Crise de la quarantaine (05)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Crise de la quarantaine (05)
Suite des aventures de Guillaume.
N’hésitez pas à me contacter si vous avez aimé ou si vous avez des questions, ou si vous souhaitez des photos des personnages ; je réponds toujours
==
- Son ancien amant ?
Le plus grand choc de ma vie. Un coup de poing dans le ventre. Mon père ? Homo ? Je me demande si ce n’est pas une plaisanterie de mauvais gout. Une manipulation quelconque
- Vous plaisantez ?
Il tire une photo de sa poche. On le voit avec mon père, se tenant par l’epaule. Manifestement intime. Mon père la quarantaine, et Arnaud une vingtaine d’annees
Je suis livide. C’est incroyable
- Je comprends que cela te fasse un choc. Personne n’imaginerait en voyant ton père. Mais c’est la vérité. Nous avons été amants pendant près de 15 ans…
Je n’arrive pas à parler. J’aimerais poser mille questions mais je ne peux pas
- J’ai rencontré ton père dans un bar gay. J’avais 20 ans, lui 20 ans de plus. Ca a été un coup de foudre… J’ai culpabilisé au début… On s’est échangé énormément de lettres. J’étais jeune et fou, et lui très amoureux.. mais incapable d’assumer son homosexualité
Je suis cloué sur place. Ma première réaction est de détester mon père. Un salaud de menteur. Qui a trompé ma mère. Et ce mec qui n’a eu aucun scrupule. Je serre les poings et garde mon calme. Je suis encore trop choqué pour parler
- On s’est aimé clandestinement pendant 20 ans. En s’écrivait beaucoup. Ton père avait peur du téléphone . Des rendez-vous clandestins. A l’hotel. Pendant ses déplacements d’affaire. Je sais que tu dois lui en vouloir
- Oui et encore plus maintenant… car en plus, il ne s’est pas montré ouvert d’esprit avec moi
Arnaud soupire. Il a l’air de comprendre ma souffrance
- Je sais. Quand il m’a parlé de ton coming out, il était tiraillé. J’ai essayé de l’encourager à tolérer pour toi ce qu’il ne tolérait pas pour lui-même. Je crois qu’en fait il est devenu jaloux de toi. Du fait que tu puisses vivre ton homosexualité au grand jour
- Quel hypocrite
- Je comprends que tu sois en colère… mais ton père était très malheureux avec ta mère… sexuellement je veux dire… et il vivait dans la terreur de tout perdre, constamment… avec moi, c’était different. C’était un homme drôle, sensible, attentionné
J’ai du mal à avaler tout ca. Ca se voit sur mon visage
- Au bout de 15 ans, les choses sont devenus intenables. Je voulais pleinement vivre avec lui. Pour lui c’était impossible. Je le savais. On a été au bord de la rupture plusieurs fois. Et ta mère est tombée malade. Il a considéré alors comme son devoir de passer plus de temps avec elle. Nous avons alors rompu… On se voyait ensuite de temps en temps, pour prendre des nouvelles autour d’un café.
L’évocation de la maladie de ma mère n’améliore pas mes sentiments. Je suis toujours abassourdi. Et en colère. Une colère blanche, contenue.
Arnaud ne sait pas quoi dire. Il y a un silence embarassant. Il ne sait pas quoi dire. Il change donc de sujet
- J’ai vu que tu as deux enfants maintenant… c’est cool
- Oui…
- On n’en a pas mon mec et moi…
Je ne vois pas trop en quoi ça m’intéresse… je repense à tout ce qu’il vient me dire…
- Ecoute… je ne sais pas trop quoi penser de tout ce que tu viens de me dire… ça fait beaucoup
- Je comprends… désolé… mais j’ai pensé qu’il fallait que tu saches… maintenant
- Oui… peut-être
Je comprends sa démarche. Mais ça ne veut pas dire qu’il a ma sympathie.
- Je crois que je vais rentrer maintenant
- Je comprends…
Il me serre la main
- J’aimerais qu’on reste en contact… si tu veux
Je trouve ça étrange, et je ne suis pas vraiment intéressé. J’élude la question, et quitte le restaurant. Je reste un moment derrière le volant de ma voiture, histoire d’absorber tout ce que je viens d’entendre. Mon père homo ? Quel hypocrite ! Mon sentiment immédiat est celui de la colère… Colère qu’il n’ait jamais assumé son homosexualite. Colère qu’il ait trompé ma mère. Colère que vues les circonstances il n’ait pas été plus tolérant avec moi !
Quand je rentre chez moi, je suis à p peine calmé, malgré les heures sur la route. J’appelle mon frère
- Salut
- Salut
- Il m’est arrivé un truc étrange… tu savais que papa trompait maman ?
- Oui… c’est pas nouveau… on était tous au courant et on disait rien.. toi aussi tu savais d’ailleurs
- Oui je m’en souviens… mais ce que tu ne sais peut être pas, c’est qu’il la trompait avec un mec
- C’est quoi ces conneries ? Qu’est ce que tu racontes ?
- Un mec a pris contact avec moi. Le fameux mec inconnu à l’enterrement. Il m’a dit avoir été l’amant de papa pendant 15 ans. Un mec de 20 ans de moins
En disant ça, je suis un peu connard. Comme si je voulais blesser mon frère. Je suis dans un sale état d’esprit.
- Tu dis n’importe quoi… Papa était pas homo… ce mec dit n’importe quoi..
- Eh pourquoi il inventerait tout ça ?
- J’en sais rien… mais j’y crois pas une seule seconde… et en plus je vois pas l’interêt de dire ça maintenant… comme pour salir sa mémoire
- Comment ça salir ??? Tu penses qu’etre homo c’est un sale truc ??
- Non tu sais bien ce que je veux dire. Pour lui c’était pas vraiment quelque chose qu’il approuvait… tu le sais… on va pas se mentir
Cette conversation ne mène nulle part. Je finis par raccrocher.
Le soir je me suis à peine calmé. Je fais bonne figure devant les enfants. Mais quand je raconte tout à Mario, j’ai du mal à garder mon calme. Il est d’abord aussi surpris que moi si ce n’est plus par les révélations. Pourtant, il essaie de me raisonner :
- Ecoute. Je sais bien que tu as de bonnes raisons d’en vouloir à ton père. Et tu as raison…mais essaie peut être de comprendre pourquoi il a agi comme ca… qu’aurais tu fait à sa place ?
Je l’écoute mais je ne l’entends pas. Je n’arrive pas à éprouver de la sympathie pour mon père. Je dors mal cette nuit-là…
Quelques jours après, je reçois une notification sur Instagram. Mon profil est privé. Avec les enfants, je n’aime pas exposer des photos privées en dehors des amis. C’est une demande de mise en contact d’Arnaud D. Il veut m’ajouter à la liste de ses amis. Je suis agacé. Non Arnaud, on n’est pas amis. Encore moi de la même famille. C’est pas parce que t’as baise mon père qu’on va devenir potes !!
Toutefois, je suis intrigué par son profil.. un peu hypocrite de ma part… mais son profil à lui est publique… j’en découvre plus sur Arnaud D. Il a l’air d’être en couple avec un certain Jean-Louis, un peu plus âgé que lui. Un peu enrobé, et velu. Un « bear » comme on dit. Et le moins qu’on puisse dire est que nous n’avons pas la même vie… Il a l’air de bien en profiter et d’être libéré sexuellement. On le voit constamment en train de faire la fête en speedo. Lui et son mec presqu’à poil en train de faire la fête avec d’autre homos. Constamment. Toutes ces vacances. Des photos prises sur des plages gay. Dans des clubs. Des croisières gay. Etait-il comme ça avec mon père ? J’ai du mal à l’imaginer..
C’est même plus explicite sur certaines photos… Sur l’une on le voit, lui et son mec avec un minet d’une vingtaine d’annees et les mentions : #twinkandaddies #planatrois #grindr… c’est plutôt clair. Sur une autre, on les voit encore en couple dans un jacuzzi avec d’autres mecs. Ils ont tagge un hotel en Espagne, qui est clairement un lieu de baise et de partouze. Avec un donjon et un sling !
Je suis partagé… entre embarassement… et une curiosité… une intrigue… ce mec a l’air de s’éclater… de prendre plus de plaisir que moi… surtout en ce moment…
Agacé, je cesse de regarder Instagram. Dans les jours qui suivent, tout reste confus dans ma tête. Les révélations sur mon père. Le personnage d’Arnaud et sa vie sexuelle active… tout cela vient se mélanger à mes frustrations passées. Le chômage. Le sentiment de vieillir.
Irrémédiablement, je me mets en tête que ma vie est « ratée ». Je me répète parfois que ça n’a pas de sens. Je suis marié. Avec un homme formidable. J’ai deux enfants en bonne santé, que j’ai désirés et que j’adore… mais ma carrière professionnelle s’est arrêtée. Ma famille m’a menti. Mes parents sont morts. Mes enfants s’éloignent de moi. Et ma vie sexuelle est devenue morne, voire inexistente… Ayant trop de temps pour cogiter, je n’arrive pas à voir le positif.
De cette frustration, grandissent des pulsions sexuelles fortes. Comme si le personnage d’Arnaud avait déverrouillé en moi des inibhitions. Je me mets à regarder encore plus de porno. Des plans à trois. Des partouzes. Et je me mets à rever a ce que pourrait ressembler mon couple s’il était comme celui d’Arnaud. Les moments de plaisir sexuel sans tabou. Sans aucun contrainte. Une utopie à mes yeux. C’est pour ça que ni Mario et moi n’avons jamais envisagé d’ouvrir notre relation. Mais le vieux démon des fantasmes fait son apparition. Je regarde plein de videos et je me mets à imaginer les plans à trois les plus fous. Les partouzes endiablées.
Et il m’arrive de combiner ça avec des éléments du quotidien. Un samedi apres-midi, Mario et moi accompagnons Lea à un cours de poney. Je passe un très bon moment en famille, à admirer ma fille sur son poney. Mais en rentrant nous croisons un jeune palfrinier du club hippyque. Blond. Souriant. A peu près 20 ans. Beau comme un dieu. Je me mets immédiatement à fantasmer sur lui. Je n’arrive pas à le faire sortir de ma tete.
Et le lundi qui suit, une fois seul dans l’après-midi, je me déshabille entièrement, m'allonge sur le lit, commence à me caresser, et laisser mes fantasmes s'exprimer librement. Mario et moi et l'ange blond. Nous pénétrons collés tous les trois dans un box de cheval du club. Un endroit secret, isolé, avec seulement un joli tas de paille. Mario et moi le serrons de près. Il est jeune, il est blond, il est beau. Son corps est attirant. Je suis le premier à l'embrasser. A gouter ses lèvres douces et légèrement humides. Puis c'est au tour de Mario de l'embrasser. Je ne ressens aucune jalousie. Juste le plaisir de voir l'homme que j'aime avec un homme tout aussi beau et attirant mais plus jeune. Le baiser devient plus osé, et je peux constater que leurs langues se touchent. Je ne peux m'empecher de caresser son corps et de commencer à lui retirer ses vetements. Mario vient m'aider. Notre amant du jour se laisse faire. Immobile. Mais souriant. Près à nous offrir son corps jeune et beau. L'effeuillage est lent, progressif, comme pour voir la beauté de la peau nue, de chaque forme magnifique qui s'expose. Le corps est imberbe, légèrement musclé. Il est caressé légèrement et embrassé au fur et à mesure qu'il est dévoilé. Le voila nu, immobile. Les baisers reprennent, maintenant combinés à de caresses. Sa bite se gorge de sang sous l'effet des caresses.
- Déshabille Guillaume
Il obéit à Mario et me retire mes vêtements, lentement, tout en me caressant et m'embrassant lui aussi, sous le regard de Mario, qui se met nu en même temps. Je sens sa main se poser sur ma fesse, et il fait de meme au beau blond. Celui-ci descend doucement sur ses genoux. Ses lèvres attrapent mon gland et il commence à me sucer sans s'aider de ses mains. Car l'une d'elle me caresse déjà et l'autre serre la bite de Mario dans sa main. Je l'aime. Je veux partager ce plaisir avec lui. Je l'embrasse et le caresse. Je caresse sa langue avec la mienne, hors de nos bouches pour s’exciter. Mes mains touchent ses pectoraux alors que je continue à me faire sucer. Quand notre bel inconnu se tourne pour sucer Mario, nous baissons tous les deux les yeux vers lui pour l'admirer sucer consciencieusement, tout en me branlant. Les doigts de Mario viennent me pincer les seins. Mon plaisir est intense. Apres l'avoir laissé jouer avec nos bites nous le faisons assoir dans la paille. Le matelas jaune s'accorde parfaitement à l'or de ses cheveux, et à celui des légers poils qui lui parcourent les jambes. C'est un adonis il est parfait. Je commence à le sucer, tandis que Mario l'embrasse et lui caresse les pectoraux et les seins. Quand je commence à le caresser, je mesure la jeunesse de son corps: la douceur de sa peau, et ses muscles légèrement saillants. Sa bite est belle, bien dure dans ma bouche. Il mouille légèrement. Je le sens, au gout légèrement salé de la salive que j'avale. Mario s'est redressé et offre sa bite à sucer. Je lève les yeux et j'admire ce beau visage s'activer, à faire glisser la bite de mon homme entre ses lèvres. Il se touche un peu les seins pour s'exciter, ou caresse les cuisses puissantes de Mario. Je finis par relever les jambes pour commencer à lui lecher sa rosette. Belle. Cerclée uniquement de quelques poils blonds éparses, doux au contact de ma langue. Je le sens frissoner, sans qu'il ne s’arrête de sucer Mario. Ma langue le mouille, le prépare. Elle remonte aussi de temps en temps pour s'occuper des couilles.
- Mets toi à quatre pattes
Il obéit. Je l'observe se mettre en place. Voir son corps superbe se mettre dans cette position, docile, soumise. Je le recompense d'un baiser sur les lèvres, alors que Mario lui écarte deja les fesses pour le lécher. Pour la première fois il s'exprime: "mmh, oui c'est bon continue". Mais le long baiser avec la langue que je lui donne ne lui laisse plus l'occasion de parler. Puis d'une main commandante, mais douce, j'attrape sa nuque et le fais se pencher pour qu'il me suce. Je peux ainsi echanger des regards amoureux avec Mario. Quel plaisir de partager un mec aussi jeune et aussi beau. Aussi docile. Mario se redresse et s''introduit doucement en lui. Je regarde le visage blond se figer, les yeux se fermer, les lèvres se pincer. Le laisser s'habituer et laisser le plaisir se dessiner progressivement sur son visage. Dès qu'il s'est habitué il reprend la fellation. Il est maintenant pris des deux côtés. Son corps nous appartient. Il est livré à nos pénétrations de chaque côté. Mais aussi à nos caresses sur son dos lisse et musclé. Nos mains se rejoignent. Puis Mario le saisit par les hanches et ses mouvement de pénétration deviennent amples et réguliers. Il se penche vers moi et nous nous embrassons pour célébrer ce moment de partage et de plaisir. Je caresse les cheveux blonds.
On le met ensuite sur le dos. Il lève et écarte ses jambes spontanément pour laisser Mario le pénétrer à nouveau. Je regarde la scène. Mon amour en baise un autre devant moi. Ca me plait. Ca m'excite. Je savoure. J'aime le voir ainsi. Dans toute sa force. Sodomiser un mec bien plus jeune que lui. Je regarde ses fesses bouger, se contracter. Je regarde l'homme à qui il donne du plaisir. J'interviens à peine. Sauf quand l'envie de leurs peaux me ronge et que je mets a les toucher doucement, sans casser le rythme de la sodomie. Plutôt en accompagnant les mouvements. Mario accélère. Le corps du passif se secoue mais reste en place.
Je regarde Mario: "j'aimerais qu'il me baise devant toi maintenant". Le blond sourit. Je le remplace dans la même position, et l'attend, les mains bien calées derrière mes cuisses. Sa bite, belle, large et longue rentre en moi doucement. Je regarde Mario au même moment. Je veux lire dans ses yeux tout le plaisir qu'il ressent à voir une belle bite rentrer en moi. J'aime me faire prendre par un autre devant lui. Et lui aime regarder. Puis je me fais baiser. Lentement. Doucement. Mais profondément. Mes mains commencent à caresser le dos. Puis les fesses. A les agripper. Puis je gémis. Je veux que Mario entende à quel point je prends mon pied. Et à quel point j'aime qu'il me regarde. Il s'approche et vient glisser de lui même sa bite dans ma bouche. J'ai tourne la tête et je suis pénétré analement et oralement. En même temps. Ma bite est bien dure, tant mon plaisir est grand. Intense. Ma bite bouge au rythme de la sodomie. Le beau blond qui m'encule se penche. Et Mario lui donne sa bite a sucer. Les deux langues finissent par caresser le beau membre ensemble. Mario apprécie. Alors que sa main caresse le dos du blond. jusqu'en bas. Le doigt vient trouver la raie. Puis caresse l'anus.
Les intentions de Mario sont claires. Il vient se placer derriere le blond et fait glisser sa bite entre ses fesses. Une chaine se forme. Il l'encule par derriere. Et le beau blond continue à me sodomiser. Je vois les deux visages au dessus de moi. Je les admire. Le brun derriere le blond.
Ce dernier donne le rythme en reculant sur Mario et en s’avançant en moi. Son plaisir est intense. Je peux le lire sur son beau visage. Je regarde son corps qui me domine. Ses pectoraux imberbes et saillants.
Mario embrasse le blond dans le cou et lui glisse à l'oreille.
- Laisse moi le baiser maintenant
La chaine se brise. On se leve. J'ai Mario dans mon dos qui me caresse les épaules. Je sens son sexe dur contre mes fesses. J'ai notre compagnon face à moi qui m'embrasse et me branle. La main de Mario glisse le long de mon dos en me caressant et quand elle atteint l’épaule elle me fait me pencher en avant.
Je prends aussitôt notre ami en bouche alors que je sens Mario entrer en moi. Je suis pris des deux côtés. Bien en place. Tenu par les jambes et par les épaules. J'offre mon corps. Mes orifices. Je bande. J'aime être pris, debout comme ça.
Comme je fatigue un peu, Mario me place contre la cloison en bois du box et continue à me prendre par derrière. Il est plus vif. Ses hanches viennent claquer contre mes fesses. Le bel inconnu nous mate. Il se masturbe. Puis vient se glisser en dessous de moi pour me sucer. Je gémis. Tant le plaisit est intense dans le bas de mon corps. Ma bite. Ma prostate. Mario enroule son bras autour de moi, et m'embrasse et me mordille dans le cou. Et quand ses doigts me caressent le sein, cela déclenche une vague de plaisir. Le massage de ma prostate par sa bite en rajoute encore et j'ejacule dans la bouche qui me suce. Je sens ensuite le sexe de Mario se contracter, puis son sperme se déverser en moi.
Même si l'orgasme est passé, le plaisir et le désir continuent à nous envahir. Mario et moi nous mettons à genoux. Les joues collées, les langues qui se touchent, sorties, prêtes à accueillir le foutre de notre amant du jour qui se tient debout et se branle. Il est beau. Puissant. Ses abdominaux se contractent. Le sperme chaud vient éclabousser nos deux bouches. Il se colle aux lèvres. Puis Mario et moi nous embrassons. Le sperme se mélange, se combine à la salive et il est progressivement mangé et avalé, au fur et à mesure que nous embrassons avec la langue. On emmène notre amant se coucher sur la paille entre nous deux. Le soleil transperce les interstices du box et vient faire briller les peaux nues des trois corps enlacés qui s'endorment...
Allongé sur mon lit, je viens de jouir. Le sperme s'est déversé en abondance sur mon torse et mon ventre. Je sors de ce rêve magique. Celui d'une relation où Mario et moi faisons des plans à trois, sans jalousie, avec des amants magnifiques. Cette utopie m'a procuré un plaisir incroyable. Mais je sais bien que c'est impossible. Et que ni lui ni moi ne sommes prêts à prendre le risque. Mais tout cela me laisse un sentiment de frustration. Que ma vie sexuelle n'est pas à la hauteur.
Quelques jours après, alors que Mario et moi nous mettons au lit et qu'il vient se coller contre moi, je sens sa bite bandée contre mes fesses. Nous n'avons pas fait l'amour depuis deux mois... avec le décès de mon père et la mauvaise passe que je traverse. Mario ne m'a jamais mis la pression. Mais il me fait comprendre que ce soir, il a envie de moi. Je n'en ai pas envie. J'ai perdu totalement confiance en moi sexuellement. Mais je ne veux pas lui refuser ce plaisir. Je me tourne vers lui et l'embrasse. Il me déshabille en m'embrassant et en me caressant. Je le laisse faire. Je participe doucement. En caressant son corps. Il s'est mis sur moi et m'embrasse dans le cou. Passionnément. Cela lui avait manqué. Je sens sa bite bien bandée sur mon corps. Je bande aussi.
Malgre l’obscurité, il parvient à saisir le gel dans la table de nuit. Il se recouvre copieusement la bite, puis m'encule en missionaire. Malgré mon amour pour lui, l'odeur de sa peau, ses baisers sur mes lèvres et dans mon cou, et la caresse de sa bite contre ma prostate, je ne parviens pas à prendre du plaisir. Je bande un peu, mais pas aussi fort que d'habitude. Mario, lui, ne s’arrête pas. Il jouit rapidement à l’intérieur de moi. Puis reprend son souffle
- T'as pas joui? Tu veux que je te suce?
- Non... ça va... excuse moi... j'ai du mal
Son visage devient triste. Il se sent mal
- Excuse j'aurais pas du
- Non c'est bon t'en avais envie
Je caresse son torse avec ma main. Je souris affectueusement malgré ma peine. Je m'en veux. Je n'arrive pas à prendre du plaisir...
A suivre...
N’hésitez pas à me contacter si vous avez aimé ou si vous avez des questions, ou si vous souhaitez des photos des personnages ; je réponds toujours
==
- Son ancien amant ?
Le plus grand choc de ma vie. Un coup de poing dans le ventre. Mon père ? Homo ? Je me demande si ce n’est pas une plaisanterie de mauvais gout. Une manipulation quelconque
- Vous plaisantez ?
Il tire une photo de sa poche. On le voit avec mon père, se tenant par l’epaule. Manifestement intime. Mon père la quarantaine, et Arnaud une vingtaine d’annees
Je suis livide. C’est incroyable
- Je comprends que cela te fasse un choc. Personne n’imaginerait en voyant ton père. Mais c’est la vérité. Nous avons été amants pendant près de 15 ans…
Je n’arrive pas à parler. J’aimerais poser mille questions mais je ne peux pas
- J’ai rencontré ton père dans un bar gay. J’avais 20 ans, lui 20 ans de plus. Ca a été un coup de foudre… J’ai culpabilisé au début… On s’est échangé énormément de lettres. J’étais jeune et fou, et lui très amoureux.. mais incapable d’assumer son homosexualité
Je suis cloué sur place. Ma première réaction est de détester mon père. Un salaud de menteur. Qui a trompé ma mère. Et ce mec qui n’a eu aucun scrupule. Je serre les poings et garde mon calme. Je suis encore trop choqué pour parler
- On s’est aimé clandestinement pendant 20 ans. En s’écrivait beaucoup. Ton père avait peur du téléphone . Des rendez-vous clandestins. A l’hotel. Pendant ses déplacements d’affaire. Je sais que tu dois lui en vouloir
- Oui et encore plus maintenant… car en plus, il ne s’est pas montré ouvert d’esprit avec moi
Arnaud soupire. Il a l’air de comprendre ma souffrance
- Je sais. Quand il m’a parlé de ton coming out, il était tiraillé. J’ai essayé de l’encourager à tolérer pour toi ce qu’il ne tolérait pas pour lui-même. Je crois qu’en fait il est devenu jaloux de toi. Du fait que tu puisses vivre ton homosexualité au grand jour
- Quel hypocrite
- Je comprends que tu sois en colère… mais ton père était très malheureux avec ta mère… sexuellement je veux dire… et il vivait dans la terreur de tout perdre, constamment… avec moi, c’était different. C’était un homme drôle, sensible, attentionné
J’ai du mal à avaler tout ca. Ca se voit sur mon visage
- Au bout de 15 ans, les choses sont devenus intenables. Je voulais pleinement vivre avec lui. Pour lui c’était impossible. Je le savais. On a été au bord de la rupture plusieurs fois. Et ta mère est tombée malade. Il a considéré alors comme son devoir de passer plus de temps avec elle. Nous avons alors rompu… On se voyait ensuite de temps en temps, pour prendre des nouvelles autour d’un café.
L’évocation de la maladie de ma mère n’améliore pas mes sentiments. Je suis toujours abassourdi. Et en colère. Une colère blanche, contenue.
Arnaud ne sait pas quoi dire. Il y a un silence embarassant. Il ne sait pas quoi dire. Il change donc de sujet
- J’ai vu que tu as deux enfants maintenant… c’est cool
- Oui…
- On n’en a pas mon mec et moi…
Je ne vois pas trop en quoi ça m’intéresse… je repense à tout ce qu’il vient me dire…
- Ecoute… je ne sais pas trop quoi penser de tout ce que tu viens de me dire… ça fait beaucoup
- Je comprends… désolé… mais j’ai pensé qu’il fallait que tu saches… maintenant
- Oui… peut-être
Je comprends sa démarche. Mais ça ne veut pas dire qu’il a ma sympathie.
- Je crois que je vais rentrer maintenant
- Je comprends…
Il me serre la main
- J’aimerais qu’on reste en contact… si tu veux
Je trouve ça étrange, et je ne suis pas vraiment intéressé. J’élude la question, et quitte le restaurant. Je reste un moment derrière le volant de ma voiture, histoire d’absorber tout ce que je viens d’entendre. Mon père homo ? Quel hypocrite ! Mon sentiment immédiat est celui de la colère… Colère qu’il n’ait jamais assumé son homosexualite. Colère qu’il ait trompé ma mère. Colère que vues les circonstances il n’ait pas été plus tolérant avec moi !
Quand je rentre chez moi, je suis à p peine calmé, malgré les heures sur la route. J’appelle mon frère
- Salut
- Salut
- Il m’est arrivé un truc étrange… tu savais que papa trompait maman ?
- Oui… c’est pas nouveau… on était tous au courant et on disait rien.. toi aussi tu savais d’ailleurs
- Oui je m’en souviens… mais ce que tu ne sais peut être pas, c’est qu’il la trompait avec un mec
- C’est quoi ces conneries ? Qu’est ce que tu racontes ?
- Un mec a pris contact avec moi. Le fameux mec inconnu à l’enterrement. Il m’a dit avoir été l’amant de papa pendant 15 ans. Un mec de 20 ans de moins
En disant ça, je suis un peu connard. Comme si je voulais blesser mon frère. Je suis dans un sale état d’esprit.
- Tu dis n’importe quoi… Papa était pas homo… ce mec dit n’importe quoi..
- Eh pourquoi il inventerait tout ça ?
- J’en sais rien… mais j’y crois pas une seule seconde… et en plus je vois pas l’interêt de dire ça maintenant… comme pour salir sa mémoire
- Comment ça salir ??? Tu penses qu’etre homo c’est un sale truc ??
- Non tu sais bien ce que je veux dire. Pour lui c’était pas vraiment quelque chose qu’il approuvait… tu le sais… on va pas se mentir
Cette conversation ne mène nulle part. Je finis par raccrocher.
Le soir je me suis à peine calmé. Je fais bonne figure devant les enfants. Mais quand je raconte tout à Mario, j’ai du mal à garder mon calme. Il est d’abord aussi surpris que moi si ce n’est plus par les révélations. Pourtant, il essaie de me raisonner :
- Ecoute. Je sais bien que tu as de bonnes raisons d’en vouloir à ton père. Et tu as raison…mais essaie peut être de comprendre pourquoi il a agi comme ca… qu’aurais tu fait à sa place ?
Je l’écoute mais je ne l’entends pas. Je n’arrive pas à éprouver de la sympathie pour mon père. Je dors mal cette nuit-là…
Quelques jours après, je reçois une notification sur Instagram. Mon profil est privé. Avec les enfants, je n’aime pas exposer des photos privées en dehors des amis. C’est une demande de mise en contact d’Arnaud D. Il veut m’ajouter à la liste de ses amis. Je suis agacé. Non Arnaud, on n’est pas amis. Encore moi de la même famille. C’est pas parce que t’as baise mon père qu’on va devenir potes !!
Toutefois, je suis intrigué par son profil.. un peu hypocrite de ma part… mais son profil à lui est publique… j’en découvre plus sur Arnaud D. Il a l’air d’être en couple avec un certain Jean-Louis, un peu plus âgé que lui. Un peu enrobé, et velu. Un « bear » comme on dit. Et le moins qu’on puisse dire est que nous n’avons pas la même vie… Il a l’air de bien en profiter et d’être libéré sexuellement. On le voit constamment en train de faire la fête en speedo. Lui et son mec presqu’à poil en train de faire la fête avec d’autre homos. Constamment. Toutes ces vacances. Des photos prises sur des plages gay. Dans des clubs. Des croisières gay. Etait-il comme ça avec mon père ? J’ai du mal à l’imaginer..
C’est même plus explicite sur certaines photos… Sur l’une on le voit, lui et son mec avec un minet d’une vingtaine d’annees et les mentions : #twinkandaddies #planatrois #grindr… c’est plutôt clair. Sur une autre, on les voit encore en couple dans un jacuzzi avec d’autres mecs. Ils ont tagge un hotel en Espagne, qui est clairement un lieu de baise et de partouze. Avec un donjon et un sling !
Je suis partagé… entre embarassement… et une curiosité… une intrigue… ce mec a l’air de s’éclater… de prendre plus de plaisir que moi… surtout en ce moment…
Agacé, je cesse de regarder Instagram. Dans les jours qui suivent, tout reste confus dans ma tête. Les révélations sur mon père. Le personnage d’Arnaud et sa vie sexuelle active… tout cela vient se mélanger à mes frustrations passées. Le chômage. Le sentiment de vieillir.
Irrémédiablement, je me mets en tête que ma vie est « ratée ». Je me répète parfois que ça n’a pas de sens. Je suis marié. Avec un homme formidable. J’ai deux enfants en bonne santé, que j’ai désirés et que j’adore… mais ma carrière professionnelle s’est arrêtée. Ma famille m’a menti. Mes parents sont morts. Mes enfants s’éloignent de moi. Et ma vie sexuelle est devenue morne, voire inexistente… Ayant trop de temps pour cogiter, je n’arrive pas à voir le positif.
De cette frustration, grandissent des pulsions sexuelles fortes. Comme si le personnage d’Arnaud avait déverrouillé en moi des inibhitions. Je me mets à regarder encore plus de porno. Des plans à trois. Des partouzes. Et je me mets à rever a ce que pourrait ressembler mon couple s’il était comme celui d’Arnaud. Les moments de plaisir sexuel sans tabou. Sans aucun contrainte. Une utopie à mes yeux. C’est pour ça que ni Mario et moi n’avons jamais envisagé d’ouvrir notre relation. Mais le vieux démon des fantasmes fait son apparition. Je regarde plein de videos et je me mets à imaginer les plans à trois les plus fous. Les partouzes endiablées.
Et il m’arrive de combiner ça avec des éléments du quotidien. Un samedi apres-midi, Mario et moi accompagnons Lea à un cours de poney. Je passe un très bon moment en famille, à admirer ma fille sur son poney. Mais en rentrant nous croisons un jeune palfrinier du club hippyque. Blond. Souriant. A peu près 20 ans. Beau comme un dieu. Je me mets immédiatement à fantasmer sur lui. Je n’arrive pas à le faire sortir de ma tete.
Et le lundi qui suit, une fois seul dans l’après-midi, je me déshabille entièrement, m'allonge sur le lit, commence à me caresser, et laisser mes fantasmes s'exprimer librement. Mario et moi et l'ange blond. Nous pénétrons collés tous les trois dans un box de cheval du club. Un endroit secret, isolé, avec seulement un joli tas de paille. Mario et moi le serrons de près. Il est jeune, il est blond, il est beau. Son corps est attirant. Je suis le premier à l'embrasser. A gouter ses lèvres douces et légèrement humides. Puis c'est au tour de Mario de l'embrasser. Je ne ressens aucune jalousie. Juste le plaisir de voir l'homme que j'aime avec un homme tout aussi beau et attirant mais plus jeune. Le baiser devient plus osé, et je peux constater que leurs langues se touchent. Je ne peux m'empecher de caresser son corps et de commencer à lui retirer ses vetements. Mario vient m'aider. Notre amant du jour se laisse faire. Immobile. Mais souriant. Près à nous offrir son corps jeune et beau. L'effeuillage est lent, progressif, comme pour voir la beauté de la peau nue, de chaque forme magnifique qui s'expose. Le corps est imberbe, légèrement musclé. Il est caressé légèrement et embrassé au fur et à mesure qu'il est dévoilé. Le voila nu, immobile. Les baisers reprennent, maintenant combinés à de caresses. Sa bite se gorge de sang sous l'effet des caresses.
- Déshabille Guillaume
Il obéit à Mario et me retire mes vêtements, lentement, tout en me caressant et m'embrassant lui aussi, sous le regard de Mario, qui se met nu en même temps. Je sens sa main se poser sur ma fesse, et il fait de meme au beau blond. Celui-ci descend doucement sur ses genoux. Ses lèvres attrapent mon gland et il commence à me sucer sans s'aider de ses mains. Car l'une d'elle me caresse déjà et l'autre serre la bite de Mario dans sa main. Je l'aime. Je veux partager ce plaisir avec lui. Je l'embrasse et le caresse. Je caresse sa langue avec la mienne, hors de nos bouches pour s’exciter. Mes mains touchent ses pectoraux alors que je continue à me faire sucer. Quand notre bel inconnu se tourne pour sucer Mario, nous baissons tous les deux les yeux vers lui pour l'admirer sucer consciencieusement, tout en me branlant. Les doigts de Mario viennent me pincer les seins. Mon plaisir est intense. Apres l'avoir laissé jouer avec nos bites nous le faisons assoir dans la paille. Le matelas jaune s'accorde parfaitement à l'or de ses cheveux, et à celui des légers poils qui lui parcourent les jambes. C'est un adonis il est parfait. Je commence à le sucer, tandis que Mario l'embrasse et lui caresse les pectoraux et les seins. Quand je commence à le caresser, je mesure la jeunesse de son corps: la douceur de sa peau, et ses muscles légèrement saillants. Sa bite est belle, bien dure dans ma bouche. Il mouille légèrement. Je le sens, au gout légèrement salé de la salive que j'avale. Mario s'est redressé et offre sa bite à sucer. Je lève les yeux et j'admire ce beau visage s'activer, à faire glisser la bite de mon homme entre ses lèvres. Il se touche un peu les seins pour s'exciter, ou caresse les cuisses puissantes de Mario. Je finis par relever les jambes pour commencer à lui lecher sa rosette. Belle. Cerclée uniquement de quelques poils blonds éparses, doux au contact de ma langue. Je le sens frissoner, sans qu'il ne s’arrête de sucer Mario. Ma langue le mouille, le prépare. Elle remonte aussi de temps en temps pour s'occuper des couilles.
- Mets toi à quatre pattes
Il obéit. Je l'observe se mettre en place. Voir son corps superbe se mettre dans cette position, docile, soumise. Je le recompense d'un baiser sur les lèvres, alors que Mario lui écarte deja les fesses pour le lécher. Pour la première fois il s'exprime: "mmh, oui c'est bon continue". Mais le long baiser avec la langue que je lui donne ne lui laisse plus l'occasion de parler. Puis d'une main commandante, mais douce, j'attrape sa nuque et le fais se pencher pour qu'il me suce. Je peux ainsi echanger des regards amoureux avec Mario. Quel plaisir de partager un mec aussi jeune et aussi beau. Aussi docile. Mario se redresse et s''introduit doucement en lui. Je regarde le visage blond se figer, les yeux se fermer, les lèvres se pincer. Le laisser s'habituer et laisser le plaisir se dessiner progressivement sur son visage. Dès qu'il s'est habitué il reprend la fellation. Il est maintenant pris des deux côtés. Son corps nous appartient. Il est livré à nos pénétrations de chaque côté. Mais aussi à nos caresses sur son dos lisse et musclé. Nos mains se rejoignent. Puis Mario le saisit par les hanches et ses mouvement de pénétration deviennent amples et réguliers. Il se penche vers moi et nous nous embrassons pour célébrer ce moment de partage et de plaisir. Je caresse les cheveux blonds.
On le met ensuite sur le dos. Il lève et écarte ses jambes spontanément pour laisser Mario le pénétrer à nouveau. Je regarde la scène. Mon amour en baise un autre devant moi. Ca me plait. Ca m'excite. Je savoure. J'aime le voir ainsi. Dans toute sa force. Sodomiser un mec bien plus jeune que lui. Je regarde ses fesses bouger, se contracter. Je regarde l'homme à qui il donne du plaisir. J'interviens à peine. Sauf quand l'envie de leurs peaux me ronge et que je mets a les toucher doucement, sans casser le rythme de la sodomie. Plutôt en accompagnant les mouvements. Mario accélère. Le corps du passif se secoue mais reste en place.
Je regarde Mario: "j'aimerais qu'il me baise devant toi maintenant". Le blond sourit. Je le remplace dans la même position, et l'attend, les mains bien calées derrière mes cuisses. Sa bite, belle, large et longue rentre en moi doucement. Je regarde Mario au même moment. Je veux lire dans ses yeux tout le plaisir qu'il ressent à voir une belle bite rentrer en moi. J'aime me faire prendre par un autre devant lui. Et lui aime regarder. Puis je me fais baiser. Lentement. Doucement. Mais profondément. Mes mains commencent à caresser le dos. Puis les fesses. A les agripper. Puis je gémis. Je veux que Mario entende à quel point je prends mon pied. Et à quel point j'aime qu'il me regarde. Il s'approche et vient glisser de lui même sa bite dans ma bouche. J'ai tourne la tête et je suis pénétré analement et oralement. En même temps. Ma bite est bien dure, tant mon plaisir est grand. Intense. Ma bite bouge au rythme de la sodomie. Le beau blond qui m'encule se penche. Et Mario lui donne sa bite a sucer. Les deux langues finissent par caresser le beau membre ensemble. Mario apprécie. Alors que sa main caresse le dos du blond. jusqu'en bas. Le doigt vient trouver la raie. Puis caresse l'anus.
Les intentions de Mario sont claires. Il vient se placer derriere le blond et fait glisser sa bite entre ses fesses. Une chaine se forme. Il l'encule par derriere. Et le beau blond continue à me sodomiser. Je vois les deux visages au dessus de moi. Je les admire. Le brun derriere le blond.
Ce dernier donne le rythme en reculant sur Mario et en s’avançant en moi. Son plaisir est intense. Je peux le lire sur son beau visage. Je regarde son corps qui me domine. Ses pectoraux imberbes et saillants.
Mario embrasse le blond dans le cou et lui glisse à l'oreille.
- Laisse moi le baiser maintenant
La chaine se brise. On se leve. J'ai Mario dans mon dos qui me caresse les épaules. Je sens son sexe dur contre mes fesses. J'ai notre compagnon face à moi qui m'embrasse et me branle. La main de Mario glisse le long de mon dos en me caressant et quand elle atteint l’épaule elle me fait me pencher en avant.
Je prends aussitôt notre ami en bouche alors que je sens Mario entrer en moi. Je suis pris des deux côtés. Bien en place. Tenu par les jambes et par les épaules. J'offre mon corps. Mes orifices. Je bande. J'aime être pris, debout comme ça.
Comme je fatigue un peu, Mario me place contre la cloison en bois du box et continue à me prendre par derrière. Il est plus vif. Ses hanches viennent claquer contre mes fesses. Le bel inconnu nous mate. Il se masturbe. Puis vient se glisser en dessous de moi pour me sucer. Je gémis. Tant le plaisit est intense dans le bas de mon corps. Ma bite. Ma prostate. Mario enroule son bras autour de moi, et m'embrasse et me mordille dans le cou. Et quand ses doigts me caressent le sein, cela déclenche une vague de plaisir. Le massage de ma prostate par sa bite en rajoute encore et j'ejacule dans la bouche qui me suce. Je sens ensuite le sexe de Mario se contracter, puis son sperme se déverser en moi.
Même si l'orgasme est passé, le plaisir et le désir continuent à nous envahir. Mario et moi nous mettons à genoux. Les joues collées, les langues qui se touchent, sorties, prêtes à accueillir le foutre de notre amant du jour qui se tient debout et se branle. Il est beau. Puissant. Ses abdominaux se contractent. Le sperme chaud vient éclabousser nos deux bouches. Il se colle aux lèvres. Puis Mario et moi nous embrassons. Le sperme se mélange, se combine à la salive et il est progressivement mangé et avalé, au fur et à mesure que nous embrassons avec la langue. On emmène notre amant se coucher sur la paille entre nous deux. Le soleil transperce les interstices du box et vient faire briller les peaux nues des trois corps enlacés qui s'endorment...
Allongé sur mon lit, je viens de jouir. Le sperme s'est déversé en abondance sur mon torse et mon ventre. Je sors de ce rêve magique. Celui d'une relation où Mario et moi faisons des plans à trois, sans jalousie, avec des amants magnifiques. Cette utopie m'a procuré un plaisir incroyable. Mais je sais bien que c'est impossible. Et que ni lui ni moi ne sommes prêts à prendre le risque. Mais tout cela me laisse un sentiment de frustration. Que ma vie sexuelle n'est pas à la hauteur.
Quelques jours après, alors que Mario et moi nous mettons au lit et qu'il vient se coller contre moi, je sens sa bite bandée contre mes fesses. Nous n'avons pas fait l'amour depuis deux mois... avec le décès de mon père et la mauvaise passe que je traverse. Mario ne m'a jamais mis la pression. Mais il me fait comprendre que ce soir, il a envie de moi. Je n'en ai pas envie. J'ai perdu totalement confiance en moi sexuellement. Mais je ne veux pas lui refuser ce plaisir. Je me tourne vers lui et l'embrasse. Il me déshabille en m'embrassant et en me caressant. Je le laisse faire. Je participe doucement. En caressant son corps. Il s'est mis sur moi et m'embrasse dans le cou. Passionnément. Cela lui avait manqué. Je sens sa bite bien bandée sur mon corps. Je bande aussi.
Malgre l’obscurité, il parvient à saisir le gel dans la table de nuit. Il se recouvre copieusement la bite, puis m'encule en missionaire. Malgré mon amour pour lui, l'odeur de sa peau, ses baisers sur mes lèvres et dans mon cou, et la caresse de sa bite contre ma prostate, je ne parviens pas à prendre du plaisir. Je bande un peu, mais pas aussi fort que d'habitude. Mario, lui, ne s’arrête pas. Il jouit rapidement à l’intérieur de moi. Puis reprend son souffle
- T'as pas joui? Tu veux que je te suce?
- Non... ça va... excuse moi... j'ai du mal
Son visage devient triste. Il se sent mal
- Excuse j'aurais pas du
- Non c'est bon t'en avais envie
Je caresse son torse avec ma main. Je souris affectueusement malgré ma peine. Je m'en veux. Je n'arrive pas à prendre du plaisir...
A suivre...
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