Crise de la quarantaine (08)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Crise de la quarantaine (08)
Suite des aventures de Guillaume.
N’hésitez pas à me contacter si vous avez aimé ou si vous avez des questions, ou si vous souhaitez des photos des personnages ; je réponds toujours
Le mois d’août démarre. Et Mario vient nous rendre visite pour un week-end de 3 jours, le vendredi soir. Je pars le chercher à la gare avec Lea. Je l'embrasse longuement sur la bouche sur le quai. Ca fait longtemps que je n'avais pas fait ça en public. Mario félicite sa fille pour ses résultats en poney. Il me demande des nouvelles d'Arthur en plaisantant:
- Casanova va bien?
- Tout va bien. L'air de la mer lui réussit
Je suis content de retrouver Mario, mais je ne ressens pas de désir immediat de lui faire l'amour. Je suis encore perturbé par les lettres torrides d'Arnaud à mon père. Suis-je en train de faire une rechute et de manquer de desir pour Mario? Je ne sais pas. En tout cas nous ne faisons pas l'amour le premier soir. Mais nous passons quand même une nuit tendre, et amoureuse dans les bras l'un de l'autre.
Des souvenirs continuent à me revenir. Mon apprentissage. L’éveil de mon attirance. De ma sensualité. Et j'aimerais revivre ça , mais avec Mario. Comme j'avais revécu ma première fois avec Jens lors du week-end du 14 juillet.
Je décide de reserver une petite surprise à Mario le samedi après-midi, alors que les enfants sont dans leurs clubs respectifs. Depuis quelques jours, les températures ont fortement augmenté. Et le thermomètre approche les 35 degrés, ce qui est inhabituel ici
Je l'emmene en voiture. Ce n'est pas loin, 15 minutes. Mais beaucoup plus quand j'avais fait le chemin, deux ou trois fois, il y a bien longtemps.
Mario ne sait pas à quoi s'attendre quand nous nous garons près d'une plage
- On a fait cette route pour aller juste sur une plage différente?
Je lui livre un sourire énigmatique en guise de réponse.
On marche un peu sur le sable avant de tomber sur un panneau : "Plage Naturiste"
Et effectivement face à nous, il y a un groupe assez éparse de gens nus
Mario pousse un "ah" de surprise.
- Intéressé par l'experience?
- Je sais pas...
- tu peux toujours garder ton maillot si tu veux
- t'es déjà venu ici?
- une fois il y a longtemps...
Mario n'a pas l'air choqué... je sais qu'il n'est pas prude. Mais je vois qu'il n'est pas complètement à l'aise. Toutefois la plage est grande, et peu peuplée. Essentiellement des gens âgés, mais aussi quelques familles, avec des enfants plus jeunes que les notres.
Je me déshabille. Je n'avais pas ressenti cela depuis longtemps. Cette liberté au moment d’être nu, surtout quand elle est ressentie à l'exterieur, au contact des éléments. Mario, lui, est resté en maillot
Je m'allonge sur le ventre et laisse le dieu soleil me recouvrir entièrement le corps. Je ressens aussitôt beaucoup de bien être.
J'explique à Mario que je suis venu une ou deux fois ici, il y a bien longtemps. En vélo. Ca m'avait pris un moment. J’étais venu seul, sans le dire à personne. Je voulais faire cette experience. Pour m'aider à accepter mon corps, à être bien dans ma peau.
Mario regarde autour de lui et finit par faire glisser son maillot de bains discrètement. Il marche alors nu vers l'eau. Je l'observe. J'ai toujours aimé le voir tout nu. Admirer son corps. Ses épaules. Son dos. Ses fesses. Le sentir libre, sans artifice. Admirer sa peau.
Il nage dans l'eau pendant un moment puis revient, le corps dégoulinant, brillant, avec un sourire radieux sur le visage.
- C’était bon de nager à poil... j'ai bien aimé
Je lui souris, satisfait de lui avoir permis cette découverte.
On passe l’après-midi ensemble à la plage. Nus. A offrir notre corps aux caresses du soleil, du vent et de l'eau. On se met de la crème solaire, pour apprécier la chaleur et les formes de nos corps.
C'est à regret qu'il faut se rhabiller pour rentrer. Quand on rentre à la maison, je me sens vraiment bien. Détendu, serein, bien dans mon corps et bien dans ma tête. Et il en est de même pour Mario. Je le lis sur son visage.
Ce soir là, on ne fait pas l'amour, l'heure est à la sensualité, pas au sexe. Je me mets nu au lit. Mario aussi. C'est devenu un réflexe. Les nuits sont chaudes. Mais c'est une envie aussi. Pour Mario comme pour moi.
Le dimanche on passe un bon moment en famille. A quatre sur la plage. Les températures restent élevées et il est nécessaire de se rafraichir dans l'eau le plus souvent possible. On joue beaucoup avec les enfants. Je ne me lasse jamais de voir Mario avec Arthur et Lea. Je pourrais passer des heures à les regarder. Mon mari et mes deux amours. Il se montre câlin et drôle avec sa fille. Et fait des activités plus physiques avec Arthur. Je l'observe et réalise qu'il a déjà bien grandi en un mois... il devient progressivement un homme comme son père, et comme moi.
En fin de journée, on rentre à la maison, et laisse Arthur retrouver ses amis. On s'occupe ainsi de notre fille ensemble, avant de l'emmener manger une glace.
Le centre ville n'est pas grand, et sans le vouloir, on finit par croiser Arthur et ses amis. De loin. Ils ne nous ont pas repérés. Ils sont six. Quatre garçons et deux filles. Arthur tient sa petite amie par la main. Il y aussi un autre garçon qui fait pareil avec sa copine. Les deux autres garcons tiennent la chandelle, comme on dit, sans que cela n'ait l'air de les déranger.
La scene nous amuse, Mario et moi. On change de direction pour éviter de croiser le groupe et de mettre Arthur mal à l'aise. Sur le chemin du retour, je regarde ma fille avec affection, et pense au peu d’années qu'il nous reste avant que les garçons ne commencent à lui tourner autour. Je sens déjà mes pulsions de papa hyper protecteur envers sa fille unique, mais je reprime ce sentiment, qui m'amuse aussi.
Lundi, Mario doit travailler depuis la maison, avant de reprendre le train dans l’après-midi. Je n'ai pas envie de le voir partir. Bien que nous n'ayons pas fait l'amour, j'ai passé un excellent week-end. Le désir est progressivement monté. Je me suis senti de plus en plus intime avec lui. J'ai juste laissé les choses se passer doucement, naturellement, sans me presser. Et maintenant, en ce dernier jour, j'ai envie de lui. De sa peau. De son corps.
Alors qu'il est assis à son bureau, dans notre chambre à l’étage, et que les enfants sont au club, je le rejoins. Il a l'air un peu occupé, mais pas au milieu de quelque chose de trop intense.
Je mets mes mains sur ses épaules
- Pas trop occupé?
- Nan, ça va, deux ou trois emails avant de repartir
Mes mains commencent à lui masser les épaules, puis mes bras s'enroulent autour de lui et je l'embrasse dans le cou. Il pousse un petit rire de satisfaction et de surprise. Ma main commence à caresser son ventre et descend sur son paquet. Mes baisers dans le cou
- Mmmh... mais que c'est ce que tu fais?
- J'ai juste envie de toi, avant que tu ne partes
Puis je masse son paquet, et je sens sa bite se bander sous son short.
- C'est bon, continue...
Ma langue sort de ma bouche et lèche le cou. La bite de Mario se tend aussitôt. Je glisse ma main dans son short et la serre. Elle est dure, bien enflée. Je suis excité moi aussi.
Sans rien dire je viens me placer à genoux entre ses jambes. Je tire sur le boxer et le jean pour les faire glisser. Mario retire son t-shirt. Il est nu sur sa chaise, comme un roi, prêt à être adoré. Sexy... J'ai sa bite bien bandée près de mon visage. Je la saisis et la branle tout en regardant Mario. Je vois le désir dans ses yeux. Je veux qu'il lise mon désir à moi dans mes yeux aussi. On se retrouve, on se réunit dans un meme désir. Sa bite est bien large et je viens la mettre dans ma bouche. Je la branle dans ma bouche. Puis je commence à la sucer, rien qu'avec mes lèvres. Il soupire et se cale confortablement sur son fauteuil. Mes mains viennent caresser ses cuisses. Je sens les poils sur mes paumes. Je le sors de ma bouche pour le branler, vient poser mes lèvres sur l'interieur de ses cuisses. Leur chaleur, leur odeur. J'embrasse les couilles, puis remonte ma langue le long du chibre. Jusqu'au gland. Je le caresse longuement avec la langue puis reprend la fellation. Ce petit jeu lui a plu. Sa main est venue se poser sur ma tête. Ses doigts viennent gratter légèrement ma nuque pour me caresser. Je suce plus vite. Je sais qu'il ne va pas pouvoir se retenir plus longtemps. J’arrête de sucer et j'attends bouche ouverte. Il se branle et vise mon visage avec sa bite. Le premier jet est très puissant et atterrit à la commissure de ma lèvre et sur ma joue. Le second, tout aussi vif est directement tiré dans ma bouche ouverte. Le troisième toujours aussi fort juste en dessous de mon nez. Le visage couvert de sperme, je prends ensuite sa bite dans ma bouche, pour recueillir les deux derniers flots de sperme dans ma bouche. J'ai toujours adoré les faciales. La projection de son sperme sur mon visage. La suprise, l’éruption. Le fait de participer ainsi à son orgasme. J'avale ses semences. Puis continue à sucer et à lécher. Le sperme finit par se retrouver dans ma bouche. Mario me regarde, extatique de plaisir.
Sa main vient caresser ma joue
- Merci... c’était genial.. lève toi maintenant.
Il me déboutonne le short alors que j’enlève mon polo. Je suis tout nu en quelques secondes seulement. Je pose mes fesses contre le bureau. Mario m'embrasse. Avec la langue. Et il me masturbe.
Je réalise que c'est la première fois qu'on fait l'amour en pleine journee, en dehors de notre lit, depuis des mois, non des années je dirais. C'est chaud. Je le laisse faire. Il descend déposer des baisers lents et sensuels sur mon torse et mes abdominaux. Je sens le contact de sa langue aussi. Puis soudain ma bite est enveloppée par sa bouche. Sa salive me caresse. Il me suce. Sa bouche aime ma bite. Ses mains caressent mes mollets et le haut de mes cuisses. Je suis confortablement installé sur mes fesses, les mains calées sur le bureau de chaque côté. Je me detends et le laisse jouer. Il suce. Puis me prend profondément, je sens son nez caresser mon pubis. Je le remercie en caressant ses beaux cheveux, très bruns. Il sort la bite pour la branler tout en me léchant et embrassant mes couilles. Puis il me reprend en bouche en accélérant cette fois. Une fellation vive, en rythme. Je me laisse emporter car c'est ce qu'il veut, et que je suis prêt. Je jouis dans sa bouche. Chaque jet puissant est aussitôt avalé. Fier de lui, il a levé les yeux vers moi tout en buvant mes semences. Après un dernier coup de langue sur mon gland pour me laisser bien propre, il lâche
- Wow! Sympa cette petite pause au boulot.
Il n'y a pas beaucoup de temps pour penser à autre chose, car il doit bien reprendre le train.
Sur le quai, il me serre dans ses bras et me dit à l'oreille
- Tu as l'air d'aller mieux... et je ne parle pas de sexe
- Oui ça va de mieux en mieux... je me sens vraiment bien mieux qu'il y a un mois
Je suis maintenant très triste de le voir partir. Mais d'un autre côté, je vois ça comme un signe. Signe que j'ai repris une affection normale pour Mario. Que j'ai retrouvé ma passion pour lui.
J'ai maintenant hâte qu'il revienne dans 15 jours, cette fois-ci pour passer la fin de l’été avec nous.
Je me remets aussitôt dans ma nouvelle routine. Une routine active et plaisante. Mon boulot me plait de plus en plus, et j'y consacre la moitié de ma journée. Vanessa m'appelle un jour et me propose un CDI à la rentrée. A temps plein, en télétravail! Le salaire est correct sans plus, mais il y a beaucoup de perspective de croissance car l'entreprise est petite mais prometteuse. C'est vraiment une très bonne surprise. Cela me met d'excellente humeur. J'annonce aussitôt la nouvelle à Mario. Il me manque. C'est un signe. Un vrai signe que tout va mieux maintenant. J'ai enfin rebondi. Professionellement, affectivement... et un peu sexuellement. Pour cela il faudra attendre que Mario revienne.
Les prochains jours se passent agréablement. Les enfants sont toujours aussi occupés avec leurs activités. Ils aiment ça. Ils se plaisent ici. Arthur passe énormément de temps avec ses amis, et sa petite copine. Mais il respecte bien le couvre feu, et il est de bonne humeur.
Je reçois quelques visites d'acheteurs intéressés pour la maison... mais je me rends compte que je suis de moins en moins motivé par la vente. Quelque part, je me sens de plus en plus attaché à cette maison. Autant mes sentiments étaient mitigés en arrivant, autant cette maison est en train de devenir le symbole de ma renaissance. Et nous sommes aussi en train d'assembler des souvenirs de famille à quatre.
D'autres choses évoluent dans ma tête en ce début août. Je repense de plus en plus à mon père. Le fait d’être dans ses mûrs. De ressentir un peu plus qui il était. Pas un saint. Il a certainement fait des erreurs. Fait souffrir ma mère. M'a fait souffrir aussi. Mais je sens que je le comprends. Et je suis prêt à lui pardonner. Je ne sais pas ce que j'aurais fait à sa place. Et il a renoncé à son amour pour son amant, pour s'occuper pleinement de maman... Je sens qu'il est temps d’être en paix avec lui.
Côté météo , les choses ne s'apaisent pas, elles. Les températures restent caniculaires.
Un jour, en fin d’après midi, alors que je me détends sur un transat dans le jardin avec Lea, Arthur revient à la maison en vélo. Il laisse tomber son vélo dans l'herbe et se tient l'estomac. Il est très pâle.
- Tout va bien?
- Nan... j'me sens pas bien... j'ai envie de vomir...
Et soudain il se met à courir vers la maison.
Je le suis en courant... mais il n'a pas eu le temps d'atteindre les toilettes. Le couloir est couvert de vomis. Et je le trouve peu après la tête dans la cuvette en train de continuer à vomir.
Je me sens mal pour lui... Je ne crois pas que ce soit une connerie d'ado comme de l'alcool... plutôt une intoxication alimentaire...
Je nettoie le couloir rapidement.
- Comment tu te sens?
- Horrible...J'ai hyper chaud... et j'ai encore envie de vomir
Il s'affale dans le canapé. Je touche son front. Il est brûlant. Il doit avoir 40 de fièvre
- Bon, on va aux urgences alors
On atterrit alors à l'hopital. Et les urgences ressemblent à n'importe quel hôpital l’été. Une file interminable aux urgences. Les services débordés...
On attend un moment. Arthur ne va pas mieux. Il court soudainement pour aller aux toilettes. Je m’inquiète. Quand il revient, il dit juste qu'il est malade. Je ne lui demande pas de détail ... Malgré sa peine, il passe quand même du temps sur son portable. Sûrement pour donner des nouvelles à ses amis
Une infirmière finit par s'occuper d'Arthur, qui est bien faible. On lui tend une blouse.
- Enlève tes vêtements, tu peux juste garder ton caleçon.
Pudique Arthur se change dans un coin. Je détourne le regard pour ne pas le gêner. On lui prend sa température : 40.5 degrés!
L’infirmière se contente de dire: "l'urgentiste passera dès que possible"
Le temps est long. Allongé, Arthur va un peu mieux. Il passe son temps sur son smartphone. Il prend des selfies avec des signes de doigts, de l'index et du majeur. J'imagine qu'il est sur Snapchat avec ses amis. Mais il est interrompu par l'urgentiste qui rentre soudainement, reconnaissable à sa blouse blanche. Arthur pose aussitôt le smartphone sur le lit. Ce qui me permet de voir le dernier message... signé Camille... "bon courage, avec deux "kiss" emojis, et trois gros coeurs rouges"
L'urgentiste a l'air très jeune. Ca ne me rassure pas vraiment. Il osculte rapidement Arthur, regarde ses pupilles, le palple, l'interroge sur ce qu'il a mangé, bu, et combien de temps il a passé au soleil. Il l'interroge sur ses vomissements et diarrhées. Arthur répond, mal à l'aise. Je fais semblant de ne pas trop écouter.
Au bout de deux minutes, l'urgentiste déclare : "Insolation. Dolyprane, boire beacoup d'eau dans les prochaines 24 heures, et rester allongé. Si la fièvre ne descend pas, repassez nous voir. Vous pouvez rentrer chez vous"
Je reconduis le pauvre Arthur à la maison... Je le chouchoute un peu le soir et le lendemain. Quelque part, cet incident me rend conscient que même si mon fils grandit, il a encore besoin de moi. Et c'est encore une chose qui flatte mon ego...
A suivre…
N’hésitez pas à me contacter si vous avez aimé ou si vous avez des questions, ou si vous souhaitez des photos des personnages ; je réponds toujours
Le mois d’août démarre. Et Mario vient nous rendre visite pour un week-end de 3 jours, le vendredi soir. Je pars le chercher à la gare avec Lea. Je l'embrasse longuement sur la bouche sur le quai. Ca fait longtemps que je n'avais pas fait ça en public. Mario félicite sa fille pour ses résultats en poney. Il me demande des nouvelles d'Arthur en plaisantant:
- Casanova va bien?
- Tout va bien. L'air de la mer lui réussit
Je suis content de retrouver Mario, mais je ne ressens pas de désir immediat de lui faire l'amour. Je suis encore perturbé par les lettres torrides d'Arnaud à mon père. Suis-je en train de faire une rechute et de manquer de desir pour Mario? Je ne sais pas. En tout cas nous ne faisons pas l'amour le premier soir. Mais nous passons quand même une nuit tendre, et amoureuse dans les bras l'un de l'autre.
Des souvenirs continuent à me revenir. Mon apprentissage. L’éveil de mon attirance. De ma sensualité. Et j'aimerais revivre ça , mais avec Mario. Comme j'avais revécu ma première fois avec Jens lors du week-end du 14 juillet.
Je décide de reserver une petite surprise à Mario le samedi après-midi, alors que les enfants sont dans leurs clubs respectifs. Depuis quelques jours, les températures ont fortement augmenté. Et le thermomètre approche les 35 degrés, ce qui est inhabituel ici
Je l'emmene en voiture. Ce n'est pas loin, 15 minutes. Mais beaucoup plus quand j'avais fait le chemin, deux ou trois fois, il y a bien longtemps.
Mario ne sait pas à quoi s'attendre quand nous nous garons près d'une plage
- On a fait cette route pour aller juste sur une plage différente?
Je lui livre un sourire énigmatique en guise de réponse.
On marche un peu sur le sable avant de tomber sur un panneau : "Plage Naturiste"
Et effectivement face à nous, il y a un groupe assez éparse de gens nus
Mario pousse un "ah" de surprise.
- Intéressé par l'experience?
- Je sais pas...
- tu peux toujours garder ton maillot si tu veux
- t'es déjà venu ici?
- une fois il y a longtemps...
Mario n'a pas l'air choqué... je sais qu'il n'est pas prude. Mais je vois qu'il n'est pas complètement à l'aise. Toutefois la plage est grande, et peu peuplée. Essentiellement des gens âgés, mais aussi quelques familles, avec des enfants plus jeunes que les notres.
Je me déshabille. Je n'avais pas ressenti cela depuis longtemps. Cette liberté au moment d’être nu, surtout quand elle est ressentie à l'exterieur, au contact des éléments. Mario, lui, est resté en maillot
Je m'allonge sur le ventre et laisse le dieu soleil me recouvrir entièrement le corps. Je ressens aussitôt beaucoup de bien être.
J'explique à Mario que je suis venu une ou deux fois ici, il y a bien longtemps. En vélo. Ca m'avait pris un moment. J’étais venu seul, sans le dire à personne. Je voulais faire cette experience. Pour m'aider à accepter mon corps, à être bien dans ma peau.
Mario regarde autour de lui et finit par faire glisser son maillot de bains discrètement. Il marche alors nu vers l'eau. Je l'observe. J'ai toujours aimé le voir tout nu. Admirer son corps. Ses épaules. Son dos. Ses fesses. Le sentir libre, sans artifice. Admirer sa peau.
Il nage dans l'eau pendant un moment puis revient, le corps dégoulinant, brillant, avec un sourire radieux sur le visage.
- C’était bon de nager à poil... j'ai bien aimé
Je lui souris, satisfait de lui avoir permis cette découverte.
On passe l’après-midi ensemble à la plage. Nus. A offrir notre corps aux caresses du soleil, du vent et de l'eau. On se met de la crème solaire, pour apprécier la chaleur et les formes de nos corps.
C'est à regret qu'il faut se rhabiller pour rentrer. Quand on rentre à la maison, je me sens vraiment bien. Détendu, serein, bien dans mon corps et bien dans ma tête. Et il en est de même pour Mario. Je le lis sur son visage.
Ce soir là, on ne fait pas l'amour, l'heure est à la sensualité, pas au sexe. Je me mets nu au lit. Mario aussi. C'est devenu un réflexe. Les nuits sont chaudes. Mais c'est une envie aussi. Pour Mario comme pour moi.
Le dimanche on passe un bon moment en famille. A quatre sur la plage. Les températures restent élevées et il est nécessaire de se rafraichir dans l'eau le plus souvent possible. On joue beaucoup avec les enfants. Je ne me lasse jamais de voir Mario avec Arthur et Lea. Je pourrais passer des heures à les regarder. Mon mari et mes deux amours. Il se montre câlin et drôle avec sa fille. Et fait des activités plus physiques avec Arthur. Je l'observe et réalise qu'il a déjà bien grandi en un mois... il devient progressivement un homme comme son père, et comme moi.
En fin de journée, on rentre à la maison, et laisse Arthur retrouver ses amis. On s'occupe ainsi de notre fille ensemble, avant de l'emmener manger une glace.
Le centre ville n'est pas grand, et sans le vouloir, on finit par croiser Arthur et ses amis. De loin. Ils ne nous ont pas repérés. Ils sont six. Quatre garçons et deux filles. Arthur tient sa petite amie par la main. Il y aussi un autre garçon qui fait pareil avec sa copine. Les deux autres garcons tiennent la chandelle, comme on dit, sans que cela n'ait l'air de les déranger.
La scene nous amuse, Mario et moi. On change de direction pour éviter de croiser le groupe et de mettre Arthur mal à l'aise. Sur le chemin du retour, je regarde ma fille avec affection, et pense au peu d’années qu'il nous reste avant que les garçons ne commencent à lui tourner autour. Je sens déjà mes pulsions de papa hyper protecteur envers sa fille unique, mais je reprime ce sentiment, qui m'amuse aussi.
Lundi, Mario doit travailler depuis la maison, avant de reprendre le train dans l’après-midi. Je n'ai pas envie de le voir partir. Bien que nous n'ayons pas fait l'amour, j'ai passé un excellent week-end. Le désir est progressivement monté. Je me suis senti de plus en plus intime avec lui. J'ai juste laissé les choses se passer doucement, naturellement, sans me presser. Et maintenant, en ce dernier jour, j'ai envie de lui. De sa peau. De son corps.
Alors qu'il est assis à son bureau, dans notre chambre à l’étage, et que les enfants sont au club, je le rejoins. Il a l'air un peu occupé, mais pas au milieu de quelque chose de trop intense.
Je mets mes mains sur ses épaules
- Pas trop occupé?
- Nan, ça va, deux ou trois emails avant de repartir
Mes mains commencent à lui masser les épaules, puis mes bras s'enroulent autour de lui et je l'embrasse dans le cou. Il pousse un petit rire de satisfaction et de surprise. Ma main commence à caresser son ventre et descend sur son paquet. Mes baisers dans le cou
- Mmmh... mais que c'est ce que tu fais?
- J'ai juste envie de toi, avant que tu ne partes
Puis je masse son paquet, et je sens sa bite se bander sous son short.
- C'est bon, continue...
Ma langue sort de ma bouche et lèche le cou. La bite de Mario se tend aussitôt. Je glisse ma main dans son short et la serre. Elle est dure, bien enflée. Je suis excité moi aussi.
Sans rien dire je viens me placer à genoux entre ses jambes. Je tire sur le boxer et le jean pour les faire glisser. Mario retire son t-shirt. Il est nu sur sa chaise, comme un roi, prêt à être adoré. Sexy... J'ai sa bite bien bandée près de mon visage. Je la saisis et la branle tout en regardant Mario. Je vois le désir dans ses yeux. Je veux qu'il lise mon désir à moi dans mes yeux aussi. On se retrouve, on se réunit dans un meme désir. Sa bite est bien large et je viens la mettre dans ma bouche. Je la branle dans ma bouche. Puis je commence à la sucer, rien qu'avec mes lèvres. Il soupire et se cale confortablement sur son fauteuil. Mes mains viennent caresser ses cuisses. Je sens les poils sur mes paumes. Je le sors de ma bouche pour le branler, vient poser mes lèvres sur l'interieur de ses cuisses. Leur chaleur, leur odeur. J'embrasse les couilles, puis remonte ma langue le long du chibre. Jusqu'au gland. Je le caresse longuement avec la langue puis reprend la fellation. Ce petit jeu lui a plu. Sa main est venue se poser sur ma tête. Ses doigts viennent gratter légèrement ma nuque pour me caresser. Je suce plus vite. Je sais qu'il ne va pas pouvoir se retenir plus longtemps. J’arrête de sucer et j'attends bouche ouverte. Il se branle et vise mon visage avec sa bite. Le premier jet est très puissant et atterrit à la commissure de ma lèvre et sur ma joue. Le second, tout aussi vif est directement tiré dans ma bouche ouverte. Le troisième toujours aussi fort juste en dessous de mon nez. Le visage couvert de sperme, je prends ensuite sa bite dans ma bouche, pour recueillir les deux derniers flots de sperme dans ma bouche. J'ai toujours adoré les faciales. La projection de son sperme sur mon visage. La suprise, l’éruption. Le fait de participer ainsi à son orgasme. J'avale ses semences. Puis continue à sucer et à lécher. Le sperme finit par se retrouver dans ma bouche. Mario me regarde, extatique de plaisir.
Sa main vient caresser ma joue
- Merci... c’était genial.. lève toi maintenant.
Il me déboutonne le short alors que j’enlève mon polo. Je suis tout nu en quelques secondes seulement. Je pose mes fesses contre le bureau. Mario m'embrasse. Avec la langue. Et il me masturbe.
Je réalise que c'est la première fois qu'on fait l'amour en pleine journee, en dehors de notre lit, depuis des mois, non des années je dirais. C'est chaud. Je le laisse faire. Il descend déposer des baisers lents et sensuels sur mon torse et mes abdominaux. Je sens le contact de sa langue aussi. Puis soudain ma bite est enveloppée par sa bouche. Sa salive me caresse. Il me suce. Sa bouche aime ma bite. Ses mains caressent mes mollets et le haut de mes cuisses. Je suis confortablement installé sur mes fesses, les mains calées sur le bureau de chaque côté. Je me detends et le laisse jouer. Il suce. Puis me prend profondément, je sens son nez caresser mon pubis. Je le remercie en caressant ses beaux cheveux, très bruns. Il sort la bite pour la branler tout en me léchant et embrassant mes couilles. Puis il me reprend en bouche en accélérant cette fois. Une fellation vive, en rythme. Je me laisse emporter car c'est ce qu'il veut, et que je suis prêt. Je jouis dans sa bouche. Chaque jet puissant est aussitôt avalé. Fier de lui, il a levé les yeux vers moi tout en buvant mes semences. Après un dernier coup de langue sur mon gland pour me laisser bien propre, il lâche
- Wow! Sympa cette petite pause au boulot.
Il n'y a pas beaucoup de temps pour penser à autre chose, car il doit bien reprendre le train.
Sur le quai, il me serre dans ses bras et me dit à l'oreille
- Tu as l'air d'aller mieux... et je ne parle pas de sexe
- Oui ça va de mieux en mieux... je me sens vraiment bien mieux qu'il y a un mois
Je suis maintenant très triste de le voir partir. Mais d'un autre côté, je vois ça comme un signe. Signe que j'ai repris une affection normale pour Mario. Que j'ai retrouvé ma passion pour lui.
J'ai maintenant hâte qu'il revienne dans 15 jours, cette fois-ci pour passer la fin de l’été avec nous.
Je me remets aussitôt dans ma nouvelle routine. Une routine active et plaisante. Mon boulot me plait de plus en plus, et j'y consacre la moitié de ma journée. Vanessa m'appelle un jour et me propose un CDI à la rentrée. A temps plein, en télétravail! Le salaire est correct sans plus, mais il y a beaucoup de perspective de croissance car l'entreprise est petite mais prometteuse. C'est vraiment une très bonne surprise. Cela me met d'excellente humeur. J'annonce aussitôt la nouvelle à Mario. Il me manque. C'est un signe. Un vrai signe que tout va mieux maintenant. J'ai enfin rebondi. Professionellement, affectivement... et un peu sexuellement. Pour cela il faudra attendre que Mario revienne.
Les prochains jours se passent agréablement. Les enfants sont toujours aussi occupés avec leurs activités. Ils aiment ça. Ils se plaisent ici. Arthur passe énormément de temps avec ses amis, et sa petite copine. Mais il respecte bien le couvre feu, et il est de bonne humeur.
Je reçois quelques visites d'acheteurs intéressés pour la maison... mais je me rends compte que je suis de moins en moins motivé par la vente. Quelque part, je me sens de plus en plus attaché à cette maison. Autant mes sentiments étaient mitigés en arrivant, autant cette maison est en train de devenir le symbole de ma renaissance. Et nous sommes aussi en train d'assembler des souvenirs de famille à quatre.
D'autres choses évoluent dans ma tête en ce début août. Je repense de plus en plus à mon père. Le fait d’être dans ses mûrs. De ressentir un peu plus qui il était. Pas un saint. Il a certainement fait des erreurs. Fait souffrir ma mère. M'a fait souffrir aussi. Mais je sens que je le comprends. Et je suis prêt à lui pardonner. Je ne sais pas ce que j'aurais fait à sa place. Et il a renoncé à son amour pour son amant, pour s'occuper pleinement de maman... Je sens qu'il est temps d’être en paix avec lui.
Côté météo , les choses ne s'apaisent pas, elles. Les températures restent caniculaires.
Un jour, en fin d’après midi, alors que je me détends sur un transat dans le jardin avec Lea, Arthur revient à la maison en vélo. Il laisse tomber son vélo dans l'herbe et se tient l'estomac. Il est très pâle.
- Tout va bien?
- Nan... j'me sens pas bien... j'ai envie de vomir...
Et soudain il se met à courir vers la maison.
Je le suis en courant... mais il n'a pas eu le temps d'atteindre les toilettes. Le couloir est couvert de vomis. Et je le trouve peu après la tête dans la cuvette en train de continuer à vomir.
Je me sens mal pour lui... Je ne crois pas que ce soit une connerie d'ado comme de l'alcool... plutôt une intoxication alimentaire...
Je nettoie le couloir rapidement.
- Comment tu te sens?
- Horrible...J'ai hyper chaud... et j'ai encore envie de vomir
Il s'affale dans le canapé. Je touche son front. Il est brûlant. Il doit avoir 40 de fièvre
- Bon, on va aux urgences alors
On atterrit alors à l'hopital. Et les urgences ressemblent à n'importe quel hôpital l’été. Une file interminable aux urgences. Les services débordés...
On attend un moment. Arthur ne va pas mieux. Il court soudainement pour aller aux toilettes. Je m’inquiète. Quand il revient, il dit juste qu'il est malade. Je ne lui demande pas de détail ... Malgré sa peine, il passe quand même du temps sur son portable. Sûrement pour donner des nouvelles à ses amis
Une infirmière finit par s'occuper d'Arthur, qui est bien faible. On lui tend une blouse.
- Enlève tes vêtements, tu peux juste garder ton caleçon.
Pudique Arthur se change dans un coin. Je détourne le regard pour ne pas le gêner. On lui prend sa température : 40.5 degrés!
L’infirmière se contente de dire: "l'urgentiste passera dès que possible"
Le temps est long. Allongé, Arthur va un peu mieux. Il passe son temps sur son smartphone. Il prend des selfies avec des signes de doigts, de l'index et du majeur. J'imagine qu'il est sur Snapchat avec ses amis. Mais il est interrompu par l'urgentiste qui rentre soudainement, reconnaissable à sa blouse blanche. Arthur pose aussitôt le smartphone sur le lit. Ce qui me permet de voir le dernier message... signé Camille... "bon courage, avec deux "kiss" emojis, et trois gros coeurs rouges"
L'urgentiste a l'air très jeune. Ca ne me rassure pas vraiment. Il osculte rapidement Arthur, regarde ses pupilles, le palple, l'interroge sur ce qu'il a mangé, bu, et combien de temps il a passé au soleil. Il l'interroge sur ses vomissements et diarrhées. Arthur répond, mal à l'aise. Je fais semblant de ne pas trop écouter.
Au bout de deux minutes, l'urgentiste déclare : "Insolation. Dolyprane, boire beacoup d'eau dans les prochaines 24 heures, et rester allongé. Si la fièvre ne descend pas, repassez nous voir. Vous pouvez rentrer chez vous"
Je reconduis le pauvre Arthur à la maison... Je le chouchoute un peu le soir et le lendemain. Quelque part, cet incident me rend conscient que même si mon fils grandit, il a encore besoin de moi. Et c'est encore une chose qui flatte mon ego...
A suivre…
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