Etre étudiant et libertine 3 - Entre filles

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Etre étudiant et libertine 3 - Entre filles Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Etre étudiant et libertine 3 - Entre filles
A la sortie du cabaret le voiturier nous attend avec la Jaguar de Claude. Je monte à son côté et Irène et Mélina à l'arrière, en cinq minutes nous arrivons sur la butte Montmartre, chez eux rue Lamarck.
Ils habitent un splendide rez-de-chaussée avec le salon qui ouvre sur le jardin. Après avoir découvert l'appartement et être passées par la salle de bains, Irène nous installe quand Claude revient de la cuisine avec le champagne « Mes amies, buvons à l'amour, buvons à notre rencontre ! »

Assise près de Claude, face à l'autre couple, nous parlons libertinage, de notre rencontre, de la soirée, du strip-tease quand le maître de maison lance « Dites-nous les filles, vous nous offrez un petit spectacle ? »

En venant me chercher, Irène me rappelle ma condition et elle m'entraîne dans quelques pas valse. Très à l'aise, elle me presse contre elle, elle est délicieusement parfumée, sa chevelure auburn s'étale sur ses épaules, je suis émerveillée par ses yeux verts et j'ai ses lèvres rouge cerise presque sur les miennes. En dansant, elle rejette ma veste de mes épaules, s'amuse de ma candeur, déboutonne mon chemisier et me découvre en brassière. Elle a une brève réaction de recul en voyant mes prothèses mammaires et me chuchote « Tu n'es pas celle qu'on croit ! » A quoi je souris et défais ma jupe en lui dévoilant mon ventre nu et mon sexe en cage. A mon tour de m'amuser en sous-vêtements de dentelle blanche.

En continuant de danser en se tenant à distance comme au XIXe siècle, elle quitte sa robe. Je découvre une vraie rousse à la peau diaphane avec quelques tâches de rousseur, des tétons rose pâle et une toison de feu. On s'observe, on sourit, elle fixe mon rat en cage, enfin on se débarrasse de nos soutien-gorges sous les applaudissement de nos "hommes" .
Sans se démettre, Irène me tire jusqu'au canapé et s'allonge, un pied au sol et l'autre posé sur le dossier du divan. Je ne vois que la toison fauve au centre de la peau blanche.

Réveillée par son murmure "Viens !", je la chevauche d'un genou au creux de son épaule et un pied au sol, couchée, mes coudes entre ses cuisses... Quel parfum ! C'est la première fois que je butine un mont velu au naturel et qui plus est, roux, il s'en dégage une fragrance puissante de fauve. Délicatement j'écarte le buisson bien ordonné, dégage une crête de chair d'un rose transparent qui plonge entre les fesses blafardes. Je bise la chair fragile, découvre la fente rouge sang luisante de mouille. D'un coup de langue je balaie la vulve, avale un jus aussi acide que puissant, je lèche la tige et suçote le bouton, me délectant de l’élixir qui ne cesse de sourdre.

De son côté, Irène joue avec mon sexe, me lèche le gland décalotté derrière les barreaux et me titille l'anus, par quelques soubresauts du bassin elle m'encourage à être plus audacieuse.

Alors d'un doigt, puis de deux, je la fouille, je la branle. Déjà tellement excitée, elle ne tarde pas à s'agiter sous mes coups de langue, elle tremble, se cabre, se soulève et vient à ma rencontre. Ses miaulements deviennent râles incohérents : « OHHH Oui, oui !... ARRÊTE !!!. Je jouiiiiis... Oh ouiiii CONTINUE ! C'est boonn ! » Elle bouge en tous sens au point que j'ai des difficultés à maintenir le contact.

C'est à ce moment que nos "hommes" viennent à nous. C'est curieux de les voir en chemise, les jambes nues, Mel mignonne et fluette aux côtés de Claude costaud et bien enrobée. Mélina se met au pied du divan, entre les cuisses de la jeune femme quand Claude me tire sur l'accoudoir. Je sens sa respiration chaude sur mon postérieur, sa main puis sa langue. Il me fait un anulingus comme seul un homme sait le faire, sans honte, gourmand, baveux, il lèche, suce, aspire la rosette, la fait grossir puis ses doigts prennent la place. Il en plante un puis deux, par surprise je me contracte, il grogne « Tu vas ouvrir ton cul, salope ! » Finalement ce sont trois doigts qui me taraudent.

Tel que je suis, la tête plongée dans les coussins, je ne vois pas grand chose, Irène et Mélina se sont installées sur l'autre fauteuil, j'entends sans comprendre une valise qu'on ouvre puis Claude me bouffe à nouveau le cul, me fouille encore, Il me plante un gode dans les fesses, pousse, mes chairs s'élargissent et d'un coup avalent l'objet, un plug énorme qui m'occupe tout le rectum. Il me donne une claque sur les fesses en ricanant satisfait « Je savais bien que ça allait tout seul ! »

Je reste un moment avachi sur l'accoudoir le cul en l'air quand Claude me relève la tête par les cheveux. Il est là, en chemise, équipé d'une culotte de cuir et d'un gode sculpté, épais comme mon bras « Suce, juste pour voir si ta gueule est aussi large que ton cul ! » J'ouvre mes lèvres, la pointe en forme d'œuf s'impose, mes mâchoires s'écartent, ma bouche se dilate, le gode est énorme, ça y est j'ai la pointe en entier. Claude trop content braille « Ouais, c'est bien, suce... Il m'enfonce le gourdin. Suce encore ! ». Sous un "Beuurkkk" je vomis un flot de bave, enfin il se retire.

Il me caresse puis me claque violemment une fesse, en profite pour retirer le plug et tout de suite le remplacer par le gode. La forme oblongue fait qu'il se plante facilement dans l'anus. « Détends-toi, tu vas voir, ça va aller tout seul. » Ses deux mains me prennent les hanches en étau, il s'enfonce lentement, régulièrement. Mes chairs se déchirent, il est long arrive à la limite du sphincter, sans forcer, il me ramone avec précaution, l'engin coulisse bien, progressivement il s'humecte, mes chairs se décontractent, je sens l'olisbos s'enfoncer un peu plus, mes intestins s'ouvrir. Je donne un petit coup de reins...
Ça y est, je suis totalement prise, Claude me laboure en me tapant les fesses de plus en plus fort, sans se préoccuper de mes geignements. Il se couche sur mon dos et me tripote durement les mamelons, il grogne à mon oreille « T'as de vrais tétons de fille, tu aimes comme je te les tourne... Et comme ça en les tirant ? Mes gémissements ne font que l'encourager. Ah oui !!! Plus fort... Et tu entends comme ta chatte mouille ? Et avec les mecs c'est pareil ?... Tu t'en prends souvent ?... Dis-moi, réponds... RÉPONDS, j't ai dit !
— Oui... quelquefois.
— Et tu suces ?... TU SUCES ???
— Oui... quelquefois.
— T'as déjà sucé un clito ?... Certainement pas comme le mien. Tu vas voir, viens dans la chambre !.

Il se retire de mes fesses et se débarrasse de la ceinture. Il m'empoigne par le bras et m'entraîne dans sa chambre.

Là je découvre Claude nue. Une vraie femme, bien en chair mais tellement sensuelle avec ses seins lourds aux tétons de nourrice qui regardent vers le bas, son bidon rebondi marqué d'un nombril qui sourit, son pubis au triangle de poils noirs qui plonge entre ses cuisses grassouillettes.
La chambre est surprenante avec son lit rond et ses quelques fauteuils... pour des spectateurs peut-être ?. Trois murs sont couverts de miroirs et décorés de tableaux érotiques le quatrième est habillé d'un rideau de velours bleu-nuit.

Elle s'installe au milieu du lit et m'attire sur elle « Viens Jane ! Viens qu'on se fasse minette ».

Je monte sur le lit, avance sur elle à quatre pattes jusqu'à avoir sous les yeux sa toison noire, naturelle, très fournie, elle sent fort mais moins que celle de la rousse. Je fouille, j'écarte la broussaille et découvre une vulve sombre, baveuse, gris anthracite, aux larges lèvres charnues qui s'étalent sur le côté et au clitoris qui pointe, gros comme mon pouce.

Admiratif, sidérée par ce sexe, je suis absente et la laisse faire. Elle me suce le cul, me lèche l'anus, se tripote en même temps... Elle s'énerve, « Vas-y ! Suce-moi la bite ! » en me claquant les fesses.

Alors... Je saisis le clito à trois doigts, le capuchon coulisse sur le bourgeon comme un prépuce. Je le branle un peu, le tète avant de l'avaler et de le pomper, il gonfle, s'allonge, durcit comme un pénis. Claude amplifie mes va-et-vient de son bassin « Ouais, c'est bon comme ça. Continue ! »

Je lèche, suce, écarte les lèvres étendues comme des langues, je découvre le vagin. La carnation chocolatée des bords passe au rouge carmin et vire au violet sur la fente, j'y plonge deux doigts « Oh ouais... Bourre-moi la chatte, défonce-moi ! » Son bassin s'agite frénétiquement quand je la fourrage de trois puis quatre doigts dans un bruit de foutre incroyable.
Je suis engloutie par un tourbillon de luxure. Elle ne cesse de me doigter le cul, de me masser la prostate quand je lui défonce le con à grands coups de poing. Mon ventre bouillonne, ma jouissance s'échappe sans que je ne puisse rien faire.
« La salope, gémit-elle, elle jouit déjà... Tiens prend ça ! » et elle me claque violemment le fessier.
Couchée sur elle, on reste un moment à ne pas bouger, tout se calme puis Claude me repousse en maugréant « Va chercher les filles et apporte-moi tes clés que je te libère l'escargot, tu vas voir comme une gouine peut aimer la bite ! »

Je file au salon où je retrouve le couple, têtes bêches, emmanchées sur un dong. «  Venez, Claude nous attend dans la chambre. »

A contre cœur elles se déboitent l'une de l'autre et emporte leur jouet, un boudin noir souple et long de plus de 60 centimètres. En revenant dans la chambre, Claude s'exclame « Venez les filles qu'on s'amuse tous les quatre ! »

Irène saute sur le lit et retrouve son "homme". Elle se couche sur lui, ils s'embrassent, ils ondulent l'un sur l'autre. Il y a des murmures, puis... La jeune femme se relève, Claude monte ses genoux sur sa poitrine et face à nous elle s'assied sur le bassin, en mettant sa petite vulve en contact avec le sexe démesuré. Les deux coquillages s'assemblent, la frêle coque avec le puissant pousse-pied. Les deux sexes se mélangent, les larges lèvres froissées avalent la fine crête, le petit bouton rose se frotte au puissant pieu brun... Les deux chattes mélangent leurs jus. La transformation s'opère, les vulves se fondent, se liquéfient, la bave est visqueuse, s'étire en filament, la verge "marronnée" pénètre la vulve écarlate dans un clapotis humide.

Excitée par ce qu'elle voit, Mel va s'allonger, à moitié couchée sur Claude, elle passe sa jambe par dessus le gros ventre et derrière les fesses d'Irène. Elle l'embrasse à pleine bouche, sa menotte paraît bien petite par rapport à la mamelle qu'elle malaxe. C'est alors que surgit une main de dessous de son ventre glabre et emprisonne l'entrejambe, tout de suite deux doigts le pénètrent et le fouillent.

Irène assise sur son compagnon cuisses ouvertes, s’époumone. Au bord de l'orgasme, elle presse le mouvement sur le pieu de chair, en maintenant d'un doigt son bouton bien dégagé. Encore un violent soubresaut et tout s'arrête dans un long soupir. La jeune femme revenue à elle, fait volte face et se blottit dans les bras de son amant.

Mel laisse le couple s'amouracher et vient me retrouver pour finalement me libérer de ma cage. Mon sexe trop longtemps émasculé ne réagit pas vraiment. Elle me malaxe délicatement les couilles, lèche le trop plein de sperme qui coule sur son poignet. « Alors p'tite cochonne c'était bon avec Claude ? … Il t'a bien branlée ? » Elle n'attends pas de réponse pour m'astiquer le jonc et récolter encore quelques gouttes de jute. A 21 ans il ne m'en faut pas plus pour bander à nouveau comme un âne.

Claude et Irène s'amusent à nous voir et nous rejoignent. Tous les quatre, on se caresse, on batifole, on roule les uns sur les autres et finalement on se bouffe le clito. Claude me pompe le dard quand je gobe le coquillage d'Irène, le joli buisson bien rangé est ravagé maintenant, la fine crête rose écroulée, les lèvres béantes et le vagin noyé de mouille comme celui d'une gourgandine. Comme après l'orage les odeurs exaltent. Gourmand, je lèche, j'avale, je nettoie.

Claude qui me suce la queue, me renverse sur le dos et me grimpe dessus, passant ses genoux entre les miens. Penchée sur moi je ne vois que ses mamelles et sens sa main me guider entre ses poils jusqu'à sa chatte, d'un coup elle avale le morceau. Elle se couche, la tête au creux de mon épaule, sa poitrine s'étale sur mon torse, son ventre se fond au mien. Instinctivement je la prends dans mes bras, mes jambes l'encerclent comme deux lianes. Son vagin comprimé entre ses cuisses m'enserre comme une jeune vierge et se contracte comme une dévergondée, je sens sa toison trempée sur mon pubis glabre et son clito pointer à la base de ma verge. Elle pèse sur moi, m'immobilise, bouge un peu puis me fait vraiment l'amour.

En appui sur ses coudes, elle me regarde, me caresse la poitrine puis d'un coup ses traits se crispent, ses doigts deviennent pinces, me font mal. Rapidement la douleur me fait perdre haleine. Elle s'amuse de mes jérémiades puis relève son sein « Tiens mon bébé, cesse de pleurnicher, tète maman ! » Mes plaintes sont étouffés par son nichon. Elle m'écrase, nos sexes, nos corps se fondent, font l'amour. Je suis en elle, son vagin me masse, mes mains pétrissent ses chairs adipeuses, mes doigts s'enfoncent dans sa graisse. Elle murmure, je gémis, nous sommes en accord parfait jusqu'au boutisme,

D'un coup, elle se bloque, se met à califourchon, dans le soubresaut ma queue plonge dans ses intestins, dans un sphincter aussi souple qu'étroit. Tout de suite, elle monte et descend, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte et soupire d'aise... Satisfaite elle tend la main aux filles

Avant que je ne comprenne, Irène m'a chevauché le visage et Claude a basculé vers l'avant en relevant son popotin. Pour garder le contact, en appui sur mes pieds, je relève mes genoux... C'est alors qu'on me touche les fesses ! Des doigts mouillés me titillent la rosace, ce ne peut être que Mélina! La coquine joue un moment avec mon petit trou et... me fout le dong dans le cul, ce boudin souple de plus de 60 centimètres de long avec lequel elle jouait avec Irène.

Oh putain, quelle sensation ! Elle me l'enfile de plus en plus, force le passage vers mes intestins. Je ne bouge plus, concentré sur ce qui se passe. Je sens l'autre bout du dong sur l'anus de Claude, il n'offre aucune résistance et bientôt ce sont plus de 10 centimètres du boudin qui l'investissent, qui glissent sur ma verge, elle est prise en double !. Mel pousse le vice à faire aller le dong de mon cul à celui de Claude. Le sextoy est encore plus long, plus souple que je ne le pensais. Quelle sensation de sentir ce gode me défoncer et me masser tout à la fois.

C'est infernal, c'est l'apothéose de cette partie carrée, ce vagin qui me vomit sur la gueule, ces mains qui me martyrisent les tétons, ce gode qui me taquine la prostate et me masse l'urètre. Claude reprend le coït, elle accélère, se contracte, je n'en peux plus, j'explose, me libère, je lui envoie toute la sauce. Contente, Claude se couche sur moi, Irène part en arrière et Mel débranche d'un coup le dong.

On reste un moment tous les quatre mélangés puis les couples se reforment, Irène dans les bras de Claude, alors que Mélina se love contre moi. La lumière s'éteint, je retrouve ma respiration, le calme, on s'endort sur le lit rond.

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