Femme BCBG, escorte, non, pute… (116)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (116)
Le compromis d’achat de mon pavillon en rudoyant légèrement Illy qui veut s’accaparer les filles qui m’entourent est signé.
Dès qu’une secrétaire particulière me fait entrer dans un bureau je comprends pourquoi autant d’argent, j’ai l’habitude avec les personnes connues depuis que je fréquente Frédéric et Frédérique et j’ai devant moi une cliente très connue du Tout-Paris et surtout de la classe dirigeante.
• Bonjours Christine, je sais que vous avez un nom d’escorte mais il se trouve qu’il y avait quelques années j’avais une camarade de jeu qui se nommait Christine et je préfère employer ton prénom.
Vous, tu, me faisant plaisir car les distances viennent de se réduire entre nous et surtout je comprends le message, il y a eu enquête et la cliente sait tout de moi.
• Tu connais mon nom mais tu vas comprendre pourquoi je souhaite que tu m’appelles Démone.
Si tu es d’accord, suis-moi dans deux minutes je vais te montrer pourquoi.
Démone, je comprends de moins en moins mais je comprends de plus en plus mes 5 000 € de contrats.
Nous sortons du bureau et je la suis dans un couloir qui mène à sa chambre.
• Voilà pourquoi Démone !
Elle enlève son chemisier, elle est seins nus mais étrangement pas si nue que cela.
De la base de son cou jusqu’à sa jupe aussi chic que la mienne son corps est recouvert de tatouage, pas des tatouages représentant des papillons ou autres personnages en couleur mais des dessins sataniques et tous noirs.
Ce sont surtout des personnages démoniaques qui la recouvrent avec même des chauves-souris, des têtes de mort voire des diables avec des faux.
Elle enlève sa jupe, avec absence de culotte mais des bas noirs qu’elle enlève et jusqu’au bout de ses orteils les mêmes formes ou personnages sont tatoués.
• Christine, voici ce qui me reste de mes 18 ans et de ma période Gotique où je rejetais ma condition de jeune fille issue des beaux quartiers de Paris, j’ai traîné dans les endroits les plus sordides de la capitale sans que mes parents sachent que j’étais passé dans une vie parallèle le soir.
J’ai fréquenté dans la période une jeune femme qui se faisait prénommer Diablesse, c’est elle qui m’a tatoué pour mon plus grand plaisir car chaque tatouage a une vie propre et une histoire.
Comme l’on dit, dans ce temps-là, je me faisais sauter mais surtout léché par tous ce que je pouvais attraper.
J’ai même touché à des produits illicites mais sans jamais décrocher des études car en bonne comédienne, je donnais le change dans la journée et surtout j’avais des facilités pour apprendre, j’ai ainsi pendant tout le temps de mes études mené une double vie.
Un jour j’ai rencontré un homme marié très connu dans le monde ou j’évolue aujourd’hui, il m’a ouvert les yeux sur la mauvaise pente sur laquelle j’étais et qu’il serait bon que je l’épouse pour mon bien après qu’il eut divorcé.
J’étais dans un de ces bars de Paris où la clientèle avait les mêmes passions pour le gore et mon mari car je l’ai épousé étais tatoué intégralement comme je le suis.
Il m’a fait rencontrer des gens et j’ai obtenu mes diplômes, j’étais son attaché parlementaire et c’est par cette voix dont l’E.N.A. que je suis devenue ce que je suis aujourd’hui avec la contrainte des tailleurs B.C.B.G.G et des chemisiers col mao qui cache le début de l’histoire de ma jeunesse.
Mais B.C.B.G. je sais ce que ce terme a comme contrainte pour nous les femmes.
Une nouvelle fois le message est clair, je connais tout de ta vie, j’ai fait faire une enquête.
• J’ai du mal à comprendre pourquoi tu as fait appel à moi, si ce n’est pour me faire voir l’œuvre d’art un peu glauque que ton corps représente.
• Il y a six mois que j’ai divorcé et depuis quelques jours j’ai l’envie de retrouver ce milieu, autour de moi tu as vu le genre de femme qui m’entoure toutes du même modèle que la femme coincée qui me sert d’attacher.
Elle est fidèle mais peu encline à me suivre dans une sortie ou l’on sait comment elle commence sans savoir ou elle va aboutir.
• Et que dois-je faire ?
Elle ouvre une armoire dans laquelle des vêtements disparates se trouvent.
Elle en sort plusieurs vêtements qu’elle pose sur le lit.
• Tu as compris car je connais ton intelligence ayant pris mes renseignements et que je connaisse tes mensurations, nous avons sensiblement les mêmes et je veux que tu les passes avant que je te maquille.
Je sais que tu es amené dans ta vie à côtoyer des personnes bizarres mais tu es trop soft pour me satisfaire dans mon envie.
Vu ma position, je préfère éviter d’être seul et avoir une amie qui m’accompagne car je me vois mal entrer dans ce bar pour trouver l’âme sœur et satisfaire ma nuit.
Si nous arrivons à deux, les choses sont différentes, il est fréquent dans ce milieu de changer de partenaire, dès que tu verras que j’ai trouvé chaussure à mon pied tu pourras te sentir libre et prendre un taxi pour rentrer.
Demain mon chauffeur qui t’a amené t’apportera tes affaires chez toi.
C’est comme cela que je me retrouve maquillé avec une tête à me faire peur et en tenue allant avec le personnage que Démone, elle met le même genre de vêtements à un détail près, les collants noirs qu’elle m’a fait mettre car ses tatouages en font office, son maquillage identique au mien qu’elle se fait en quelques minutes la rend méconnaissable.
• Nous allons prendre ma mini qui est dans le garage, je m’en servais du temps ou j’étais avec mon mari pour sortir incognito.
C’est vers le Quartier latin dans une petite rue qu’elle me conduit, l’ambiance est extraordinaire pour une fille comme moi ce qui me fait penser que si j’ai bien progressé de certains mondes fût celui des escortes j’ai encore du chemin à faire dans des mondes parallèles.
• Regarde Christine, ici il y a exclusivement des femmes, nous sommes toutes des lesbiennes qui viennent chercher une copine pour baiser sans se prendre la tête pour une nuit.
Viens au bar je t’offre un cocktail.
À côté de nous deux jeunes femmes discutent entre elles mais rapidement l’une d’elles s’intéresse à Démone.
• Vous venez souvent ici, c’est la première fois que je vous vois, pourtant tes tatouages me font voir que tu es l’une dès nôtre.
• Il y a des années que je venais mais j’ai connu un mec et j’avais arrêté, ce connard est parti et je reviens à mes amours de jeunesse.
Et sans vergogne je vois ma cliente venir frotter son pubis contre celui de l’autre femme et finir par l’embrasser à pleine bouche.
Sa copine bien mignonne semble vouloir me faire du rentre dedans.
• Tu es étrangère à notre milieu, comment appelles-tu ?
• Christine.
Elle éclate de rire.
• Voilà une preuve, moi je m’appelle Démoniaque et la copine qui vient de partir avec la tienne c’est Vampira, elle va lui sucer le sang mais sa nuit sera fantastique.
Elle se rapproche de moi et comme l’a fait Démoniaque elle colle son pubis au mien.
• Je te fais envie, tu me plais, j’aimerais passer un moment avec toi, j’habite à deux pas, on peut y aller à pied.
• Bien sûr, j’ai plusieurs amies filles, nous travaillons ensemble et nous nous entendons très bien.
Je paye les verres commandés et nous partons en nous tenant par la taille.
Il est vrai qu’elle habite à deux pas, il faut trois étages avant qu’elle ouvre sa porte mais nous faisons étape à chaque palier et nous nous embrassons à faire couler ma chatte d’envie.
• Viens dans mon salon, mais qu’importe le principal c’est de nous rendre heureuse, c’est la première fois que je vais faire l’amour avec une peau blanche.
• Peau blanche ?
• Oui sans aucun tatouage, viens dans la salle je vais te montrer mes créations.
Sur les murs de la salle des dessins tous plus glauques les uns que les autres sont punaisés.
• À quoi sert tout ce matériel ?
• Ces pigments naturels et cet outil me servent à faire des tatouages, je suis tatoueuse et j’ai réalisé la plupart des tatouages des filles que tu as vues au bar ce soir, désir-tu que je te tatoue.
J’ai toujours aimé les tatouages sans jamais penser à m’en faire un sur moi-même.
Quand je vois les problèmes que Démone a dans son travail avec son corps entièrement tatoué il y a de quoi hésiter.
Elle me déshabille, je la déshabille et je me retrouve la chatte ouverte les fesses sur le sofa.
• Je verrais bien un crâne la bouche ouverte à l’emplacement de ton pubis ou un serpent venant mordre avec ses crocs une de tes grandes lèvres.
• J’ai un métier où il faut éviter d’avoir ce genre de tatouage sur la chatte au risque de voir les clients fuir.
• Tes clients ?
Mes clients, il me faut réfléchir vite, je viens de dire à cette fille que je suis une pute même si entre nous aucune somme d’argent n’entrave notre relation.
• Je travaille dans un institut de beauté.
Tu dessines des Libellules, j’adore les Libellules, j’en veux une sur l’arrière de mon épaule.
J’ai vu que je m’enfonce en parlant de l’institut car qui peut croire que dans un tel endroit la praticienne fait voir sa chatte à sa cliente alors j’ai surenchéri sur les libellules.
• Tu veux vraiment une libellule, je déteste des tatouages en couleur mais si c’est ce que tu veux.
Alors viens, regarde ce classeur, choisis celle qui te ferait plaisir et qui est proche de ta personnalité.
Je regarde les dessins.
• Celle-là, serait parfaite.
• La grandeur, 10, 20 ou tout le dos ?
• Coupons la poire en deux entre 10 et 20 il faut tout de même qu’on la voie.
Démoniaque prend une sorte de stylo, me fait asseoir sur une chaise à califourchon les bras posés sur le dossier, je suis de dos et le travail commence…
Dès qu’une secrétaire particulière me fait entrer dans un bureau je comprends pourquoi autant d’argent, j’ai l’habitude avec les personnes connues depuis que je fréquente Frédéric et Frédérique et j’ai devant moi une cliente très connue du Tout-Paris et surtout de la classe dirigeante.
• Bonjours Christine, je sais que vous avez un nom d’escorte mais il se trouve qu’il y avait quelques années j’avais une camarade de jeu qui se nommait Christine et je préfère employer ton prénom.
Vous, tu, me faisant plaisir car les distances viennent de se réduire entre nous et surtout je comprends le message, il y a eu enquête et la cliente sait tout de moi.
• Tu connais mon nom mais tu vas comprendre pourquoi je souhaite que tu m’appelles Démone.
Si tu es d’accord, suis-moi dans deux minutes je vais te montrer pourquoi.
Démone, je comprends de moins en moins mais je comprends de plus en plus mes 5 000 € de contrats.
Nous sortons du bureau et je la suis dans un couloir qui mène à sa chambre.
• Voilà pourquoi Démone !
Elle enlève son chemisier, elle est seins nus mais étrangement pas si nue que cela.
De la base de son cou jusqu’à sa jupe aussi chic que la mienne son corps est recouvert de tatouage, pas des tatouages représentant des papillons ou autres personnages en couleur mais des dessins sataniques et tous noirs.
Ce sont surtout des personnages démoniaques qui la recouvrent avec même des chauves-souris, des têtes de mort voire des diables avec des faux.
Elle enlève sa jupe, avec absence de culotte mais des bas noirs qu’elle enlève et jusqu’au bout de ses orteils les mêmes formes ou personnages sont tatoués.
• Christine, voici ce qui me reste de mes 18 ans et de ma période Gotique où je rejetais ma condition de jeune fille issue des beaux quartiers de Paris, j’ai traîné dans les endroits les plus sordides de la capitale sans que mes parents sachent que j’étais passé dans une vie parallèle le soir.
J’ai fréquenté dans la période une jeune femme qui se faisait prénommer Diablesse, c’est elle qui m’a tatoué pour mon plus grand plaisir car chaque tatouage a une vie propre et une histoire.
Comme l’on dit, dans ce temps-là, je me faisais sauter mais surtout léché par tous ce que je pouvais attraper.
J’ai même touché à des produits illicites mais sans jamais décrocher des études car en bonne comédienne, je donnais le change dans la journée et surtout j’avais des facilités pour apprendre, j’ai ainsi pendant tout le temps de mes études mené une double vie.
Un jour j’ai rencontré un homme marié très connu dans le monde ou j’évolue aujourd’hui, il m’a ouvert les yeux sur la mauvaise pente sur laquelle j’étais et qu’il serait bon que je l’épouse pour mon bien après qu’il eut divorcé.
J’étais dans un de ces bars de Paris où la clientèle avait les mêmes passions pour le gore et mon mari car je l’ai épousé étais tatoué intégralement comme je le suis.
Il m’a fait rencontrer des gens et j’ai obtenu mes diplômes, j’étais son attaché parlementaire et c’est par cette voix dont l’E.N.A. que je suis devenue ce que je suis aujourd’hui avec la contrainte des tailleurs B.C.B.G.G et des chemisiers col mao qui cache le début de l’histoire de ma jeunesse.
Mais B.C.B.G. je sais ce que ce terme a comme contrainte pour nous les femmes.
Une nouvelle fois le message est clair, je connais tout de ta vie, j’ai fait faire une enquête.
• J’ai du mal à comprendre pourquoi tu as fait appel à moi, si ce n’est pour me faire voir l’œuvre d’art un peu glauque que ton corps représente.
• Il y a six mois que j’ai divorcé et depuis quelques jours j’ai l’envie de retrouver ce milieu, autour de moi tu as vu le genre de femme qui m’entoure toutes du même modèle que la femme coincée qui me sert d’attacher.
Elle est fidèle mais peu encline à me suivre dans une sortie ou l’on sait comment elle commence sans savoir ou elle va aboutir.
• Et que dois-je faire ?
Elle ouvre une armoire dans laquelle des vêtements disparates se trouvent.
Elle en sort plusieurs vêtements qu’elle pose sur le lit.
• Tu as compris car je connais ton intelligence ayant pris mes renseignements et que je connaisse tes mensurations, nous avons sensiblement les mêmes et je veux que tu les passes avant que je te maquille.
Je sais que tu es amené dans ta vie à côtoyer des personnes bizarres mais tu es trop soft pour me satisfaire dans mon envie.
Vu ma position, je préfère éviter d’être seul et avoir une amie qui m’accompagne car je me vois mal entrer dans ce bar pour trouver l’âme sœur et satisfaire ma nuit.
Si nous arrivons à deux, les choses sont différentes, il est fréquent dans ce milieu de changer de partenaire, dès que tu verras que j’ai trouvé chaussure à mon pied tu pourras te sentir libre et prendre un taxi pour rentrer.
Demain mon chauffeur qui t’a amené t’apportera tes affaires chez toi.
C’est comme cela que je me retrouve maquillé avec une tête à me faire peur et en tenue allant avec le personnage que Démone, elle met le même genre de vêtements à un détail près, les collants noirs qu’elle m’a fait mettre car ses tatouages en font office, son maquillage identique au mien qu’elle se fait en quelques minutes la rend méconnaissable.
• Nous allons prendre ma mini qui est dans le garage, je m’en servais du temps ou j’étais avec mon mari pour sortir incognito.
C’est vers le Quartier latin dans une petite rue qu’elle me conduit, l’ambiance est extraordinaire pour une fille comme moi ce qui me fait penser que si j’ai bien progressé de certains mondes fût celui des escortes j’ai encore du chemin à faire dans des mondes parallèles.
• Regarde Christine, ici il y a exclusivement des femmes, nous sommes toutes des lesbiennes qui viennent chercher une copine pour baiser sans se prendre la tête pour une nuit.
Viens au bar je t’offre un cocktail.
À côté de nous deux jeunes femmes discutent entre elles mais rapidement l’une d’elles s’intéresse à Démone.
• Vous venez souvent ici, c’est la première fois que je vous vois, pourtant tes tatouages me font voir que tu es l’une dès nôtre.
• Il y a des années que je venais mais j’ai connu un mec et j’avais arrêté, ce connard est parti et je reviens à mes amours de jeunesse.
Et sans vergogne je vois ma cliente venir frotter son pubis contre celui de l’autre femme et finir par l’embrasser à pleine bouche.
Sa copine bien mignonne semble vouloir me faire du rentre dedans.
• Tu es étrangère à notre milieu, comment appelles-tu ?
• Christine.
Elle éclate de rire.
• Voilà une preuve, moi je m’appelle Démoniaque et la copine qui vient de partir avec la tienne c’est Vampira, elle va lui sucer le sang mais sa nuit sera fantastique.
Elle se rapproche de moi et comme l’a fait Démoniaque elle colle son pubis au mien.
• Je te fais envie, tu me plais, j’aimerais passer un moment avec toi, j’habite à deux pas, on peut y aller à pied.
• Bien sûr, j’ai plusieurs amies filles, nous travaillons ensemble et nous nous entendons très bien.
Je paye les verres commandés et nous partons en nous tenant par la taille.
Il est vrai qu’elle habite à deux pas, il faut trois étages avant qu’elle ouvre sa porte mais nous faisons étape à chaque palier et nous nous embrassons à faire couler ma chatte d’envie.
• Viens dans mon salon, mais qu’importe le principal c’est de nous rendre heureuse, c’est la première fois que je vais faire l’amour avec une peau blanche.
• Peau blanche ?
• Oui sans aucun tatouage, viens dans la salle je vais te montrer mes créations.
Sur les murs de la salle des dessins tous plus glauques les uns que les autres sont punaisés.
• À quoi sert tout ce matériel ?
• Ces pigments naturels et cet outil me servent à faire des tatouages, je suis tatoueuse et j’ai réalisé la plupart des tatouages des filles que tu as vues au bar ce soir, désir-tu que je te tatoue.
J’ai toujours aimé les tatouages sans jamais penser à m’en faire un sur moi-même.
Quand je vois les problèmes que Démone a dans son travail avec son corps entièrement tatoué il y a de quoi hésiter.
Elle me déshabille, je la déshabille et je me retrouve la chatte ouverte les fesses sur le sofa.
• Je verrais bien un crâne la bouche ouverte à l’emplacement de ton pubis ou un serpent venant mordre avec ses crocs une de tes grandes lèvres.
• J’ai un métier où il faut éviter d’avoir ce genre de tatouage sur la chatte au risque de voir les clients fuir.
• Tes clients ?
Mes clients, il me faut réfléchir vite, je viens de dire à cette fille que je suis une pute même si entre nous aucune somme d’argent n’entrave notre relation.
• Je travaille dans un institut de beauté.
Tu dessines des Libellules, j’adore les Libellules, j’en veux une sur l’arrière de mon épaule.
J’ai vu que je m’enfonce en parlant de l’institut car qui peut croire que dans un tel endroit la praticienne fait voir sa chatte à sa cliente alors j’ai surenchéri sur les libellules.
• Tu veux vraiment une libellule, je déteste des tatouages en couleur mais si c’est ce que tu veux.
Alors viens, regarde ce classeur, choisis celle qui te ferait plaisir et qui est proche de ta personnalité.
Je regarde les dessins.
• Celle-là, serait parfaite.
• La grandeur, 10, 20 ou tout le dos ?
• Coupons la poire en deux entre 10 et 20 il faut tout de même qu’on la voie.
Démoniaque prend une sorte de stylo, me fait asseoir sur une chaise à califourchon les bras posés sur le dossier, je suis de dos et le travail commence…
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