Femme BCBG, escorte, non, pute… (99)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (99)
Nous sommes de retour vers ma villa après avoir passé la soirée en mode escorte à Bordeaux pour Carl qui organisait un congrès.
Nous roulions quand une idée me vient aux abords de Saujon.
J’envoie un SMS pour demander à toutes les voitures d’arrêter derrière notre voiture.
Lorsque tout le monde est regroupé face à une petite impasse, je leur propose d’aller prendre un café.
• Christine pourquoi ici ?
• Fait moi confiance on va s’amuser.
Marie-Ange et Valériane tiennent à rester avec leur copine qui n’a toujours pas émergé.
Nous nous engageons dans l’impasse et j’entre dans le bar, le patron est seul derrière.
Nous réunissons des tables pour tous s’installer, le patron s’approche flairant la recette exceptionnelle jusqu’à ce qu’il reconnaisse Océane assise à côté de moi. La peur apparaît sur son visage.
Il prend quand même les commandes et retourne derrière son bar.
Assez fort, pour qu’il entende.
• Georges, suis-moi avec ta pute dans la cour arrière avec tous nos hommes vous allez lui donner le plaisir qu’elle a aimé prendre dans ce réduit.
Océane, c’est un acte purificateur pour toi car à partir de ce matin, tu as compris que l’on pouvait avoir du plaisir en couple tout en pouvant en vivre grâce à l’organisation.
Océane se lève et prend la direction de ce réduit avec Georges qu’elle tient par la main ou les camionneurs ont failli faire basculer sa vie du côté obscure de ce que le sexe peut apporter.
Tous les hommes la suivent.
Je me lève, passe près de la porte du bar que je condamne avant de rejoindre nos amis.
Le patron qui prépare la commande semble K.O. et doit se demander ce qui va lui arriver.
• Je reviens, je vais m’occuper de mon amie.
Ces mots prononcés sur un ton monocorde et plein de sous-entendu doivent l’angoisser un peu plus surtout qu’il a eu le malheur d’être seul dans son bar quand nous sommes entrés et depuis que la porte est fermée.
J’entre dans la cour où Océane a bien compris quel symbole j’ai voulu pour elle en la faisant entrer dans ce bout du monde avec tous nos hommes.
Elle est déjà agenouillée et un de mes amis qui m’est caché est déjà dans sa bouche.
J’approche et c’est Christian qui finit sa prestation en éjaculant sur la figure que notre amie lui présente.
Déjà une deuxième bite se présente mais là aucun problème elle la connaît déjà Adonis avec son sexe noir entre en elle.
Je laisse nos amis purifier la petite sous le regard de Georges qui semble être serein.
Il doit apprécier tous les efforts que j’ai faits pour remettre leur couple dans le droit chemin et lui montrer qu’une femme a des fantasmes qu’il faut savoir découvrir sinon c’est seule qu’elle va essayer de les assouvir.
J’ai une pensée pour Lison qui a su profiter de la présence d’Adonis pour les assouvir profitant de l’absence de Guy et de la présence d’Adonis.
Adonis qui avec sa verge noire est souvent à leur centre car nombre de mes congénères rêve secrètement de cette couleur et surtout de la réputation de verge énorme que la rumeur publique a su diffuser.
La porte du réduit passée, j’arrive derrière le bar et m’approche du patron qui prépare des cafés.
Je fais un signe aux filles qui attendent sagement pour qu’elles s’approchent.
Le nombre que nous sommes l’empêche de se rebeller.
Je me place devant lui et lui prends la bite à pleines mains à travers son jean.
• Tu voulais prostituer ma copine.
Il commence à bégayer mais une pression sur son sexe lui fait retrouver sa voix.
• Quand votre copine est venue seule dans mon bar et qu’elle était prête à se faire prendre par tous les sexes qui étaient à sa portée, j’ai vu l’intérêt que je pouvais en tirer dans ce bar mal placé pour le grand public mais assez retirer pour ce genre d’activité pendant un temps mesuré.
• Et toi, as-tu envies d’une pute ?
La pression exercée sur sa verge lui fait de l’effet car je la sens prendre de l’ampleur dans son pantalon.
Sans attendre sa réponse, je défais son ceinturon et sors sa tige qui méritait bien ma visite.
Je m’agenouille et la gobe intégralement, je constate qu’elle aime que je la suce, la branle, il faut que j’évite qu’elle n’éjacule.
Je me relève, soulève simplement ma mini, je m’appuie sur le zinc un peu froid et faisant bouger ma croupe.
Je lui intime l’ordre.
• Enfile-moi et fait moi jouir !
Le plus drôle alors que je me fais pénétrer par sa verge, c’est de voir la tête des filles qui sont scotchées sur notre couple, j’en entrevois même qui ont des regards d’envie à quelques centimètres de moi.
À un moment Fabienne se dirige vers la porte, sans savoir laquelle elle ouvre, connaissant la cochonne que j’ai su réveiller, elle a dû ouvrir celle qui mène à un bouquet de verges.
Derrière moi tout s’accélère, je bloque son chibre avec mon intimité, l’obligeant à se calmer.
Quand j’obtiens ce que je veux, comme à mon habitude avec certains de mes clients qui aiment recevoir des ordres tranchés.
• Encule-moi fumier, je vais te faire voir ce qu’est une vraie pute.
Il investit ma rondelle sans se faire prier.
Sa charge est puissante surtout quand ses bras musclés sortants de son marcel me prennent les hanches pour accentuer ses mouvements de piston en moi.
Il sait y faire le salop et je suis sûr que si Océane avait accepté de monter à l’étage il en aurait certainement profité en plus de l’argent qu’il aurait amassé en vendant son petit cul.
• Oui, c’est bien mon grand, fais-moi jouir car je suis une pute qui jouit, tu sais te servir de ta verge et je suis satisfait de toi, continu encore quelques coups et je vais jouir.
Dans la salle un par un nos hommes reviennent.
Quand Océane sort accompagnée de Fabienne qui a toujours sa jupe relevée me montrant une nouvelle fois sa chatte.
Georges soutient sa femme par le bras.
Le sexe toujours en mouvement en moi finit par m’envoyer ses giclées au fond de mon fondement.
En me retournant et en rajustant ma jupe, je sors un billet de cent euros que je lui place dans la poche de chemise.
• La pute c’est toi !
Océane passe derrière le bar avec moi.
Elle s’exécute confiante en moi.
• Tu voulais en faire une pute, elle est à toi.
• Elle a du sperme partout c’est dégueulasse.
• Si elle était montée dans les pièces au-dessus je suis sûr que tu l’aurais baisé sans te poser de questions.
Je vois un couteau pour couper les citrons.
• Baise là sinon je t’émascule.
Il s’approche et Océane se place le cul sur le comptoir, il l’a saisi par les hanches et l’embroche.
Il va et vient sans conviction.
Je passe derrière lui et ouvre le tiroir-caisse.
Pour un café travaillant mal quelques billets de 100 € ainsi que des 50 tapissent sa caisse je les prends en main sans oublier les 20 et 10.
Il éjacule sans qu’elle ait joui.
• Tu vois barman, les vraies putes se font baiser sans jouir, c’est le cas de notre amie, tient ma belle voici le prix de ton labeur.
Dis donc où sont les 100 € que je viens de te donner, ma copine est la reine des putes en rapport de toi, donne lui.
Il met la main à la poche de sa chemise et sort l’argent qu’il lui donne piteusement.
• Tu peux nous servir, attention j’aime le café chaud.
Il recommence ses cafés et les deux chocolats qui ont refroidi pendant notre partie de jambes en l’air.
Il vient nous servir en évitant mon regard et celui d’Océane.
Elle me prend dans ses bras les mains chargées des billets qu’elle a bien gagnés au fil de ses venues ici.
• Merci !
Nos consommations ingurgitées nous sortons en oubliant de payer bien sûr.
Je sors la dernière et le regardant dans les yeux.
• A bientôt.
Virginie me tend ses clefs.
• Christine emmène les filles à la villa pour que Véronique se repose. Océane tient à me faire visiter sa maison et prendre une douche, retourne avec tous les autres chez nous !
Elle referme sa portière et ils passent devant nous en nous faisant un signe d’amitié.
Je prends le chemin de la villa.
Nous arrivons devant le portail, tout est calme, seuls les deux campings cars abandonnés par leurs propriétaires me rappellent le chemin parcouru pendant leurs vacances par chacun d’entre eux.
Quand ils ont tourné la clef de contact en région parisienne ils devaient être loin de penser qu’ils deviendraient ce qu’ils sont tous devenus hier au soir et dans la nuit dans cet hôtel de Bordeaux.
Dans les heures prochaines il faut que je fasse attention qu’aucun d’entre eux ne ressente un malaise à ce qu’ils ont accepté de faire pour de l’argent.
Devenir un ou une escorte peut sembler facile à accepter dans un premier temps mais si moi ma marraine m’avait livré à moi-même le matin où j’ai découvert des billets sur ma table de nuit pensant que j’avais simplement cédé à l’attrait du sexe de cet homme avec qui j’avais passé la soirée.
Je me souviens que ce soir-là, j’étais persuadée qu’il me suffisait d’être belle à son bras pour le repas et le concert où nous sommes rendus avant qu’en acceptant de me rendre dans son lit pour écarter les cuisses et lui donner mon sexe par simple envie, je franchisse l’étape qui faisait de moi la pute que j’accepte d’être aujourd’hui.
Quand ils reprendront la route, reviendront-ils à la même route que celle qui leur était tracée en arrivant à Saint-Palais où continueront à prendre la route des plaisirs que Valérie et moi leur avons fait connaître ?
J’aide les filles à descendre Véronique et à l’emmener vers une chaise longue sur la terrasse.
Elle consent à descendre de la voiture sans vraiment ouvrir les yeux.
Dès qu’elle est allongée, elle replonge dans un sommeil profond.
Tout le long de son déplacement elle tient ses enveloppes sur ces seins qui sont toujours aussi beaux.
Le manque de mouvement m’intrigue, je grimpe à l’étage.
Personne dans trois des chambres sauf dans la mienne où Katia endormi avec Sindy dans son bras ne me présente son visage d’ange.
Le bas de son corps est dénudé et la vue de son abricot vierge me trouble.
La position dans laquelle le sommeil la surprit n’a aucune équivoque sur ce qu’elle faisait avec le vibro rotatif que je lui ai offert et qui est dans sa main lui interdisant toutes pénétrations…
Nous roulions quand une idée me vient aux abords de Saujon.
J’envoie un SMS pour demander à toutes les voitures d’arrêter derrière notre voiture.
Lorsque tout le monde est regroupé face à une petite impasse, je leur propose d’aller prendre un café.
• Christine pourquoi ici ?
• Fait moi confiance on va s’amuser.
Marie-Ange et Valériane tiennent à rester avec leur copine qui n’a toujours pas émergé.
Nous nous engageons dans l’impasse et j’entre dans le bar, le patron est seul derrière.
Nous réunissons des tables pour tous s’installer, le patron s’approche flairant la recette exceptionnelle jusqu’à ce qu’il reconnaisse Océane assise à côté de moi. La peur apparaît sur son visage.
Il prend quand même les commandes et retourne derrière son bar.
Assez fort, pour qu’il entende.
• Georges, suis-moi avec ta pute dans la cour arrière avec tous nos hommes vous allez lui donner le plaisir qu’elle a aimé prendre dans ce réduit.
Océane, c’est un acte purificateur pour toi car à partir de ce matin, tu as compris que l’on pouvait avoir du plaisir en couple tout en pouvant en vivre grâce à l’organisation.
Océane se lève et prend la direction de ce réduit avec Georges qu’elle tient par la main ou les camionneurs ont failli faire basculer sa vie du côté obscure de ce que le sexe peut apporter.
Tous les hommes la suivent.
Je me lève, passe près de la porte du bar que je condamne avant de rejoindre nos amis.
Le patron qui prépare la commande semble K.O. et doit se demander ce qui va lui arriver.
• Je reviens, je vais m’occuper de mon amie.
Ces mots prononcés sur un ton monocorde et plein de sous-entendu doivent l’angoisser un peu plus surtout qu’il a eu le malheur d’être seul dans son bar quand nous sommes entrés et depuis que la porte est fermée.
J’entre dans la cour où Océane a bien compris quel symbole j’ai voulu pour elle en la faisant entrer dans ce bout du monde avec tous nos hommes.
Elle est déjà agenouillée et un de mes amis qui m’est caché est déjà dans sa bouche.
J’approche et c’est Christian qui finit sa prestation en éjaculant sur la figure que notre amie lui présente.
Déjà une deuxième bite se présente mais là aucun problème elle la connaît déjà Adonis avec son sexe noir entre en elle.
Je laisse nos amis purifier la petite sous le regard de Georges qui semble être serein.
Il doit apprécier tous les efforts que j’ai faits pour remettre leur couple dans le droit chemin et lui montrer qu’une femme a des fantasmes qu’il faut savoir découvrir sinon c’est seule qu’elle va essayer de les assouvir.
J’ai une pensée pour Lison qui a su profiter de la présence d’Adonis pour les assouvir profitant de l’absence de Guy et de la présence d’Adonis.
Adonis qui avec sa verge noire est souvent à leur centre car nombre de mes congénères rêve secrètement de cette couleur et surtout de la réputation de verge énorme que la rumeur publique a su diffuser.
La porte du réduit passée, j’arrive derrière le bar et m’approche du patron qui prépare des cafés.
Je fais un signe aux filles qui attendent sagement pour qu’elles s’approchent.
Le nombre que nous sommes l’empêche de se rebeller.
Je me place devant lui et lui prends la bite à pleines mains à travers son jean.
• Tu voulais prostituer ma copine.
Il commence à bégayer mais une pression sur son sexe lui fait retrouver sa voix.
• Quand votre copine est venue seule dans mon bar et qu’elle était prête à se faire prendre par tous les sexes qui étaient à sa portée, j’ai vu l’intérêt que je pouvais en tirer dans ce bar mal placé pour le grand public mais assez retirer pour ce genre d’activité pendant un temps mesuré.
• Et toi, as-tu envies d’une pute ?
La pression exercée sur sa verge lui fait de l’effet car je la sens prendre de l’ampleur dans son pantalon.
Sans attendre sa réponse, je défais son ceinturon et sors sa tige qui méritait bien ma visite.
Je m’agenouille et la gobe intégralement, je constate qu’elle aime que je la suce, la branle, il faut que j’évite qu’elle n’éjacule.
Je me relève, soulève simplement ma mini, je m’appuie sur le zinc un peu froid et faisant bouger ma croupe.
Je lui intime l’ordre.
• Enfile-moi et fait moi jouir !
Le plus drôle alors que je me fais pénétrer par sa verge, c’est de voir la tête des filles qui sont scotchées sur notre couple, j’en entrevois même qui ont des regards d’envie à quelques centimètres de moi.
À un moment Fabienne se dirige vers la porte, sans savoir laquelle elle ouvre, connaissant la cochonne que j’ai su réveiller, elle a dû ouvrir celle qui mène à un bouquet de verges.
Derrière moi tout s’accélère, je bloque son chibre avec mon intimité, l’obligeant à se calmer.
Quand j’obtiens ce que je veux, comme à mon habitude avec certains de mes clients qui aiment recevoir des ordres tranchés.
• Encule-moi fumier, je vais te faire voir ce qu’est une vraie pute.
Il investit ma rondelle sans se faire prier.
Sa charge est puissante surtout quand ses bras musclés sortants de son marcel me prennent les hanches pour accentuer ses mouvements de piston en moi.
Il sait y faire le salop et je suis sûr que si Océane avait accepté de monter à l’étage il en aurait certainement profité en plus de l’argent qu’il aurait amassé en vendant son petit cul.
• Oui, c’est bien mon grand, fais-moi jouir car je suis une pute qui jouit, tu sais te servir de ta verge et je suis satisfait de toi, continu encore quelques coups et je vais jouir.
Dans la salle un par un nos hommes reviennent.
Quand Océane sort accompagnée de Fabienne qui a toujours sa jupe relevée me montrant une nouvelle fois sa chatte.
Georges soutient sa femme par le bras.
Le sexe toujours en mouvement en moi finit par m’envoyer ses giclées au fond de mon fondement.
En me retournant et en rajustant ma jupe, je sors un billet de cent euros que je lui place dans la poche de chemise.
• La pute c’est toi !
Océane passe derrière le bar avec moi.
Elle s’exécute confiante en moi.
• Tu voulais en faire une pute, elle est à toi.
• Elle a du sperme partout c’est dégueulasse.
• Si elle était montée dans les pièces au-dessus je suis sûr que tu l’aurais baisé sans te poser de questions.
Je vois un couteau pour couper les citrons.
• Baise là sinon je t’émascule.
Il s’approche et Océane se place le cul sur le comptoir, il l’a saisi par les hanches et l’embroche.
Il va et vient sans conviction.
Je passe derrière lui et ouvre le tiroir-caisse.
Pour un café travaillant mal quelques billets de 100 € ainsi que des 50 tapissent sa caisse je les prends en main sans oublier les 20 et 10.
Il éjacule sans qu’elle ait joui.
• Tu vois barman, les vraies putes se font baiser sans jouir, c’est le cas de notre amie, tient ma belle voici le prix de ton labeur.
Dis donc où sont les 100 € que je viens de te donner, ma copine est la reine des putes en rapport de toi, donne lui.
Il met la main à la poche de sa chemise et sort l’argent qu’il lui donne piteusement.
• Tu peux nous servir, attention j’aime le café chaud.
Il recommence ses cafés et les deux chocolats qui ont refroidi pendant notre partie de jambes en l’air.
Il vient nous servir en évitant mon regard et celui d’Océane.
Elle me prend dans ses bras les mains chargées des billets qu’elle a bien gagnés au fil de ses venues ici.
• Merci !
Nos consommations ingurgitées nous sortons en oubliant de payer bien sûr.
Je sors la dernière et le regardant dans les yeux.
• A bientôt.
Virginie me tend ses clefs.
• Christine emmène les filles à la villa pour que Véronique se repose. Océane tient à me faire visiter sa maison et prendre une douche, retourne avec tous les autres chez nous !
Elle referme sa portière et ils passent devant nous en nous faisant un signe d’amitié.
Je prends le chemin de la villa.
Nous arrivons devant le portail, tout est calme, seuls les deux campings cars abandonnés par leurs propriétaires me rappellent le chemin parcouru pendant leurs vacances par chacun d’entre eux.
Quand ils ont tourné la clef de contact en région parisienne ils devaient être loin de penser qu’ils deviendraient ce qu’ils sont tous devenus hier au soir et dans la nuit dans cet hôtel de Bordeaux.
Dans les heures prochaines il faut que je fasse attention qu’aucun d’entre eux ne ressente un malaise à ce qu’ils ont accepté de faire pour de l’argent.
Devenir un ou une escorte peut sembler facile à accepter dans un premier temps mais si moi ma marraine m’avait livré à moi-même le matin où j’ai découvert des billets sur ma table de nuit pensant que j’avais simplement cédé à l’attrait du sexe de cet homme avec qui j’avais passé la soirée.
Je me souviens que ce soir-là, j’étais persuadée qu’il me suffisait d’être belle à son bras pour le repas et le concert où nous sommes rendus avant qu’en acceptant de me rendre dans son lit pour écarter les cuisses et lui donner mon sexe par simple envie, je franchisse l’étape qui faisait de moi la pute que j’accepte d’être aujourd’hui.
Quand ils reprendront la route, reviendront-ils à la même route que celle qui leur était tracée en arrivant à Saint-Palais où continueront à prendre la route des plaisirs que Valérie et moi leur avons fait connaître ?
J’aide les filles à descendre Véronique et à l’emmener vers une chaise longue sur la terrasse.
Elle consent à descendre de la voiture sans vraiment ouvrir les yeux.
Dès qu’elle est allongée, elle replonge dans un sommeil profond.
Tout le long de son déplacement elle tient ses enveloppes sur ces seins qui sont toujours aussi beaux.
Le manque de mouvement m’intrigue, je grimpe à l’étage.
Personne dans trois des chambres sauf dans la mienne où Katia endormi avec Sindy dans son bras ne me présente son visage d’ange.
Le bas de son corps est dénudé et la vue de son abricot vierge me trouble.
La position dans laquelle le sommeil la surprit n’a aucune équivoque sur ce qu’elle faisait avec le vibro rotatif que je lui ai offert et qui est dans sa main lui interdisant toutes pénétrations…
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