Femme BCBG, escorte, non, pute….(8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute….(8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute….(8)
Note du nègre : Afin de ne pas alourdir le texte, toutes les scènes de sexe sont toujours protégées par préservatifs.

Plusieurs jours sont passés depuis que je vous ai narré mes dernières aventures.
Aujourd’hui grand jour, la momie m'a fait parvenir la convocation au tribunal pour rendre effectif mon divorce.

J’arrive au tribunal accompagné de Virginie, Pierre est là en tenue de commandant de bord accompagné par Véronique sa maîtresse. Ses grands yeux verts me font craquer.

Comme la dernière fois, la juge nous reçoit, nous lie l’acte de divorce.

– Tout est-il en règle ?

Nous acceptons les termes tous les deux et nous signons notre séparation définitive.
Après avoir fait faire les photos copies, la secrétaire me donne les actes ainsi qu’un chèque substantiel.
Pierre pour solde de tout compte a largement augmenté la somme comme il était prévu avec madame le juge.

Tout est réglé, nous quittons le palais après avoir salué l’avocat. Sciemment j’oublie de saluer Pierre mais je lance un regard appuyé à sa copine. Rousse aux yeux verts, je me prends à rêver.

Pour clore cette semaine, lors de la dernière leçon de conduite, Stéphane m’a donné ma convocation.
Lundi je passe mon permis de conduire. J’ai passé le code avec succès il y a quelques jours.

Pendant les quelques jours amenant ces deux événements, le téléphone de Virginie reste muet. Nos escapades commencent à me manquer

Lors des dernières leçons de conduite, fidèle à la ligne que j’ai suivie avec Stéphane, je continue à l’allumer. Cet homme qui a une prestance qui doit lui permettre d’avoir de nombreuses conquêtes féminines, semble perdre tous ses moyens face à moi.

Nous avons reçu Aline la sœur jumelle d’Anne afin de mettre en place la continuité des fonctions que ma petite assurait pour nous. Anne vient avec sa fille jolie poupée comme sa maman.
Pendant que Virginie règle les problèmes j’emmène Sindy à la piscine. Je me mets en maillot de bain. Je la prends dans mes bras pour descendre les marches.
Alors que je la tiens contre moi, lorsqu’elle sent l’eau elle bas des jambes. Étonné, je la lâche et elle flotte sans problème. Anne passe à porter avec Virginie.

— Depuis quelques semaines je l’emmène à la piscine de Champigny au bébé nageur.

Je reste près d’elle dans l’eau pour que rien ne puisse lui arriver.
Je sors de l’eau et essuie le bébé. Je la place dans son parc.

Nous nous installons à la table et prenons toutes les quatre une orangeade.
Aline est aussi jolie que sa sœur.

— Pourquoi tes parents vous ont donné des prénoms francophones ?
— Dès notre naissance, la question s'est posé. Rapidement notre papa et notre maman sont tombé d’accord pour Anne et Aline afin d’éviter que nous ne subissions les moqueries à l’école avec des noms que nos copines ne connaîtraient pas.

Lundi midi, Véronique m’accompagne sur les lieux de l’examen de conduite.
La voiture n’est pas là, un élève passe son examen. Après s’être garé, il sort la mine déconfite, à l’arrière Stéphane n’a pas l’air content.
J’apprends plus tard que le jeune à pris un sens interdit. Chercher l’erreur.
L’examinateur me demande de m’installer. Je fais tout bien avant de démarrer.
J’ai ressorti un de mes tailleurs BCBG, afin d’éviter de provoquer la libido de l’examinateur.
Seule concession faite à ma condition actuelle je n’ai pas mis de culotte comme d’habitude.
Parcourt sans faute, je vois Stéphane sur le siège arrière dans le rétroviseur très satisfait. Je gare la voiture.

— Venez à ma portière !

Je descends sans oublier de donner un coup d’œil dans le rétroviseur.
Je contourne la voiture par l’arrière. Arriver à la hauteur de la portière la vitre est ouverte.

— Tenez. Vous l’avez mérité. Bonne conduite mademoiselle vous êtes reçu !

Je vois un papillon rose. De joie, je saute au cou de Virginie puis de Stéphane.
Comme d’habitude il devient tout rouge.

Virginie profite de notre présence près de l’institut pour mettre à jour des papiers demandés par l’administration.

— Tu m’attends, je vais faire une course.
— Je t’attends.

Je marche toute guillerette vers une adresse que je connais.
J’arrive à l’auto-école de Stéphane. Lorsqu’il me voit entrer, il est très étonné.
La clef est sur la porte, je la ferme, saisi Stéphane par la main et l’entraîne dans la salle diapo.
Je ne lui laisse pas le temps de se poser des questions, prestement je défais sa ceinture, m’agenouille tout en baisant son pantalon, je gobe sa verge.
Il est tellement stupéfié qu’une fraction de seconde j’ai peur qu’il ne bande bas.
La nature fait bien les choses, sa tige se redresse.
Je me relève, me retourne, soulève ma jupe, met une jambe sur le pupitre ou les premiers jours j’ai travaillé sur les diapos.
Stéphane semble émergé de sa torpeur, il me plante son pieu tout au fond de ma vulve.
La position que nous avons prise, me permet de sentir fortement les coups de pieux qu’il m’assène. Ma vulve éclate, mon clito fortement sollicité est tout ému. Je prends le bout de mes doigts, les passe dessus pour le masturber. Je jouis, il jouit, nous jouissons.
Je remets ma jambe au sol, remet ma jupe en place, et me retourne.

— Merci pour la préparation ! Tu as bien mérité de me défoncer la chatte après tous ce que je t’ai fait subir.
Je quitte la salle non sans remarquer sa verge qui a débandé.
J’ouvre la porte et retourne prestement retrouver ma grande salope.

Lorsque j’arrive, elle a terminé et nous pouvons entrer en banlieue.
Tout le long du chemin, je raconte la visite que j’ai faite à Stéphane pour le remercier de m’avoir préparé à avoir mon permis. Je lui donne tous les détails à la seconde près. Elle apprécie cette initiative.

Arrivée en haut de la côte de Champigny, elle arrête la voiture au garage ou elle a acheté sa mini. Je pense qu’elle a un problème avec son auto.
Elle me demande de l’accompagner, nous entrons dans le hall d’exposition, le vendeur vient à notre rencontre, me tend un jeu de clefs.
Étonné, Virginie me conduit près d’une minis cinq portes identiques à la sienne, noir avec toit blanc.

— Tien mon amour elle est à toi. Tu l’as bien mérité, tu m’as tellement apporté de satisfaction en quelques semaines, que tu mérites ce petit cadeau !
— Mon cœur je te prouverais que ton cadeau m'a été droit au cœur.

Virginie est venue, il y a trois jours régler toutes les formalités. Tout a été mis à mon nom, tout est en ordre, nous pouvons partir. Le vendeur sort la voiture du hall. Je m’installe, met le contact et suit Virginie un peu tremblante.

Nous arrivons au pavillon sans encombre, nous entrons et comme à notre habitude nous nous déshabillons. Je m’installe sur un transat, prend mon téléphone. J’appelle la météo pour avoir les prévisions du temps dimanche.
J’appelle Odile. Je lui donne la bonne nouvelle, et je les invite dimanche prochain à midi tous les deux. J’en fais de même avec Antoinette et son mari.
Puis-je termine par ma petite Anne qui est enchantée de passer cette journée tous ensemble.
Aline est chez elle, je lui demande de me la passer, je lui donne les directives pour les achats et la préparation au bord de la piscine le temps prévu, grand beau.

Le mardi j’emmène Virginie et Anne avec ma voiture, je me sens de plus en plus à l’aise au volant. Odile et Antoinette sont arrivées, elles viennent admirer mon bolide. La semaine se passe tranquillement jusqu’au vendredi.

Je demande aux filles de m’absenter ayant des courses à faire.
Je fais des boutiques de bonnes factures afin de trouver un cadeau pour dimanche à chacun de mes invités.
J’ai presque tout trouvé. Chaque fois je demande que soient livrer mes achats au pavillon le lendemain matin. Aline doit tous réceptionner.
Alors que vers onze heures, je sors d’une boutique, je vois passer sur le trottoir d’en face Pierre et Véronique.
Pourquoi, je décide de les suivre discrètement ?
Pierre est en tenue de pilote. N’ayant pas ses bagages, il ne revient pas de mission. Connaissant le monsieur, s’il est en tenue c’est qu’il va s’en aller.
Deux rues plus loin, ils entrent dans un immeuble de haut standing. Un café me permet d’observer sans être vue. Un taxi arrive et s’arrête, Véronique avance et parle au chauffeur. Deux minutes plus tard, Pierre sort avec sa valise. Ils s’embrassent. Rapidement et le taxi démarre.
Je pense que Véronique va remonter dans l’immeuble. Non elle part à l’opposer, je la suis. Que c’est existant ! Elle entre dans un bureau de poste et à travers la vitre je la voie acheter des timbres.
Lorsqu’elle ressort, je fais semblant de la tamponner sans la voir. Elle s’excuse et me reconnaît.
— Tiens, que faite vous ici ?
— Je suis venue acheter des enveloppes timbrées.
— Ça me fait plaisir de vous voir, nous ne nous connaissons pas et je le regrette !
J’aurais bien voulu m’excuser de vous avoir pris votre mari, mais lorsqu’il m’a séduite, il ne m’a pas dit être marié.
— Pierre est parti, il y a dix minutes, pour cinq jours, j’habite à deux pas, acceptes-tu de venir chez moi déjeuner ?

J’accepte de la suivre, est ce que sa crinière rousse et ses yeux verts m’attirent ?
Nous entrons dans le hall et nous prenons l’ascenseur. La cabine est si petite que pour entrer à deux, il faut que nous nous serrions très prêt l’une de l’autre.
L’odeur dégagée par cette magnifique rousse doit m’exciter car sans réfléchir, je lui mets la main derrière la nuque, l’attire à moi et lui prend goulûment la bouche.
Véronique une fraction de seconde à un léger retrait du corps. Mais elle aussi met sa main sur ma nuque et me rend m'ont baisé.

L’ascenseur s’arrête, sans nous lâcher nous sortons, elle sort de sa poche une clef. Elles entrent, toujours soudées l’une à l’autre, avec le pied elle claque la porte.
Nous tombons dans le vestibule. Une moquette épaisse nous reçoit. Je déchire son chemisier, sa poitrine m’apparaît nue.
Je quitte sa bouche pour gober ses seins.
Je les triture, les malaxe avec ma langue. Je les tète goulûment. Je me redresse, j’enlève mon chemisier et mon soutien-gorge. Je replonge sur sa bouche, son nez, ses yeux. Je lui mordille le lobe d’oreille, elle a l’air d’apprécier. Sa bouche émet des petits gémissements. J’enlève sa mini et arrache son string. Je suis à genoux au-dessus de cette femme que je devrais haïr.
Sa magnifique toison rousse, presque rouge m’attire, je plonge en avant et attaque avec ma bouche et un peu mes dents cette mangue juteuse. Ma langue pénètre ses lèvres intimes, son bassin a des mouvements incontrôlés. J’ai l’impression de chevaucher un mustang sauvage qui cherche à me désarçonner. Je ne veux pas être éjecté, je l’agrippe fortement et obtiens ce que je veux, elle explose de jouissance.
A-elle perdu connaissance ?
Pendant quelques secondes elle n’a plus aucune réaction. Ses yeux sont révulsés. Je m’allonge à ses côtés et lui reprends délicatement la bouche. Je la sens réagir et me rendre m'ont baisé.

— Viens !

Nous nous relevons, elle m’entraîne dans sa chambre. Je fais tomber ma jupe et nous roulons sur le lit. Je vais rechercher sa toison, elle en fait de même.
Nos langues se perdent sur nos clitoris. Lors de ma première étreinte au centre de son sexe, je n’ai pas eu le temps de remarquer son bijou au centre de sa toison.
Je sens qu’elle aussi embouche mon clito et mutuellement nous les suçons.
Nous explosons en même temps. Nous restons de longues minutes dans les bras l’une de l’autre.

Une pensée me vient, je viens de faire cocu celui qui m’a cocufié. Je suis dans son lit avec celle qui a permis de me cocufier.
Je ris...
Cela là réveil.

— Dit donc, nous étions venues manger ! Suis-moi.

Nous gagnons la cuisine dans le plus simple appareil. Le frigo nous permet de reprendre des forces.
Nous retournons au salon et nous assaillons face à face.

— Comment as-tu connu Pierre mon mari ?
— J’ai été affecté à son équipe car je suis hôtesse de l’air.
Je ne savais pas qu’il était marié. Nous avons fait quelques vols et rapidement je me suis aperçu de l’intérêt qu’il me portait. À Istanbul où nous faisions escale avec une nuit de repos, j’ai entendu frapper à ma porte. Sortant de mon bain, j’ai passé un peignoir et j’ai ouvert.
Pierre est devant moi lui aussi en peignoir et me demande d'entrer.
Pourquoi, ai-je accepté ?
Est-ce la séparation avec mon ex qui me pesait ?
Il m'a pris dans ses bras et nous nous sommes embrassé. Il m’a poussé vers le lit et ma mise nue.
Prestement il s’est couché sur moi et m’a pénétré. Un aller un retour et il a éjaculé. Je n’ai pas eu le temps d’avoir de sensation.
Il était content de lui et a glissé sur le coter.
Dans un geste tendre, j’ai mis ma tête sur son épaule et ma main sur son sexe, ce mouvement a eu l’air de l’étonné mais il s’est laissé faire.
J’ai avancé ma bouche pour le sucer afin de lui redonner de la vigueur.

— Oh ! Que fais-tu, on ne m'a jamais fait cela ?

Il bande, j’ai devant les yeux un sexe mini format.
Tu sais ce que l’on dit, il vaut mieux une petite vigoureuse qu’une grande fainéante.
Il s’est tourné pour me chevaucher. La position du missionnaire est celle où ma jouissance est la plus faible, je préfère être sur l’homme et m’enfiler le morceau de bas en haut.
Dans cette position mon clitoris est beaucoup mieux sollicité et ma jouissance plus forte.

— Tu as pu constater que sa taille ne doit pas être étrangère à ce phénomène.

Je le repousse.

— Mets-toi sur le dos !

Je le chevauche comme j’aime. Un aller un retour et je sens que c’est la panique en bas. Je me dégage, il me regarde fort étonné.

— Tu vas trop vite, calme-toi, tu a tout le temps.

Je l’emmanche de nouveau trois minutes plus tard, c’est la panique. Je sors de nouveau.

— Tu vas toujours aussi vite.

Sa réponse est stupéfiante pour moi.

— C’est la faute de ma femme !
— Tu es marié ?
— Oui.
— Pourquoi ne me l’a dit avant, je ne fais pas partie de ses femmes qui volent les maris.
— J’avais trop envie de toi.
— Et pourquoi c’est la faute de ta femme si tu vas aussi vite ?
— Lorsque je me suis marié, j’étais puceau. Notre nuit de noces a été pour moi la première fois.
Chaque fois que nous faisons l’amour, elle n’accepte que de se mettre sur le dos et d’attendre que je finisse avant de s’endormir.
Depuis six ans que je l’ai épousé, ma vie sexuelle est toujours la même. Elle ne prend aucune initiative.
Lorsque je t’ai vu, j’ai ressenti pour toi un élan que lorsque je t’ai rejoint ce soir, j’espérais concrétiser. Apprends-moi l’amour, je vais quitter ma femme si tu m’apportes ce qui manque à ma vie.
Cette position de victime, qu’il m'a vendue m'a ému car je me suis attelé à lui apporter les manques que tu n’avais pas su lui donner.
Je lui ai appris à me sucer le clito et tu as vu mes réactions lorsque l’on sait s’occuper de lui.
Je lui ai appris à me prendre en levrette.
Je lui ai appris à baiser assis face à face.
Je lui ai appris à me prendre lorsque je suis couché sur lui.
Et surtout, je lui ai appris à savoir à se maîtriser.
Tu vois avec de la patience j’ai su faire de lui malgré sa toute petite queue un amant à peu près satisfaisant.
Très fière où j’étais arrivée avec lui, je me suis persuadée que cette pauvre victime avait bien le droit au bonheur et mes réticences se sont envolées.

Ce récit dans un premier temps, me stupéfie.

— Veux-tu que je te donne ma version ?

Elle me prend dans ses bras.

— Raconte !

Je lui raconte ma vie sexuelle depuis ma jeunesse, mon mariage, jusqu’à l’annonce qu’il me quitte.
Lorsque j’arrive à la fin de mon récit, sa réaction me fait penser qu’elle accepte ma version.
Elle prend ma bouche, dans un baiser très tendre.
Comme nous sommes toujours nues, nous nous positionnons pour que nos clitoris se touchent, nous les frottons l’un contre l’autre, ils s’enflamment et nous aussi.
Nos esprits reviennent sur terre.

— Je suis sur mon amour que la réalité est plus prête de ta version que celle de Pierre. La sienne est cousue de fils blancs.
— Tu sais, il ne voulait pas que je travaille, car dans son milieu, l’éducation des fils inculque que la femme est là pour rester au foyer et s’occuper des enfants, même si comme moi je n’en avais pas.
— Tu as raison il m’a fortement suggéré de quitter mon emploi d’hôtesse.
Il me disait qu’il était là pour subvenir entièrement à mes besoins. Depuis quelques jours, je me pose la question si je ne vais pas lui préparer sa valise, la mettre devant la porte afin qu’il comprenne qu’entre eux tout est fini.

Je l’embrasse, et l’assure de mon soutien.

— Pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté entre nous, je vais te dire la vérité sur notre rencontre devant la poste. Je t’ai vu avec Pierre alors que je sortais d’un magasin prêt de chez vous. Comment j’ai vu le départ de ton amant !
Comment je t’ai suivi jusqu'à la poste !
Comment j’ai provoqué notre télescopage qui a permis notre rencontre !
Elle m’étreint, je sens que nous allons repartir dans des jeux érotiques.

— Arrête mon cœur mon amie Virginie doit se demander où je suis passé.
— C’est la très belle femme qui était au tribunal ?
— Oui, Virginie a su me tendre la main lorsque j’ai été largué. Elle m’a engagé à l’institut de beauté qu’elle a créé dans le quartier de l’Opéra.

J’omets bien sur de lui parler de nos petits voyages agrémentés d’extra lucratif.
Je lui parle d’Odile et d’Alain et des soirées ou j’ai en grande partie découvert l’érotisme et la sensualité.
Pour terminer, je lui parle d’Anne mon petit bébé que j’aime de tout mon cœur.

— La façon dont tu parles de l’une ou de l’autre avec tes yeux qui s’allument, me montre l’amour que tu leurs portes.
— Peux-tu venir ce soir, après ce que je viens de vivre, j’ai peur de rester seule ?
— Non, tu t’habile et je t’emmène à Chennevières pour te présenter à mes amies. Je vais demander à Anne qui vient d’être embaucher à l’institut si elle peut faire garder sa fille et venir nous rejoindre.
— Aucun problème j’accepte, je serais prête.

Je recherche mes affaires, veste, chemisier et le reste.
Habillée, je donne un baiser à ma nouvelle belle maîtresse.

— Tu n’as rien oublié me dit-elle ?
— Non pourquoi ?
— Ta petite culotte ?

J’éclate de rire et lui dis que grâce à Véronique j’ai définitivement abandonné ce bout de tissu même si celles elles sont en dentelle et affriolantes.

Je reprends le chemin de l’institut. Je donne des explications à Véronique très édulcorer, omettant de lui dire que j’ai trouvé Véronique et ce que nous avons fait.
Je veux lui faire la surprise ce soir. Je demande à Anne si elle peut se libérer.
Elle téléphone à sa sœur qui assure la garde de son enfant.

Après la fermeture, je reprends ma voiture, je prends le chemin du domicile de Véronique situé à quelques kilomètres de là.

— Tu te trompes de route, tu aurais dû tourner à gauche !
— J’ai une surprise à vous faire.
— Avec toi, je vais de surprise en surprise.

J’arrive devant l’immeuble, Véronique nous attend devant sa porte.

— Tien ce n’est pas la maîtresse de ton ex ?

Je n’ai pas le temps de répondre, Véronique avance vers la voiture que je viens d’arrêter. Je descends et l’embrasse.
J’ouvre la porte arrière pour qu’elle monte. Véronique ouvre la porte avant et viens plaquer deux, bises à Virginie.
Stupéfié, elle ne dit rien et lui rend ses baisers.
Je suis aux anges, c’est la première fois depuis que je la connais qu’elle est désarçonnée. Tout le monde est monté, je repars, dans la bonne direction.

— Je vous présente Véronique, maîtresse de mon ex-mari.

Rapidement j’explique à Virginie et Anne comment alors que je faisais des achats, j’ai croisé Pierre et Véronique, comment je les avais suivis.
Comment j’ai vu Pierre s’en aller et Véronique aller à la poste !
Comment je l’ai volontairement bousculée à sa sortie et comment nous nous étions retrouvées dans son appartement où nous sommes expliqués entre grandes personnes ! J’explique que nous avons comparé les évènements qui ont entraîné mon divorce. Nous avons pris conscience que Pierre mon ex l’a berné comme moi je l’ai été.
Et comment Véronique a pris la décision de quitter son amant dès son retour comme il l’a fait avec moi.

— Ne t’en fait par ses valises sont prêtes, depuis ton départ j’ai tout mis dedans. Lorsqu’il reviendra mardi matin, je les sortirais sur le palier, il comprendra. Je n’ai aucun problème, je suis propriétaire de mon appartement.

Le temps de toutes ces explications, nous sommes arrivées.
J’entre la voiture dans le garage.
Nous pénétrons dans la maison. Je passe dans ma chambre et enlève tous mes vêtements. Lorsque je fais retour au salon ces dames attendent, ma tenue les surprend. Cette stupeur est de courte durée, Virginie enlève un à un les siens. Alors que je m’attendais à ce qu’Anne soit la suivante, Véronique me surprend et prestement se trouve nue. Enfin Anne suit le mouvement et nous pouvons admirer quatre femmes toutes plus belles l’une que l’autre nue dans la pièce.
Virginie tien à faire visiter sa maison à notre nouvelle amie.

J’entraîne Anne vers la piscine où Aline a dressé la table du repas comme je le lui aie demandé. Nous plongeons et comme à notre habitude, nous entamons notre compétition. Je m’arrête sur les marches, mon bouchon refait un tour et termine dans mes bras.
Enfin, je prends sa bouche.
Enfin, je mange ses seins.
Enfin, je bois sa chatte.
Ma petite se pâme sous mes caresses.

— Est-ce que je peux te demander quelque chose ?
— Bien sûr mon cœur, je suis sur que je sais ce que tu vas me demander.
— As-tu fait l’amour avec Véronique ?

Je lui explique la partie de ma rencontre avec notre amie que je n’ai pas dite dans la voiture.

— Tu as eu raison, elle est tellement belle.

Le temps mis par Virginie et Véronique pour nous rejoindre, me paraît particulièrement longue.
Je sors de la piscine suivie de la poupée. Je prends une serviette et l’essuie intégralement. J’insiste sur son bouton qui apprécie.
Nous nous installons à table.
Vingt minutes plus tard elles arrivent les joues de Véronique sont très rouges.

— Plonge dans la piscine, ça va te rafraîchir ! Elle sait y faire ma copine ?

Elle rougit encore plus. Elle plonge suivi par ma marraine. Les deux nages l’une à la hauteur de l’autre. Elle semble apprécier la fraîcheur de l’eau sur leur peau nue.

Pendant ce temps, Anne et moi installons le repas. Aline nous a concocté un repas froid composé de salade et de fruit.
Mes deux amies sortent et se sèchent mutuellement. Je vois les mains de Virginie insister sur les parties intimes de la grande Véronique.
Nous passons à table. Véronique est admirative du jardin et de la piscine.

— Ton institué de beauté doit bien marcher pour que tu aies pu te payer une telle maison.

À ces paroles, nous nous regardons avec un sourire complice.

— Anne peux-tu faire un massage du corps à notre invitée.

Toujours partant ma puce étale une serviette au sol. Elle allonge Véronique sur le ventre pour commencer. Elle commence par un massage classique avec ses mains. N’ayant pas de crème de massage, elle se sert du flacon de crème solaire pour assouplir sa peau.
Petit à petit, son corps vient au contact de celui de la grande. Jusqu’à s’allonger intégralement sur elle et par des mouvements onduleux de ses seins, elle plonge notre ami dans proche du plaisir.
Elle la fait se retourner et recommence ses manœuvres cotés face.
La pression des seins sur ses seins lui procure de plus en plus de plaisir. Au bord de l’extase, elle lui saisit la tête et l’embrasse.
Je m’assieds près d’elles, ma main vient se poser sur l’entrejambe de Véronique, elle les écarte et je la pénètre avec mes doigts.
Avec mon autre main, je fais de même sur la petite.
Ses lèvres s’écartent, je plonge en elle, comme je sais qu’elle aime être fistée.
Ma main retrouve sa place au fond de sa vulve. Toutes les deux s’embrasent. Je me sépare de la vulve d’Anne.
La petite roule sur elle-même et plonge dans l’eau. J’étreins Véronique qui me remercie de la bonne soirée que nous lui offrons.
Elle plonge à son tour.
Je me rapproche de Virginie installé sur un transat. Discrètement je lui demande si la visite du pavillon surtout dans les chambres a été intéressante ?
Elle éclate de rire.

— J’ai simplement pu constater que la maîtresse de ton ex-mari a un tempérament de feu.

Les deux naïades sortent de l’eau.

— Véronique es-tu disponible dimanche car je fête avec des amis proches mon permis de conduire et la signature de mon divorce avec mon ex ?
— D’accord je peux venir sans problème.
Nous débarrassons les abords de la piscine. Virginie conduit Véronique dans sa couche, et moi mon petit brin de femme.

— Bonne nuit !

Les avis des lecteurs

Bonjour Chris,
Tout d'abord permettez moi de vous souhaiter une bonne et heureuse année 2015.
Je vient de dévorer les deux dernières parties de votre "BCBG..." et comme à chaque fois je suis non seulement sous le charme mais aussi toute retournée.
J'attends avec beaucoup d'impatience la suite



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