Et si je te présente un copain, qui a une grosse b... ?

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Et si je te présente un copain, qui a une grosse b... ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Et si je te présente un copain, qui a une grosse b... ?
Vous conter mes écarts de conduite avec cet homme, m'a beaucoup troublé.
Malgré le fait que j'ai oublié son prénom, je me souviens bien mieux de nos baises, et RDV fellations dans le fameux grenier.

Cela se passait toujours de la même façon, il s'arrangeait pour rôder autour de chez mes parents.
Parfois, après avoir raccompagné ma copine, il m'attendait directement devant la porte du grenier.
Il scrutait discrètement les montées et descentes des voisins, en attendant de me voir.

Ca m'arrangeait aussi, parce que je n'avais plus besoin de mes sorties secrètes, en solitaire.
Et donc, plus besoin de trouver des excuses, afin de m'échapper pour baiser avec des hommes !

Il m'a comblé de plaisirs, et d'orgasmes.
Au point, que je redoutais la fin de notre relation.
Ce que j'aimais, c'est qu'il respectait mon rythme de besoin homosexuel, on était souvent en phase, tous les deux.
Bien sûr, il lui arrivait de me solliciter, quand je n'avais pas d'envie particulière.
Mais ça restait toujours aussi bon, pour mon petit cul, ou ma gorge.

Notre relation a mal fini, je ne m'étendrai pas, là dessus.
Sachez simplement, que lors d'une des rares rencontres chez lui, et à la fin d'une longue saillie anale, sa femme nous a surpris.
J'ai du me revêtir sous les insultes, et leurs cris de dispute insupportables.

J'ai recouvert mon cul plein de sperme, sans réfléchir, et sans me retourner.
J'ai longtemps été craintif, du fait que cette femme connaissait mon secret.
Ca s'est calmé, quand je suis parti de chez mes parents.
J'ai jamais su ce qui s'était passé pour lui, par la suite.
Pourtant, je sais qu'il n'a pas pu arrêter de rencontrer des mecs, c'est sur !

Du coup, cette histoire m'a fait relire quelques uns des mes récits.
Et je suis tombé sur cette anecdote, du vieux Robert (Les rencontres indésirables 4) qui aimait jouer avec mon anus, et des godemichets.

Quand je lui ai fait comprendre que cela ne m'amusait pas autant que lui, il m'a dit:

"Et si je te présente un copain, qui a une grosse bite ?".

Au début, j'ai fait la sourde oreille, puis, il a réussi à m'intriguer, et m'exciter, aussi !
Robert était monté convenablement, pas très long, mais bien épais.
Ca me contentait, en espérant mieux.
Donc, la fois suivante s'est déroulée chez son pote !

Le type était à mon gout ! Très grand. Il s'amusait de ma timidité, face à son imposante carrure.
Son pantalon très fin, avait du mal à contenir son appareil génital !
C'est Robert qui a lancé les hostilités !
Il me déshabillait, dans mon dos, alors que le grand Thomas me caressait avec envie, face à moi.
Je commence à m'affoler en caressant le gros membre de Thomas.
Robert ne mentait pas ! Il est super membré, le type !

Robert m'a pénétré en premier, alors que je me régalais avec la bouche, des proportions impressionnantes de son ami.
C'était difficile de le sucer, mais tellement excitant !

Robert a joui très rapidement, trop rapidement !
Ensuite, il a compris qu'il était de trop, et s'est écarté pour nous mater.

Quand est venu le moment que j'attendais avec crainte et envie, j'ai râlé comme une chienne.
Sa très grosse verge m'écartelait les parois anales, extrêmement bien.
Au début, il m'a laissé m'habituer à sa présence.

"Ca va ? Tu la sens bien, ma grosse queue ?".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Putain, T'es gros, mais, c'est bonnnn !".

"Tu vois Robert ! C'est ça qui lui faut ! Il aime les grosses bites ! Et je vais bien la défoncer ta salope !".
"Ouais ! Je vois, vas y ! Démontes le !".

Thomas me retient par l'épaule, et s'enfonce d'un coup puissant.

"Arhhhhhhhhh ! Putain ! Moins fort !".
"Fermes-la ! J'te baise comme j'ai envie ! OK ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui ! OK...".

Au bout de trente minutes de saillie extrême, Robert constate que ma jouissance est bien plus forte avec son pote !

Lors d'un redressement imposé, et qu'il me serre avec son bras puissant, contre son torse.
Je me mets à éjaculer en complète anarchie, sous ses enfoncements profonds.
Robert voit mon visage déformé par l'épuisement sexuel, et mon petit corps empalé sur cet énorme pieu, dur et épais.
Comme il se masturbait, il crache encore son sperme, peu de temps après, puis il décide de nous quitter.

"Bon, je vous laisse. Je vous sers plus à grand chose !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Tu me défonces, Thomas ! Arggggg...".

Je suis trop occupé par mes orgasmes, pour lui dire au revoir, ou merci !
Je suis remis en position de chienne soumise, le corps cambré, et le visage enfoncé dans le canapé.

"Ouais ! Salut Robert, merci pour le tuyau ! Je me régale ! Orrrrhhh ! Désolé, je suis trop occupé ! Il a une chatte d'enfer, ton p'tit copain !".
"Je te l'avais dis ! C'est une bonne salope ! Bonne défonce ! Il adore ta bite, en tout cas !".
" Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Encore, Thomas ! Arghhhhhhhhh ! je jouiiiiiiiiiiiiii...".

Robert a constaté, que j'avais éjaculé tout mon sperme, grâce à la bite de son copain.
Mais ce qu'il n'a pas vu, est arrivé peu après son départ.

Thomas joue avec mon orifice béant.
Il aime stopper sa possession, et contempler l'état de ma chatte écartelée.

"Hummmm ! C'est comme ça que je les aime ! Bien ouverte et baveuse !".

Il me refourre sa grosse bite.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Elle est trop bonne ! Je vais encore jouir, Thomas..".

Il me lime sans se soucier de mon plaisir, puisqu'il joue avec ma chatte.
Je suis surpris par un besoin de vider ma vessie, qui se relâche, dès qu'il retire sa grosse verge.

"Arghhhhhhhhhh ! Non ! Pas ça... Arggggggggggggg !".
"Eh ... Mais ? Tu fais partie des salopes qui giclent, quand on les baise ! J'adore ça, moi !".

Du coup, je vide ma vessie sur son canapé en skaï !
Il sent qu'il est au bord de l'explosion, et me demande de me tourner sur le dos, en m'allongeant sur une petite table de salon.

Il s'engouffre entre mes jambes, et me laboure jusqu'aux couilles.
Il se met à râler plus fort, puis recule sa grosse verge, en la serrant entre ses doigts.

"Ouvres la bouche ! Vite !".

J'ai failli m'étouffer, à cause de la grosse présence de son gland, entre mes lèvres, et l'afflux important de son sperme.

Ses cris de plaisir m'excitent, pendant que je tente de l'avaler correctement.
Ma gorge est remplie de son jus poisseux, brulant et collant à souhait.
J'adore son gout légèrement salé.

Il me laisse un gout de trop peu, quand il revient entre mes cuisses, pour terminer de jouir.
Il se branle dans mon trou béant, pendant de longues minutes.
Lors desquelles je conserve le gout de son foutre, dans la gorge, par pur plaisir.

Son visage est redevenu serein, mais il aime contempler sa verge, qui glisse sans retenue dans ma chatte.

"Hummmmm ! J'me suis régalé, jeune ! J'y croyais pas, quand Robert m'a parlé de toi ! Mais je regrette pas de t'avoir baisé ! C'était bien bon ! Et toi ? T'as aimé ?".
"Orhhhhhh ! A ton avis ? Putain ! T'as rien à voir avec lui ! Orhhhhhhhhh !...".

Quand il a daigné me laisser tranquille, et s'est rhabillé, je ne m'attendais pas à le revoir.
Un homme comme lui, doit crouler sous les sollicitations de jeunes salopes gays.
Mais contre toute attente:

"Bon ! On remet ça quand ?".
"Euh... Quand... Quand tu veux !".
"Ok ! Je te donne mon numéro ! Tu m'appelles quand t'as envie que j'te baise ! Ca te va ?".
"Oui, merci !".
"Me fais pas trop attendre, non plus ! D'accord ?".
"Non ! Non ! Euh... En fin de semaine ? C'est bon ?".
"Parfait ! C'est bien comme ça !".

Je suis rentré à mon appartement, avec une énorme gêne anale, mais aussi, avec une grosse envie de recommencer.
Comme souvent, le matin suivant, j'ai prélavé mon slip, que j'ai tâché pendant la nuit, afin que ma belle ne remarque rien, de mes écarts.

Pour plus de discrétion, donc, c'est moi qui l'appelait.

"Thomas ? C'est Pascal !".
"Viens, vite ! Mon chéri ! Tu tombes à pic ! Ca me manque, je pense trop à ta chatte ! On va bien s'amuser ! Dépêches toi !".
"Oui ! Oui ! J'arrive dès que je peux !".

Thomas avait 15 ans de plus que moi, (donc 40 ans, pour lui) avec la fougue que cela offre !
Et malgré le fait que les hommes plus âgés m'excitaient davantage, sa vigueur me rendait dingue.

On a usé de la maison de sa mère, pendant l'été, avant qu'elle ne la vende !
Malheureusement, je n'ai profité de sa bite, que 3 fois, sur 3 semaines !

Notre seconde rencontre (enfin seuls !) a été encore plus intense.
Il s'est encore plus lâché, et moi aussi !

J'ai adoré faire longuement glisser ma chatte, sur sa grosse queue, en m'empalant sur lui.
Il me frottait le gland doucement, pendant ce plaisir commun.

Inévitablement, j'ai explosé sur lui, en criant très fort, il me disait qu'il adorait me faire jouir en m'enculant "bien profond" selon son expression.

Il m'a soulevé ensuite, et a guidé ma bouche vers son ventre, pour que je lèche mon sperme.
Puis, il m'a plié devant lui, en chienne soumise, pour me défoncer sans retenue, jusqu'à me faire gicler entre mes cuisses.
Il est venu éjaculer dans ma gorge, en me laissant le boire jusqu'au bout.

On a remis ça, moins d'une heure après.

Pour notre troisième, et dernière fois, j'ai préféré manquer une sortie prévue de longue date, entre amis.
Mes potes m'ont longtemps reproché d'avoir manqué ça !
Ils ne pouvaient pas se douter, que j'avais passé tout ce temps, à jouir du cul, en me faisant raboter par une bite énorme !
Cette fois, il n'a éjaculé qu'à la fin, mais m'a tout inséré dans la chatte.
J'ai mis du temps, avant d'évacuer son foutre, je voulais le garder en moi, le plus longtemps possible.

Il est retourné dans sa région, ensuite. Dommage !
Je n'ai jamais su, ni où, ni comment, Thomas avait connu Robert !
Ils n'avaient rien en commun.

Je remercie le hasard qui m'a fait le rencontrer, mais merde ! C'était beaucoup trop court !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Moi aussi j'adore tes histoires. J'aurais aimé être à ta place. Merci pour tes récits

Histoire Erotique
J'adore tes histoires. Dommage j'aurais plus de détails comme tu sais si bien décrire. J'attends toujours avec impatience tes récits.



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