DANS LES BOIS...
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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DANS LES BOIS...
Dans les bois...
Salut, moi c'est Nico, 18 ans, grand, maigre, rouquin avec des tâches de rousseur sur le visage. Mes cheveux en bataille et mon look négligé font que l'on ne s'attarde pas trop sur moi. Dommage, car j'adore baiser des mecs.
Je traîne souvent avec Phil, un punk de trois ans mon aîné. Il est couvert de piercing et de tatouages. Une vraie BD ambulante. Autant je suis fluet, autant lui a un physique de déménageur. Il est typé méditerranéen, limite maghrébin. Malgré sa crête d'Iroquois et son look destroy, c'est fou ce qu'il emballe comme gars.
Car lui aussi est pédé et lui aussi aime les types plus âgés avec une prédilection pour les papas hétéros. Comme c'est pas facile d'en trouver des open et que ceux qui nous branchent sont hors de portée, on a mis au point un stratagème, mon pote et moi.
On les enlève, tout simplement. On les séquestre quelques heures puis on les relâche. Le plus souvent dans la nature. Au début, ils sont réticents, voire même hostiles mais grâce à notre savoir-faire ils deviennent vite accros. Certains même, en redemandent.
Au fil du temps, on a affiné notre stratégie. On les repère à la sortie des écoles, dans les piscines municipales ou autour des terrains de foot pendant que leurs mioches courent après un ballon.
Aujourd'hui, nous avons pris mon camion et sommes partis en vadrouille. Ça fait deux semaines qu'on s'est rien enfilés et on a les couilles pleines. Je sens Phil de mauvais poil, irrité au possible. Il faut qu'il vidange sinon ça va finir par exploser. Et quand il pète un câble, vaut mieux pas se trouver sur sa route.
- Tu es sûr que c'est un hétéro?
- Oui, je te dis. Ça fait trois jours que je le piste. Chaque matin, il dépose son fils à l'école puis enchaîne par un footing en pleine forêt.
Je vois mon pote se toucher les roustons.
- Intéressant tout ça. Et il coche tous nos critères?
- Totalement. La trentaine, corps souple et musclé vu qu'il fait du sport. Une gueule d'ange avec une petite barbe de trois jours soigneusement entretenue et une bonne bouche à pipes.
- Putain arrête, tu me fais triquer. Et on la trouve où, cette merveille?
- Au bois des Actives. D'ailleurs, à cette heure-ci, il doit être en train de courir.
Ni une, ni deux, on se rend au lieu-dit. C'est un endroit paumé, loin du site aménagé pour les familles. Des arbres à perte de vue où serpentent des sentiers balisés.
- T'es sûr qu'il est là?
- Certain. Je lui saisis soudain le bras. Tiens, regarde, le voilà.
On voit apparaître au loin un type en jogging au jambes finement musclées. Une bonne trentaine, dans la force de l'âge. Un regard de play-boy digne des couvertures de mode. Brun, aux yeux bleus, des cheveux courts taillés en brosse. Une silhouette de jeune premier.
- Putain, il me le faut.
Phil sort le matériel que nous avons embarqué avec nous. Cordes, bâillons et du chloroforme pour endormir notre proie.
Nous le laissons terminer son parcours et pendant qu'il se penche pour récupérer de ses efforts nous lui sautons dessus et l'immobilisons. Phil est une montagne de muscles, ça ne pose aucun problème. Jusqu'à présent, personne ne lui a résisté. Et surtout pas celui-là. C'est qu'il a faim, mon pote et c'est un morceau de choix qui s'offre à nous.
On roule tous les trois dans l'herbe et avant qu'il n'ait eu le temps de réaliser ce qui lui arrivait, je plaque le chiffon imbibé sous ses narines et attend qu'il veuille bien inhaler le contenu. Ça ne prend pas longtemps. Trente secondes après, notre beau papa hétéro dort comme un nouveau-né.
On le charge dans le véhicule et direction la ferme abandonnée qu'on squatte de temps à autre. C'est une vielle bâtisse sans toit dans laquelle on a aménagé une croix de torture avec des sangles à chaque extrémité pour attacher les pieds et les mains.
On le positionne sur la croix et on lui bande les yeux. Il ne faudrait pas qu'il nous reconnaisse en cas de mauvaise rencontre. Il est encore inconscient, la tête inclinée sur le côté. On lui a retiré son débardeur mais j'ai tenu à ce qu'il garde son slip. Le coton moule bien sa bite au repos. Je vois Phil saliver mais aujourd'hui, c'est moi qui passe en premier.
- Bordel Nico, laisse-le moi. J'ai trop envie, là!
- Pas question, ça fait déjà deux fois que je passe mon tour.
Il roule de gros yeux pour m'intimider, mais ça ne marche pas avec moi.
Progressivement, le beau brun ténébreux revient à lui. Il prend conscience qu'il est attaché, tente de se libérer. En vain. Le bandeau sur ses yeux ajoute à son angoisse. C'est toujours jouissif de voir un homme pris dans les mailles de notre filet. Avec tout le matos qu'on a dans le camion, la journée s'annonce hot.
- Où je suis?
Ça nous fait marrer. C'est toujours ce qu'ils disent en premier. En deuxième, c'est du genre: « à qui j'ai affaire? ».
- Qui êtes-vous?
Bingo!!! Je me pince pour ne pas hurler de rire. Notre silence l'effraie. Il sait qu'il n'est pas seul dans la pièce. Il sent un air frais lui piquer le visage. Il en déduit qu'il se trouve en extérieur.
- Pas la peine de paniquer. On te fera rien de mal si tu coopères.
Phil a parlé avec sa grosse voix, celle qui intimide les plus audacieux.
- Qu'est-ce-que vous me voulez?
Ma main descend vers ses fesses appuyées contre la croix.
- Ton cul.
Ce bel hétéro me fait bander grave. Il est tellement chou, écartelé ainsi. On a fait une prise de choix, aujourd'hui. Ce type pue le sexe. Tout chez lui déclenche le désir. Ses bras musclés, son torse velu juste ce qu'il faut, sa plaquette de chocolat et le renflement prometteur du sous-vêtement.
Putain, j'ai envie de me le faire. De le caresser, de l'embrasser, de lui faire payer mon abstinence sexuelle. Je voudrais le violer sans retenue, l'ouvrir en deux, enfoncer mon pieu entre ses fesses encore vierges...
Mais pour ça, faudrait que Phil aille voir ailleurs. C'est mon tour aujourd'hui de dépuceler un hétéro.
Je lui donne un coup de coude pour qu'il comprenne. Mon ami arrête de se toucher le bout et s'éloigne en maugréant.
Une fois seuls, je me rapproche de ma victime.
- Tu sais, mon pote, c'est pas un tendre. T'as la chance d'être tombé sur moi.
Il ne dit rien. Il est un peu paumé. Je passe ma main sur sa fine toison noire. Il se contracte et tente d'esquiver.
- Du calme. Tu vas aimer ce que je vais te faire.
Je lui retire son slibard. J'admire au passage son corps taillé en V, sa touffe de poils autour de sa queue et ses boules bien pendantes. Bordel, ce mec me rend fou. Je trique comme un âne. Pas sûr que je maîtrise jusqu'au bout...
Mon bel éphèbe est hyper bandant. Il est bien monté. Sa queue même au repos avoisine les 14 par 5. Je m'en pourlèche les babines. Non, décidément, y a rien à jeter!
Je caresse ses belles jambes de sportif, ses larges pieds emprisonnés dans les baskets. Tout m'excite en lui.
- Pourquoi je suis là?
- Pour assouvir chacun de nos désirs.
- Mais vous êtes malades. Détachez-moi où je vous dénonce à la police.
- Pour ça, mon beau, faudrait que tu vois nos visages.
Il se tait. Mon travail de sape commence à payer. Il est encore rebelle mais petit à petit il plongera dans le doute puis dans la luxure. Aucun, jusqu'à présent, n'a résisté à notre traitement de choc.
Je me rapproche, jusqu'à lui chuchoter à l'oreille.
- Tu nous appartiens, à présent. Tu vas découvrir des plaisirs insoupçonnés de toi. Si tu te comportes bien, nous ne te ferons aucun mal mais si tu résistes, alors...
Je pose ma main sur sa gorge.
- … Alors, je serrerai ton joli cou très fort. Tu manqueras d'air et tu finiras par étouffer.
Mets-toi bien dans le crâne que nous sommes les plus forts, compris???
Il marque un temps d'arrêt avant de répondre d'une voix mal assurée.
- Compris.
Je me penche un peu et commence à lui déposer de petits baisers sur la joue. J'adore cette entrée en matière. Que voulez-vous, je suis un doux romantique.
Il ne dit rien mais je le sens mal à l'aise. J'aimerais vraiment qu'il se détende malgré la peur qui l'habite. Je lui caresse le torse et m'empare de son sexe. Après quelques va-et-vient, je le sens prendre un peu de consistance. Serait-ce le lieu ou ma façon de procéder? Toujours est-il que mon beau papa commence à bander ferme sous mes caresses.
Il a honte mais pousse son bassin en avant pour prolonger le plaisir. Derrière son bandeau, peut-être s'imagine-t-il se faire branler par une femme?
Je me baisse et commence à suçoter le gland. Il sursaute. Sans doute s'attendait-il à autre chose?
- Tu aimes?
Il incline la tête positivement. Un oui timide, chargé de contradictions. Une foule de pensées se bousculent dans son cerveau. Mais une chose est sûre, c'est que sa queue, elle, a choisi son camps: celui d'une bouche vorace et accueillante.
Son membre commence à durcir au contact de mes lèvres mais je ne le prends pas encore en bouche. Je fais durer le plaisir. Je m'attarde sur ses belles bourses poilues que je lèche sans retenue. Elles dégagent une forte odeur de transpiration à cause de la course à pied.
Ma main prend ensuite le relais. Elle malaxe ces gros roustons chauffés à blanc, les fait rouler entre chaque doigt puis les abandonne pour s'occuper du bâton de chair qui est presque à son maximum.
Ben mon salaud, il a pas fallu te pousser beaucoup pour te faire bander.
J'empoigne cette belle bite dressée et la branle de la base jusqu'au périnée. Il se met à respirer fort. Je la prends en bouche aussitôt. Il a cessé de résister. Il se cabre bien en avant pour cogner au fond de ma gorge.
Humm, ce jeune papa est en train de se lâcher et j'aime ça. Je tente un doigt à l'entrée de sa rosette. Il se crispe plus par réflexe que par refus. Je n'insiste pas pour l'instant. Je ne voudrais pas interrompre cet 'instant magique par une quelconque maladresse.
Je le pompe comme un pro en creusant bien les joues à chaque passage. Il râle de plaisir comme pour me signifier de continuer. OK, mec, message reçu. Je redouble d'ardeur et continue à lui sucer sa tige bien dure. Je l'entends marmonner des mots comme ''encore, putain, pédale, enculé''...
Ce dernier adjectif me donne des idées. Finie la récré, place aux travaux pratiques.
Je me redresse, passe derrière la croix et approche ma bouche de ses deux demi-lunes musclées. Il sent mon souffle chaud sur sa raie. Il se contracte instinctivement mais ses jambes écartées au maximum l'empêchent de se défendre. Ma langue s'insinue entre ses fesses et trouve le passage étroit qu'elle écarte délicatement. Un long soupir emplit le lieu. Je serait prêt à parier que sa femme ne lui a jamais fait une chose pareille. Je lui donne l'occasion de découvrir cette caresse intime. Cadeau maison.
Je le fouille, lèche ses parois, aspire sa rondelle. L'extrémité de ma langue force son œillet et s'aventure dans un monde inconnu. Ma langue le pistonne comme un petit sexe. Ça le chauffe dur car il tortille son boule au rythme de mes va-et-vient. Il commence même à jouir du cul. Bordel, il mouille comme une femelle. Ma parole, il est trempé!
- Oh, ouiii, vas-y, bouffe-moi le cul, sale pédé. Encore! T'arrête pas...
J'hallucine! Ce mec marié est en train d'implorer ma langue dans son fondement. Je l'entends grogner de plaisir à chaque fois que je coulisse un peu plus en lui.
Je me sens de plus en plus excité. Je rêve de le pénétrer, de lui faire goûter ma bite de tarlouze. Je sais que lorsqu'elle entrera et investira la place, je ferai sauter son dernier verrou d'hétéro homophobe. Il ne regardera plus les hommes de la même façon et verra en chacun d'eux un étalon potentiel prêt à le monter.
Mon désir pervers me susurre d'y aller. Il est à point. Je cède, j'en peux plus. Je prends ma queue et l'enfonce dans son petit trou. Comme ça, sans préliminaires. Le type est tellement chaud que ça rentre comme dans du beurre. Il s'ouvre au maximum pour une meilleure pénétration et son gland pulse des litres de mouille. Je m'enfonce progressivement jusqu'à caler mes couilles contre ses fesses rebondies. Ça y est, il est passé de l'autre côté de la barrière et une bonne carrière d'enculé l'attends, celui-là. M'étonnerait pas qu'il vienne nous relancer, un de ces quatre.
J'entreprends de petits mouvements de rotation, histoire de l'habituer à mon manche. À cet instant précis, il est à moi. Rien qu'à moi. Tout lui est devenu étranger, sa femme, son fils, ses collègues,... seule ma queue occupe son cerveau. Je prends possession de ses entrailles, il m'appartient. C'est chaud, serré, délicieusement bon...
Mais je ne dois pas trop perdre de temps. Phil va pas tarder à rappliquer et il voudra sa part du gâteau. Je décide de l'achever en mode bulldozer.
Je le baise fort, sans relâche, jusqu'à l'éjaculation finale. Je hurle mon plaisir au moment de lui balancer six gros jets de foutre qui le baptisent pour le restant de ses jours. Je le maque en tant que femelle, le féconde comme il a pu le faire avec sa femme.
J'ai à peine le temps de me retirer que je vois Phil rappliquer.
- Bon, c'est mon tour.
Il se déshabille et dégaine son calibre 29.
FIN
Salut, moi c'est Nico, 18 ans, grand, maigre, rouquin avec des tâches de rousseur sur le visage. Mes cheveux en bataille et mon look négligé font que l'on ne s'attarde pas trop sur moi. Dommage, car j'adore baiser des mecs.
Je traîne souvent avec Phil, un punk de trois ans mon aîné. Il est couvert de piercing et de tatouages. Une vraie BD ambulante. Autant je suis fluet, autant lui a un physique de déménageur. Il est typé méditerranéen, limite maghrébin. Malgré sa crête d'Iroquois et son look destroy, c'est fou ce qu'il emballe comme gars.
Car lui aussi est pédé et lui aussi aime les types plus âgés avec une prédilection pour les papas hétéros. Comme c'est pas facile d'en trouver des open et que ceux qui nous branchent sont hors de portée, on a mis au point un stratagème, mon pote et moi.
On les enlève, tout simplement. On les séquestre quelques heures puis on les relâche. Le plus souvent dans la nature. Au début, ils sont réticents, voire même hostiles mais grâce à notre savoir-faire ils deviennent vite accros. Certains même, en redemandent.
Au fil du temps, on a affiné notre stratégie. On les repère à la sortie des écoles, dans les piscines municipales ou autour des terrains de foot pendant que leurs mioches courent après un ballon.
Aujourd'hui, nous avons pris mon camion et sommes partis en vadrouille. Ça fait deux semaines qu'on s'est rien enfilés et on a les couilles pleines. Je sens Phil de mauvais poil, irrité au possible. Il faut qu'il vidange sinon ça va finir par exploser. Et quand il pète un câble, vaut mieux pas se trouver sur sa route.
- Tu es sûr que c'est un hétéro?
- Oui, je te dis. Ça fait trois jours que je le piste. Chaque matin, il dépose son fils à l'école puis enchaîne par un footing en pleine forêt.
Je vois mon pote se toucher les roustons.
- Intéressant tout ça. Et il coche tous nos critères?
- Totalement. La trentaine, corps souple et musclé vu qu'il fait du sport. Une gueule d'ange avec une petite barbe de trois jours soigneusement entretenue et une bonne bouche à pipes.
- Putain arrête, tu me fais triquer. Et on la trouve où, cette merveille?
- Au bois des Actives. D'ailleurs, à cette heure-ci, il doit être en train de courir.
Ni une, ni deux, on se rend au lieu-dit. C'est un endroit paumé, loin du site aménagé pour les familles. Des arbres à perte de vue où serpentent des sentiers balisés.
- T'es sûr qu'il est là?
- Certain. Je lui saisis soudain le bras. Tiens, regarde, le voilà.
On voit apparaître au loin un type en jogging au jambes finement musclées. Une bonne trentaine, dans la force de l'âge. Un regard de play-boy digne des couvertures de mode. Brun, aux yeux bleus, des cheveux courts taillés en brosse. Une silhouette de jeune premier.
- Putain, il me le faut.
Phil sort le matériel que nous avons embarqué avec nous. Cordes, bâillons et du chloroforme pour endormir notre proie.
Nous le laissons terminer son parcours et pendant qu'il se penche pour récupérer de ses efforts nous lui sautons dessus et l'immobilisons. Phil est une montagne de muscles, ça ne pose aucun problème. Jusqu'à présent, personne ne lui a résisté. Et surtout pas celui-là. C'est qu'il a faim, mon pote et c'est un morceau de choix qui s'offre à nous.
On roule tous les trois dans l'herbe et avant qu'il n'ait eu le temps de réaliser ce qui lui arrivait, je plaque le chiffon imbibé sous ses narines et attend qu'il veuille bien inhaler le contenu. Ça ne prend pas longtemps. Trente secondes après, notre beau papa hétéro dort comme un nouveau-né.
On le charge dans le véhicule et direction la ferme abandonnée qu'on squatte de temps à autre. C'est une vielle bâtisse sans toit dans laquelle on a aménagé une croix de torture avec des sangles à chaque extrémité pour attacher les pieds et les mains.
On le positionne sur la croix et on lui bande les yeux. Il ne faudrait pas qu'il nous reconnaisse en cas de mauvaise rencontre. Il est encore inconscient, la tête inclinée sur le côté. On lui a retiré son débardeur mais j'ai tenu à ce qu'il garde son slip. Le coton moule bien sa bite au repos. Je vois Phil saliver mais aujourd'hui, c'est moi qui passe en premier.
- Bordel Nico, laisse-le moi. J'ai trop envie, là!
- Pas question, ça fait déjà deux fois que je passe mon tour.
Il roule de gros yeux pour m'intimider, mais ça ne marche pas avec moi.
Progressivement, le beau brun ténébreux revient à lui. Il prend conscience qu'il est attaché, tente de se libérer. En vain. Le bandeau sur ses yeux ajoute à son angoisse. C'est toujours jouissif de voir un homme pris dans les mailles de notre filet. Avec tout le matos qu'on a dans le camion, la journée s'annonce hot.
- Où je suis?
Ça nous fait marrer. C'est toujours ce qu'ils disent en premier. En deuxième, c'est du genre: « à qui j'ai affaire? ».
- Qui êtes-vous?
Bingo!!! Je me pince pour ne pas hurler de rire. Notre silence l'effraie. Il sait qu'il n'est pas seul dans la pièce. Il sent un air frais lui piquer le visage. Il en déduit qu'il se trouve en extérieur.
- Pas la peine de paniquer. On te fera rien de mal si tu coopères.
Phil a parlé avec sa grosse voix, celle qui intimide les plus audacieux.
- Qu'est-ce-que vous me voulez?
Ma main descend vers ses fesses appuyées contre la croix.
- Ton cul.
Ce bel hétéro me fait bander grave. Il est tellement chou, écartelé ainsi. On a fait une prise de choix, aujourd'hui. Ce type pue le sexe. Tout chez lui déclenche le désir. Ses bras musclés, son torse velu juste ce qu'il faut, sa plaquette de chocolat et le renflement prometteur du sous-vêtement.
Putain, j'ai envie de me le faire. De le caresser, de l'embrasser, de lui faire payer mon abstinence sexuelle. Je voudrais le violer sans retenue, l'ouvrir en deux, enfoncer mon pieu entre ses fesses encore vierges...
Mais pour ça, faudrait que Phil aille voir ailleurs. C'est mon tour aujourd'hui de dépuceler un hétéro.
Je lui donne un coup de coude pour qu'il comprenne. Mon ami arrête de se toucher le bout et s'éloigne en maugréant.
Une fois seuls, je me rapproche de ma victime.
- Tu sais, mon pote, c'est pas un tendre. T'as la chance d'être tombé sur moi.
Il ne dit rien. Il est un peu paumé. Je passe ma main sur sa fine toison noire. Il se contracte et tente d'esquiver.
- Du calme. Tu vas aimer ce que je vais te faire.
Je lui retire son slibard. J'admire au passage son corps taillé en V, sa touffe de poils autour de sa queue et ses boules bien pendantes. Bordel, ce mec me rend fou. Je trique comme un âne. Pas sûr que je maîtrise jusqu'au bout...
Mon bel éphèbe est hyper bandant. Il est bien monté. Sa queue même au repos avoisine les 14 par 5. Je m'en pourlèche les babines. Non, décidément, y a rien à jeter!
Je caresse ses belles jambes de sportif, ses larges pieds emprisonnés dans les baskets. Tout m'excite en lui.
- Pourquoi je suis là?
- Pour assouvir chacun de nos désirs.
- Mais vous êtes malades. Détachez-moi où je vous dénonce à la police.
- Pour ça, mon beau, faudrait que tu vois nos visages.
Il se tait. Mon travail de sape commence à payer. Il est encore rebelle mais petit à petit il plongera dans le doute puis dans la luxure. Aucun, jusqu'à présent, n'a résisté à notre traitement de choc.
Je me rapproche, jusqu'à lui chuchoter à l'oreille.
- Tu nous appartiens, à présent. Tu vas découvrir des plaisirs insoupçonnés de toi. Si tu te comportes bien, nous ne te ferons aucun mal mais si tu résistes, alors...
Je pose ma main sur sa gorge.
- … Alors, je serrerai ton joli cou très fort. Tu manqueras d'air et tu finiras par étouffer.
Mets-toi bien dans le crâne que nous sommes les plus forts, compris???
Il marque un temps d'arrêt avant de répondre d'une voix mal assurée.
- Compris.
Je me penche un peu et commence à lui déposer de petits baisers sur la joue. J'adore cette entrée en matière. Que voulez-vous, je suis un doux romantique.
Il ne dit rien mais je le sens mal à l'aise. J'aimerais vraiment qu'il se détende malgré la peur qui l'habite. Je lui caresse le torse et m'empare de son sexe. Après quelques va-et-vient, je le sens prendre un peu de consistance. Serait-ce le lieu ou ma façon de procéder? Toujours est-il que mon beau papa commence à bander ferme sous mes caresses.
Il a honte mais pousse son bassin en avant pour prolonger le plaisir. Derrière son bandeau, peut-être s'imagine-t-il se faire branler par une femme?
Je me baisse et commence à suçoter le gland. Il sursaute. Sans doute s'attendait-il à autre chose?
- Tu aimes?
Il incline la tête positivement. Un oui timide, chargé de contradictions. Une foule de pensées se bousculent dans son cerveau. Mais une chose est sûre, c'est que sa queue, elle, a choisi son camps: celui d'une bouche vorace et accueillante.
Son membre commence à durcir au contact de mes lèvres mais je ne le prends pas encore en bouche. Je fais durer le plaisir. Je m'attarde sur ses belles bourses poilues que je lèche sans retenue. Elles dégagent une forte odeur de transpiration à cause de la course à pied.
Ma main prend ensuite le relais. Elle malaxe ces gros roustons chauffés à blanc, les fait rouler entre chaque doigt puis les abandonne pour s'occuper du bâton de chair qui est presque à son maximum.
Ben mon salaud, il a pas fallu te pousser beaucoup pour te faire bander.
J'empoigne cette belle bite dressée et la branle de la base jusqu'au périnée. Il se met à respirer fort. Je la prends en bouche aussitôt. Il a cessé de résister. Il se cabre bien en avant pour cogner au fond de ma gorge.
Humm, ce jeune papa est en train de se lâcher et j'aime ça. Je tente un doigt à l'entrée de sa rosette. Il se crispe plus par réflexe que par refus. Je n'insiste pas pour l'instant. Je ne voudrais pas interrompre cet 'instant magique par une quelconque maladresse.
Je le pompe comme un pro en creusant bien les joues à chaque passage. Il râle de plaisir comme pour me signifier de continuer. OK, mec, message reçu. Je redouble d'ardeur et continue à lui sucer sa tige bien dure. Je l'entends marmonner des mots comme ''encore, putain, pédale, enculé''...
Ce dernier adjectif me donne des idées. Finie la récré, place aux travaux pratiques.
Je me redresse, passe derrière la croix et approche ma bouche de ses deux demi-lunes musclées. Il sent mon souffle chaud sur sa raie. Il se contracte instinctivement mais ses jambes écartées au maximum l'empêchent de se défendre. Ma langue s'insinue entre ses fesses et trouve le passage étroit qu'elle écarte délicatement. Un long soupir emplit le lieu. Je serait prêt à parier que sa femme ne lui a jamais fait une chose pareille. Je lui donne l'occasion de découvrir cette caresse intime. Cadeau maison.
Je le fouille, lèche ses parois, aspire sa rondelle. L'extrémité de ma langue force son œillet et s'aventure dans un monde inconnu. Ma langue le pistonne comme un petit sexe. Ça le chauffe dur car il tortille son boule au rythme de mes va-et-vient. Il commence même à jouir du cul. Bordel, il mouille comme une femelle. Ma parole, il est trempé!
- Oh, ouiii, vas-y, bouffe-moi le cul, sale pédé. Encore! T'arrête pas...
J'hallucine! Ce mec marié est en train d'implorer ma langue dans son fondement. Je l'entends grogner de plaisir à chaque fois que je coulisse un peu plus en lui.
Je me sens de plus en plus excité. Je rêve de le pénétrer, de lui faire goûter ma bite de tarlouze. Je sais que lorsqu'elle entrera et investira la place, je ferai sauter son dernier verrou d'hétéro homophobe. Il ne regardera plus les hommes de la même façon et verra en chacun d'eux un étalon potentiel prêt à le monter.
Mon désir pervers me susurre d'y aller. Il est à point. Je cède, j'en peux plus. Je prends ma queue et l'enfonce dans son petit trou. Comme ça, sans préliminaires. Le type est tellement chaud que ça rentre comme dans du beurre. Il s'ouvre au maximum pour une meilleure pénétration et son gland pulse des litres de mouille. Je m'enfonce progressivement jusqu'à caler mes couilles contre ses fesses rebondies. Ça y est, il est passé de l'autre côté de la barrière et une bonne carrière d'enculé l'attends, celui-là. M'étonnerait pas qu'il vienne nous relancer, un de ces quatre.
J'entreprends de petits mouvements de rotation, histoire de l'habituer à mon manche. À cet instant précis, il est à moi. Rien qu'à moi. Tout lui est devenu étranger, sa femme, son fils, ses collègues,... seule ma queue occupe son cerveau. Je prends possession de ses entrailles, il m'appartient. C'est chaud, serré, délicieusement bon...
Mais je ne dois pas trop perdre de temps. Phil va pas tarder à rappliquer et il voudra sa part du gâteau. Je décide de l'achever en mode bulldozer.
Je le baise fort, sans relâche, jusqu'à l'éjaculation finale. Je hurle mon plaisir au moment de lui balancer six gros jets de foutre qui le baptisent pour le restant de ses jours. Je le maque en tant que femelle, le féconde comme il a pu le faire avec sa femme.
J'ai à peine le temps de me retirer que je vois Phil rappliquer.
- Bon, c'est mon tour.
Il se déshabille et dégaine son calibre 29.
FIN
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Les avis des lecteurs
Cette emprise psychologique, cette soumission, et finalement cette initiation pour un futur passif qui reviendra en courant...