En appartenance

Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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En appartenance
L’été est la saison que je préfère. C’est celle où je me sens plus lope que jamais, où ma sensualité est exacerbée et où j’aime émoustiller Marc, mon Homme.
En juillet dernier, 2025 donc, j’étais, comme souvent quand il fait bon, en tongs, t-shirt et short, sans rien dessous évidemment. C’était en plus le week-end, le moment de la semaine que je préfère, comme des millions de personnes, loin du stress et des obligations du boulot. Nous avions décidé de bruncher à la terrasse d'un restaurant, en face du lac Léman, avec vue imprenable sur le Mont-Blanc, et devisions gaiement.
J’avais la bouche pleine (« tu as toujours la bouche pleine ! », dirait mon mec, mais là, c’était de ma tartine), quand en tournant la tête, je remarquai qu'un homme regardait mes jambes avec insistance et un petit sourire aux lèvres, l’air de dire « je sais ce que tu as fait ». Elles sont certes entièrement épilées, pensai-je, mais, à 64 ans depuis peu, pas si sexy que ça.
Puis je me suis rendu compte qu'elles portaient encore des traces de cordes au-dessus et au-dessous des genoux, mais aussi aux chevilles, que mon petit bracelet que Marc m’avait offert lors de notre voyage en juin 2024 à Mykonos peinait à masquer.
Il faut dire que, ce matin-là, avant de me faire l'amour, Marc m'avait solidement attachée. Je réalisai soudain que mes joues devaient également porter la marque du ballgag qui avait étouffé (à peine) mes gémissements (la prochaine fois, il faudra d’ailleurs qu’Il me bâillonne plus sérieusement).
Marc adore m'attacher et me bâillonner pour me faire l'amour. Mais pas seulement. Nous pratiquons le bondage dès que nous le pouvons, c'est-à-dire quasiment tous les jours, sans que cela se termine forcément en séance de baise – et j'adore ça aussi –, même si nous considérons le bondage comme un formidable préliminaire.
J’appartiens à mon Homme et j’adore la manière dont il m’attache. Il veille toujours à ne me laisser aucune marge de manœuvre, ni mouvements ni paroles. Ses liens et ses bâillons sont toujours très stricts, que ce soit avec des cordes ou des ceintures, ou un mélange des deux ! Ainsi, je passe régulièrement mes samedis après-midi saucissonnée sur le canapé, incapable de bouger et de proférer le moindre son, et mes dimanches matin, quand je suis encore au lit, à peine réveillée et que Marc m’attache en hogtie serré avant d’aller acheter les croissants pour le petit-déjeuner. Ce moment est un vrai délice. Il n’est pas rare qu’il me laisse attachée jusqu’à quatre ou cinq heures d’affilée.
Quand je dis « immobilisée », le mot est faible, car Marc est un vrai adepte de l’« inescapable bondage ». Si vous n’avez pas l’habitude, vous paniquerez sûrement de ne pouvoir vous libérer quand votre circulation sera bloquée et que vous commencerez à ne plus sentir vos membres. Le secret est de lâcher prise et d’entrer le plus vite possible dans cet espace intérieur que nous appelons, nous les soumises, le « subspace » : cet état de conscience où l’on est seule avec nous-même, comme coupée du monde, à méditer sur notre condition et à l’accepter comme naturelle. Parfois ça le prend, il pratique la privation sensorielle, c’est-à-dire bâillon-cagoule-blindfold-casque sur les oreilles. Ainsi, en plus des liens, du collier et de la cage, je suis comme les trois singes : je ne vois rien, je n’entends rien, je ne parle pas.
Marc n’aime pas quand je dis ça, mais j’aime qu’il me fasse fermer ma gueule (je parle beaucoup trop) et qu’il assure un contrôle total sur moi. Et j’adore qu’il me prenne quand je suis incapable de lui résister…
Mais pour en revenir à la terrasse du restaurant ce samedi matin de juillet dernier, ce que cet homme ne savait pas, c'était que je portais aussi sous mon t-shirt des pinces à seins – celles-ci se remarquent à peine –, que j'étais en chasteté sous mon short et que le pendentif que je portais – une flèche dirigée vers le haut dans un carré à la ligne discontinue – est le signe que je suis soumise à mon Homme et que je Lui appartiens. Je me suis demandé si son regard trahissait de la curiosité ou de la connivence, et quelle aurait été sa réaction s’il l’avait appris.
Peu importe, Marc ne le vit pas et je me gardai de lui en faire la remarque, un peu émoustillée d’être le centre de l’attention d’un (autre) homme. Marc ne m’a pas encore prêtée mais il y pense et nous en parlons de temps en temps. Il aime prendre son temps. En attendant, je rendis à cet inconnu son regard et son sourire, non sans éprouver une certaine fierté à être une lope en appartenance.
En juillet dernier, 2025 donc, j’étais, comme souvent quand il fait bon, en tongs, t-shirt et short, sans rien dessous évidemment. C’était en plus le week-end, le moment de la semaine que je préfère, comme des millions de personnes, loin du stress et des obligations du boulot. Nous avions décidé de bruncher à la terrasse d'un restaurant, en face du lac Léman, avec vue imprenable sur le Mont-Blanc, et devisions gaiement.
J’avais la bouche pleine (« tu as toujours la bouche pleine ! », dirait mon mec, mais là, c’était de ma tartine), quand en tournant la tête, je remarquai qu'un homme regardait mes jambes avec insistance et un petit sourire aux lèvres, l’air de dire « je sais ce que tu as fait ». Elles sont certes entièrement épilées, pensai-je, mais, à 64 ans depuis peu, pas si sexy que ça.
Puis je me suis rendu compte qu'elles portaient encore des traces de cordes au-dessus et au-dessous des genoux, mais aussi aux chevilles, que mon petit bracelet que Marc m’avait offert lors de notre voyage en juin 2024 à Mykonos peinait à masquer.
Il faut dire que, ce matin-là, avant de me faire l'amour, Marc m'avait solidement attachée. Je réalisai soudain que mes joues devaient également porter la marque du ballgag qui avait étouffé (à peine) mes gémissements (la prochaine fois, il faudra d’ailleurs qu’Il me bâillonne plus sérieusement).
Marc adore m'attacher et me bâillonner pour me faire l'amour. Mais pas seulement. Nous pratiquons le bondage dès que nous le pouvons, c'est-à-dire quasiment tous les jours, sans que cela se termine forcément en séance de baise – et j'adore ça aussi –, même si nous considérons le bondage comme un formidable préliminaire.
J’appartiens à mon Homme et j’adore la manière dont il m’attache. Il veille toujours à ne me laisser aucune marge de manœuvre, ni mouvements ni paroles. Ses liens et ses bâillons sont toujours très stricts, que ce soit avec des cordes ou des ceintures, ou un mélange des deux ! Ainsi, je passe régulièrement mes samedis après-midi saucissonnée sur le canapé, incapable de bouger et de proférer le moindre son, et mes dimanches matin, quand je suis encore au lit, à peine réveillée et que Marc m’attache en hogtie serré avant d’aller acheter les croissants pour le petit-déjeuner. Ce moment est un vrai délice. Il n’est pas rare qu’il me laisse attachée jusqu’à quatre ou cinq heures d’affilée.
Quand je dis « immobilisée », le mot est faible, car Marc est un vrai adepte de l’« inescapable bondage ». Si vous n’avez pas l’habitude, vous paniquerez sûrement de ne pouvoir vous libérer quand votre circulation sera bloquée et que vous commencerez à ne plus sentir vos membres. Le secret est de lâcher prise et d’entrer le plus vite possible dans cet espace intérieur que nous appelons, nous les soumises, le « subspace » : cet état de conscience où l’on est seule avec nous-même, comme coupée du monde, à méditer sur notre condition et à l’accepter comme naturelle. Parfois ça le prend, il pratique la privation sensorielle, c’est-à-dire bâillon-cagoule-blindfold-casque sur les oreilles. Ainsi, en plus des liens, du collier et de la cage, je suis comme les trois singes : je ne vois rien, je n’entends rien, je ne parle pas.
Marc n’aime pas quand je dis ça, mais j’aime qu’il me fasse fermer ma gueule (je parle beaucoup trop) et qu’il assure un contrôle total sur moi. Et j’adore qu’il me prenne quand je suis incapable de lui résister…
Mais pour en revenir à la terrasse du restaurant ce samedi matin de juillet dernier, ce que cet homme ne savait pas, c'était que je portais aussi sous mon t-shirt des pinces à seins – celles-ci se remarquent à peine –, que j'étais en chasteté sous mon short et que le pendentif que je portais – une flèche dirigée vers le haut dans un carré à la ligne discontinue – est le signe que je suis soumise à mon Homme et que je Lui appartiens. Je me suis demandé si son regard trahissait de la curiosité ou de la connivence, et quelle aurait été sa réaction s’il l’avait appris.
Peu importe, Marc ne le vit pas et je me gardai de lui en faire la remarque, un peu émoustillée d’être le centre de l’attention d’un (autre) homme. Marc ne m’a pas encore prêtée mais il y pense et nous en parlons de temps en temps. Il aime prendre son temps. En attendant, je rendis à cet inconnu son regard et son sourire, non sans éprouver une certaine fierté à être une lope en appartenance.
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