dégrafe le pantalon en entreprends une longue fellation pour Vous prouver ma soumission, Vous dire qu’à partir de cet instant je suis à Vous et Vous obéirai sans poser de question. Votre sexe puissant, Maître, envahit rapidement la bouche vient taper au fond de ma gorge au rythme que Vous m’imposez en me tenant la tête de Vos deux mains. Que j’aime cette sensation d’être à Vos pieds, à votre service Et Vous jouissez, Maître et j’avale Maître, je Vous goûte avec plaisir. Vous me bandez les yeux, me bâillonnez fermement et me tirez par ma laisse dans le salon dont je reconnais la douceur du parquet. Mon Maître, d’une main douce sur la nuque, Vous me forcez à m’incliner, à l’équerre sur la table et m’écartez les jambes en remontant ma robe sur mon bassin. Vous me prenez les deux mains, me les ligotez aux pieds de la table. Puis Vous me dites d’un ton sévère :
- Je vais visiter ta cuisine, ne bouge pas !

J’entends vaguement des bruits de cliquetis dans la cuisine, que faites Vous ? Qu’y cherchez Vous ? Puis Vos pas, calmes. Je Vous sens derrière moi. Une claque s’abat sur mes fesses, puis une seconde et encore une autre. Je les compte mentalement, ne pouvant prononcer un mot avec le bâillon. Plus de vingt, ma croupe doit rougir. Votre autre main s’approche de mon visage, je sens une odeur qui m’est familière… du gingembre ! Je comprends soudain ce que Vous allez me faire. Vous me frottez la vulve avec un morceau de gingembre fraîchement coupé ! Vous vous attardez sur les lèvres, tournez autour du clitoris, effleurez l’entrée de ma grotte… Vous vous appliquez, sans dire un mot mais Vos gestes ne tolèrent aucune contradiction. Attachée comme je le suis, je ne peux que subir ce cuisant plaisir. J’ai la chatte en feu. Je Vous sens m’écarter les lobes, je sens quelque chose de très fin s’introduire dans ma rosette, puis un autre et encore un autre… Maître, Vous me travaillez comme un plat asiatique ? Vous m’écartez progressivement avec des baguettes ? Une sonnerie ? La porte ? Je sens que Vous me jetez une couverture sur le corps. Vous vous éloignez …
(à suivre)

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