Femme BCBG, escorte, non, pute… (91)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (91)
Louis vient de passer l’anneau de ma copine et nous la présente nue sur le tourniquet.
Il ordonne à Jacqueline sa femme d’aller trouver 200 € en ville pour la punir du petit tour sans conséquence qu’elle nous a jouée cette après-midi à Royan.
Comme l’autre fois, nous la suivons à distance.
Quand nous la voyons passer sur la promenade, nous descendons les marches la marée étant basse.
Fréquemment elle se retourne nous cherchant du regard, si elle savait que nous sommes déjà à l’autre bout de la promenade ayant couru le long de l’eau et ayant remonté le sable sec avec plus de difficultés, nos chaussures à la main.
Nous la voyons passer vers la place du marché.
Une à deux fois elle accoste des hommes seuls et chaque fois nous voyons leur refus.
Le suivant à l’air d’être d’accord, mieux même, il se dirige vers le distributeur de billets et retire de l’argent.
Nous le voyant les tendre à Jacqueline et la prend par le bras pour la diriger derrière le marché couvert.
Je sais où ils vont, une amie de mes parents habitait en haut de la falaise qui nous surplombe et un chemin serpente entre les arbres.
Les téléphones chauffent et nous sommes en place avant eux.
À travers les branches nous le voyant la tirer par la laisse.
Dès qu’ils sont à couvert, il l’oblige à se baisser et à lui sortir sa queue.
Je suis derrière Louis qui regarde sa pute de femme emboucher l’inconnu.
Je peux dire la pute puisque nous l’avons vu prendre les billets.
Louis est tout tremblant, je le prends dans mes bras et l’embrasse dans la nuque, il tourne la tête et nos lèvres se trouvent.
En contrebas, la situation évolue, le mâle a profité largement de la bouche de la salope et tient à lui fourrer ou la chatte ou le cul.
Il la relève lui fait appuyer les mains sur l’arbre le plus proche.
L’imper gît au sol, elle est nue et la cambrure de ses reins appelle à la pénétration.
Il en profite au maximum, une pute draguant dans les rues de Saint-Palais doit être rare.
Son sexe doit remonter en elle car sa chute de rein se creuse au maximum que peut supporter son corps.
Il la laboure avec de grands coups de pine.
Son chant monte jusqu'à nous.
Ma chatte est trempée, il doit en être de même pour celles de toutes nos amies comme je les connais.
D’un coup ses coups s’accélèrent.
• Sale pute, tu en avais envie je vais t’en donner.
• Oui mon salop, tu me la mets aussi bien que mon mari bien que lui je l’aime.
Dans mes bras à ces mots, Louis manque de défaillir, je le soutiens un peu plus.
Dans le bas, l’homme arrive à ses fins.
• Tu diras à ton mari qu’il a la plus grande pute que j’ai connue.
Un grand « tien » ponctue le moment où il éclate dans la vulve de Jacqueline qui exprime un dernier râle de plaisir.
Louis m’échappe et descend vers sa femme.
Au bruit qu’il fait l’homme remonte son pantalon et file sans demander son reste.
Louis arrive près de Jacqueline et la reçoit dans ses bras.
Sans se souvenir que nous sommes tous là, il baisse son pantalon et fourre sa bite dans la grotte que l’homme vient de remplir de son sperme.
Attention nous avions bien vu le client de Jacqueline mettre une capote car sinon j’aurais arrêté le jeu, on peut s’amuser mais sans aucun risque pour notre santé.
Bien sûr le sexe qu’il met en elle lui est vierge de toute protection.
Ils se regardent dans les yeux car elle a tourné sa tête ses mains toujours appuyée à l’arbre et bien que je sois un peu éloigné, tout l’amour qu’ils se portent transparaît.
Nous les entourons et nous respectons ce moment d’intimité entre le couple, mais ses coups de ventre qui propulse sa verge en elle semblent à double effet, la faire jouir et aussi la punir d’avoir fait sa première passe.
Fabienne s’approche de notre amie et embrasse alternativement les deux amants car à ce moment du coït du couple ils ont dépassé le simple stade de mari et femme.
Le temps qu’il remplisse la chatte de sa femme qui nous fait une nouvelle fois entendre le son de sa voix, ils se rhabillent et nous remontons vers la plage.
• Je vous offre une sucette, j’ai de l’argent !
Cette plaisanterie de Jacqueline me met en joie, me montrant que j’ai bien fait de faire confiance à ce couple qui aspire à une vie nouvelle, avec moi et Valérie ils vont être servis.
Nous arrivons devant le confiseur, mandarine c’est le parfum que le confiseur travaille avant de faire des sucettes au Coca puis à la menthe, la liste des parfums du soir étant affiché car ils en ont une multitude.
Les morceaux de sucre chaud sont près d’être vendu.
Je suis resté en retrait avec Jacky et Aurélie.
Je vois un homme parler à Jacqueline, ostensiblement il l’interroge sur la laisse que Louis lui a laissée.
Le couple s’extrait de la masse de ceux qui attendent leur sucrerie.
Ils passent à mon côté, je sens la main de mon amie me glisser un papier dans la main.
Je regarde discrètement, c’est un des deux billets de cent euros qu’elle a gagnés avec son cul pour la première fois.
Je comprends que je dois payer, je donne le billet à Virginie pour qu’elle règle à ma place.
Jacky et Aurélie ont suivi le couple qui se dirige vers la plage, il remonte la rue qui les mène vers le port qu’ils connaissent très bien, leur amour ayant débuté en cet endroit.
Comme prévu, ils tournent à gauche et comme je l’ai dit tout à l’heure quand nous avons commencé à suivre Jacqueline de loin, la marée est basse.
Nous avançons prudemment et nous sommes au-dessus du petit port, l’homme est assis sur les marches la verge tendue vers la salope qui lui donne de grands coups de langue.
Je me loue d’avoir glissé dans la poche de notre pute plusieurs capotes car je vois qu’elle l’a capuchonnée.
Une présence derrière moi, Louis est là qui a le souffle court.
A-t-il couru ou le spectacle que sa femme lui offre de nouveau le suffoque.
• Mon pognon ?
• Continue ,je te payerai après.
• Pas de pognon pas de baise ?
Elle se relève prête à remonter.
• Attends, tient.
Il sort une liasse qu’elle attrape et mets dans la poche de l’imper qui est ouvert montrant son magnifique corps nue.
• Et que fais-tu, il y a plus de cinq cents euros.
• Je les vaux bien.
Elle recule et le reprend en bouche, le gland glisse impeccablement dans le fourreau que ses lèvres lui offrent.
Elle soulève sa robe qu’elle tient d’une main et de l’autre s’élevant d’une marche, elle glisse le chibre en elle.
Les mains sur ses épaules elle coulisse sur la verge.
Je fais attention à Louis, sa respiration est si courte que j’ai peur qu’il ne me fasse un arrêt cardiaque.
Jacqueline est efficace car l’homme pousse un cri en même temps qu’elle et éjacule dans sa corolle.
Comme dans le bois, Louis par rejoindre sa femme.
• C’est un piège, rends-moi une partie de mon argent.
Je descends rapidement jusqu’à eux.
• Tire-toi, tu viens de sauter une escorte girl, ses tarifs vont lui rapporter 2 à 3 000 € par soirée, tu t’en tires bien avec ce que tu as payé.
Tiens, voilà une pièce va t’acheter une sucette.
Voyant que nous l’entourons en nombre l’homme remonte sa culotte et part par la plage les marches du port étant infranchissable pour lui.
Au lieu de la prendre dans ses bras, Louis sort sa queue, courbe Jacqueline en avant, les mains sur les marches mouillées.
Une nouvelle fois, il pourfend le sexe de notre amie et en deux minutes sans attendre son plaisir lui envoient de longs jets de spermes qu’elle semble apprécier.
Notre soirée aura fait deux heureux, Jacqueline qui aura découvert une nouvelle facette de sa personnalité et Louis qui l’aura baisé deux fois découvrant lui aussi qu’il a la chance d’avoir une belle salope tous les jours dans son lit.
Nous rentrons par la plage et retrouvons la quiétude de notre terrasse.
Virginie nous attend, elle a loupé l’épisode du port étant resté pour payer les sucettes, elle fait monter Jacqueline sur le podium, elle lui a enlevé l’imper et se présente nue devant nous.
Je vois très nettement le sperme qui macule sa chatte celui de Louis bien sûr.
• Chérie, tu avais mission de nous rapporter deux cents euros après avoir levé un client, as-tu réussi ?
• Oui, j’ai même fait deux clients.
Lorsque je vous ai offert des sucettes, pour payer j’ai pris un de ces billets.
J’ai eu la crainte que vous me reprochez de vous amener qu’un billet. Lorsque l’homme ayant vu ma laisse m’a demandé à l’oreille si je baisais, comprenant que je t’étais soumise je lui ai dit que c’était deux cents. Interloqué il m’a dit,• D’accord suis-moi.
• Donc voici donc plein de billet car comme vous l’avez vu j’ai pris la liasse qu’il avait sortie de sa poche et Valérie doit avoir la monnaie de vos sucettes.
J’ai récupéré les billets que j’ai en main et comme une pluie de pétales de rose je les jette au-dessus de sa tête et ils tombent tous comme une pluie vers le sol.
Virginie en fait de même avec la monnaie et lui tend une sucette à la mandarine.
• Tu l’as bien mérité, je suis une grande cochonne, tu es arrivée à ma hauteur.
Tient donne l’argent à ton maître.
Nous récupérons tous les billets que je lui tends.
Louis s’avance et elle les remet tout en l’embrassant.
• Tu peux lui enlever la laisse et son collier et les remettre à Véronique.
Jacky absent depuis quelques minutes avec son amour revient…
Il ordonne à Jacqueline sa femme d’aller trouver 200 € en ville pour la punir du petit tour sans conséquence qu’elle nous a jouée cette après-midi à Royan.
Comme l’autre fois, nous la suivons à distance.
Quand nous la voyons passer sur la promenade, nous descendons les marches la marée étant basse.
Fréquemment elle se retourne nous cherchant du regard, si elle savait que nous sommes déjà à l’autre bout de la promenade ayant couru le long de l’eau et ayant remonté le sable sec avec plus de difficultés, nos chaussures à la main.
Nous la voyons passer vers la place du marché.
Une à deux fois elle accoste des hommes seuls et chaque fois nous voyons leur refus.
Le suivant à l’air d’être d’accord, mieux même, il se dirige vers le distributeur de billets et retire de l’argent.
Nous le voyant les tendre à Jacqueline et la prend par le bras pour la diriger derrière le marché couvert.
Je sais où ils vont, une amie de mes parents habitait en haut de la falaise qui nous surplombe et un chemin serpente entre les arbres.
Les téléphones chauffent et nous sommes en place avant eux.
À travers les branches nous le voyant la tirer par la laisse.
Dès qu’ils sont à couvert, il l’oblige à se baisser et à lui sortir sa queue.
Je suis derrière Louis qui regarde sa pute de femme emboucher l’inconnu.
Je peux dire la pute puisque nous l’avons vu prendre les billets.
Louis est tout tremblant, je le prends dans mes bras et l’embrasse dans la nuque, il tourne la tête et nos lèvres se trouvent.
En contrebas, la situation évolue, le mâle a profité largement de la bouche de la salope et tient à lui fourrer ou la chatte ou le cul.
Il la relève lui fait appuyer les mains sur l’arbre le plus proche.
L’imper gît au sol, elle est nue et la cambrure de ses reins appelle à la pénétration.
Il en profite au maximum, une pute draguant dans les rues de Saint-Palais doit être rare.
Son sexe doit remonter en elle car sa chute de rein se creuse au maximum que peut supporter son corps.
Il la laboure avec de grands coups de pine.
Son chant monte jusqu'à nous.
Ma chatte est trempée, il doit en être de même pour celles de toutes nos amies comme je les connais.
D’un coup ses coups s’accélèrent.
• Sale pute, tu en avais envie je vais t’en donner.
• Oui mon salop, tu me la mets aussi bien que mon mari bien que lui je l’aime.
Dans mes bras à ces mots, Louis manque de défaillir, je le soutiens un peu plus.
Dans le bas, l’homme arrive à ses fins.
• Tu diras à ton mari qu’il a la plus grande pute que j’ai connue.
Un grand « tien » ponctue le moment où il éclate dans la vulve de Jacqueline qui exprime un dernier râle de plaisir.
Louis m’échappe et descend vers sa femme.
Au bruit qu’il fait l’homme remonte son pantalon et file sans demander son reste.
Louis arrive près de Jacqueline et la reçoit dans ses bras.
Sans se souvenir que nous sommes tous là, il baisse son pantalon et fourre sa bite dans la grotte que l’homme vient de remplir de son sperme.
Attention nous avions bien vu le client de Jacqueline mettre une capote car sinon j’aurais arrêté le jeu, on peut s’amuser mais sans aucun risque pour notre santé.
Bien sûr le sexe qu’il met en elle lui est vierge de toute protection.
Ils se regardent dans les yeux car elle a tourné sa tête ses mains toujours appuyée à l’arbre et bien que je sois un peu éloigné, tout l’amour qu’ils se portent transparaît.
Nous les entourons et nous respectons ce moment d’intimité entre le couple, mais ses coups de ventre qui propulse sa verge en elle semblent à double effet, la faire jouir et aussi la punir d’avoir fait sa première passe.
Fabienne s’approche de notre amie et embrasse alternativement les deux amants car à ce moment du coït du couple ils ont dépassé le simple stade de mari et femme.
Le temps qu’il remplisse la chatte de sa femme qui nous fait une nouvelle fois entendre le son de sa voix, ils se rhabillent et nous remontons vers la plage.
• Je vous offre une sucette, j’ai de l’argent !
Cette plaisanterie de Jacqueline me met en joie, me montrant que j’ai bien fait de faire confiance à ce couple qui aspire à une vie nouvelle, avec moi et Valérie ils vont être servis.
Nous arrivons devant le confiseur, mandarine c’est le parfum que le confiseur travaille avant de faire des sucettes au Coca puis à la menthe, la liste des parfums du soir étant affiché car ils en ont une multitude.
Les morceaux de sucre chaud sont près d’être vendu.
Je suis resté en retrait avec Jacky et Aurélie.
Je vois un homme parler à Jacqueline, ostensiblement il l’interroge sur la laisse que Louis lui a laissée.
Le couple s’extrait de la masse de ceux qui attendent leur sucrerie.
Ils passent à mon côté, je sens la main de mon amie me glisser un papier dans la main.
Je regarde discrètement, c’est un des deux billets de cent euros qu’elle a gagnés avec son cul pour la première fois.
Je comprends que je dois payer, je donne le billet à Virginie pour qu’elle règle à ma place.
Jacky et Aurélie ont suivi le couple qui se dirige vers la plage, il remonte la rue qui les mène vers le port qu’ils connaissent très bien, leur amour ayant débuté en cet endroit.
Comme prévu, ils tournent à gauche et comme je l’ai dit tout à l’heure quand nous avons commencé à suivre Jacqueline de loin, la marée est basse.
Nous avançons prudemment et nous sommes au-dessus du petit port, l’homme est assis sur les marches la verge tendue vers la salope qui lui donne de grands coups de langue.
Je me loue d’avoir glissé dans la poche de notre pute plusieurs capotes car je vois qu’elle l’a capuchonnée.
Une présence derrière moi, Louis est là qui a le souffle court.
A-t-il couru ou le spectacle que sa femme lui offre de nouveau le suffoque.
• Mon pognon ?
• Continue ,je te payerai après.
• Pas de pognon pas de baise ?
Elle se relève prête à remonter.
• Attends, tient.
Il sort une liasse qu’elle attrape et mets dans la poche de l’imper qui est ouvert montrant son magnifique corps nue.
• Et que fais-tu, il y a plus de cinq cents euros.
• Je les vaux bien.
Elle recule et le reprend en bouche, le gland glisse impeccablement dans le fourreau que ses lèvres lui offrent.
Elle soulève sa robe qu’elle tient d’une main et de l’autre s’élevant d’une marche, elle glisse le chibre en elle.
Les mains sur ses épaules elle coulisse sur la verge.
Je fais attention à Louis, sa respiration est si courte que j’ai peur qu’il ne me fasse un arrêt cardiaque.
Jacqueline est efficace car l’homme pousse un cri en même temps qu’elle et éjacule dans sa corolle.
Comme dans le bois, Louis par rejoindre sa femme.
• C’est un piège, rends-moi une partie de mon argent.
Je descends rapidement jusqu’à eux.
• Tire-toi, tu viens de sauter une escorte girl, ses tarifs vont lui rapporter 2 à 3 000 € par soirée, tu t’en tires bien avec ce que tu as payé.
Tiens, voilà une pièce va t’acheter une sucette.
Voyant que nous l’entourons en nombre l’homme remonte sa culotte et part par la plage les marches du port étant infranchissable pour lui.
Au lieu de la prendre dans ses bras, Louis sort sa queue, courbe Jacqueline en avant, les mains sur les marches mouillées.
Une nouvelle fois, il pourfend le sexe de notre amie et en deux minutes sans attendre son plaisir lui envoient de longs jets de spermes qu’elle semble apprécier.
Notre soirée aura fait deux heureux, Jacqueline qui aura découvert une nouvelle facette de sa personnalité et Louis qui l’aura baisé deux fois découvrant lui aussi qu’il a la chance d’avoir une belle salope tous les jours dans son lit.
Nous rentrons par la plage et retrouvons la quiétude de notre terrasse.
Virginie nous attend, elle a loupé l’épisode du port étant resté pour payer les sucettes, elle fait monter Jacqueline sur le podium, elle lui a enlevé l’imper et se présente nue devant nous.
Je vois très nettement le sperme qui macule sa chatte celui de Louis bien sûr.
• Chérie, tu avais mission de nous rapporter deux cents euros après avoir levé un client, as-tu réussi ?
• Oui, j’ai même fait deux clients.
Lorsque je vous ai offert des sucettes, pour payer j’ai pris un de ces billets.
J’ai eu la crainte que vous me reprochez de vous amener qu’un billet. Lorsque l’homme ayant vu ma laisse m’a demandé à l’oreille si je baisais, comprenant que je t’étais soumise je lui ai dit que c’était deux cents. Interloqué il m’a dit,• D’accord suis-moi.
• Donc voici donc plein de billet car comme vous l’avez vu j’ai pris la liasse qu’il avait sortie de sa poche et Valérie doit avoir la monnaie de vos sucettes.
J’ai récupéré les billets que j’ai en main et comme une pluie de pétales de rose je les jette au-dessus de sa tête et ils tombent tous comme une pluie vers le sol.
Virginie en fait de même avec la monnaie et lui tend une sucette à la mandarine.
• Tu l’as bien mérité, je suis une grande cochonne, tu es arrivée à ma hauteur.
Tient donne l’argent à ton maître.
Nous récupérons tous les billets que je lui tends.
Louis s’avance et elle les remet tout en l’embrassant.
• Tu peux lui enlever la laisse et son collier et les remettre à Véronique.
Jacky absent depuis quelques minutes avec son amour revient…
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