Femme BCBG, escorte, non, pute… (64)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (64)
L’équipe du tournage de mon film porno promis par Tof le jour de mon anniversaire vient d’arriver et après avoir mis en place la première journée de tournage nous les avons installés dans les deux maisons la mienne et celle de Jacky avant de passer à table sur ma terrasse surplombant la mer.
Placé près d’Audrey l’assistante de Johnny le réalisateur principal, je l’invite à danser.
Je me lève et l’entraîne sur le carrelage qui nous sert de piste de danse. Alain qui est près de la sono place les CD, laisse passer une série de rock en roll que nous dansons avec beaucoup de souplesse.
Malin, il remplace cette danse endiablée par un slow langoureux.
Audrey repart vers sa chaise.
Je la récupère et je la plaque contre moi.
Au début surprise, elle accepte le contact et ses seins viennent se coller contre les miens.
Nous dansons un deux slow. Je la sens frémir, avec deux doigts sous son menton, je lui soulève la tête et je bois ses lèvres.
Au début hésitant, sa bouche finit par s’ouvrir sous ma langue.
Je sens son corps frémir, le slow terminé, discrètement je l’entraîne vers l’étage.
Lorsque je suis dans ma chambre, je commence à la déshabiller.
Je lui enlève son tee-shirt et je lui reprends la bouche pour éviter de casser l’atmosphère entre nous.
Elle a un soutien gorges fort bien rempli, ses seins sont aussi gros que ceux de Madeleine.
Audrey quitte ma bouche.
• Tu sais, dans mon métier j’ai souvent vu des femmes faire l’amour mais je suis vierge d’expérience féminine.
• Tu as envie de moi, tu veux que l’on essaye.
• Comment te dire ce que j’ai ressenti lorsque tu te faisais prendre par tous ces hommes, j’avais envie de jeter la caméra et de venir te donner moi-même du plaisir ?
Je suis trop timide et j’ai reculé alors que je mourrais d’envie de me joindre à toi.
• Tu vas pouvoir passer tes envies maintenant, rester frustrer est toujours la mauvaise solution.
Je prends ses seins dans ma bouche l’un après l’autre.
L’air salin les a imprégnés et je les nettoie consciencieusement.
Je suis déjà nue, je prends la tête de ma nouvelle amie et l’amène sur ma poitrine qui attend avec impatience ses lèvres.
Rapidement elle donne à ses lèvres des mouvements qui font bander mes tétons.
Je détache son pantalon et le fais glisser vers le bas.
Pour l’enlever complètement, je dois me baisser.
Ma bouche se retrouve à la hauteur de son sexe recouvert par sa petite culotte.
Je lui enlève et découvre une toison assez fournie mais bien entretenue en forme de triangle.
Je la fais délicatement tomber sur le lit, les jambes pendantes. Le mouvement lui a fait ouvrir sa chatte. J’approche mes lèvres et avec mes mains j’écarte sa fente intime.
Je découvre un trésor. Audrey possède un clitoris si développé que j’ai l’impression de revoir la bite de Pierre mon ex. À peu de centimètres ce sont les mêmes dimensions.
Quand nous étions mariés, la fellation m’était méconnue avec mon ex, je gobe ce clito démesuré. Il semble grandir encore sous mes succions.
J’ignore quand elle se fait prendre par une verge elle a des jouissances vaginales mais il est sûr qu’elle doit avoir des jouissances clitoridiennes phénoménales.
Je le lèche, le lape, le mordille même.
La petite commence à se tortiller dans tous les sens. Je la fais se placer au centre du lit et je lui propose un soixante neuf.
Elle dessous moi dessus.
Je la sens hésitante. Et d’un coup elle plonge, ses lèvres sont sur ma chatte. Je continue à la lécher, elle me lèche aussi, ma langue écarte les grandes lèvres de sa chatte, elle écarte les grandes lèvres de ma minette.
Là, je sens qu’elle se lâche, sa langue s’accélère, elle exerce une pression sur mon clitoris bien moins développé que le sien mais tout aussi sensible.
Elle prend même des initiatives, je sens ses doigts me pénétrer. Elle doit en mettre plusieurs ma chatte se dilatant.
Ce traitement fait son effet, la masturbation que je subis me fait partir et elle récolte mon plaisir sur ces lèvres.
Pendant ce temps, je suis active et je me focalise sur son clito qui me fascine, quand je l’aspire, il emplit une grande partie de ma cavité buccale. Je sens que je suis sur la bonne voie de sa jouissance.
J’amène ma main et tout en la suçant, je la doigte, moi aussi je peux boire quelques gouttes de cyprine qui coulent de sa fente. Elle éclate son plaisir sur ma figure.
Je souhaite dépasser ces préliminaires.
Je me redresse et je m’assieds sur le lit les jambes écartées.
Je fais mettre Audrey dans la même position et comme me l’ai fait voir Odile à l’institut, j’avance mon bassin jusqu'à ce que nos lèvres intimes se touchent.
Au lieu de simplement nous frotter, je passe ma main je prends délicatement son clitoris et parviens à le faire entrer dans mon intimité.
Je prends sa bouche fougueusement, je sens que le baiser qu’elle me renvoie est un simple baiser mais un baiser plein d’envie.
Un vrai petit sexe est en moi.
• Fait bouger ta petite bite dans ma chatte, j’ai l’habitude j’ai eu la même longueur à la maison pendant plusieurs années avant de découvrir qu’une verge grande ou petite vaux que par l’envie que met celui ou celle qui la possède.
Audrey, sers-toi de l’avantage que tu as d’être un peu mâle et femelle.
Hésitante au début, elle réussit à le faire coulisser en moi.
Peu de différence pour moi avec le petit moreau que mon ex m’enfilait il y a quelques semaines.
J’ai ses yeux dans les miens, je les vois chavirer preuve du plaisir qui va la submerger.
Je fais tout pour qu’elle y arrive.
Une simple main sur son sein, deux doigts qui lui prennent le téton, qui vont même jusqu'à le pincer sans lui faire énormément mal et j’avale littéralement ses cris avec ma bouche. Habitué a de petites pénétrations, malgré les verges énormes qui m’ont enfilé depuis quelques jours, son clito sur mon clito me fond de l’effet.
J’essaye de faire fonctionner mes muscles intimes comme Frédérique me l’a appris.
Le clito d’Audrey est juste enfoncé en moi pour qu’ils agissent efficacement sur le mien, mais ces petites pulsions que je nous donne nous apportent assez d’efficacité pour décupler le plaisir qui nous percute en même temps terminant une journée pleine d’évènements et d’amour.
Je me couche en entraînant Audrey dans mes bras.
Quelques minutes après je sens quelqu’un se coucher de l’autre côté de ma nouvelle petite maîtresse. Je me redresse et constate que Virginie vient de nous rejoindre.
Je repense à cette journée riche en événements ce qui retard mon sommeil.
Je sens Audrey quitter mes bras et rejoindre ceux de ma marraine.
Un petit besoin naturel m’oblige à m’isoler.
Dans le couloir je jette un œil dans la chambre d’Alain et Chantal.
Personne, je passe à la chambre voisine. Véronique, Marie-Ange, Valériane, Jacky et Christian sont en pleine action. Les filles sont en levrette, les deux hommes les labourent ardemment.
Valériane a l’air de beaucoup apprécier les coups de bite que le mari de Fabienne lui assène.
D’autant plus que Véronique libre s’est placée sous elle et qu’elle doit lui brouter le clitoris comme elle sait si bien le faire et que je viens de le faire avec Audrey.
Placé derrière eux, je m’éclipse discrètement et pousse la porte entrouverte de la chambre mitoyenne de la nôtre.
Trois personnes y sont couchées. Fabienne, Chantal et Yann. Ils dorment.
Bien qu’elle soit au repos sa verge reste impressionnante.
Elle attire irrémédiablement ma convoitise pour lui ferme prendre sa forme maximum mais restons sage, j’en ai déjà bien profité depuis qu’elle est arrivée.
Je décide d’aller voir ce qui se passe à l’étage supérieur. J’ouvre la porte discrètement, les deux jumelles sont avec Adonis. Il est couché et Aline le chevauche. Je vois la petite monter et descendre sur sa verge comme si elle faisait du cheval. Anne est derrière le couple et lèche ses couilles.
Je suis contente, les deux sœurs semblent savoir partager cette belle verge black même si les sentiments de l’une envers cet homme sont plus profonds que pour l’autre qui cherche seulement à en jouir.
Je bas en retraite, laissons mes petites s’amuser.
Une envie de boire un peu d’eau me fait rejoindre le rez-de-chaussée.
Un verre à la main, je passe sur la terrasse pour admirer la promenade et la plage la nuit.
• Bonsoir tu es encore debout.
Je sursaute, Johnny est allongé sur le transat qui sert de niche à Fabienne quand elle se fait punir près d’un petit lampadaire qui éclaire la terrasse.
• Toi aussi tu es réveillé.
• Bientôt mais une petite soif m’a fait descendre prendre un verre d’eau.
• Coco, tu veux t’asseoir quelques minutes ?
Il me montre le transat collé au sien.
Je m’allonge couchée sur le côté.
• Je suis insomniaque, je regardais les notes prises par Audrey en profitant du calme et la douceur de cette nuit d’août.
En parlant d’Audrey, comment va-t-elle, je vous ai vu partir ensemble ?
• Je viens de la laisser dans les bras de mon amie Virginie.
J’ai été très étonné de trouver une jeune fille si pure pour quelqu’un qui vit dans un milieu où tout est tentation !
• C’est pour cela qu’elle m’est bien précieuse, elle est très professionnelle et je peux compter sur elle à tout moment dans notre métier très exigeant tu verras demain.
J’espère que tu vas me la laisser.
• N’aie aucune crainte je risque simplement de la faire venir à notre institut de beauté pour la relocker légèrement.
• Et tu crois que le faîte de la féminiser est le gage qui va rassurer pour autant Coco !
• À mon tour si tu me le permets de te demander pourquoi appeler systématiquement les gens auxquels tu t’adresses Coco.
• Dans mon métier, il faut que tu saches le nombre de personnes que je côtoie.
Sauf les vieux et les vieilles Hardeurs et Hardeuses dont je connais les noms et prénoms, le monde du sexe va tellement vite qu’il m’est impossible de suivre.
Un jour j’ai interpellé une nouvelle actrice inconnue en l’appelant, Coco et depuis c’est devenu une habitude et presque a marque de fabrique.
Un éclat de rire ponctue cette déclaration mais pleine de bon sens quand je vois la vitesse ou mes fils voir mes hommes qui m’entour se mettent à jouer le jeu du tournage de mon film.
• Et toi, que fais-tu dans la vie et comment es-tu devenu propriétaire de cette magnifique villa ?
Je m’appelle Christine, j’ai vingt-six ans, je suis jolie femme, blonde, BCBG, mariée à Pierre de quatre ans mon aîné, pilote de ligne.
Je m’arrête là, inutile de recommencer tous les chapitres de ma vie.
J’en fais un résumé à notre ami. Il écoute estomaquer de l’évolution apportée à ma vie en si peu de temps.
• Tu étais un papillon que ton amie Virginie a fait sortir de sa chrysalide. Tout à l’heure il faudra que je la remercie de t’avoir fait prendre ton envole.
Tu as donc hérité de tes parents cette somptueuse maison qui va nous permettre de passer des moments agréables.
Tu m’as parlé de voyage avec Virginie, dans quel but ?
Comment vais-je lui dire, hormis notre travail à l’institut, que la plupart des filles qui sont ici outre qu’elles sont toutes mes amies et qu’elles travaillent parallèlement pour une organisation d’escorte girl.
Je lui explique que Virginie a été la première il y a quelques années à entrer dans le métier.
Elle m’a proposé de venir avec elle et c’est comme cela que j’ai débuté.
• Tu vois Johnny, j’aurais pu te raconter un joli comte, mais depuis que tu es arrivé, je sens un courant passer entre nous et je veux gagner ton amitié.
Nous sommes toutes fières du travail que nous effectuons avec des hommes aux quatre coins du monde. Nous sommes fières de l’argent que ces hommes nous donnent pour passer des soirées et des nuits de plaisir avec nous.
La première fois que j’ai fait l’amour avec un de ces hommes, j’ignorais qu’il allait partir en me laissant une liasse de billets. Au matin, j’ai dû reconnaître que j’étais devenu une pute mais depuis je l’assume.
• Merci Christine de ta franchise, je saurai en être digne.
Je comprends mieux la liberté sexuelle que votre groupe dégage. Dans le monde du hard, contrairement à vous, si vous dites que ce sont des putes mâles ou femelles et que moi je suis un maquereau qui les films, ils le prendront très mal, pour eux ce sont des acteurs qui ont le courage dans les scènes d’amour d’aller jusqu’au bout des actions sexuelles.
Christine il va être difficile que ce soit nous qui arrivions à trancher le débat.
• Tu as raison, j’ai encore quelques bonnes histoires à te raconter, mais je pense qu’il faut que je dorme pour être en forme demain.
• Tu as raison Coco Christine à demain.
Un nouveau rire, nous restons sur nos transats et je m’endors…
Placé près d’Audrey l’assistante de Johnny le réalisateur principal, je l’invite à danser.
Je me lève et l’entraîne sur le carrelage qui nous sert de piste de danse. Alain qui est près de la sono place les CD, laisse passer une série de rock en roll que nous dansons avec beaucoup de souplesse.
Malin, il remplace cette danse endiablée par un slow langoureux.
Audrey repart vers sa chaise.
Je la récupère et je la plaque contre moi.
Au début surprise, elle accepte le contact et ses seins viennent se coller contre les miens.
Nous dansons un deux slow. Je la sens frémir, avec deux doigts sous son menton, je lui soulève la tête et je bois ses lèvres.
Au début hésitant, sa bouche finit par s’ouvrir sous ma langue.
Je sens son corps frémir, le slow terminé, discrètement je l’entraîne vers l’étage.
Lorsque je suis dans ma chambre, je commence à la déshabiller.
Je lui enlève son tee-shirt et je lui reprends la bouche pour éviter de casser l’atmosphère entre nous.
Elle a un soutien gorges fort bien rempli, ses seins sont aussi gros que ceux de Madeleine.
Audrey quitte ma bouche.
• Tu sais, dans mon métier j’ai souvent vu des femmes faire l’amour mais je suis vierge d’expérience féminine.
• Tu as envie de moi, tu veux que l’on essaye.
• Comment te dire ce que j’ai ressenti lorsque tu te faisais prendre par tous ces hommes, j’avais envie de jeter la caméra et de venir te donner moi-même du plaisir ?
Je suis trop timide et j’ai reculé alors que je mourrais d’envie de me joindre à toi.
• Tu vas pouvoir passer tes envies maintenant, rester frustrer est toujours la mauvaise solution.
Je prends ses seins dans ma bouche l’un après l’autre.
L’air salin les a imprégnés et je les nettoie consciencieusement.
Je suis déjà nue, je prends la tête de ma nouvelle amie et l’amène sur ma poitrine qui attend avec impatience ses lèvres.
Rapidement elle donne à ses lèvres des mouvements qui font bander mes tétons.
Je détache son pantalon et le fais glisser vers le bas.
Pour l’enlever complètement, je dois me baisser.
Ma bouche se retrouve à la hauteur de son sexe recouvert par sa petite culotte.
Je lui enlève et découvre une toison assez fournie mais bien entretenue en forme de triangle.
Je la fais délicatement tomber sur le lit, les jambes pendantes. Le mouvement lui a fait ouvrir sa chatte. J’approche mes lèvres et avec mes mains j’écarte sa fente intime.
Je découvre un trésor. Audrey possède un clitoris si développé que j’ai l’impression de revoir la bite de Pierre mon ex. À peu de centimètres ce sont les mêmes dimensions.
Quand nous étions mariés, la fellation m’était méconnue avec mon ex, je gobe ce clito démesuré. Il semble grandir encore sous mes succions.
J’ignore quand elle se fait prendre par une verge elle a des jouissances vaginales mais il est sûr qu’elle doit avoir des jouissances clitoridiennes phénoménales.
Je le lèche, le lape, le mordille même.
La petite commence à se tortiller dans tous les sens. Je la fais se placer au centre du lit et je lui propose un soixante neuf.
Elle dessous moi dessus.
Je la sens hésitante. Et d’un coup elle plonge, ses lèvres sont sur ma chatte. Je continue à la lécher, elle me lèche aussi, ma langue écarte les grandes lèvres de sa chatte, elle écarte les grandes lèvres de ma minette.
Là, je sens qu’elle se lâche, sa langue s’accélère, elle exerce une pression sur mon clitoris bien moins développé que le sien mais tout aussi sensible.
Elle prend même des initiatives, je sens ses doigts me pénétrer. Elle doit en mettre plusieurs ma chatte se dilatant.
Ce traitement fait son effet, la masturbation que je subis me fait partir et elle récolte mon plaisir sur ces lèvres.
Pendant ce temps, je suis active et je me focalise sur son clito qui me fascine, quand je l’aspire, il emplit une grande partie de ma cavité buccale. Je sens que je suis sur la bonne voie de sa jouissance.
J’amène ma main et tout en la suçant, je la doigte, moi aussi je peux boire quelques gouttes de cyprine qui coulent de sa fente. Elle éclate son plaisir sur ma figure.
Je souhaite dépasser ces préliminaires.
Je me redresse et je m’assieds sur le lit les jambes écartées.
Je fais mettre Audrey dans la même position et comme me l’ai fait voir Odile à l’institut, j’avance mon bassin jusqu'à ce que nos lèvres intimes se touchent.
Au lieu de simplement nous frotter, je passe ma main je prends délicatement son clitoris et parviens à le faire entrer dans mon intimité.
Je prends sa bouche fougueusement, je sens que le baiser qu’elle me renvoie est un simple baiser mais un baiser plein d’envie.
Un vrai petit sexe est en moi.
• Fait bouger ta petite bite dans ma chatte, j’ai l’habitude j’ai eu la même longueur à la maison pendant plusieurs années avant de découvrir qu’une verge grande ou petite vaux que par l’envie que met celui ou celle qui la possède.
Audrey, sers-toi de l’avantage que tu as d’être un peu mâle et femelle.
Hésitante au début, elle réussit à le faire coulisser en moi.
Peu de différence pour moi avec le petit moreau que mon ex m’enfilait il y a quelques semaines.
J’ai ses yeux dans les miens, je les vois chavirer preuve du plaisir qui va la submerger.
Je fais tout pour qu’elle y arrive.
Une simple main sur son sein, deux doigts qui lui prennent le téton, qui vont même jusqu'à le pincer sans lui faire énormément mal et j’avale littéralement ses cris avec ma bouche. Habitué a de petites pénétrations, malgré les verges énormes qui m’ont enfilé depuis quelques jours, son clito sur mon clito me fond de l’effet.
J’essaye de faire fonctionner mes muscles intimes comme Frédérique me l’a appris.
Le clito d’Audrey est juste enfoncé en moi pour qu’ils agissent efficacement sur le mien, mais ces petites pulsions que je nous donne nous apportent assez d’efficacité pour décupler le plaisir qui nous percute en même temps terminant une journée pleine d’évènements et d’amour.
Je me couche en entraînant Audrey dans mes bras.
Quelques minutes après je sens quelqu’un se coucher de l’autre côté de ma nouvelle petite maîtresse. Je me redresse et constate que Virginie vient de nous rejoindre.
Je repense à cette journée riche en événements ce qui retard mon sommeil.
Je sens Audrey quitter mes bras et rejoindre ceux de ma marraine.
Un petit besoin naturel m’oblige à m’isoler.
Dans le couloir je jette un œil dans la chambre d’Alain et Chantal.
Personne, je passe à la chambre voisine. Véronique, Marie-Ange, Valériane, Jacky et Christian sont en pleine action. Les filles sont en levrette, les deux hommes les labourent ardemment.
Valériane a l’air de beaucoup apprécier les coups de bite que le mari de Fabienne lui assène.
D’autant plus que Véronique libre s’est placée sous elle et qu’elle doit lui brouter le clitoris comme elle sait si bien le faire et que je viens de le faire avec Audrey.
Placé derrière eux, je m’éclipse discrètement et pousse la porte entrouverte de la chambre mitoyenne de la nôtre.
Trois personnes y sont couchées. Fabienne, Chantal et Yann. Ils dorment.
Bien qu’elle soit au repos sa verge reste impressionnante.
Elle attire irrémédiablement ma convoitise pour lui ferme prendre sa forme maximum mais restons sage, j’en ai déjà bien profité depuis qu’elle est arrivée.
Je décide d’aller voir ce qui se passe à l’étage supérieur. J’ouvre la porte discrètement, les deux jumelles sont avec Adonis. Il est couché et Aline le chevauche. Je vois la petite monter et descendre sur sa verge comme si elle faisait du cheval. Anne est derrière le couple et lèche ses couilles.
Je suis contente, les deux sœurs semblent savoir partager cette belle verge black même si les sentiments de l’une envers cet homme sont plus profonds que pour l’autre qui cherche seulement à en jouir.
Je bas en retraite, laissons mes petites s’amuser.
Une envie de boire un peu d’eau me fait rejoindre le rez-de-chaussée.
Un verre à la main, je passe sur la terrasse pour admirer la promenade et la plage la nuit.
• Bonsoir tu es encore debout.
Je sursaute, Johnny est allongé sur le transat qui sert de niche à Fabienne quand elle se fait punir près d’un petit lampadaire qui éclaire la terrasse.
• Toi aussi tu es réveillé.
• Bientôt mais une petite soif m’a fait descendre prendre un verre d’eau.
• Coco, tu veux t’asseoir quelques minutes ?
Il me montre le transat collé au sien.
Je m’allonge couchée sur le côté.
• Je suis insomniaque, je regardais les notes prises par Audrey en profitant du calme et la douceur de cette nuit d’août.
En parlant d’Audrey, comment va-t-elle, je vous ai vu partir ensemble ?
• Je viens de la laisser dans les bras de mon amie Virginie.
J’ai été très étonné de trouver une jeune fille si pure pour quelqu’un qui vit dans un milieu où tout est tentation !
• C’est pour cela qu’elle m’est bien précieuse, elle est très professionnelle et je peux compter sur elle à tout moment dans notre métier très exigeant tu verras demain.
J’espère que tu vas me la laisser.
• N’aie aucune crainte je risque simplement de la faire venir à notre institut de beauté pour la relocker légèrement.
• Et tu crois que le faîte de la féminiser est le gage qui va rassurer pour autant Coco !
• À mon tour si tu me le permets de te demander pourquoi appeler systématiquement les gens auxquels tu t’adresses Coco.
• Dans mon métier, il faut que tu saches le nombre de personnes que je côtoie.
Sauf les vieux et les vieilles Hardeurs et Hardeuses dont je connais les noms et prénoms, le monde du sexe va tellement vite qu’il m’est impossible de suivre.
Un jour j’ai interpellé une nouvelle actrice inconnue en l’appelant, Coco et depuis c’est devenu une habitude et presque a marque de fabrique.
Un éclat de rire ponctue cette déclaration mais pleine de bon sens quand je vois la vitesse ou mes fils voir mes hommes qui m’entour se mettent à jouer le jeu du tournage de mon film.
• Et toi, que fais-tu dans la vie et comment es-tu devenu propriétaire de cette magnifique villa ?
Je m’appelle Christine, j’ai vingt-six ans, je suis jolie femme, blonde, BCBG, mariée à Pierre de quatre ans mon aîné, pilote de ligne.
Je m’arrête là, inutile de recommencer tous les chapitres de ma vie.
J’en fais un résumé à notre ami. Il écoute estomaquer de l’évolution apportée à ma vie en si peu de temps.
• Tu étais un papillon que ton amie Virginie a fait sortir de sa chrysalide. Tout à l’heure il faudra que je la remercie de t’avoir fait prendre ton envole.
Tu as donc hérité de tes parents cette somptueuse maison qui va nous permettre de passer des moments agréables.
Tu m’as parlé de voyage avec Virginie, dans quel but ?
Comment vais-je lui dire, hormis notre travail à l’institut, que la plupart des filles qui sont ici outre qu’elles sont toutes mes amies et qu’elles travaillent parallèlement pour une organisation d’escorte girl.
Je lui explique que Virginie a été la première il y a quelques années à entrer dans le métier.
Elle m’a proposé de venir avec elle et c’est comme cela que j’ai débuté.
• Tu vois Johnny, j’aurais pu te raconter un joli comte, mais depuis que tu es arrivé, je sens un courant passer entre nous et je veux gagner ton amitié.
Nous sommes toutes fières du travail que nous effectuons avec des hommes aux quatre coins du monde. Nous sommes fières de l’argent que ces hommes nous donnent pour passer des soirées et des nuits de plaisir avec nous.
La première fois que j’ai fait l’amour avec un de ces hommes, j’ignorais qu’il allait partir en me laissant une liasse de billets. Au matin, j’ai dû reconnaître que j’étais devenu une pute mais depuis je l’assume.
• Merci Christine de ta franchise, je saurai en être digne.
Je comprends mieux la liberté sexuelle que votre groupe dégage. Dans le monde du hard, contrairement à vous, si vous dites que ce sont des putes mâles ou femelles et que moi je suis un maquereau qui les films, ils le prendront très mal, pour eux ce sont des acteurs qui ont le courage dans les scènes d’amour d’aller jusqu’au bout des actions sexuelles.
Christine il va être difficile que ce soit nous qui arrivions à trancher le débat.
• Tu as raison, j’ai encore quelques bonnes histoires à te raconter, mais je pense qu’il faut que je dorme pour être en forme demain.
• Tu as raison Coco Christine à demain.
Un nouveau rire, nous restons sur nos transats et je m’endors…
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