Etre étudiant et libertine 12 - Avec les parents de ma copine 2/3

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre étudiant et libertine 12 - Avec les parents de ma copine 2/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Etre étudiant et libertine 12 - Avec les parents de ma copine 2/3
Après le dîner pour lequel Marie avait préparé notre cueillette de champignons avec des grenadins de veau, Georges nous invite à passer dans le coin salon face à la cheminée. L'endroit est éclairé par les bûches dans la cheminée et les deux grands chandeliers, le reste de la grande pièce est dans la pénombre.

Yanis, le père de ma copine Mélina, s'assoit dans un grand fauteuil près du canapé où Marie et Nadine sont installées. Je prends place avec Mélina face à elles dans l'autre canapé alors que Georges revient avec un plateau de verres digestif et un panier de Calva hors d'âge , vieux cognac et autres liqueurs. L'alcool plus le feu dans la cheminée élèvent la température et échauffent les esprits. On reparle du colin-maillard de l'après-midi de la confusion de Marie entre son mari et Yanis et surtout de la méprise de Nadine à mon sujet, me confondre avec sa Mélina, quelle ignominie et en même temps je m'en amuse quand on parle de ma peau lisse, de mon p'tit cul ou de mes tétons.

On entend en sourdine Sardou chanter  « Je vais t'aimer ». Les deux femmes serrées l'une contre l'autre, se regardent tendrement, Marie fait un bisou à Nadine du bout des lèvres et la conduit entre les canapés dans un slow langoureux. Leur danse est très suggestive et lascive, collées l'une à l'autre, la tête emboîtée dans l'épaule de l'autre. Georges assis sur l'accoudoir à côté de ma copine lui propose de danser. C'est tout de suite un frotti-frotta très libertin.

Yanis profite de la place laissée libre par sa fille pour venir s'asseoir tout contre moi, son bras passé autour de mes épaules. Sa tête sur mon épaule je sens sa barbe souple sur ma joue, j'entends sa respiration, il ne parle pas vraiment, ce ne sont que des onomatopées. On regarde les deux couples évoluer, sa main me presse le bras. L'ambiance s'échauffe, près du feu, je fonds sous la caresse, la sueur perle de mon front. Il murmure

— Laissons-les, viens derrière, on sera mieux, il fera moins chaud et il se lève me prend par la main.

Derrière, dans le coin repas, il y a une  banquette, il fait moins chaud mais surtout il fait plus sombre... On voit sans être vu.
On s'assoit sur la banquette, on a une vue sur toute la salle. Yanis sait que le fruit est mûr et ne perd pas de temps, il me tient serré, le bras dans le dos, sa main passe dans ma ceinture jusqu'à rencontrer ma culotte de satin qu'il touche avec attention. Comme avant il a sa tête sur mon épaule, il me parle tout bas :

— Je suis content que Mélina t'ait rencontré, vous semblez former un beau couple, jusqu'à présent on ne la voyais qu'avec des filles. C'est vrai que tu es mignon, tout en me caressant la hanche il continue de froisser ma culotte de fille... Tu dois être aux petits soins pour elle... Avec un certain embarras il continue, comment es-tu devenu ainsi ?.... Tu vois ce qu je veux dire... Aussi tendre, aussi délicat. Il me regarde, son doigt suit le profil de mon visage, souligne mes lèvres, descend sur le menton et me tourne vers lui ses lèvres sur les miennes.

— Pourquoi je suis un minet ?... C'est assez simple. D'abord parce que la nature ne m'a pas doté d'un corps de déménageur. On pouffe de rire ensemble. Ensuite un homme a été le premier à m'initier, j'aurais pu devenir gay heureusement ma tante m'a fait découvrir l'amour et m'a converti des mes 19 ans à la bi-sexualité. Un trans m'a amené à me travestir... et Mélina sait être mon homme comme elle dit.

Il me fait face, sa chemise largement ouverte, il prend ma main et la pose sur sa poitrine velue comme un mouton, je caresse ses pectoraux touche la musculature frôle ses tétons. A nouveau nos lèvres se touche. Sa main force le passage de la ceinture, s'insinue dans ma culotte, se crispe sur ma fesse nue, l'autre ouvre ma chemise couvre ma poitrine de fillette comme dit Mélina, et me pince violemment un téton. Sous l'effet de la surprise et de la douleur j'étouffe un gémissement. Il grogne « Il est tout gros, tu as l'habitude qu'on te tripote, il me pince encore, tu aimes l'amour avec les hommes ? » Ouiii ! Que je réponds dans un souffle.

La conversation devient un faible murmure, on se caresse mutuellement la poitrine. Depuis un moment, sous la douleur ou le plaisir, je m'abandonne la tête sur le dossier, les yeux fermés. Il me relève le crâne en susurrant « Regarde ! »
Je découvre les deux femmes enlacées à demi-nues et Mélina accrochée au cou de Georges. Il lui a relevé la robe et la tient contre lui par les fesses alors qu'elle se balance de gauche à droite

— Tu la vois avec Jo ?
— Uiiii
— Tu aimes quand elle est avec un autre homme ?
— Uiiii ! que je soupire sous ses caresses, sans vraiment contrôler ma réponse.
— Laisse-toi faire. Il détache ma ceinture et je l'aide à me déshabiller en me soulevant pour glisser mon bermuda sous mes fesses, ma chemise est déjà largement ouverte découvrant mon corps aux allures de fillette. Il respire fort, me couvre de bisous en murmurant. Tu sais que tu me plais, j'aime ta peau douce. En même temps sa main se fraie un chemin au creux de mes fesses et atteint mon petit trou, mon cœur bat fort, ma respiration s'accélère. Il abaisse mon shorty de satin gris... Tu vas voir on va faire de belles choses ensemble.

Je ne résiste pas quand il me tire à genoux face à lui, j'abandonne tous mes vêtements froissés. Son pantalon ouvert découvre une épaisse broussaille noire au milieu de laquelle s'élève une colonne de chair épaisse et sombre qu'il tient des cinq doigts... La pointe décalottée luit d'un rouge carmin dans la pénombre.
Je le prends en bouche sans hésiter, mes lèvres enveloppent avec douceur le membre puis avec une pression croissante quand ma langue tournoie sur le gland ou taquine le frein. Il me tient par le sommet du crâne, il force le passage et s'enfonce jusqu'à la glotte. Ma salive coule, mes yeux pleurent, je manque d'air, ma gorge se contracte, je le repousse brutalement, respire un instant et l'avale de nouveau avant de resserrer les lèvres et de faire coulisser le tronc. J'aspire, je déglutis, j'accentue les bruits de succion. Mes mains entrent en action et s'activent sur les couilles soyeuses, les poils sont longs, ceux du pubis bouclés et épais...
Il gémis faiblement d'abord puis de plus en plus rauque. Il me tire par les cheveux jusqu'à ce que je le lâche et le regarde, la bouche ouverte pleine de bave, ses yeux injectés de sang
— Je veux te prendre, là, maintenant !

Je me relève et m'agenouille sur la banquette appuyer au dossier. Il est debout entre mes jambes, ses doigts me couvrent la rondelle de sa salive, il me masse, me doigte un peu « Putain, t'as un beau p'tit cul et... T'es bien souple » il continue de me façonner de trois doigts, touche la prostate, tout de suite je mouille et l'accompagne. « Attends, attends ! Pars pas tout de suite »

Il s'appuie sur moi, je cambre les reins et déjà je sens sa queue sur mon œillet. A deux mains il écarte mes fesses, je sens le gland presser mon petit trou, je l'accompagne dans sa poussée et d'un coup il est en moi. Je le sens trembler, il me tient fermement par les hanches. Je me sens comblé, c'est tout de suite violent, ses coups de reins me font bondir sur le dossier du siège, mes ''Oui, oui'' font échos à ses ''Han, han'' et à ses claques sur mes fesses.

Il me fait aller et venir une dizaine de fois sur son braquemart puis me pilonne à son tour, je sens ses burnes me frapper à chaque coup puis finalement deux, trois coups de reins puissants me font à nouveau bondir avant qu'il ne s'immobilise au fond de mes entrailles. Je sens ses contractions, j'imagine son sperme m'inonder. Il est collé à mes fesses, se couche sur moi, sa barbe sur mon omoplate, son bras autour de ma poitrine, il me triture un téton, son autre main englobe mon sexe endormi, il le malaxe comme il ferait d'un nichon.

Il reste un moment ainsi, le temps de reprendre son souffle, de s'évanouir en moi. Il "décule" presque naturellement refoulé par mon sphincter. Un flot de sperme s'échappe et coule sur mes cuisses. Sa main et un mouchoir viennent à mon secours, m'essuient avant que trois doigts me fouillent profondément. Je me redresse face à lui. Il me sourit, semble heureux, me présente ses doigts couverts de mouille, je les suce avant de m'accroupir pour lui faire une petite toilette. Son machin est endormi, recroquevillé, je le suce délicatement, rabaisse le prépuce, lèche la hampe endormie, les poils, les couilles flasques. Ça sent fort le sexe et la sueur et j'aime ça.

Déjà il se rhabille et continue de m'observer en réfléchissant
— Tu sais que tu me plais... Et j'ai besoin d'un jeune comme toi dans ma boîte pour renforcer mon équipe administrative... Ça te dirait de bosser pour moi quand tu auras ton diplôme en poche ?
— Oh ben ouais ! M'exclamè-je trop heureux de trouver ainsi du boulot
— Eh ben, banco, John... J't'attends cet été dans ma boîte... Tu verras on fera de belles choses ensemble !

Il me quitte et rejoint les deux couples près de la cheminée. Je reste pantois de ce qui vient de se passer et je repense... Oui on fera de belles choses ensemble ! Je me touche les fesses, trouve mon petit trou éclaté et encore débordant de mouille, j'y mets mon mouchoir comme un bouchon, j'enfile mon shorty et me rhabille tranquillement avant de sortir de l'ombre et de rejoindre les autres.

Marie remet deux grosses bûches dans la cheminée et Georges apporte vin blanc et jus de fruits. Mélina me tire à elle sur un canapé. Yanis, assis avec sa femme face à nous, me fait un clin d’œil, il attire la fermière par la taille. Elle se vautre sur lui, le cul entre les deux, elle l'embrasse à pleine bouche alors que son pied droit glisse entre les cuisses de Nadine et lui relève la jupe jusqu'à découvrir le ventre nu, son talon se positionne dans le creux du ventre et le martèle à petits coups saccadés, la jeune femme le saisit et commence une danse obscène contre la cheville. Yanis de son côté dépoitraille Marie et tout en continuant de lui rouler une pelle lui malaxant les nichons dénudés.

Le feu de la cheminée et les deux chandeliers nous éclairent. Georges s'est assis à côté de Mélina en allongeant son bras jusqu'à me caresser le cou. Tous les trois serrés, Mél me "bisouille" du bout des lèvres avant de se tourner vers le fermier. A l'exemple de Yanis, il lui tripote les nénés alors que je lui caresse gentiment la cuisse.

Il fait chaud, on boit, on continue à se lutiner tranquillement tout en parlant doucement, on écoute la musique en sourdine, le craquement des braises et les rires étouffés. Nadine écarte les cuisses et se caresse le creux du ventre délibérément avec le talon de sa copine, quant à Marie avec un pied au sol, elle ouvre largement le compas de ses jambes et s'offre à la branlette de Yanis.

C'est Marie la première qui se lève, prend Yanis par la main tire Nadine de l'autre, les robes sont en guenille, la chemise défaite, les trois nous souhaitent « Bonne nuit » et s'éclipsent dans la chambre d'à côté.

Nous restons tous les trois. Sans un mot, Mélina se lève et nous prend Georges et moi par la main. En traversant la chambre contigüe au séjour et juste éclairée par une lampe de chevet nous voyons sur le lit le trio en train de se bécoter. Sans nous attarder nous continuons en traversant la salle de douche avant d'arriver dans notre chambre.Elle abandonne son dernier vêtement, son slip, avant de s'accrocher au cou l'homme :

— Georges, tu as été le premier... Je veux que tu sois le premier à me prendre en double avec mon chouchou !

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Texte coquin : Etre étudiant et libertine 12 - Avec les parents de ma copine 2/3
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