Eriliel au Château (suite de l'épisode 974)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Eriliel au Château (suite de l'épisode 974)
Eriliel au Château (suite de l'épisode 974) -
Je me relevais et suivis tête baissée et toute penaude, la grande esclave noire Nadia MDE qui avait pris le plateau et qui arborait une certaine fierté d’avoir su contenter le Maître... Je la suivais depuis 10 minutes maintenant. Nous avions croisé plusieurs esclaves dans les longs couloirs feutrés, déjà absorbés par les nombreuses tâches du Château. J’essayais de suivre le pas tout en flânant un peu pour regarder autour de moi mais toujours avec la tête baissée, mais cela ne fonctionna pas comme j’espérais. En effet, je fonçais droit sur Nadia MDE qui s’était arrêtée spontanément pour me regarder faire. Visiblement, cela l’amusait beaucoup. Elle me fit un clin d’œil et me demanda de me dépêcher car nous allions dans les Cuisines aider Marie, la sévère et perverse cuisinière. Pour l’avoir déjà croisée, il ne me disait rien de bon de la faire patienter plus que nécessaire. J’arrêtais de regarder à droite et à gauche pour hâter le pas… Nous arrivâmes rapidement dans les Cuisines. Nadia MDE posa le plateau que le Maître avait fini et me laissa avec Marie et quelques autres esclaves déjà sur place et qui s’activaient à la vaisselle et autres servitudes. Décidément, cette journée promettait d’être compliquée. Je n’avais jamais été très douée en cuisine. Je commençais à appréhender la matinée auprès de Marie, imaginant tout rater à la chaine...
Heureusement pour moi, elle m’exigea d’éplucher des légumes, ce qui semblait être à ma hauteur. Je soupirais d’aise en moi-même et me mis à la tâche sans tarder, craignant son courroux si je n’obtempérais pas de suite. C’était simple, peut-être trop, car je me remémorais sans cesse le regard courroucé et déçu du Maître. Au fur et à mesure de la matinée, mon estomac se noua de plus en plus. Avoir déçu, dès la première journée avec le Maître, je n’aurai rien pu faire de pire... Ruminant, je n’avais pu vu Marie que s’était rapprochée de moi. Je soufflais encore une fois ma tristesse, quand je reçu un petit coup de badine sur la cuisse. Je poussais un petit cri de surprise et tourna la tête vers la cuisinière qui sévèrement me lança :
- Pourquoi soupires-tu ? Tu ne devrais pas être heureuse d’être Son esclave, maintenant ?
- Si, Madame Marie, je suis très heureuse. Pardonnez-moi, je vais arrêter de soupirer et me concentrer totalement à vous obéir.
- Oui, tu as plutôt intérêt, la petite salope de chienne. (Elle me regarda avec un regard mi amusé, mi hautain et ajouta, toujours sur un ton sec et autoritaire) - J’ai hâte de te voir cet après-midi en tout cas.
Je me sentais devenir pâle et mon appréhension augmenta encore d’un cran. Je décidais de me concentrer totalement à ma tâche, l’éplucheur en main. Un peu avant midi, je préparais les gamelles pour les esclaves. J’étais impressionnée par le nombre. Je préparais le tout sur un chariot pour l’apporter avec un autre esclave dans la grande salle où tous les esclaves devaient se sustenter à même le sol, en quadrupédie face au mur, tout le tour sur les quatre côtés muraux. Sans un seul mot, c’est en silence qu’avec l’esclave qui m’accompagnait, nous déposâmes donc les gamelles sur des croix inscrites à la peinture rouge sur la dalle froide, inscriptions espacées pour chacune d’un mètre. Je compris très vite qu’il était strictement interdit de se parler entre nous… Tout d’un coup, une grande double-porte s’ouvrit et je vis arriver en file indienne et à quatre pattes beaucoup d’esclaves nus qui semblaient être épanouis ici. Il y avait autant de femelles ayant une ceinture de chasteté que de mâles encagés. Silencieuse, et imitant l’esclave venu avec moi qui se mit à terre pour déjeuner, je compris vite qu’une dernière croix rouge n’était pas occupée et que cette place était donc la mienne pour manger. Alors je me mis à quatre pattes à mon tour et je me mis à avaler, après avoir observé autour de moi, ma pitance calorifique... Marie entra dans la salle. Elle vient à moi et me tira par mon collier pour m’obliger à me redresser. Je me levai donc et la suivis rapidement. Les autres esclaves me regardaient partir et ce qui me gêna, si bien que mes joues devinrent rouges. Marie sortit sans un mot et je lui emboîtais le pas obligée de la suivre tirée par la laisse...
- Monsieur le Marquis m’a demandé de venir te chercher, me dit-elle, un sourire narquois aux lèvres.
Mon stress monta d’un cran et je blêmis. En soi, ce qui me gênait le plus n’était pas la peur de la punition, mais celle de me présenter devant le Maître alors que j’avais fauté le matin même. Je me sentais terriblement honteuse. Monsieur le Marquis était assis sur une confortable chaise sur la terrasse derrière le Château côté piscine. Il buvait un café dans une jolie porcelaine, profitant du soleil. Un homme était assis sur la chaise face à lui, mais je ne pouvais voir qui il était. Le Maître nous aperçut, instinctivement, je baissais les yeux.
- Merci Marie, tu peux disposer. Quant à toi, dit-il d’un ton sec, en position d’attente, là.
Il me montra un endroit à côté des deux chaises. Je me mis à genoux promptement, la tête baissée, les cuisses écartées, les mains dans le dos. Malgré la gêne d’être ainsi devant un autre homme, je ne voulais plus décevoir le Maître. Il reprit sa discussion avec l’homme comme si je n’étais pas là. C’était étrange, j’avais l’impression de reconnaître la voix de l’autre personne, mais celle-ci m’échappait. La discussion continuait, je fixais le sol, sans bouger, sans rien dire, perdue dans mes pensées. J’eus quelques frissons causés par la petite brise traversant mon corps nu. Une phrase me sortit de ma torpeur :
- Alors Mademoiselle, vous voila bien changée. Ou devrais-je dire plutôt, petite chienne ?
Je venais de reconnaître la voix. J’ouvris de grands yeux et resta interdite. Un de mes professeurs de l’université. Je ne relevai pas la tête malgré mon envie de confirmation, personne ne me l’avait exigé.
- Alors, on t’a posé une question, il me semble, gronda le Maître.
- Oui, je suis une petite chienne maintenant Monsieur. J’appartiens au Maître, Monsieur le Marquis d’Evans.
- Je dois encore l’éduquer, mais je pense qu’elle aura une belle place dans Mon Cheptel.
- Elle a l’air déjà plus docile qu’en classe. Elle est bien mieux comme ça en tout cas. Je serai presque triste de ne bientôt plus la voir, dit mon professeur, amusé.
- Je ne continuerai pas mes études, Maître ?
- Si, mais tu étudieras ici, j’ai des esclaves qui sont d’excellents professeurs diplômés. Nous avons réglé cela ce matin avec Monsieur Durand.
- Je viendrais aussi te voir de temps en temps pour t’évaluer, ajouta mon professeur, Monsieur Durand, avec un sourire pervers.
- Oui il est bon que vous suivez la bonne marche de ses études, conseilla le Maître à mon professeur, n’est-ce pas Ma petite chienne ?
- Bien Maître, merci Maître.
- Nous en parlerons plus en détails plus tard. Pour cet après-midi, Nous avions déjà quelque chose de prévu, n’est-ce pas ?
- Oui Maître, j’ai désobéi, je mérite donc d’être punie pour cela.
- Ce qui m’importe plus qu’une punition, chienne, c’est ton éducation. Tu seras donc sanctionnée en fonction de ta faute.
- Oui Maître, je ferai tout pour me faire pardonner et ne plus recommencer et surtout tout pour Vous satisfaire.
- Pour commencer, dit à mon ami, ce que tu as fait ce matin.
- J’ai eu l’honneur de recevoir du Maitre, des caresses qui m’ont mené vers un orgasme non autorisé. Mon plaisir ne doit jamais passer avant celui du Maître, encore moins sans permission.
Je parlais fort pour être entendue, mais je gardais la tête baissée, honteuse.
- Cet après-midi, Ma jeune esclave, tu vas supplier, beaucoup, pour avoir un orgasme. Tu as joui sans autorisation, tu ne pourras, à présent, pas jouir sans que je te l’ordonne. Et je pense que je me ferai patienter. Tu as l’air d’être sensible, cela devrais être amusant.
Monsieur le Marquis me sourit, ce que j'entendis dans sa voix. Il reprit sa conversation avec mon ancien professeur, me laissant près d'eux dans ma position d'attente. Je sentais de temps à autre leurs regards sur mon corps nu. Plusieurs minutes passèrent jusqu'à ce que le Maître me fasse signe d'approcher. Sur Son geste, je me mis à genoux à côté de lui. Il me fit une caresse sur la joue en souriant avant de me parler.
- Avant ta punition, je veux que tu t'occupes de Monsieur Durand, qu'il puisse lui aussi profiter de toi.
- Oui Maître.
- Viens la petite salope que je m'occupe de toi, répliqua le professeur.
Je m'approchais de lui à quatre pattes. Ce n'était pas un homme repoussant, j'aimais bien aller à ses cours, même si je voyais qu'il lui arrivait souvent de regarder mon décolleté. Il prit mes cheveux à pleines mains, releva ma tête vers lui. Son autre main s'approcha de mon visage, il fit glisser ses doigts sur mes lèvres. J’entrouvris la bouche et les lécha timidement. Il les rentra dans ma bouche et fit des va-et-vient lents, un long moment.
- Défais ma ceinture, la chienne, et suce-moi, petite salope. Fais-ça bien et en entier.
- Oui Monsieur.
Je me mis alors à genoux entre ses jambes et défis sa ceinture. Sa queue était déjà tendue et je l'embrassais sur le gland avant de la lécher. Je lui caressais les couilles d'une main en prenant son épais sexe dur dans la bouche afin de commencer de lents va-et-vient. Il me laissa faire un moment avant de m'ordonner de mettre les mains dans le dos. Une fois fait, il prit mes cheveux à pleines mains et me besogna la bouche violemment. Il prenait vraiment ma cavité buccale comme un simple trou pour se vider les couilles. C'était douloureux et excitant. Une grande chaleur inondait mon bas ventre. J'avais la gorge et la mâchoire douloureuses et les larmes aux yeux, mais je sentais des gouttes perler aux lèvres de mon intimité. Il finit par jouir au fond de ma gorge, m'ordonnant de tout avaler. Le goût était très acre et salé, un peu écœurant, mais j'avalais sans demander mon reste. Je nettoyais ensuite sa queue de toutes traces de sperme et il tapota ma tête, satisfait.
- C'est bien, petite chienne.
- Que dites-vous de nous accompagner pour sa punition, vous pourriez même participer si cela vous dit, proposa Monsieur le Marquis à Monsieur Durand.
- J'en serai enchanté, cher ami !
- Bien allons-y, alors ensemble… Toi tu y vas à 4 pattes, Ma chienne, dit le Maître en attachant une laisse à mon collier.
Je les suivis alors, tachant de ne pas tendre la laisse en évoluant en quadrupédie…
(A suivre …)
Je me relevais et suivis tête baissée et toute penaude, la grande esclave noire Nadia MDE qui avait pris le plateau et qui arborait une certaine fierté d’avoir su contenter le Maître... Je la suivais depuis 10 minutes maintenant. Nous avions croisé plusieurs esclaves dans les longs couloirs feutrés, déjà absorbés par les nombreuses tâches du Château. J’essayais de suivre le pas tout en flânant un peu pour regarder autour de moi mais toujours avec la tête baissée, mais cela ne fonctionna pas comme j’espérais. En effet, je fonçais droit sur Nadia MDE qui s’était arrêtée spontanément pour me regarder faire. Visiblement, cela l’amusait beaucoup. Elle me fit un clin d’œil et me demanda de me dépêcher car nous allions dans les Cuisines aider Marie, la sévère et perverse cuisinière. Pour l’avoir déjà croisée, il ne me disait rien de bon de la faire patienter plus que nécessaire. J’arrêtais de regarder à droite et à gauche pour hâter le pas… Nous arrivâmes rapidement dans les Cuisines. Nadia MDE posa le plateau que le Maître avait fini et me laissa avec Marie et quelques autres esclaves déjà sur place et qui s’activaient à la vaisselle et autres servitudes. Décidément, cette journée promettait d’être compliquée. Je n’avais jamais été très douée en cuisine. Je commençais à appréhender la matinée auprès de Marie, imaginant tout rater à la chaine...
Heureusement pour moi, elle m’exigea d’éplucher des légumes, ce qui semblait être à ma hauteur. Je soupirais d’aise en moi-même et me mis à la tâche sans tarder, craignant son courroux si je n’obtempérais pas de suite. C’était simple, peut-être trop, car je me remémorais sans cesse le regard courroucé et déçu du Maître. Au fur et à mesure de la matinée, mon estomac se noua de plus en plus. Avoir déçu, dès la première journée avec le Maître, je n’aurai rien pu faire de pire... Ruminant, je n’avais pu vu Marie que s’était rapprochée de moi. Je soufflais encore une fois ma tristesse, quand je reçu un petit coup de badine sur la cuisse. Je poussais un petit cri de surprise et tourna la tête vers la cuisinière qui sévèrement me lança :
- Pourquoi soupires-tu ? Tu ne devrais pas être heureuse d’être Son esclave, maintenant ?
- Si, Madame Marie, je suis très heureuse. Pardonnez-moi, je vais arrêter de soupirer et me concentrer totalement à vous obéir.
- Oui, tu as plutôt intérêt, la petite salope de chienne. (Elle me regarda avec un regard mi amusé, mi hautain et ajouta, toujours sur un ton sec et autoritaire) - J’ai hâte de te voir cet après-midi en tout cas.
Je me sentais devenir pâle et mon appréhension augmenta encore d’un cran. Je décidais de me concentrer totalement à ma tâche, l’éplucheur en main. Un peu avant midi, je préparais les gamelles pour les esclaves. J’étais impressionnée par le nombre. Je préparais le tout sur un chariot pour l’apporter avec un autre esclave dans la grande salle où tous les esclaves devaient se sustenter à même le sol, en quadrupédie face au mur, tout le tour sur les quatre côtés muraux. Sans un seul mot, c’est en silence qu’avec l’esclave qui m’accompagnait, nous déposâmes donc les gamelles sur des croix inscrites à la peinture rouge sur la dalle froide, inscriptions espacées pour chacune d’un mètre. Je compris très vite qu’il était strictement interdit de se parler entre nous… Tout d’un coup, une grande double-porte s’ouvrit et je vis arriver en file indienne et à quatre pattes beaucoup d’esclaves nus qui semblaient être épanouis ici. Il y avait autant de femelles ayant une ceinture de chasteté que de mâles encagés. Silencieuse, et imitant l’esclave venu avec moi qui se mit à terre pour déjeuner, je compris vite qu’une dernière croix rouge n’était pas occupée et que cette place était donc la mienne pour manger. Alors je me mis à quatre pattes à mon tour et je me mis à avaler, après avoir observé autour de moi, ma pitance calorifique... Marie entra dans la salle. Elle vient à moi et me tira par mon collier pour m’obliger à me redresser. Je me levai donc et la suivis rapidement. Les autres esclaves me regardaient partir et ce qui me gêna, si bien que mes joues devinrent rouges. Marie sortit sans un mot et je lui emboîtais le pas obligée de la suivre tirée par la laisse...
- Monsieur le Marquis m’a demandé de venir te chercher, me dit-elle, un sourire narquois aux lèvres.
Mon stress monta d’un cran et je blêmis. En soi, ce qui me gênait le plus n’était pas la peur de la punition, mais celle de me présenter devant le Maître alors que j’avais fauté le matin même. Je me sentais terriblement honteuse. Monsieur le Marquis était assis sur une confortable chaise sur la terrasse derrière le Château côté piscine. Il buvait un café dans une jolie porcelaine, profitant du soleil. Un homme était assis sur la chaise face à lui, mais je ne pouvais voir qui il était. Le Maître nous aperçut, instinctivement, je baissais les yeux.
- Merci Marie, tu peux disposer. Quant à toi, dit-il d’un ton sec, en position d’attente, là.
Il me montra un endroit à côté des deux chaises. Je me mis à genoux promptement, la tête baissée, les cuisses écartées, les mains dans le dos. Malgré la gêne d’être ainsi devant un autre homme, je ne voulais plus décevoir le Maître. Il reprit sa discussion avec l’homme comme si je n’étais pas là. C’était étrange, j’avais l’impression de reconnaître la voix de l’autre personne, mais celle-ci m’échappait. La discussion continuait, je fixais le sol, sans bouger, sans rien dire, perdue dans mes pensées. J’eus quelques frissons causés par la petite brise traversant mon corps nu. Une phrase me sortit de ma torpeur :
- Alors Mademoiselle, vous voila bien changée. Ou devrais-je dire plutôt, petite chienne ?
Je venais de reconnaître la voix. J’ouvris de grands yeux et resta interdite. Un de mes professeurs de l’université. Je ne relevai pas la tête malgré mon envie de confirmation, personne ne me l’avait exigé.
- Alors, on t’a posé une question, il me semble, gronda le Maître.
- Oui, je suis une petite chienne maintenant Monsieur. J’appartiens au Maître, Monsieur le Marquis d’Evans.
- Je dois encore l’éduquer, mais je pense qu’elle aura une belle place dans Mon Cheptel.
- Elle a l’air déjà plus docile qu’en classe. Elle est bien mieux comme ça en tout cas. Je serai presque triste de ne bientôt plus la voir, dit mon professeur, amusé.
- Je ne continuerai pas mes études, Maître ?
- Si, mais tu étudieras ici, j’ai des esclaves qui sont d’excellents professeurs diplômés. Nous avons réglé cela ce matin avec Monsieur Durand.
- Je viendrais aussi te voir de temps en temps pour t’évaluer, ajouta mon professeur, Monsieur Durand, avec un sourire pervers.
- Oui il est bon que vous suivez la bonne marche de ses études, conseilla le Maître à mon professeur, n’est-ce pas Ma petite chienne ?
- Bien Maître, merci Maître.
- Nous en parlerons plus en détails plus tard. Pour cet après-midi, Nous avions déjà quelque chose de prévu, n’est-ce pas ?
- Oui Maître, j’ai désobéi, je mérite donc d’être punie pour cela.
- Ce qui m’importe plus qu’une punition, chienne, c’est ton éducation. Tu seras donc sanctionnée en fonction de ta faute.
- Oui Maître, je ferai tout pour me faire pardonner et ne plus recommencer et surtout tout pour Vous satisfaire.
- Pour commencer, dit à mon ami, ce que tu as fait ce matin.
- J’ai eu l’honneur de recevoir du Maitre, des caresses qui m’ont mené vers un orgasme non autorisé. Mon plaisir ne doit jamais passer avant celui du Maître, encore moins sans permission.
Je parlais fort pour être entendue, mais je gardais la tête baissée, honteuse.
- Cet après-midi, Ma jeune esclave, tu vas supplier, beaucoup, pour avoir un orgasme. Tu as joui sans autorisation, tu ne pourras, à présent, pas jouir sans que je te l’ordonne. Et je pense que je me ferai patienter. Tu as l’air d’être sensible, cela devrais être amusant.
Monsieur le Marquis me sourit, ce que j'entendis dans sa voix. Il reprit sa conversation avec mon ancien professeur, me laissant près d'eux dans ma position d'attente. Je sentais de temps à autre leurs regards sur mon corps nu. Plusieurs minutes passèrent jusqu'à ce que le Maître me fasse signe d'approcher. Sur Son geste, je me mis à genoux à côté de lui. Il me fit une caresse sur la joue en souriant avant de me parler.
- Avant ta punition, je veux que tu t'occupes de Monsieur Durand, qu'il puisse lui aussi profiter de toi.
- Oui Maître.
- Viens la petite salope que je m'occupe de toi, répliqua le professeur.
Je m'approchais de lui à quatre pattes. Ce n'était pas un homme repoussant, j'aimais bien aller à ses cours, même si je voyais qu'il lui arrivait souvent de regarder mon décolleté. Il prit mes cheveux à pleines mains, releva ma tête vers lui. Son autre main s'approcha de mon visage, il fit glisser ses doigts sur mes lèvres. J’entrouvris la bouche et les lécha timidement. Il les rentra dans ma bouche et fit des va-et-vient lents, un long moment.
- Défais ma ceinture, la chienne, et suce-moi, petite salope. Fais-ça bien et en entier.
- Oui Monsieur.
Je me mis alors à genoux entre ses jambes et défis sa ceinture. Sa queue était déjà tendue et je l'embrassais sur le gland avant de la lécher. Je lui caressais les couilles d'une main en prenant son épais sexe dur dans la bouche afin de commencer de lents va-et-vient. Il me laissa faire un moment avant de m'ordonner de mettre les mains dans le dos. Une fois fait, il prit mes cheveux à pleines mains et me besogna la bouche violemment. Il prenait vraiment ma cavité buccale comme un simple trou pour se vider les couilles. C'était douloureux et excitant. Une grande chaleur inondait mon bas ventre. J'avais la gorge et la mâchoire douloureuses et les larmes aux yeux, mais je sentais des gouttes perler aux lèvres de mon intimité. Il finit par jouir au fond de ma gorge, m'ordonnant de tout avaler. Le goût était très acre et salé, un peu écœurant, mais j'avalais sans demander mon reste. Je nettoyais ensuite sa queue de toutes traces de sperme et il tapota ma tête, satisfait.
- C'est bien, petite chienne.
- Que dites-vous de nous accompagner pour sa punition, vous pourriez même participer si cela vous dit, proposa Monsieur le Marquis à Monsieur Durand.
- J'en serai enchanté, cher ami !
- Bien allons-y, alors ensemble… Toi tu y vas à 4 pattes, Ma chienne, dit le Maître en attachant une laisse à mon collier.
Je les suivis alors, tachant de ne pas tendre la laisse en évoluant en quadrupédie…
(A suivre …)
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