Destins croisés (05)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 152 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Destins croisés (05)
Comme d’habitude, n’hésitez pas à me contacter si vous aimez ce récit, ou si vous souhaitez des photos des personnages (sylvainerotic@yahoo.com)
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Le fait de savoir que Jules soit gay ne fait qu’augmenter mon excitation et mon attirance pour lui. Je l’imagine en train de faire l’amour. A-t-il un copain ? Avec qui couche-t-il ? Des plans étranges se forment même dans ma tête : Julien et Jules en train de faire l’amour. Presque le même prénom… est-ce un signe ? Est-ce le destin ? Comme si Julien, inaccessible, s’était transformé en Jules… même s’il ne se ressemble pas vraiment physiquement. Julien est brun, plus jeune, plus fin. Jules plus mature, plus musclé.
En présence de Jules au bureau, il m’arrive de bander quand je suis assis à mon bureau, ou à l’imaginer ici, avec moi, en train de faire l’amour… J’ai vraiment du mal à me concentrer.
Les déplacements en province sont rares dans mon cabinet. Mais un dossier sur lequel je fais travailler Jules avec d’autres collaborateurs nécessitent une petite visite à Lyon pour quelques jours. Nous partons donc tous ensemble en TGV. Je dois dire que ça me fait du bien de quitter Paris. La présence de Nils et Julien est souvent un catalyseur pour mes désirs. D’un autre côté, me retrouver avec Jules en permanence pendant quelques jours… cela accentue énormément mon désir. Heureusement, nous ne sommes pas seuls.
Le soir nous dinons en équipe dans un bon restaurant. Jules s’est bien intégré à l’équipe. Il est sociable et apprécié par tout le monde. Son stage se passe vraiment très bien.
Le deuxième soir, nouveau diner d’équipe, au restaurant de l’hôtel, et alors que tout le monde monte dans sa chambre, je propose à l’équipe de prendre un dernier verre au bar. Ça fait partie de mon rôle d’associé. Je fais ça naturellement, sans aucune idée derrière la tête. Jules est le seul à accepter. Je suis un peu gêné. Je voulais éviter de me mettre dans une telle situation de torture. Mais je n’ai plus le choix maintenant. Et j’ai déjà bien bu pour ne plus penser suffisamment bien.
On se retrouve donc tous les deux à boire au bar. J’adore discuter avec lui. Je le trouve intelligent, drôle. Il a plein de choses à raconter. Il me pose des questions. Je lui en pose. Je passe vraiment un bon moment. Quel dommage que je ne puisse rien tenter avec lui… Je ne peux pas me permettre de draguer un stagiaire.
Nous finissons par prendre l’ascenseur ensemble et c’est à ce moment-là que ma vie à bascule. On était proche l’un de l’autre, on avait bu. Je le désirais… mais ce n’est pas moi qui ai initié. C’est lui qui m’a embrassé. Je crois que c’était devenu inévitable. La tension érotique était trop forte. J’ai eu du mal à y croire. Je rêvais qu’il puisse être attiré par moi… et je sais qu’il avait l’air d’apprécier nos échanges.
Le contact de ses lèvres sur les miennes a tout de suite été magique. De la douceur. Je lui ai rendu son baiser. Mais nous ne sommes vite arrêtés car la porte de l’ascenseur s’est ouverte. Sans rien dire, je l’ai suivi dans sa chambre. Je ne pouvais plus résister
Quand la porte s’est fermée, il s’est contenté de dire : « désolé, je pouvais plus résister… ça fait un moment… ». Je souris… « moi aussi ». On s’embrasse aussitôt avec précipitation et pour la première fois nos langues se touchent. Je bande comme un fou. Un éclair passe dans ma tête : je suis homo. C’est vrai
On fait des pas maladroits vers le milieu de la chambre tout en s’embrassant. A ce moment je ne pense plus à rien. Ni au fait que Jules soit mon stagiaire. Ni au fait que je trompe ma femme. Rien n’a d’importance. Mon désir pour Jules est le plus fort. Nos vestes tombent. Jules déboutonne ma chemise tandis que je défais ma cravate. Je n’ai pas encore complétement enlevé ma chemise que Jules a déjà plonge ses lèvres sur mes pectoraux pour les lécher et les embrasser. Quand sa langue vient lécher mon téton, une décharge de plaisir m’envahit et je sens une goutte de précum s’échapper de mon gland.
Je suis torse nu et c’est à mon tour de déshabiller Jules. J’ai tellement hâte de voir en vrai ce torse divin aperçu sur Instagram. Jules lui est en train de faire tomber son pantalon. En un éclair il est juste en boxer devant moi. Il est encore plus beau en vrai. Je n’en reviens pas. J’ai trop de chance.
C’est moi-même qui fait tomber le boxer. Son sexe est de taille moyenne, plutôt petit, mais parfaitement bandé. Je sers ce corps nu dans mes bras. Je ne résiste pas. C’est trop bon. Je l’embrasse. Mes mains parcourent son dos et ses fesses. La peau est douce. Mon rêve se réalise.
Jules tombe à genoux et me dessape. Mon sexe jaillit. Jules est surpris
- Mmmh… très bien gaulé
Il prend mon sexe en main, comme pour mieux réaliser la grosseur. C’est vrai que je suis plutôt bien monté. Alors que je me débarrasse de mon pantalon et de mon boxer avec les pieds, Jules m’a déjà pris en bouche pour me sucer. Je ne peux m’empêcher de fermer les yeux et de soupirer tant le plaisir est grand, mais je m’empresse de les rouvrir pour savourer une vision de rêve : celle de Jules, de son visage d’ange avec ma bite dans la bouche. Ce n’est pas un rêve, c’est vrai. Et pour m’en assurer, ma main vient caresser les cheveux blonds. Les yeux bleus me regardent avec désir. Il suce bien. Sa bouche est bien remplie. Joueur, il sort mon sexe de sa bouche et le lèche avec la langue.
- Oh c’est bon Jules, continue
Nouvelle décharge de plaisir quand sa langue vient caresser mes couilles. Je n’ai jamais pris autant de plaisir à me faire sucer. Mais j’interromps quand même la fellation car je veux Jules près de moi, je veux le toucher, le caresser, l’embrasser. Je le relève, l’embrasse. Et on tombe sur le lit. On s’enlace, se touche, se caresse tout en s’embrassant. J’ai pris sa queue dans ma main. Je finis par interrompre les baisers pour caresser sa joue et admirer ses yeux bleus
- J’en reviens pas, t’es tellement mignon
Il sourit
- Et toi tellement sexy…
- J’aimerais te sucer
Il se cale contre l’oreiller et je me mets entre ses jambes pour le sucer. Instant magique. C’est la première fois que je suce. J’aime ça. L’avoir dans ma bouche. J’essaie de m’appliquer pour ne pas afficher mon inexpérience. Je fais attention avec mes dents. Je lui caresse les couilles. Puis le torse. Il gémit. Ses mains me caressent. J’accélère mes sucions car je le veux maintenant en moi : je veux gouter son sperme. Je suce comme un fou pour lui montrer ce que je veux et soudain je sens les jets chauds dans ma bouche. Son sperme est abondant. J’avale tout. Je me sens tellement heureux. Il reprend son souffle. Il a aimé. Il veut me récompenser
- Jouis sur mon visage maintenant
Comment ne peut fondre, et même jouir immédiatement en regardant cet ange prononcer cette phrase ? Je me précipite la queue en avant vers son visage, me branle juste deux coups avant d’exploser sur lui. Les jets atterrissent sur ses lèvres, contre sa joue et directement dans sa bouche ouverte. Il avale aussitôt. Après avoir tout reçu, il prend ma bite en bouche et suce. Je me délecte de ce spectacle. Jules est magnifique comme ça. Il pousse le gland dans sa bouche pour récolter mon foutre et le manger.
Mais soudain l’euphorie du sexe retombe un peu. On se sent tous les deux un peu bizarre. Tout s’est passe si vite. Presqu’un coup de foudre. Une éruption soudaine de désirs enfouis.
- C’était trop bon… j’en avais vraiment envie
- Moi aussi… je crois que c’est plus prudent si je retourne dans ma chambre
- Hahaha oui…
Je me rhabille doucement. Jules renfile son boxer
- Bonne nuit…
- Bonne nuit… euh au fait… ça reste entre nous
Il me fait un clin d’œil
- Bien sur
Quand je rentre dans ma chambre, je m’affalé sur le lit. Je suis encore euphorique de ce qui vient de m’arriver. C’était trop beau pour être vrai. Mais je suis pris de violents remords. J’ai trompé Ingrid, même si elle aussi me trompe. J’ai aussi l’impression d’avoir abusé d’un stagiaire. Même s’il était consentant. Si ça s’apprend, je vais me faire virer. Je suis pris de panique… Je balance sans arrêt entre ces sentiments contradictoires : plaisir et panique, euphorie et tourment. Je ne dors pas de la nuit.
Le lendemain, j’essaie de faire comme si de rien n’était. Jules n’a pas l’air en forme. On dirait même qu’il est triste. On ne peut pas se parler. L’ambiance est étrange.
Même chose au bureau le lendemain, une fois rentré à Paris. Finalement, ce n’est que tard le soir que nous nous retrouvons seul à deux, alors qu’il passe une tête dans mon bureau. Je l’invite à rentrer, et il ferme la porte. Il bredouille, et baisse les yeux. En fait, il s’excuse pour l’autre jour. Il ne sait pas ce qui lui a pris. Il avait bu. Il se sent coupable. Il sait que je suis marié, et il a l’impression d’avoir profité de moi.
Je l’interromps pour lui confier ce que je ressens. La même chose : de la culpabilité. Je suis coupable d’avoir cédé. Je lui propose qu’on en reste là. On a juste fait une erreur tous les deux. Un moment de faiblesse. Quelque chose qu’on aurait pas dû faire. On va garder ça pour nous et repartir sur de bonnes bases pour que son stage continue à bien se passer. Il a l’air rassuré. Moi aussi…
Pourtant, les jours qui suivent je n’arrive pas à oublier cette aventure d’un soir. Le gout des lèvres de Jules sur les miennes. Celui de son sperme dans ma bouche. La douceur de sa peau. La caresse de sa langue sur mon sexe. Je lui jette des regards en coin. A la maison, je suis plutôt triste et songeur. Je n’arrive pas à réprimer, à refouler le désir que j’éprouve.
De son côté, Jules n’a pas l’air au mieux. Son regard est plutôt triste et suppliant. Comme si lui aussi, il n’arrivait pas à oublier.
La situation ne peut pas vraiment durer. J’ai besoin de me confier, de parler de mes soucis, de les exprimer. Je le dois à Jules.
Après le boulot, je l’invite à prendre un verre, discrètement. Et je lui raconte tout de ma vie, lentement, sans rien lui cacher : mon homosexualité refoulée, mon mariage, Nils, l’adultère d’Ingrid, le coming out de Nils… Jules reste calme, mais il est clairement surpris et touché par mon histoire. Il se montre incroyablement sensible et respectueux. De son côté, il me raconte sa vie. Beaucoup plus simple. Son coming out à 15 ans, sa première fois au même âge. Le divorce de ses parents… mais surtout le coup de foudre qu’il a ressenti pour moi. Il s’en excuse encore. Il ne sait pas ce qui lui prend. Les larmes commencent à venir. Il lui est arrivé de coucher avec un mec plus âgé, une ou deux fois, mais jamais avec quelqu’un de 40 ans. Il n’a jamais ressenti ça. Une attirance fulgurante, intellectuelle et sexuelle… Les larmes coulent de plus belle. Il ne comprend pas ce qui lui arrive… Je me mets à pleurer moi aussi… car je suis incroyablement attiré par lui, intellectuellement et physiquement. Mais je lui indique qu’on ne peut pas se voir, ce n’est pas possible. Je dois mettre de l’ordre dans ma vie privée. Et surtout, je ne peux pas mélanger le travail et le plaisir comme ça. C’est juste impossible. Jules fait oui de la tête, sans que les larmes ne cessent de couler.
On se sert dans les bras comme pour sceller un pacte. Celui-ci d’en rester là.
Malgré tout, en le quittant et en rentrant chez moi, je n’ai jamais été aussi triste.
A suivre…
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Le fait de savoir que Jules soit gay ne fait qu’augmenter mon excitation et mon attirance pour lui. Je l’imagine en train de faire l’amour. A-t-il un copain ? Avec qui couche-t-il ? Des plans étranges se forment même dans ma tête : Julien et Jules en train de faire l’amour. Presque le même prénom… est-ce un signe ? Est-ce le destin ? Comme si Julien, inaccessible, s’était transformé en Jules… même s’il ne se ressemble pas vraiment physiquement. Julien est brun, plus jeune, plus fin. Jules plus mature, plus musclé.
En présence de Jules au bureau, il m’arrive de bander quand je suis assis à mon bureau, ou à l’imaginer ici, avec moi, en train de faire l’amour… J’ai vraiment du mal à me concentrer.
Les déplacements en province sont rares dans mon cabinet. Mais un dossier sur lequel je fais travailler Jules avec d’autres collaborateurs nécessitent une petite visite à Lyon pour quelques jours. Nous partons donc tous ensemble en TGV. Je dois dire que ça me fait du bien de quitter Paris. La présence de Nils et Julien est souvent un catalyseur pour mes désirs. D’un autre côté, me retrouver avec Jules en permanence pendant quelques jours… cela accentue énormément mon désir. Heureusement, nous ne sommes pas seuls.
Le soir nous dinons en équipe dans un bon restaurant. Jules s’est bien intégré à l’équipe. Il est sociable et apprécié par tout le monde. Son stage se passe vraiment très bien.
Le deuxième soir, nouveau diner d’équipe, au restaurant de l’hôtel, et alors que tout le monde monte dans sa chambre, je propose à l’équipe de prendre un dernier verre au bar. Ça fait partie de mon rôle d’associé. Je fais ça naturellement, sans aucune idée derrière la tête. Jules est le seul à accepter. Je suis un peu gêné. Je voulais éviter de me mettre dans une telle situation de torture. Mais je n’ai plus le choix maintenant. Et j’ai déjà bien bu pour ne plus penser suffisamment bien.
On se retrouve donc tous les deux à boire au bar. J’adore discuter avec lui. Je le trouve intelligent, drôle. Il a plein de choses à raconter. Il me pose des questions. Je lui en pose. Je passe vraiment un bon moment. Quel dommage que je ne puisse rien tenter avec lui… Je ne peux pas me permettre de draguer un stagiaire.
Nous finissons par prendre l’ascenseur ensemble et c’est à ce moment-là que ma vie à bascule. On était proche l’un de l’autre, on avait bu. Je le désirais… mais ce n’est pas moi qui ai initié. C’est lui qui m’a embrassé. Je crois que c’était devenu inévitable. La tension érotique était trop forte. J’ai eu du mal à y croire. Je rêvais qu’il puisse être attiré par moi… et je sais qu’il avait l’air d’apprécier nos échanges.
Le contact de ses lèvres sur les miennes a tout de suite été magique. De la douceur. Je lui ai rendu son baiser. Mais nous ne sommes vite arrêtés car la porte de l’ascenseur s’est ouverte. Sans rien dire, je l’ai suivi dans sa chambre. Je ne pouvais plus résister
Quand la porte s’est fermée, il s’est contenté de dire : « désolé, je pouvais plus résister… ça fait un moment… ». Je souris… « moi aussi ». On s’embrasse aussitôt avec précipitation et pour la première fois nos langues se touchent. Je bande comme un fou. Un éclair passe dans ma tête : je suis homo. C’est vrai
On fait des pas maladroits vers le milieu de la chambre tout en s’embrassant. A ce moment je ne pense plus à rien. Ni au fait que Jules soit mon stagiaire. Ni au fait que je trompe ma femme. Rien n’a d’importance. Mon désir pour Jules est le plus fort. Nos vestes tombent. Jules déboutonne ma chemise tandis que je défais ma cravate. Je n’ai pas encore complétement enlevé ma chemise que Jules a déjà plonge ses lèvres sur mes pectoraux pour les lécher et les embrasser. Quand sa langue vient lécher mon téton, une décharge de plaisir m’envahit et je sens une goutte de précum s’échapper de mon gland.
Je suis torse nu et c’est à mon tour de déshabiller Jules. J’ai tellement hâte de voir en vrai ce torse divin aperçu sur Instagram. Jules lui est en train de faire tomber son pantalon. En un éclair il est juste en boxer devant moi. Il est encore plus beau en vrai. Je n’en reviens pas. J’ai trop de chance.
C’est moi-même qui fait tomber le boxer. Son sexe est de taille moyenne, plutôt petit, mais parfaitement bandé. Je sers ce corps nu dans mes bras. Je ne résiste pas. C’est trop bon. Je l’embrasse. Mes mains parcourent son dos et ses fesses. La peau est douce. Mon rêve se réalise.
Jules tombe à genoux et me dessape. Mon sexe jaillit. Jules est surpris
- Mmmh… très bien gaulé
Il prend mon sexe en main, comme pour mieux réaliser la grosseur. C’est vrai que je suis plutôt bien monté. Alors que je me débarrasse de mon pantalon et de mon boxer avec les pieds, Jules m’a déjà pris en bouche pour me sucer. Je ne peux m’empêcher de fermer les yeux et de soupirer tant le plaisir est grand, mais je m’empresse de les rouvrir pour savourer une vision de rêve : celle de Jules, de son visage d’ange avec ma bite dans la bouche. Ce n’est pas un rêve, c’est vrai. Et pour m’en assurer, ma main vient caresser les cheveux blonds. Les yeux bleus me regardent avec désir. Il suce bien. Sa bouche est bien remplie. Joueur, il sort mon sexe de sa bouche et le lèche avec la langue.
- Oh c’est bon Jules, continue
Nouvelle décharge de plaisir quand sa langue vient caresser mes couilles. Je n’ai jamais pris autant de plaisir à me faire sucer. Mais j’interromps quand même la fellation car je veux Jules près de moi, je veux le toucher, le caresser, l’embrasser. Je le relève, l’embrasse. Et on tombe sur le lit. On s’enlace, se touche, se caresse tout en s’embrassant. J’ai pris sa queue dans ma main. Je finis par interrompre les baisers pour caresser sa joue et admirer ses yeux bleus
- J’en reviens pas, t’es tellement mignon
Il sourit
- Et toi tellement sexy…
- J’aimerais te sucer
Il se cale contre l’oreiller et je me mets entre ses jambes pour le sucer. Instant magique. C’est la première fois que je suce. J’aime ça. L’avoir dans ma bouche. J’essaie de m’appliquer pour ne pas afficher mon inexpérience. Je fais attention avec mes dents. Je lui caresse les couilles. Puis le torse. Il gémit. Ses mains me caressent. J’accélère mes sucions car je le veux maintenant en moi : je veux gouter son sperme. Je suce comme un fou pour lui montrer ce que je veux et soudain je sens les jets chauds dans ma bouche. Son sperme est abondant. J’avale tout. Je me sens tellement heureux. Il reprend son souffle. Il a aimé. Il veut me récompenser
- Jouis sur mon visage maintenant
Comment ne peut fondre, et même jouir immédiatement en regardant cet ange prononcer cette phrase ? Je me précipite la queue en avant vers son visage, me branle juste deux coups avant d’exploser sur lui. Les jets atterrissent sur ses lèvres, contre sa joue et directement dans sa bouche ouverte. Il avale aussitôt. Après avoir tout reçu, il prend ma bite en bouche et suce. Je me délecte de ce spectacle. Jules est magnifique comme ça. Il pousse le gland dans sa bouche pour récolter mon foutre et le manger.
Mais soudain l’euphorie du sexe retombe un peu. On se sent tous les deux un peu bizarre. Tout s’est passe si vite. Presqu’un coup de foudre. Une éruption soudaine de désirs enfouis.
- C’était trop bon… j’en avais vraiment envie
- Moi aussi… je crois que c’est plus prudent si je retourne dans ma chambre
- Hahaha oui…
Je me rhabille doucement. Jules renfile son boxer
- Bonne nuit…
- Bonne nuit… euh au fait… ça reste entre nous
Il me fait un clin d’œil
- Bien sur
Quand je rentre dans ma chambre, je m’affalé sur le lit. Je suis encore euphorique de ce qui vient de m’arriver. C’était trop beau pour être vrai. Mais je suis pris de violents remords. J’ai trompé Ingrid, même si elle aussi me trompe. J’ai aussi l’impression d’avoir abusé d’un stagiaire. Même s’il était consentant. Si ça s’apprend, je vais me faire virer. Je suis pris de panique… Je balance sans arrêt entre ces sentiments contradictoires : plaisir et panique, euphorie et tourment. Je ne dors pas de la nuit.
Le lendemain, j’essaie de faire comme si de rien n’était. Jules n’a pas l’air en forme. On dirait même qu’il est triste. On ne peut pas se parler. L’ambiance est étrange.
Même chose au bureau le lendemain, une fois rentré à Paris. Finalement, ce n’est que tard le soir que nous nous retrouvons seul à deux, alors qu’il passe une tête dans mon bureau. Je l’invite à rentrer, et il ferme la porte. Il bredouille, et baisse les yeux. En fait, il s’excuse pour l’autre jour. Il ne sait pas ce qui lui a pris. Il avait bu. Il se sent coupable. Il sait que je suis marié, et il a l’impression d’avoir profité de moi.
Je l’interromps pour lui confier ce que je ressens. La même chose : de la culpabilité. Je suis coupable d’avoir cédé. Je lui propose qu’on en reste là. On a juste fait une erreur tous les deux. Un moment de faiblesse. Quelque chose qu’on aurait pas dû faire. On va garder ça pour nous et repartir sur de bonnes bases pour que son stage continue à bien se passer. Il a l’air rassuré. Moi aussi…
Pourtant, les jours qui suivent je n’arrive pas à oublier cette aventure d’un soir. Le gout des lèvres de Jules sur les miennes. Celui de son sperme dans ma bouche. La douceur de sa peau. La caresse de sa langue sur mon sexe. Je lui jette des regards en coin. A la maison, je suis plutôt triste et songeur. Je n’arrive pas à réprimer, à refouler le désir que j’éprouve.
De son côté, Jules n’a pas l’air au mieux. Son regard est plutôt triste et suppliant. Comme si lui aussi, il n’arrivait pas à oublier.
La situation ne peut pas vraiment durer. J’ai besoin de me confier, de parler de mes soucis, de les exprimer. Je le dois à Jules.
Après le boulot, je l’invite à prendre un verre, discrètement. Et je lui raconte tout de ma vie, lentement, sans rien lui cacher : mon homosexualité refoulée, mon mariage, Nils, l’adultère d’Ingrid, le coming out de Nils… Jules reste calme, mais il est clairement surpris et touché par mon histoire. Il se montre incroyablement sensible et respectueux. De son côté, il me raconte sa vie. Beaucoup plus simple. Son coming out à 15 ans, sa première fois au même âge. Le divorce de ses parents… mais surtout le coup de foudre qu’il a ressenti pour moi. Il s’en excuse encore. Il ne sait pas ce qui lui prend. Les larmes commencent à venir. Il lui est arrivé de coucher avec un mec plus âgé, une ou deux fois, mais jamais avec quelqu’un de 40 ans. Il n’a jamais ressenti ça. Une attirance fulgurante, intellectuelle et sexuelle… Les larmes coulent de plus belle. Il ne comprend pas ce qui lui arrive… Je me mets à pleurer moi aussi… car je suis incroyablement attiré par lui, intellectuellement et physiquement. Mais je lui indique qu’on ne peut pas se voir, ce n’est pas possible. Je dois mettre de l’ordre dans ma vie privée. Et surtout, je ne peux pas mélanger le travail et le plaisir comme ça. C’est juste impossible. Jules fait oui de la tête, sans que les larmes ne cessent de couler.
On se sert dans les bras comme pour sceller un pacte. Celui-ci d’en rester là.
Malgré tout, en le quittant et en rentrant chez moi, je n’ai jamais été aussi triste.
A suivre…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Trop bien raconte, comme d'habitude. Tres beau style.
Belle experience pour les deux, qui ne va probablement pas en rester la, et c'est tant mieux.
Nous, Abdou et Tom, on a la chance ( qu'on a provoque), de vivre notre sexualite au grand jour, dans la plenitude de notre jeunesse
Pour l'instant, c'est le paradis
Belle experience pour les deux, qui ne va probablement pas en rester la, et c'est tant mieux.
Nous, Abdou et Tom, on a la chance ( qu'on a provoque), de vivre notre sexualite au grand jour, dans la plenitude de notre jeunesse
Pour l'instant, c'est le paradis
Le plaisir des baisers à pleine bouche et du léchage de tétons! Récit très érotique
C’est bien que ton histoire avance lentement, en posant un contexte plutôt complexe autour du début de ce qui pourrait se passer entre Gauthier et Jules, naturellement, comme ça se ferait dans la vraie vie.
Après, ce que j’en ai vu IRL me fait douter des relations transgénérationnelles qui durent, mais je peux facilement en admettre, juste passagères, basées sur une séduction sapiosexuelle et l’attrait généré par la maturité de l’ainé.
Après, ce que j’en ai vu IRL me fait douter des relations transgénérationnelles qui durent, mais je peux facilement en admettre, juste passagères, basées sur une séduction sapiosexuelle et l’attrait généré par la maturité de l’ainé.
Faut pas se sacrifier encore ...ça suffit .laissez le avec Jules vivre une belle histoire