Femme BCBG, escorte, non, pute… (108)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (108) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (108)
De retour à Paris, Virginie à l’aéroport, me confie à une jolie motarde Livia qui me ramène chez elle à deux pas de l’institut et qui après nous avoir rafraîchis dans son Jacuzzi sur sa terrasse, m’a donné du plaisir sur son carré de pelouse insolite aux 10e étages de son immeuble.
C’est le cul à l’air allongé nos têtes repliées sur nos avant-bras nous regardant comme des amantes que nous sommes devenues que je lui pose la question, pourquoi elle m’a parlé de ses collègues pompiers ?

• À dix-huit ans, je suis venue de ma Normandie natale plus précisément Honfleur où j’étais pompier volontaire pour incorporer le corps des pompiers de Paris.
Tu sais que ces derniers sont très portés sur le travail physique et sportif.
Certains exercices incontournables comme la planche pour être reçus m’ont demandé des heures d’entraînement.
Reçue première femme de mon groupe devançant presque tous les hommes, un jour en bas de l’immeuble que j’habitais à l’époque il y avait un magasin de moto.
Je suis tombée amoureuse d’une 500 cm³ aussi rouge que ma 1000 que j’ai acheté ayant économisé.
Je rentrais à Honfleur certains week-ends et pour les vacances.
C’est là que j’ai connu Camille qui m’a dépucelé avec ses doigts.
Camille avec E, car c’était une belle brune qui avait une passion pour ma chatte et qui m’a entraîné à la moto pour faire la course du Touquet.
Première participation et première victoire féminine et 10e du classement général.
On m’a demandé d’intégrer l’équipe de France de moto avec comme pour l’équipe de gymnastique une délégation des pompiers.
C’est sur le circuit du Montlhéry que nous nous entraînions et c’est sur les circuits d’Europe que nous courrions et où j’ai été championne de France, d’Europe et surtout du Monde.
Avec Camille, l’éloignement et une jolie rousse ont eu raison de notre amour, mais avec elle j’avais découvert ma partie garçon manqué qui fait de moi une lesbienne qui l’assume.
Au gré des compétitions là où les hommes repèrent les salopes qui sont là pour ce faire baisées mouillant à savoir les risques qu’ils prennent en course aux vitesses où ils roulent, je regardais les mêmes salopes, mais qui avaient envie de ma fente.
Cette période ma rapporté beaucoup d’argent car en plus des primes de course, j’encaissais de beaux bénéfices des Sponsors.
Le plus drôle c’est que malgré le début de ma formation le feu restes inconnus pour moi et que pendant tout le temps de mon engagement, j’ai touché ma solde.
Et puis est venue l’heure de raccrocher après avoir presque tous gagnés.
C’est là qu’intervient Valérie qui un jour a fait connaissance avec ma roue avant à deux pas d’ici.
Je venais d’acheter cet appartement et quand je l’ai légèrement percutée, elle a accepté de venir prendre un thé.
J’ai rapidement succombé à ses baisers croyants avoir trouvé ma nouvelle Camille, mais j’ai rapidement déchanté voyant que notre amie est une femme indépendante et que même si elle adore les rapports saphiques, elle garderait son indépendance pour continuer à vivre sa propre vie.
Comme pour moi il fallait que je fasse une reconversion, la proposition de devenir le coursier de l’organisation étant alléchante je l’ai acceptée l’avenir ayant ses incertitudes, mais tant que je peux maîtriser mon engin, mon avenir est assuré.
• J’espère que tu trouveras le bonheur, hélas, pas avec moi.
• Je sais, je connais le parcours que tu as suivi accéléré par ta rencontre avec notre amie Valérie.
Tu es comme elle, un esprit libre et indépendant et je saurais profiter des moments que tu m’accorderas dans ta vie comme le fait Valérie certains soirs quand je vais à l’institut après que vous êtes parti et qu’elle s’occupe de mon corps en bonne esthéticienne pour débuter et sur l’un des canapés pour finir.

C’est le moment que mon téléphone de travail se décide à nous interrompt.
C’est bien sûr le coordinateur qui m’appelle. Valérie l’a prévenu de son retour et comme il cherchait une fille, elle lui a dit de m’appeler, étant rentrée plus tôt moi aussi.
Dans un premier temps, je manque de refuser ce rendez-vous ce soir 21 heures au Mercure Paris Opéra grand boulevard chambre 221 où je vais pouvoir aller à pied suivi pour demain d’un autre rendez-vous pour la nuit au Novotel gare de Lyon et pour samedi, deux rendez-vous qu’ils me confirmeront.
J’aimerais rester près de Livia, mais même si mes biens me permettent une grande autonomie, il faut bien que je recharge mon compte avec toutes les dépenses des vacances et tous les projets que j’ai.

Après la douche, prise ensemble et où mes caresses lui font ployer les genoux grâce à l’orgasme que je lui procure et qu’elle m’est repassée ma tenue de travail sortie de la valise qui aurait bien besoin de rejoindre le teinturier après les rendez-vous avec mes clients acceptés pendant nos vacances et principalement Miguel mon jeune torero.
De toute manière demain je vais rejoindre Chennevières et je pourrais me changer pour mon rendez-vous du soir.

Le client aime les choses simples et hormis sa bite reçue au fond de moi et qui me laboure me faisant penser qu’il doit penser à sa femme en m’enfilant car depuis ces jours derniers, j’ai plus pratiqué des chattes que des verges, il est minuit quand je sonne mon retour chez Livia.
Heureusement que le portier de l’hôtel a un copain qui est chauffeur de taxi qui se trouve proche de nous, car à cette heure en trouver un qui accepte une course si courte aurait été une galère et je me voyais mal être dans les rues de la capitale à pied dans ma tenue aguichante.
J’accepte volontiers de me faire baiser pour du pognon, mais je n’ai aucune envie de finir, violer sur un coin de trottoir, car en ce qui concerne le sexe même si j’aime mes clients et mes amis qui m’apportent une certaine rudesse, c’est une expérience que je souhaite éviter.

La douche de l’appartement de Livia va devenir un terrain de jeu pour nous quand une fois de plus nous nous retrouvons sous les trombes d’eau avant qu’elle me sèche les cheveux m’apportant le plaisir que je ressens chaque fois qu’une femme passe ses mains dans ma chevelure.
Il est vrai que je prends conscience que ce geste somme tout anodin en temps normal prend d’autres proportions quand une personne dont le cœur bas pour vous tout du moins les quelques heures ou nous sommes ensemble le fait.
Propre comme un sou neuf, elle m’entraîne dans sa chambre et m’ouvre son lit.
Elle fait le tour et quand elle s’allonge à mes côtés quoique j’aie envie de lui donner un peu de plaisir, mes yeux se ferment et il est dix heures le lendemain matin quand j’atterris et encore car mes narines sentent l’odeur du café qu’elle a préparé.

Profitant du soleil assez chaud c’est nu sur la terrasse avec seul les avions qui passent pouvant nous voir, car son immeuble est le plus élevé du quartier.
Comme Livia est assise rapidement son intimité s’ouvre à moi quand elle replie une jambe reposant sur le siège de la chaise.
Je vois nettement les chairs roses de l’intérieur de sa fente et plus particulièrement son clitoris qui semble me tendre les bras ou plutôt les lèvres.

• Arrête de me provoquer, il faut que je bouge, j’ai deux choses à faire avant de rejoindre mon client de ce soir.
Pour commencer, peux-tu me conduire à Chennevières chez Valérie, j’ai un rendez-vous.
• Attention, je te rappelle que je suis Lesbos et que jamais un homme ne m’a touché et que je refuse qu’ils m’approchent.
• Ne crains rien, tu verras, tu seras surprise et la première à savoir ce que j’envisage.
• J’aime les imprévus et la deuxième chose.
• Où achètes-tu tes motos et tes combinaisons ?
• Mes motos, tu as le permis.
• Oui, avec le code en règle.
• Je parle d’un permis moto spécifique pour piloter une moto de grosse cylindrée.
• C’est bien compliqué, j’irais voir Stéphane à l’auto-école qui m’a fait passer mon permis pour voiture et je verrais avec lui, mais j’aimerais acheter une tenue pour l’avoir à ma disposition, car je sens que nous allons faire de la moto ensemble si cela te dit.
• Je t’emmènerais à Honfleur et je te donnerais des cours sur la plage avec la 500 de mes débuts que j’ai gardée dans le garage de mes parents.
• Nous allons les déranger.
• Non, ils sont à la retraite et habitent au Maroc où ils ont acheté une petite maison près de Marrakech.

Petit déjeuner, nous servant de repas, elle me conduit devant une boutique avec sa moto où je m’habille intégralement.
Dans ma taille, le vendeur qui connaît bien Livia à toutes les tailles à ma mesure.
Le plus dur pour deux femmes est le choix de la couleur.
J’aimerais une combinaison blanche qui se marierait bien avec le rouge de la combinaison de mon amie et sa moto rouge.

• Je te le déconseille, si tu chutes, les griffes sur le cuir seraient du plus mauvais goût.
D’abord, quelle couleur sera ta moto, tu regardes les modèles qui sont là et réfléchis sur ce que tu achèteras quand tu auras ton permis.
• Elle sera blanche, c’est pour cela que je voulais une combinaison blanche.

Deux femmes qui parlent chiffons qui plus est du choix de couleur peuvent en avoir pour des heures même si ces chiffons sont en cuir.

• Livia, je t’aime bien, mais je ferme à midi et Véro m’attend en haut pour manger.
Elle sait bien qu’avec toi elle peut te laisser seul avec moi mais ton amie si elle descend je vais mettre huit jours avant de la calmer.
C’est facile à choisir, moto noire combinaison et jusqu’au casque en noir.
• Bonne idée Christine, Fabien est toujours pragmatique, mais je penserais plutôt noire pour la tenue et la moto noire.
• Fabien, tu montes, les raviolis vont être trop cuits et tu vas te plaindre.
• Elle est napolitaine, Livia, je t’en supplies prenez un ensemble noir et vous tirerez à pile ou face le jour où vous m’achèterez la moto, je vous la vendrais à la seule condition que vous veniez dès neuf heures à l’ouverture.

Je prends un ensemble noir et c’est quand je me déshabille pour essayer cette combinaison qu’une jolie femme descend les marches qui conduisent à l’étage.

• J’en étais sûr, j’étais persuadé que tu étais là, chaque fois c’est pareil, je suis certaine qu’il a encore essayé de te séduire, il est incorrigible, pourtant il le sait que c’est de moi que tu es folle.

Nous éclatons de rire quand Véro s’aperçoit que je suis à poil devant son homme.

• A, là Fabien, c’est différent, fait gaffe avec mademoiselle, tu sais ce que si tu me trompes en bonne Napolitaine, je te coupe les couilles.

Le geste que fait son homme envers ses parties génitales me montre la frayeur qu’il ressent à l’énoncé de la sanction qu’elle envisage.
Entièrement habillé de noir, la fréquence du casque réglé sur celle de celui de Livia, je paye et nous sortons rejoindre son monstre.
Nous rangeons mes affaires dans ma valise qu’elle a attachée sur son petit coffre et alors que je vais monter, voyant que Fabien a fermé sa boutique, elle me glisse.

• Tu veux que je te fasse une confidence.
• Si elle est croustillante.
• Plutôt, sais-tu pourquoi elle sait que je suis lesbienne ?
• Non, mais je suis sûr que j’en ai une idée.
• Eh oui, nous sommes amantes, elle vient chez moi chaque mois pour éviter qu’il ait des soupçons et tu me connais bien depuis hier, je sais lui apporter beaucoup de plaisir qu’il est facile de lui donner, car comme elle le dit-elle est napolitaine et elle a un tempérament de feu.
Si je t’en disais plus, il faudrait que je mette interdit pour les moins de 18 ans tellement nos jeux sont nos limites.
Au fait, nous avons bien choisi, noir sur ma moto rouge avec ma combinaison rouge, on est d’enfer.
Quoique nous pourrions retourner la changer pour une rouge comme la mienne.

Indécrottable la jolie Livia…

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