Femme BCBG, escorte, non, pute… (35)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (35)
Nous venons de nous répartir les chambres et j’ai offert l’apéritif sur la promenade au-dessus de la plage avant d’aller prendre un repos réparateur.
Dix heures, nous émergeons.
Virginie dort toujours.
Je me lève et je passe dans la salle de bain.
Je m’apprête à descendre quand devant la porte de la chambre d’Odile et Alain un tableau gracieux s’offre à moi.
Aline broute la chatte d’Odile, alors qu’Alain la besogne allègrement.
La petite colle sa bouche dans le sexe féminin, j’ai l’impression qu’elle fait beaucoup d’efforts pour éviter de crier le plaisir qu’elle ressent. Elle doit avoir peur de nous réveiller.
Odile me voit et me fait signe de venir.
D’un signe, je lui dis non.
Dans la chambre d’à côté, Véronique et Marie-Ange dorment, la manière dont elles sont positionnées ne souffre d’aucun doute sur ce qu’elles faisaient lorsque le sommeil les a emportées.
Elles dorment tête-bêche, la bouche de chacune à la hauteur de la chatte de l’autre.
Je passe sans faire de bruit et je descends l’escalier.
Anne est levée nue, elle cherche dans le placard.
Elle est penchée en avant ses fesses mutines attirant ma main.
Je profite de la situation, je les caresse, petit amour reçoit ma main, mais reste stoïque.
Elle tourne la tête et me fait un grand sourire quand elle me voit.
• Je cherche les tasses et les couverts.
• Tu les trouveras dans le vaisselier en face de toi.
Comment, va Sindy ?
• Va-la voir, elle est sur la terrasse dans son parc.
Je regarde le bébé qui comme sa maman est nu, je la prends dans mes bras et lui donne de gros baisers.
Elle me gazouille à l’oreille des bruits qui sont à la limite d’être des mots.
Tient si « maman ». Anne qui est près de moi me dit qu’elle commence à le dire, je suis contente, ça me touche énormément.
Je la repose pour qu’elle joue avec son tapis pour bébé.
De retour dans la salle, je m’assieds dans le fauteuil en rotin.
Ce fauteuil est l’endroit où mon père aimait fumer sa pipe lorsque le temps l’empêchait d’être sur la terrasse.
Madeleine sort de la cuisine dans la même tenue que celle d’Anne et sa fille.
Quand elle me voie, elle pose sa cafetière et vient vers moi, pour m’embrasser, elle est obligée de se pencher et de tenir les accoudoirs. Elle me donne sa bouche que je prends fébrilement. Alors qu’elle va se relever, je gobe le sein le plus près de ma bouche.
Le volume est si conséquent, qu’il vient s’appuyer sur mon nez et ma bouche.
Je le tète quelques secondes, mais l’asphyxie me guette.
Je le lâche et reprends mon souffle. Madeleine comprend ce qu’il vient de m’arriver et éclate de rire.
Anne, qui a fini de mettre ces tasses, vient vers nous.
Elle se met à genoux et comme ma posture le lui permet, elle commence à me brouter la chatte.
Madeleine veut être en phase, elle prend la même position et mes deux petites cochonnes commencent à me fouiller la vulve.
Je vois la main d’Anne descendre vers la chatte de sa copine. Elle commence à se tortiller ce qui augmente le mouvement sur mes lèvres intimes.
De bon matin, je reçois ma première jouissance de la journée et j’aime ça.
Allez, il faut bouger. Nous nous relevons et nous installons à table.
Un café une biscotte et je remonte me préparer.
Je suggère aux filles de s’habiller pour partir au marché.
Dans la chambre d’Odile, tous sont endormis.
Dans notre chambre, Virginie est réveillée, mais flâne comme elle aime le faire.
Je ferme la porte.
• Je pars au marché avec les filles, je vais m’habiller.
• Pas de problème, je m’occupe des amis.
• Le café est prêt, vous pourrez descendre quand vous le voulez.
Je vais dans la salle de bain, prends ma douche, me maquille très légèrement.
Je passe une petite robe vichy assez sexe en rapport de ce que je portais les années précédentes, robe que j’ai achetée pour notre séjour. Des ballerines et on est parti.
Un baiser langoureux à ma marraine et je la laisse se prélasser.
Dans les escaliers, je suis rattrapé par mes deux petites complices qui sont déjà prêtes. Sindy a une petite robe sympa avec un bob « charlotte aux fraises ».
Nous la mettons dans la poussette. Je récupère les deux paniers à roulettes que nous prenions avec ma maman pour aller au marché.
Nous, nous y rendons à pied, l’été, il est impossible de se garer.
Nous rentrons dans le marché couvert et je retrouve tous les marchands dont certains m’ont connu toute petite.
Ce qui ressort de ce tour, c’est que j’ai une tenue plus estivale comparée aux tenues B.C.B.G. que je portais lorsque je venais avec mon ex.
Que diraient-ils, si je soulève ma robe et que je leur faisais voir que je ne porte aucune culotte et que je suis rasée ?
Je leur présente mes deux filles et leur demande qu’ont les serves comme ils le feraient pour moi.
Nous passons à la poissonnerie. J’achète des céteaux poisson plat ressemblant à de petites soles.
Alain nous les fera aux barbecues.
Madeleine paye, au début du séjour, nous avons mis de l’argent dans un pot commun.
J’ai pris en charge Anne et sa fille et Marie-Ange.
Virginie, Aline et Madeleine. Les trois autres deux parts et une part pour Véronique qui est autonome financièrement.
Nous prenons des fruits en quantité, principalement des pêches et des abricots.
Sans oublier les melons, nous sommes dans les Charentes.
De retour à la villa, nous trouvons Aline dans la cuisine qui fait la vaisselle du matin.
Sur la terrasse Virginie, regarde toute la bande qui vient d’aller se baigner en descendant par les marches menant directement dans l’eau ou sur lez sable suivant la hauteur de la marée.
Ils font la course. Marie-Ange en bonne naïade leur prend une longueur d’avance.
Mieux même elle repart jusqu’aux bouées, limite de la baignade surveillée.
Seul Alain la suit.
Elle s’arrête en se tenant à l’une d’elles. Il l’a rejoint et de loin nous les voyons battre des pieds justes pour se maintenir en dehors de l’eau.
Que se passe-t-il sous l’eau ?
Sur la terrasse tous se mettent dans les transats pour bronzer.
Il est bien connu que pour les dames, la marque d’un maillot est disgracieuse. Elles se mettent nues.
Marie-Ange et Alain remontent, ils nous annoncent qu’ils vont se doucher pour enlever le sel. Marie-Ange demande à Odile de les accompagner.
Je rêve de monter voir ce qu’ils font.
• Anne, tu as couché ta fille.
• Oui, je vais la chercher dans une demi-heure pour la faire manger.
• Je monte pour voir si elle dort, mettez le couvert sur la terrasse.
Quel subterfuge pour me rincer l’œil.
Personne dans la chambre, discrètement je m’approche de la salle de bain.
Alain est debout près de la douche, les deux femmes nues à ses pieds lui sucent le sexe.
Il me voit.
• Viens, ma belle, quand il y en a pour deux, il y en a pour trois.
• Non, continuez, j’adore pratiquer, mais j’aime bien regarder. Vous êtes un régal pour mes yeux.
Les filles reprennent, leur pompage jusqu’à ce qu’il leur envoie une bonne giclée au fond de la bouche.
• Bien jouer les enfants mais Alain fait attention, tu es seul avec huit femmes, tes vacances vont être épuisantes.
• Je vous connais mes belles garces, je suis persuadé que vous allez rapidement me trouver du soutien.
• Allez, espèce de pervers assez baisé, il est temps de prendre l’apéritif.
Alain avec les filles, nous avons acheté des céteaux qu’il va falloir faire cuire sur les braises.
• Des céteaux ?
• Espèce d’ignare et de Parisien descend, je vais te faire voir.
Je monte d’un étage pour voir la petite, elle est réveillée, je la prends dans mes bras et la descends.
Sur la terrasse, dès que les filles la voient, chacune veut la prendre sur elles.
• Vous allez voir qu’elles vont finir par se battre.
Alain débouche des bouteilles de vin rosées, qu’ils ont apportées d’une propriété viticole du sud de la France et où ils ont des parts. Ils sont payés en bouteilles au prorata de ce qu’ils ont investi.
Nous passons à table, Alain sait maintenant ce que sont les céteaux qu’ils ont tous beaucoup appréciés.
Vers quinze heures, nous faisons une sieste, normale, ce sont les vacances.
Vers seize heures, nous partons à la plage.
Nous avons appelé Katia, elle vient avec nous et gardera la petite afin qu’Anne puisse se baigner avec nous.
La marée est descendante, cela nous permet de trouver un espace assez grand pour caser tout le monde.
Alain a descendu deux parasols qui étaient dans le garage de la villa.
Nous installons Sindy à l’ombre. Assise dans le sable pour la première fois, elle tient ses mains levées évitant de les poser sur une matière d’une couleur et d’une texture inconnues pour elle.
Anne lui donne une petite pelle et un seau que Madeleine lui a achetés ce matin dans une boutique près du marché.
Elle lui fait voir comment faire, sa marche, elle commence à jouer.
Nous sommes toutes en maillot les seins nus.
Le nombre de regards d’hommes, assis prêt de bobonne, est impressionnant.
Nous décidons d’aller nous baigner.
La marée est à mi-plage, nous courons tous jusqu'à ce que nous atteignions les vagues, vaguelettes aujourd’hui.
Certains plongent directement dans l’eau, d’autres comme moi en prenant plus de temps. Comme toujours, c’est à la hauteur du ventre qu’un blocage se fait.
Une vague plus forte que les autres me permet d’avancer plus rapidement.
Nous sommes tous dans l’eau, mais il reste mes épaules.
Alors que j’allais commencer à nager Alain passe derrière moi, d’un coup, il m’empoigne et me balance dans l’eau.
Je bois une belle tasse.
Lorsque je refais surface, je crache, je tousse.
Alain passe près de moi et me dit, la vengeance est…Je connais sans entendre la fin, car il est parti dans un crawl parfait.
Je le suis et le double avant les bouées.
Lorsque nous revenons vers le bord, les filles jouent avec un ballon trouvé lui aussi dans le garage.
Elle se le lance et plonge pour essayer de l’attraper.
Alors qu’elle tente de le rattraper, Odile, le lance et dans ce mouvement entraîne avec elle une jolie femme.
Elle la relève et lui demande si tout va bien. Son mari, qui se trempait, à quelques mètres, vient voir si tout va bien.
Je vois Odile qui engage la conversation avec eux.
Après quelques minutes, Odile m’appelle.
• Je te présente Adrien et Chantal.
Ils sont professeurs, elle de lettre et lui de mathématique au lycée Henri Matisse de Montreuil. Ils sont pour une semaine ici et voyagent tout l’été en camping-car.
• Bonjour, je m’appelle Chantal.
• Tu as vu que j’ai failli l’estropier.
• Il faut éviter d’exagérer, pas besoin d’un fauteuil roulant.
Nous partons dans un grand éclat de rire.
• Pour me faire pardonner, puis-je les invités à venir dîner ce soir ?
• Mon cœur, tu sais que la villa est aussi ta villa, je souhaite qu’elle soit la villa du bonheur, inviter tes amis, tu as toujours mon accord.
Où avez-vous garé votre lit roulant ?
• Nous sommes à la place du marché.
Toute la bande est remontée sur le sable, allongée sur leurs serviettes, chacun se fait bronzer.
Nous présentons nos amis à tous les autres.
Katia et Anne ont déshabillé Sindy. Ils partent la baigner.
Elles ont assis la petite dans l’eau, les petites vagues qui arrivent jusqu'à elle, l’amusent. Elle tape avec ses mains et provoque de petite éclaboussure qu’elle a l’air d’apprécier.
Alain et Adrien ont l’air de s’entendre comme de vieux copains, leurs humours ont l’air d’être proche. Quant à Chantal, elle essaye de répondre au feu roulant des questions que chacune lui pose.
Elle a eu comme son mari trente ans, le 3 avril. Ils sont nés le même jour, presque à la même heure. Ils ont un garçon de huit ans et une fille de cinq. Ils sont en vacances avec les parents de Chantal à Mimizan, plage eut aussi dans un camping-car.
Ils vont les rejoindre la semaine prochaine.
Adrien est allé chercher leurs serviettes et les amène près de nous.
Discrètement quand elle a son sac près d’elle, elle enlève son soutien gorges et nous fait apparaître une paire de seins aussi beaux que les nôtres.
Katia et Anne remontent de l’eau avec la petite.
Chantal souhaite prendre dans ses bras la poupette.
Lorsqu’elle lui tend les mains pour la saisir, Sindy tend les siens vers elle.
Notre amie est touchée par ce geste de notre poupée.
Nous rigolons tous quand Sindy tire sur l’un de ses tétons.
À ce contact, il se relève fièrement.
Très intéressante, elle semble très sensible des seins la belle.
Anne récupère sa fille, car elle doit aller lui donner son bain et la faire manger.
Katia l’accompagne, car elle va la garder la nuit pour qu’elle s’habitue avant le départ de sa maman jeudi matin pendant trois jours.
Nous restons sur la plage à profiter du soleil couchant.
Vers dix-huit heures, nous prenons le chemin du retour.
Odile se propose d'aller chercher le camping-car avec ses nouveaux amis et les guider pour qu’ils trouvent le chemin de la maison.
Le temps de renter le matériel de plage, et de placer nos voitures pour qu’ils puissent se garer facilement, ils arrivent.
Alain les aide à brancher la prise de courant permettant d’avoir de la lumière et surtout de faire tourner le frigo.
Nous nous retrouvons sur la terrasse, nous proposons au couple d’aller prendre une douche avant de dîner.
Tous souhaitent en prendre une pour enlever le sel qui tend la peau.
Véronique et Marie-Ange les dirigent vers la salle de bain de leur chambre.
Dès que les quatre sont entrées, elles se transforment en tenue d’Ève et dans le mouvement enlèvent le bas de Chantal puis avant qu’il ait le temps de réagir, celui d’Adrien.
Le couple est subjugué de ce qui vient de leur arriver.
Véronique tire le mâle passif à ce moment près d’elle sous la douche.
Marie-Ange en fait de même avec Chantal.
Ils sont les uns contre les autres. Véronique démarre l’eau et commence à laver Adrien avec sa main et le savon pour la douche. Notre grande black en fait de même avec Chantal.
Elles les savonnent de haut en bas. Puis elles s’accroupissent pour leur nettoyer les doigts de pieds.
Véronique se redresse et recommence à le savonner de haut en bas. Elle fait très attention à éviter la verge.
Malgré cela, il commence à bander.
De son côté Marie-Ange fait le même travail sur sa partenaire, mais elle frôle carrément la vulve de Chantal.
Au bout de quelques minutes, les belles garces que j’ai récupérées et parfaitement en osmoses l’une l’autre, Marie-Ange la fait passer vers son homme.
Véronique le fait se tourner.
• Baise là.
En état second, il retourne sa femme, lui écarte les jambes et lui enfourne sa verge entièrement dans la vulve.
Il la laboure certainement comme il a perdu l’habitude de le faire au fil des années.
Marie-Ange prend la bouche de Chantal qui sous l’émoi qu’elle ressent dans son ventre accepte ses lèvres.
Dans le même temps, Véro prend dans sa main les boules d’Adrien et les malaxe.
À ce traitement, il part en flèche et remplit la minette de sa femme qui crie son plaisir.
Véronique retire la verge de la grotte de sa femelle, elle l’attire vers sa bouche.
• Chantal, je peux.
Dans sa brume due à sa jouissante elle répond par un mouvement de tête qui ressemble à un oui sans se rendre compte qu’elle offre son homme à une autre femme.
Elle l’embouche pour la nettoyer.
Pendant ce temps Marie-Ange le regarde.
• Je peux.
Lui aussi dans l’état où il est, la regarde.
• Oui.
Elle met les lèvres sur la chatte de Chantal et commence à la brouter, elle s’attarde sur le clitoris de la dame qui cherche à être sucée au maximum.
Le couple se tient la main pour être en pleine communion.
Malgré la jouissance qu’ils se sont donnée, ils repartent tous les deux lui dans la bouche de la cochonne rousse et elle dans la bouche de notre gazelle noire.
Véronique redémarre les douches et les nettoie rapidement…
Dix heures, nous émergeons.
Virginie dort toujours.
Je me lève et je passe dans la salle de bain.
Je m’apprête à descendre quand devant la porte de la chambre d’Odile et Alain un tableau gracieux s’offre à moi.
Aline broute la chatte d’Odile, alors qu’Alain la besogne allègrement.
La petite colle sa bouche dans le sexe féminin, j’ai l’impression qu’elle fait beaucoup d’efforts pour éviter de crier le plaisir qu’elle ressent. Elle doit avoir peur de nous réveiller.
Odile me voit et me fait signe de venir.
D’un signe, je lui dis non.
Dans la chambre d’à côté, Véronique et Marie-Ange dorment, la manière dont elles sont positionnées ne souffre d’aucun doute sur ce qu’elles faisaient lorsque le sommeil les a emportées.
Elles dorment tête-bêche, la bouche de chacune à la hauteur de la chatte de l’autre.
Je passe sans faire de bruit et je descends l’escalier.
Anne est levée nue, elle cherche dans le placard.
Elle est penchée en avant ses fesses mutines attirant ma main.
Je profite de la situation, je les caresse, petit amour reçoit ma main, mais reste stoïque.
Elle tourne la tête et me fait un grand sourire quand elle me voit.
• Je cherche les tasses et les couverts.
• Tu les trouveras dans le vaisselier en face de toi.
Comment, va Sindy ?
• Va-la voir, elle est sur la terrasse dans son parc.
Je regarde le bébé qui comme sa maman est nu, je la prends dans mes bras et lui donne de gros baisers.
Elle me gazouille à l’oreille des bruits qui sont à la limite d’être des mots.
Tient si « maman ». Anne qui est près de moi me dit qu’elle commence à le dire, je suis contente, ça me touche énormément.
Je la repose pour qu’elle joue avec son tapis pour bébé.
De retour dans la salle, je m’assieds dans le fauteuil en rotin.
Ce fauteuil est l’endroit où mon père aimait fumer sa pipe lorsque le temps l’empêchait d’être sur la terrasse.
Madeleine sort de la cuisine dans la même tenue que celle d’Anne et sa fille.
Quand elle me voie, elle pose sa cafetière et vient vers moi, pour m’embrasser, elle est obligée de se pencher et de tenir les accoudoirs. Elle me donne sa bouche que je prends fébrilement. Alors qu’elle va se relever, je gobe le sein le plus près de ma bouche.
Le volume est si conséquent, qu’il vient s’appuyer sur mon nez et ma bouche.
Je le tète quelques secondes, mais l’asphyxie me guette.
Je le lâche et reprends mon souffle. Madeleine comprend ce qu’il vient de m’arriver et éclate de rire.
Anne, qui a fini de mettre ces tasses, vient vers nous.
Elle se met à genoux et comme ma posture le lui permet, elle commence à me brouter la chatte.
Madeleine veut être en phase, elle prend la même position et mes deux petites cochonnes commencent à me fouiller la vulve.
Je vois la main d’Anne descendre vers la chatte de sa copine. Elle commence à se tortiller ce qui augmente le mouvement sur mes lèvres intimes.
De bon matin, je reçois ma première jouissance de la journée et j’aime ça.
Allez, il faut bouger. Nous nous relevons et nous installons à table.
Un café une biscotte et je remonte me préparer.
Je suggère aux filles de s’habiller pour partir au marché.
Dans la chambre d’Odile, tous sont endormis.
Dans notre chambre, Virginie est réveillée, mais flâne comme elle aime le faire.
Je ferme la porte.
• Je pars au marché avec les filles, je vais m’habiller.
• Pas de problème, je m’occupe des amis.
• Le café est prêt, vous pourrez descendre quand vous le voulez.
Je vais dans la salle de bain, prends ma douche, me maquille très légèrement.
Je passe une petite robe vichy assez sexe en rapport de ce que je portais les années précédentes, robe que j’ai achetée pour notre séjour. Des ballerines et on est parti.
Un baiser langoureux à ma marraine et je la laisse se prélasser.
Dans les escaliers, je suis rattrapé par mes deux petites complices qui sont déjà prêtes. Sindy a une petite robe sympa avec un bob « charlotte aux fraises ».
Nous la mettons dans la poussette. Je récupère les deux paniers à roulettes que nous prenions avec ma maman pour aller au marché.
Nous, nous y rendons à pied, l’été, il est impossible de se garer.
Nous rentrons dans le marché couvert et je retrouve tous les marchands dont certains m’ont connu toute petite.
Ce qui ressort de ce tour, c’est que j’ai une tenue plus estivale comparée aux tenues B.C.B.G. que je portais lorsque je venais avec mon ex.
Que diraient-ils, si je soulève ma robe et que je leur faisais voir que je ne porte aucune culotte et que je suis rasée ?
Je leur présente mes deux filles et leur demande qu’ont les serves comme ils le feraient pour moi.
Nous passons à la poissonnerie. J’achète des céteaux poisson plat ressemblant à de petites soles.
Alain nous les fera aux barbecues.
Madeleine paye, au début du séjour, nous avons mis de l’argent dans un pot commun.
J’ai pris en charge Anne et sa fille et Marie-Ange.
Virginie, Aline et Madeleine. Les trois autres deux parts et une part pour Véronique qui est autonome financièrement.
Nous prenons des fruits en quantité, principalement des pêches et des abricots.
Sans oublier les melons, nous sommes dans les Charentes.
De retour à la villa, nous trouvons Aline dans la cuisine qui fait la vaisselle du matin.
Sur la terrasse Virginie, regarde toute la bande qui vient d’aller se baigner en descendant par les marches menant directement dans l’eau ou sur lez sable suivant la hauteur de la marée.
Ils font la course. Marie-Ange en bonne naïade leur prend une longueur d’avance.
Mieux même elle repart jusqu’aux bouées, limite de la baignade surveillée.
Seul Alain la suit.
Elle s’arrête en se tenant à l’une d’elles. Il l’a rejoint et de loin nous les voyons battre des pieds justes pour se maintenir en dehors de l’eau.
Que se passe-t-il sous l’eau ?
Sur la terrasse tous se mettent dans les transats pour bronzer.
Il est bien connu que pour les dames, la marque d’un maillot est disgracieuse. Elles se mettent nues.
Marie-Ange et Alain remontent, ils nous annoncent qu’ils vont se doucher pour enlever le sel. Marie-Ange demande à Odile de les accompagner.
Je rêve de monter voir ce qu’ils font.
• Anne, tu as couché ta fille.
• Oui, je vais la chercher dans une demi-heure pour la faire manger.
• Je monte pour voir si elle dort, mettez le couvert sur la terrasse.
Quel subterfuge pour me rincer l’œil.
Personne dans la chambre, discrètement je m’approche de la salle de bain.
Alain est debout près de la douche, les deux femmes nues à ses pieds lui sucent le sexe.
Il me voit.
• Viens, ma belle, quand il y en a pour deux, il y en a pour trois.
• Non, continuez, j’adore pratiquer, mais j’aime bien regarder. Vous êtes un régal pour mes yeux.
Les filles reprennent, leur pompage jusqu’à ce qu’il leur envoie une bonne giclée au fond de la bouche.
• Bien jouer les enfants mais Alain fait attention, tu es seul avec huit femmes, tes vacances vont être épuisantes.
• Je vous connais mes belles garces, je suis persuadé que vous allez rapidement me trouver du soutien.
• Allez, espèce de pervers assez baisé, il est temps de prendre l’apéritif.
Alain avec les filles, nous avons acheté des céteaux qu’il va falloir faire cuire sur les braises.
• Des céteaux ?
• Espèce d’ignare et de Parisien descend, je vais te faire voir.
Je monte d’un étage pour voir la petite, elle est réveillée, je la prends dans mes bras et la descends.
Sur la terrasse, dès que les filles la voient, chacune veut la prendre sur elles.
• Vous allez voir qu’elles vont finir par se battre.
Alain débouche des bouteilles de vin rosées, qu’ils ont apportées d’une propriété viticole du sud de la France et où ils ont des parts. Ils sont payés en bouteilles au prorata de ce qu’ils ont investi.
Nous passons à table, Alain sait maintenant ce que sont les céteaux qu’ils ont tous beaucoup appréciés.
Vers quinze heures, nous faisons une sieste, normale, ce sont les vacances.
Vers seize heures, nous partons à la plage.
Nous avons appelé Katia, elle vient avec nous et gardera la petite afin qu’Anne puisse se baigner avec nous.
La marée est descendante, cela nous permet de trouver un espace assez grand pour caser tout le monde.
Alain a descendu deux parasols qui étaient dans le garage de la villa.
Nous installons Sindy à l’ombre. Assise dans le sable pour la première fois, elle tient ses mains levées évitant de les poser sur une matière d’une couleur et d’une texture inconnues pour elle.
Anne lui donne une petite pelle et un seau que Madeleine lui a achetés ce matin dans une boutique près du marché.
Elle lui fait voir comment faire, sa marche, elle commence à jouer.
Nous sommes toutes en maillot les seins nus.
Le nombre de regards d’hommes, assis prêt de bobonne, est impressionnant.
Nous décidons d’aller nous baigner.
La marée est à mi-plage, nous courons tous jusqu'à ce que nous atteignions les vagues, vaguelettes aujourd’hui.
Certains plongent directement dans l’eau, d’autres comme moi en prenant plus de temps. Comme toujours, c’est à la hauteur du ventre qu’un blocage se fait.
Une vague plus forte que les autres me permet d’avancer plus rapidement.
Nous sommes tous dans l’eau, mais il reste mes épaules.
Alors que j’allais commencer à nager Alain passe derrière moi, d’un coup, il m’empoigne et me balance dans l’eau.
Je bois une belle tasse.
Lorsque je refais surface, je crache, je tousse.
Alain passe près de moi et me dit, la vengeance est…Je connais sans entendre la fin, car il est parti dans un crawl parfait.
Je le suis et le double avant les bouées.
Lorsque nous revenons vers le bord, les filles jouent avec un ballon trouvé lui aussi dans le garage.
Elle se le lance et plonge pour essayer de l’attraper.
Alors qu’elle tente de le rattraper, Odile, le lance et dans ce mouvement entraîne avec elle une jolie femme.
Elle la relève et lui demande si tout va bien. Son mari, qui se trempait, à quelques mètres, vient voir si tout va bien.
Je vois Odile qui engage la conversation avec eux.
Après quelques minutes, Odile m’appelle.
• Je te présente Adrien et Chantal.
Ils sont professeurs, elle de lettre et lui de mathématique au lycée Henri Matisse de Montreuil. Ils sont pour une semaine ici et voyagent tout l’été en camping-car.
• Bonjour, je m’appelle Chantal.
• Tu as vu que j’ai failli l’estropier.
• Il faut éviter d’exagérer, pas besoin d’un fauteuil roulant.
Nous partons dans un grand éclat de rire.
• Pour me faire pardonner, puis-je les invités à venir dîner ce soir ?
• Mon cœur, tu sais que la villa est aussi ta villa, je souhaite qu’elle soit la villa du bonheur, inviter tes amis, tu as toujours mon accord.
Où avez-vous garé votre lit roulant ?
• Nous sommes à la place du marché.
Toute la bande est remontée sur le sable, allongée sur leurs serviettes, chacun se fait bronzer.
Nous présentons nos amis à tous les autres.
Katia et Anne ont déshabillé Sindy. Ils partent la baigner.
Elles ont assis la petite dans l’eau, les petites vagues qui arrivent jusqu'à elle, l’amusent. Elle tape avec ses mains et provoque de petite éclaboussure qu’elle a l’air d’apprécier.
Alain et Adrien ont l’air de s’entendre comme de vieux copains, leurs humours ont l’air d’être proche. Quant à Chantal, elle essaye de répondre au feu roulant des questions que chacune lui pose.
Elle a eu comme son mari trente ans, le 3 avril. Ils sont nés le même jour, presque à la même heure. Ils ont un garçon de huit ans et une fille de cinq. Ils sont en vacances avec les parents de Chantal à Mimizan, plage eut aussi dans un camping-car.
Ils vont les rejoindre la semaine prochaine.
Adrien est allé chercher leurs serviettes et les amène près de nous.
Discrètement quand elle a son sac près d’elle, elle enlève son soutien gorges et nous fait apparaître une paire de seins aussi beaux que les nôtres.
Katia et Anne remontent de l’eau avec la petite.
Chantal souhaite prendre dans ses bras la poupette.
Lorsqu’elle lui tend les mains pour la saisir, Sindy tend les siens vers elle.
Notre amie est touchée par ce geste de notre poupée.
Nous rigolons tous quand Sindy tire sur l’un de ses tétons.
À ce contact, il se relève fièrement.
Très intéressante, elle semble très sensible des seins la belle.
Anne récupère sa fille, car elle doit aller lui donner son bain et la faire manger.
Katia l’accompagne, car elle va la garder la nuit pour qu’elle s’habitue avant le départ de sa maman jeudi matin pendant trois jours.
Nous restons sur la plage à profiter du soleil couchant.
Vers dix-huit heures, nous prenons le chemin du retour.
Odile se propose d'aller chercher le camping-car avec ses nouveaux amis et les guider pour qu’ils trouvent le chemin de la maison.
Le temps de renter le matériel de plage, et de placer nos voitures pour qu’ils puissent se garer facilement, ils arrivent.
Alain les aide à brancher la prise de courant permettant d’avoir de la lumière et surtout de faire tourner le frigo.
Nous nous retrouvons sur la terrasse, nous proposons au couple d’aller prendre une douche avant de dîner.
Tous souhaitent en prendre une pour enlever le sel qui tend la peau.
Véronique et Marie-Ange les dirigent vers la salle de bain de leur chambre.
Dès que les quatre sont entrées, elles se transforment en tenue d’Ève et dans le mouvement enlèvent le bas de Chantal puis avant qu’il ait le temps de réagir, celui d’Adrien.
Le couple est subjugué de ce qui vient de leur arriver.
Véronique tire le mâle passif à ce moment près d’elle sous la douche.
Marie-Ange en fait de même avec Chantal.
Ils sont les uns contre les autres. Véronique démarre l’eau et commence à laver Adrien avec sa main et le savon pour la douche. Notre grande black en fait de même avec Chantal.
Elles les savonnent de haut en bas. Puis elles s’accroupissent pour leur nettoyer les doigts de pieds.
Véronique se redresse et recommence à le savonner de haut en bas. Elle fait très attention à éviter la verge.
Malgré cela, il commence à bander.
De son côté Marie-Ange fait le même travail sur sa partenaire, mais elle frôle carrément la vulve de Chantal.
Au bout de quelques minutes, les belles garces que j’ai récupérées et parfaitement en osmoses l’une l’autre, Marie-Ange la fait passer vers son homme.
Véronique le fait se tourner.
• Baise là.
En état second, il retourne sa femme, lui écarte les jambes et lui enfourne sa verge entièrement dans la vulve.
Il la laboure certainement comme il a perdu l’habitude de le faire au fil des années.
Marie-Ange prend la bouche de Chantal qui sous l’émoi qu’elle ressent dans son ventre accepte ses lèvres.
Dans le même temps, Véro prend dans sa main les boules d’Adrien et les malaxe.
À ce traitement, il part en flèche et remplit la minette de sa femme qui crie son plaisir.
Véronique retire la verge de la grotte de sa femelle, elle l’attire vers sa bouche.
• Chantal, je peux.
Dans sa brume due à sa jouissante elle répond par un mouvement de tête qui ressemble à un oui sans se rendre compte qu’elle offre son homme à une autre femme.
Elle l’embouche pour la nettoyer.
Pendant ce temps Marie-Ange le regarde.
• Je peux.
Lui aussi dans l’état où il est, la regarde.
• Oui.
Elle met les lèvres sur la chatte de Chantal et commence à la brouter, elle s’attarde sur le clitoris de la dame qui cherche à être sucée au maximum.
Le couple se tient la main pour être en pleine communion.
Malgré la jouissance qu’ils se sont donnée, ils repartent tous les deux lui dans la bouche de la cochonne rousse et elle dans la bouche de notre gazelle noire.
Véronique redémarre les douches et les nettoie rapidement…
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