Femme BCBG, escorte, non pute… (120)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non pute… (120) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non pute… (120)
Je viens de dépuceler Annabel, l’attaché de Marie-Christine en lui entrant mes doigts dans la chatte sans aller jusqu’à la fister.
Je l’attaque sur son point G et cela fonctionne son vagin expulsant de grandes quantités de liquide par ses glandes comme le fait fréquemment ma grande salope de Valérie.
Son plaisir pris, nous remettons les feuilletés au four car notre intermède sexuel les a laissé refroidir.
Je pense retrouver Livia et Marie-Christine qui nous attendent mais la porte vers la salle à manger franchie elles brillent par leur absence.

Annabelle comprend elle aussi que nos deux amies ont dû se retrancher vers les chambres et certainement celle de Marie-Christine pour comme nous trouver une certaine intimité.
Connaissant de mieux en mieux Livia, se retrouver en tête à tête avec celle qui l’a sauvé du cachot elle doit être en train de lire comme dans un livre ouvert tous les tatouages sataniques qui sont gravés définitivement sur sa peau.
Les soupires que j’entends me prouve que je suis dans le vrai mais nous entrons préalablement dans la salle de bain surtout pour que je nettoie ma petite maîtresse des traces rougeâtres que son dépucelage à laisser le long de ses jambes.

• Entre dans la baignoire je vais te laver.
• Attends, ouvre la porte de communication je voudrais voir nos amies qui au bruit que j’entends semblent se donner bien du plaisir.

C’est comme cela que je vois Livia former avec Marie-Christine un très beau 69 l’une suçant goulûment la chatte de l’autre.
Je finis de laver les jambes d’Annabelle quand elles entrent dans la pièce et tous les quatre une nouvelle fois nous éclatons de rire.
Hélas il faut en rester là car la maîtresse de maison part de bonne heure pour le Canada pour signer un gros contrat.
Pour ma part, je les quitte en ayant la certitude que la défloraison de l’attachée va servir le rapprochement entre les deux femmes et que la barrière satanique qui les a empêchés d’aller toutes les deux dans ce bar ou Démoniaque a fini par me tatouer est définitivement aplanie.
Nul doute que si j’ai la chance de revoir Annabelle nue dans les mois prochains ce sera de tous autres dessins qu’une libellule qui ornera son corps, en attendant avant de partir nous chargeons les numéros de portable sur nos lignes persos et nous nous promettons de nous téléphoner.

Le lendemain ayant fini ma nuit dans les bras de ma motarde je fais un retour remarqué à l’institut.
Sauf Valérie qui est restée couchée avec Vladimir et au dire d’Odile ayant un léger problème de vomissement surtout les matins nous faisant penser que notre amie risque de nous apprendre la naissance d’un heureux évènement avant que nous repartions en vacances dans ma villa toutes sont là, même Marie-Ange qui a déjà une liste d’attente de clientes qui souhaite se faire peindre les ongles.
Valériane la maquilleuse de l’équipe de Johnny le réalisateur engagé lors du tournage de mon film porno avec le fantasme de ma vie Tof est là aussi.
J’espère trouver rapidement, aidé maintenant par Illy, le nouvel institut de beauté car toutes les filles ajoutées aux travaux, dans mon travail l’organisation de celui de chacune est assez problématique.
Quand je mets ma blouse, Odile est là et remarque mon pensement sur l’épaule.

• T’es-tu blessée ?
• Non, une rencontre d’un soir m’a tatoué une libellule.
• Connais-tu un bon tatoueur ?
• Non, pas un mais une tatoueuse.
• Tu pourrais la joindre, nous parlons souvent avec Alain de nous tatouer nos prénoms à un endroit encore indéfini pour celer notre amour.
• Je passe chez elle demain matin et je verrais pour savoir si elle veut bien vous tatouer.
• Je monte voir mon cher et tendre qui est au-dessus pour lui dire et décider de l’endroit où nous le ferons.

À midi je vais récupérer des objets que j’avais commandés par téléphone le premier jour de la réouverture d’une boutique que j’ai appris à connaître au fil de mes rencontres.
Je reçois un appel que je m’empresse d’accepter pour ce soir à des tarifs tout à fait normaux comparé aux 5 000 € donnés par Marie-Christine que j’ai déposée en passant à ma banque.
Mardi, l’institut sera bien vide car avec Odile qui le gère maintenant à décidé avec Alain de le fermer pendant les trois jours où nous serons à Moscou, ce qui lui permettra de faire une partie importante des travaux et qui dès notre retour de démarrer l’ascenseur et de disposer de plusieurs salles et appareils nouveaux.
Le soir avant de partir à mon rendez-vous je repasse au bois de Vincennes pour ma leçon de moto dans des allées où peu de voiture passe.
Je fais un parcours avec deux autres élèves suivis par la monitrice que connaît Livia et qui même si elles se connaissent est loin d’être mon type de femme.
Il faut que j’arrête car systématiquement je regarde les femmes que je côtoie comme des proies potentielles pour moi et l’organisation.
Quand je me retourne sur mes derniers jours fort ai de constater que ma boulimie de sexe fait que j’en oublie de passer de bons moments avec la plupart de nos amies, Valériane, Véronique, Marie-Ange certes sont du voyage à Moscou depuis qu’elles sont rentrées et ont emménagé chez Véronique je suis incapable de dire comment elles se sont installées.
Une bonne chose Ophélie et Katia sont ici.

• Christine te voilà, nous nous ennuyons de toi, Katia m’a accompagnée à l’ETEQUE où j’ai été bien reçue, comme je le savais je dois faire un mémoire pour valider mes diplômes sur un sujet informatique, je leur ai parlé de notre projet, ils ont été étonnés mais tous ont aimé m’aider pour tout réaliser.
• Et toi Katia qu’as-tu fait en attendant ?
• Je suis allée dans un café ou un beau gosse m’a draguée, je l’avais vu arriver dans sa Ferrari noire et il s’est assis à côté de moi, il a trouvé un moyen pour me parler et rapidement il a essayé de m’emmener dans son hôtel à deux pas.
Le patron l’appelait Polo et à un moment il lui a demandé si j’étais sa nouvelle.
Polo lui a envoyé un regard aussi noir que sa voiture et je suis partie avec lui, à son hôtel il m’a défait ma petite culotte.

Je dois me liquéfier aux explications de Katia, moi qui ai fait des pieds et des mains pour que sa petite fleur lui soit enlevée le jour de ses dix-huit ans en lui rapportant le maximum pour entrer de plain-pied dans sa vie de femme qu’elle craque et éclate de rire.

• Mais non, Polo m’a demandée de l’attendre car son portable a sonné et il devait répondre, il parlait près de l’entrée en jetant de petit regard vers moi, il m’a même fait un petit signe de sympathie avec sa main libre.
J’ai vu le patron prendre un stylo et écrire rapidement sur un bout de papier, me le poser devant moi, je l’ai regardé et je l’ai glissé dans ma poche de jean.

Elle me le tend.

« Mademoiselle, attention c’est un mac, il va vous mettre sur le trottoir comme trois autres filles qui travaillent pour lui. »
• Mon dieu un maquereau qu’as-tu fait.
• Impossible de me sauver car il venait de raccrocher et revenait vers moi.
• Eh Alors !
• Zorro est arrivé.
• Zorro, tu te fiches de moi.
• Tu as dit, eh Alors !
• J’ai compris tu m’as vue comme la blonde que je suis.
• Quand il a été près de moi, il a réitéré sa demande, je lui ai dit que c’étaient 500 € pour aller le sucer dans les toilettes.
• Tu lui as dit cela et qu’a-t-il dit ou fait.
• Il m’a demandé si j’étais une pute, je lui ai répondu qu’il fallait bien payer mes études.
• Tu es folle petite Katia, j’aurais dû te laisser à Saint-Palais.
• Pourquoi je m’amusais bien et j’étais dans un café il me suffisait de crier au secours ?
Tu sais, j’ai appris la vie avec toi deux fois plus vite qu’avec quelqu’un d’autre.

Pendant que je l’écoutais je me suis déshabillée, et je suis allée dans ma salle de bain pour me préparer à aller à mon rendez-vous et éviter d’être en retard les filles me suivant.

• Eh alors !
Excuse, je sais pour Zorro, j’ai compris.
• Il m’a demandé si j’étais maquée, je lui ai dit que oui, qu’il regarde le mec qui fumait sa clope sur le trottoir d’en face qu’il attendait que je lui amène le fric.
• Eh alors !

Mince encore.

• Il est parti presque en courant, le patron s'est approché et m’a demandé ce que je lui avais dit, nous avons éclaté de rire lorsqu’il m’a dit que le gars baraqué qui était en face était un autre Mac qui surveillait une nouvelle qu’il faisait travailler et Ophélie est arrivée et nous avons repris le métro.
• C’est bien les filles, passez une bonne soirée, soyer sage, je pars à mon rendez-vous.
• Qui c’est la pute de nous trois ?
• Disparais Katia, je pourrais bien te mettre une fessée et enlève ce vilain mot de ta jolie petite bouche, nous sommes des courtisanes.

C’est incroyable, je considère dans ma tête les deux filles comme si elle faisait déjà partie de l’escadre d’escorte qui m’entoure alors que l’une et vierge et que l’autre l’est à moitié.
Arrivé à l’hôtel de la gare de Lyon ou mon bon père de famille m’a donné rendez-vous alors qu’il est à Paris pour un rendez-vous avec l’un de ses clients demain je savoure le moment passé avec les filles avant de venir ici surtout au moment où les billets changent de main.
Je les compte devant lui et je vais dans la salle de bain refaire une retouche à mon maquillage et me déshabiller.
Quand je rentre dans la chambre l’homme faisant partie de la catégorie des bedonnants m’attend s’astiquant la queue.
Alors on baise…

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