Etre à la hauteur de sa réputation. - histoire érotique

C'était une après-midi comme tant d'autres, avec mes potes !

On se baignait avec des filles, certaines sont nos petites amies.
On pense rester encore une heure, pour rentrer chacun chez soi, ensuite.

C'est là que je reconnais un homme de 45 ans, qui me baise souvent en lieu boisé.
Il est accompagné d'un autre, plus corpulent que lui.
J'avoue que je ne sais plus où me mettre, j'aime pas ce genre de situation.
Je crains toujours qu'on découvre ma vie secrète de salope mâle, soumise aux hommes mûrs.

Le premier m'a reconnu, je ne me fais aucune illusion.
J'essaie de cacher mon trouble, aux copains et copines. Mais, je ne peux m'empêcher de reluquer leurs verges qui forment de gros paquets dans leurs slip de bain.

Une demi-heure se passe, lorsque je remonte d'un sous l'eau, en voyant deux longues jambes devant moi.
C'est l'ami de celui qui me connait.

"Salut ! Tu t'appelles comment ?".
"Euh... Pascal !".

"Ca te dit qu'on baise un peu, quand tu pourras te libérer ?".
"Ah ! Ton copain t'a parlé de moi, je suppose !".
"Oui, et ça fait envie ! T'es bien mignon ! Regardes ! Elle te plait ?".

Il a sorti sa verge qui bouge à l'horizontale, sous le niveau de la Mer.

"Euh... J'étais pas venu pour ça ! Je...".
"Allez ! Fais moi plaisir, On peut te prendre avec mon pote, si t'en as envie ! Il m'a raconté qu'il t'encule toujours dans la corniche boisée, là-bas !".
"Chhhht ! Moins fort ! ... Oui, c'est vrai ! Bon ! OK, dès qu'ils s'en vont, on y va !".

Quand je retourne sur le sable, ma copine de l'époque me demande:

"Qui c'est le mec qui te parlait ? Tu le connais ?".
"Euh... Non, c'est un touriste, il m'a demandé des endroits sympas, pour sortir ce soir !".

Un peu plus tard, le type me propose discrètement:

"Finalement, on va dans ma maison de vacances, on sera plus tranquilles ! Tu veux ?".
"Ok ! Je vous attendrai à la sortie du parking !".

Mes amis m'ont laissé, les uns après les autres. J'attend avec une boule au ventre, causée par l'excitation du souvenir de mes baises avec le premier, et la vue de l'autre verge très prometteuse.

Je m'en veux d'être accroc aux hommes, mais c'est plus fort que moi, et j'aime l'assumer secrètement.
La voiture s'arrête, je monte à l'arrière. Celui que je connais me dit:

"Salut Mec, alors, comme ça, tu t'appelles Pascal ! Ca te va bien ! Putain, ça me fait bizarre de penser que je vais t'enculer ailleurs qu'au petit bois ! On va bien s'amuser ! Qu'est-ce que t'en penses ?".
"Je pense aussi !".

Dans la maison, l'autre homme m'apprend que c'est un endroit qu'il a hérité de ses parents, et qu'il la partage avec sa sœur.

Je suis vite pris en main par son pote, qui m'impose une longue et excitante séance de masturbation.
Cela se poursuit avec l'autre verge, qui se révèle être plus grosse encore.
Tout ça m'excite énormément.
Ensuite, ils s'assoient sur une longue banquette.

"Mets-toi à poil, on veut te voir !".
Je m'effeuille devant eux, sans quitter des yeux leurs mains qui branlent leurs grosses bites.
Je suis nu face à eux, et ça m'excite de penser que mon corps leur fait envie.

"Montres nous ta p'tite chatte, mon pote l'a pas encore goutée !".

Je me tourne, puis écarte mes fesses pour leur confirmer que je suis leur soumis.
Ensuite, je m'agenouille entre leurs cuisses pour les sucer longuement.
Je tiens à les mettre dans un tel état, qu'ils n'auront qu'une seule envie, me défoncer cette "petite chatte", bien à fond comme j'aime.

"Elles sont bonnes, nos bites, dis moi ?".
"Mmmmmm ! Oui ! Même si elles sont encore couvertes de sel !".
"Viens, on va se doucher, et on te baise après, ce sera plus agréable !".

La douche fut très vicieuse, mais courte !
On a repris nos places, Jean-Bernard, celui qui me connait déjà, plonge entre mes lobes fessiers, pendant que je pompe la bite de son ami Gilles, allongé devant moi.

Je reconnais le froid d'une dose de gel, puis une large épaisseur qui cherche à s'insérer en moi.
Je sens aussi ses gros doigts qui écartèlent mes fesses, pour mieux voir sa grosse bite qui va m'investir.

"Mmmmmmmm ! Arhhhhhh ! Doucement ! Orhhhhhh ! Putain, j'en ai envie ! Orhhhhh ! Oui.... ça commence à entrer ! Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii...".
"Regardes ça, comme il encaisse bien ! Cette petite salope !".

Il bouge encore, en s'enfonçant jusqu'au couilles, après quelques assauts.

"Ca y est ! Il me prend en entier dans le cul ! Hummm ! J'adore sa chatte ! Hummmmm ! J'le kiffe trop ce jeune !".

Je gémis mon plaisir sur l'autre verge, en devinant Gilles qui se relève et se penche pour admirer la bite de Jean-Bernard, qui me lime sans retenue.

"Putain, il me suce bien ! Mais j'ai hâte de lui casser le cul aussi !".

Gilles remarque que je "couine" plus fort qu'auparavant, il me penche le visage en me tenant par les cheveux.

"Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Il me fait jouir du cul ! Arghhhhhhh ! ....".

Il plonge sa grosse bite au fond de ma gorge.
Je vis mon orgasme anal, ainsi étouffé.

Jean-Bernard me soutire tout ce qu'il peut, en plusieurs orgasmes, puis se retire en me laissant un trou béant et humide.

"A ton tour ! Baises-le, sinon je lui balance mon jus !".

Gilles se place sous moi, qui doit le chevaucher en lui tournant le dos.
Jean-Bernard monte sur la banquette, et vient me remplir la gorge.
Très rapidement, je revis un orgasme puissant, avec Gilles qui s'en donne à cœur joie, sous moi.
Parfois, il calme ses assauts, pour apprécier le moment.

"Hummmm ! T'es bon a baiser ! P'tit Pascal ! Tu le sais ? Tu glisses bien sur ma bite !".

Il reprend une série d'assauts violents.
Je lui crie qu'il m'encule bien, que j'aime jouir sur sa queue.

Puis, je le supplie d'arrêter ! Mon gland devient humide.

"Stop ! Je vais couler ! Stop ! Arghhhhhhhhhhh !".

Trop tard, je laisse échapper un jet énorme d'urine claire sur mon flan.
Il redouble de profondeur et de puissance. Du coup, j'accepte ce plaisir pervers.

"Orhhhhhhhhhh ! Salauds ! Vous aimez ça ! Gros vicieux ! Arghhhhhhhhh ! C'est forrrrrrrt ! Putain ! Je jouis encorrre !".

Les couilles de Gilles frappent contre ma jeune chatte, dans un bruit d'éclaboussements humides.
Je me lâche sans retenue, alors que Jean-Bernard se secoue la verge, il est trop excité et veut se vider dans ma gorge.
Je vis un orgasme continu, en ouvrant mes lèvres, jusqu'à reconnaitre le gout de son foutre chaud et gluant.
Il m'enfonce sur sa queue, pour que je l'avale en jouissant du cul.

"Arghhhhhhhhhh ! Putain, j'ai adoré te baiser avec mon pote ! Arghhhhhhhhhhh ! Avales tout, Pascal ! Ouiii, comme ça, arhhhhhhhhh !'.

Je le fais avec difficulté, Gilles me secoue sans vergogne ! Mais c'est tellement bon !

Jean-Bernard se recule, en se tenant la verge vidée et propre.
Gilles me soulève et me colle au flan du divan.
Il me laboure en changeant souvent de rythme et de profondeur, j'en peux plus de jouir du cul.

Je sens une tension dans ma verge, je me caresse.
Il amplifie ses enfoncements, et m'annonce qu'il va me "remplir la chatte", en terminant ses assauts de "Han ! Tiens salope !" qui me procurent un plaisir énorme.

Il veut que je "crache mon foutre" avec lui !
Je n'ai aucun mal à me faire venir, sa grosse verge augmente mon plaisir pénien.
Dès qu'il explose en moi, je me branle plus frénétiquement et l'accompagne en maculant le flan de la banquette.
C'est le pied total ! J'ai le sentiment que son sperme pousse le mien.

Mais j'aime aussi savoir qu'il m'insémine comme une femelle.
Mon éjaculation est accompagnée d'une forte compression sur sa bite, je le sens puissamment enfoncé en moi.

Enfin, cela se termine, mon sphincter se relâche et il reprend ses aises en finissant de m'inséminer analement.

Jean-Bernard nous sort de notre plaisir commun:

"Bon, c'est bien bon, tout ça ! Mais ma femme doit se demander ce que je fous ! Putain, je serais bien resté pour recommencer ! Amusez vous bien, mes p'tits cochons !".

Il a tôt fait de se revêtir, et nous quitter. On le regarde partir, encore collés l'un dans l'autre.

"Bon, mon p'tit chéri ! Tu m'aides à nettoyer tes "accidents" ?".
"Hummm ! Oui, bien sur !".

Quand il ôte sa verge, j'ai un reflux qui me pollue l'entre fesses.
Il s'en amuse et joue avec son sperme, avec son gland et en s'enfonçant plusieurs fois.

"Hummm ! Putain, tu m'encaisses bien ! J'adore ! Ca rentre tout seul ! T'as la chatte bien baveuse !".
"Orhhhhhh ! Oui, c'est trop bon ! Orhhhhhhhhhhh ! Ce que j'aime avoir une grosse bite dans le cul ! Mmmmmm !...".

"Tu dois rentrer ? J'aimerai bien te garder un peu ! C'est possible ?".
"Orhhhhh ! Oui, tout ce que tu veux ! Tant que tu me baises encore !".

Il a guidé ma bouche sur sa bite, ensuite, afin de joindre l'agréable à l'utile, un nettoyage vicieux, c'est toujours sympa !

Après un court repas, il m'a entrainé dans sa chambre pour une deuxième séance, plus cool, mais bien plus longue et très remplie en sensations de plaisir anal, et buccal.

Il est rentré dans sa région une semaine plus tard, on s'est revu une dernière fois, de 14 h à Minuit.
Quand à Jean-Bernard, on s'est retrouvé comme d'habitude, à la corniche boisée du bord de mer.