Femme BCBG, escorte, non, pute…. (22)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute…. (22) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute…. (22)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je me réveille vers midi.
Anne me regarde dormir, lorsqu’elle voie que mes yeux sont ouverts, elle m’embrasse le bout du nez.
Baiser bien gentil mais insuffisant. Je lui vole sa bouche et je l’embrasse délicatement.

• Allez debout, il faut remettre le pavillon en état.

Discrètement nous avançons jusqu'à la chambre de Virginie. Elles sont réveillées, Aline est agenouillée entre ses cuisses et lui broute doucement le minou par des petits coups de langue comme pourrait le faire un chat lorsqu’il se lèche le poil.
En faisant le moins de bruit possible, nous préparons le café près de la piscine.
Lorsque c’est prêt, nous prenons chacune une casserole, une spatule et nous défilons l’une derrière l’autre en tapant sur nos instruments.
Quel vacarme, si avec cela, ils restent à dormir au lieu de venir nous rejoindre, c’est à désespérer.
Notre concert fait de l’effet, en moins d’une minute, nous sommes tous près de la piscine.
Alain plonge suivi par Stéphane. Anne jamais en reste les suit.
Rapidement nous sommes tous à l’eau.
Nous sommes d’excellents nageurs, nous nous succédons rapidement l’un derrière l’autre et faisons ainsi plusieurs longueurs.
Aline sort de l’eau et dispose les tasses pour nous servir.
Nous prenons un petit déjeuner très reconstituant après nos agapes et nos orgies de la veille.
Espiègle, Aline pendant que nous nageons les dernières longueurs est allée prendre le gode déposé sur une table et le place au centre de notre petit déjeuner.
Il trône fièrement.
Odile le prend en main.

• Je pourrai te l’emprunter.
• Moi aussi je le veux,
Véronique elle aussi ce met sur les rangs pour ce faire défoncer par mon sexe gigantesque.
Nos estomacs calés, le café nous revigorent, nous nous mettons au travail afin de ranger le pavillon.
Rapidement vu le nombre tout est nickel.
Le matériel amené par le traiteur est près d’être enlevé. Aline s’en occupe demain matin.

Nous nous installons dans les transats et nous restons tranquilles partagés entre le bronzage, la piscine, le sauna pour certains.
Vers dix-huit heures nous nous remettons à table, nous contentant des restes de la veille.

• Stéphane s’il te plait, peux-tu mettre un plan d’apprentissage à la conduite pour Anne ?

Il est d’accord et va dès demain le mettre en place. Virginie ajoute.

• Pendant que tu y es, mets en un aussi pour Aline sa jumelle, je lui en fais cadeau.

Vers vingt et une heures Stéphane reconduit Véronique qui a son permis, mais qui évite les voitures habitant dans Paris.
Odile et Alain reprennent la route de Montrouge.
Demain boulot, tout le monde au dodo.
Le mardi, nous partons au travail toutes les trois. Virginie, Anne et moi.
Nous retrouvons nos trois autres comparses et nous ouvrons l’institut.
Antoinette doit attendre sa première cliente pendant une demi-heure, elle m’apporte un café.
Elle veut me remercier pour la bonne journée passée pour mon anniversaire.

• Christine, j’ai vu que tu paraissais étonné du comportement de mon mari envers moi hier.
• On le saurait à moins, tu sembles être son esclave, il se permet tout et toi il te donne des miettes.
• Oui, comme tu l’as vue, Serge a fait un petit geste en acceptant que je te mange la chatte pendant qu’il me sodomisait.
Nous sommes parties avec Frédérique et Frédéric en taxi. Ils devaient nous déposer et rentrer chez eux.
Arriver en bas de notre appartement, ils ont souhaité monter prendre un dernier verre.
Nous avons accepté.
Je me suis assise avec Frédérique sur le canapé.
Nos hommes étaient face à nous dans les deux fauteuils, avec un verre de whisky.
Frédérique a avancé sa main et la pose sur ma cuisse, elle a commencé à la frotter comme si de rien n’était. Fidèle à la promesse faite à mon époux, je l’ai retiré et l’ai posé sur la banquette.

Frédéric a vu mon mouvement.

• Pourquoi as-tu retiré la main de ma femme,
Je lui explique la promesse faite lors de mon mariage.
Frédéric reprend la parole.

Serge, si je comprends bien, tu as une sexualité différente de celle de ta femme. Tu as des attirances homosexuelles. Plus même tu es homosexuelle et c’est ton droit.
Un jour tu rencontres une jeune femme qui accepte parce qu’elle t’aime que tu continues après votre mariage d’avoir des rapports avec des hommes. Mieux même, tu l’obliges à assister à tes ébats à la seule condition que ton partenaire du jour ne la touche pas. Toi seul à des droits sur son corps. Tu as imposé cette contrainte de peur de la perdre.
Prends ma femme Frédérique, j’étais comme toi lorsque j’étais jeune. J’ai eu des envies pour les hommes dès ma puberté.
Toute ma jeunesse, j’étais homosexuelle, j’ai eu que des rapports sodomites avec des mâles souvent très vieux, Je les trouvais plus expérimentés que les jeunots.
Un jour j’ai rencontré celle qui devait vivre avec moi, patiemment elle a su me faire prendre conscience que l’amour d’une femme est identique que celui d’un homme.
Elle m’a permis de réussir l’impensable pour moi. Mettre mon sexe à l’intérieur de la chatte d’une femme.
J’y ai pris goût et elle a accepté de m’épouser.
J’ai rapidement repris mes habitudes, amour avec elle et baise avec mes partenaires.
Un jour elle a rencontré une femme et comme nous ne nous cachions rien, elle a souhaité qu’elle vienne chez nous pour avoir des rapports sexuels.
Macho comme je l’étais, j’ai ignoré son besoin et surtout son appel au partage.
Elle m’a quitté.
Pendant plusieurs semaines, je me suis persuadé que c’est moi qui avais raison et que j’étais dans le vrai.
Le temps passant, un manque, c’est fait jour. J’ai longuement réfléchi ce que j’avais décidé et en ai conclu que j’étais un gros con.
Je connaissais la femme avec qui elle était partie, je me suis rendu à leurs domiciles.
Elles ont accepté de m’ouvrir.
Frédérique a tout de suite voulu voir jusqu'où j’étais sincère, elle nous a emmenée dans le salon. A fait écarter les jambes à sa maîtresse et c’est mis à lui bouffer la chatte.
Un mauvais réflexe a failli me faire partir en courant. Le fait que je me sois rendu compte que je l’aimais m’a retenu.
Elle a relevé la tête.

• Amènes ta queue pour que nous te fassions bander.

Elle m’a embouché et a invité sa copine à la rejoindre. Deux femmes me suçaient la verge. Je me suis mis à bander.

• Vas-y maintenant pénètre là.

Elle m’a saisi la queue et me la mise au fond de la vulve de sa copine.
Rapidement je me suis rendu compte d’aucune différence entre la grotte de ma femme et celle que je remplissais.
Même mieux j’ai joui plus rapidement qu’avec un mâle.
Lorsque j’ai fini, elle m’a dit. C’était un premier test.
Ce soir tu vas nous suivre où nous avons, rendez-vous.
Cette femme prenant des décisions comme un homme m’a subjugué.
Vers dix heures nous nous sommes présentés devant un club privé.
Dès que nous sommes entrées, nous sommes passés dans une salle où elles se sont déshabillées.
À toi, mets-toi à poil ?
Nous sommes allés au bar, les hommes et les femmes se promenaient nus.
Frédérique a embrassé l’un des hommes qui semblaient les attendre. Il l’a prise par la main et l’a emmené dans un salon individuel. En partant elle a attrapé ma main et a voulu que je la suive.
Arrivé dans la petite pièce aux lumières tamisées. Elle s’est mise en position de levrette. Elle m’a demandé de le faire entrer en elle. Dans un état second, j’ai saisi cette queue et l’ai introduite dans la vulve de celle que j’aimais.
J’ai presque eu une répulsion à tenir cette verge, moi qui en avais sucé et branlé plusieurs dizaines. Le plaisir que ma femme semblait prendre de cette pénétration m’a ouvert définitivement les yeux.
J’ai attrapé sa copine et l’ai mis à côté de mon amour elle aussi en levrette.
Je bandais tellement fort que je n’ai eu aucun mal à la pénétrer. J’ai enfourné ma bite avec envie au fond de cette chatte accueillante.
Les deux femmes se mangeaient la bouche avec envie.
À partir de ce jour, nous avons vécu ensemble à trois avec sa copine.
Jusqu’au jour où elle a trouvé l’homme de sa vie et est partie.
Dès ce moment, nous sommes devenus l’un des couples les plus libertins de Paris.
Un jour, la notoriété venant nous avons été obligés d’arrêter l’échangiste au grand jour.
Mais nous pratiquons toujours les jeux amoureux suivant nos envies mais toujours ensemble.

Serge était subjugué par ce qu’il entendait. Il s’est levé, ma prise par la main, ma mise nue et m’a donné à Frédérique.
Elle m’a pris dans ses bras et m’a allongé pour me lécher ma minette.
Lorsqu’il a senti que j’étais bien chaude, il a fait lever Frédéric et lui demandé de me faire l’amour.
Comprenant l’effort que Serge faisait sur lui-même, il s’est présenté à ma chatte bandée comme un taureau et m’a pénétré. Dans le même temps, Serge a retourné Frédérique et lui a planté son dard jusqu’au fond de sa chatte.
Nous avons baisé jusqu’au matin.
Nos amis sont rentrés chez eux. Hier vers dix-sept heures, Serge m’a dit, on sort, habille-toi sexy.
Nous sommes allés dans un café, il a repéré un homme seul bien mis.
Ce monsieur style Anglais avait une pochette dans sa veste et était tiré à quatre épingles.
Nous nous sommes installés,
• Essayer de l’intéressé à toi et de le faire descendre aux toilettes pour te faire baiser.

Deux œillades, un mouvement de poitrine, je me suis levé. Je suis passé devant l’homme.

• Suivez-moi !

Je suis partie vers le sous-sol où je suis descendu.
À peine la dernière marche franchie, j’ai senti une main sur ma croupe.
Je me suis retourné et l’ai embrassé. Il a relevé ma mini, écarté mon string et ma léché.
Il bandait déjà fortement. Il est entré en moi, jamais je n’ai senti une bite aussi puissante dans ma chatte.
Il me bourrait comme s’il avait peur que quelqu’un ne lui prenne la place.
J’ai senti qu’il déchargeait, sans que j’aie joui.
Il a relevé sa culotte et a remonté l’escalier en courant.
Je me suis rajustée et je suis remontée dans la salle, l’homme avait disparu. Mon homme était seul dans ses pensées devant un demi.
À la table près de l’escalier, une jeune femme bien mise mais pas de celle sur laquelle on se retourne avait l’air triste devant son café.
Je me suis assise à sa table et ai engagé la conversation. Je lui ai carrément demandé pourquoi elle avait l’air triste. Un peu étonnée de mon sans-gêne, elle a accepté de me répondre. Elle venait de se faire plaquer par son copain qu’elle connaissait depuis deux ans.
Je l’ai réconforté.

• Mon mari est à la table devant la fenêtre là-bas. Venez avec nous.

Alors que je m’attendais à un refus, elle sait lever et m’a suivi près de Serge.

• Je te présente Serge, mon mari.
• Moi, je me prénomme Madeleine…

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