HÉTÉROS ABUSÉS (2)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : HÉTÉROS ABUSÉS  (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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HÉTÉROS ABUSÉS (2)
PAPA PASSIF.
Je décide de me rendre à la piscine de ma ville la semaine suivante, même jour mais à une heure de la fermeture. Je sais qu'il y aura moins de monde. Ce sera plus facile pour me lever un hétéro.

Je me change dans les vestiaires. J'ai opté pour un maillot de bain rouge vif qui moule bien mon service trois pièces.

Lorsque je pénètre dans l'espace piscine, j'ai l'heureuse surprise de tomber sur mon allumeur de maître-nageur et sur mon petit papa qui joue avec son fiston. Il ne m'a pas encore capté. Je m'installe au fond du bassin, au même endroit où j'ai joui mercredi dernier, et j'attends. Il ne met pas longtemps à me reconnaître. Il rougit. Soudain, ses jeux avec son fils ne l'intéressent plus. Il préférerait jouer avec ma queue. Je l'entends appeler sa femme. Elle se charge de leur progéniture pendant que lui, entreprend quelques longueurs. Il vient se caler face à moi. Il est beaucoup moins timide qu'il y a sept jours. Il me salue de la tête puis plonge directement sa main dans mon maillot. Ben dis donc, en une semaine, il en a fait des progrès, mon jeune papa. Il me malaxe la tige comme un pro. On dirait qu'il a fait ça toute sa vie. Je suis obligé de calmer ses ardeurs. On est moins nombreux dans l'eau à cette heure-ci, quelqu'un pourrait nous repérer. Je pense soudain au maître-nageur. Je lève les yeux dans sa direction. Il nous mate sans retenue. Il voit très bien ce qui se passe depuis sa chaise, mais il ne dit rien. Mieux, je le vois se caresser discrètement. Qu'il en profite bien car aujourd'hui, je ne lui donnerai pas le spectacle de mon sperme dérivant dans la piscine. J'ai d'autres projets pour mon joli papa. Je me retourne vers lui et chuchote quelques mots à son oreille. Il acquiesce du menton avant de sortir du grand bassin et prendre la direction des douches.

Je sors à mon tour et me dirige vers les vestiaires, le corps ruisselant d'eau. Je vois bien les regards envieux des nageurs se tourner vers moi. Majoritairement des filles, quelques mecs aussi... mais ce n'est pas eux que j'ai en tête pour l'heure. Aujourd'hui, je vais taper dans le fond d'un jeune trentenaire marié.

Je passe devant mon beau maître-nageur. Il est dépité. Il fondait tellement d'espoirs sur nos ébats aquatiques. Il aimerait bien nous rejoindre mais il est en plein taf. Il ne peut pas abandonner sa surveillance.

Je longe le couloir avant de me glisser dans les douches communes. L'ambiance est bien plus tamisée et humide. L'architecture carrelée produit des sons résonnants et moites très évocateurs de mes idées salaces. Je repère mon jeune papa qui se douche dans le coin le plus reculé. Il me tourne le dos. Je m'installe à côté de lui et lui malaxe le cul. Il se retourne, prêt à riposter mais se calme en me reconnaissant. J'attrape mon paquet à travers le maillot et le secoue vulgairement devant lui, fier de moi.

- Viens, approche! C'est ça que tu veux, hein?!

Il ne dit rien mais ses yeux suivent les rebondissements de mon service trois pièces. Il est transfiguré. Il finit par tendre la main tout en regardant derrière lui pour s'assurer de pas être vu. De son propre chef, il empoigne ma bite à travers le tissus et la branle doucement. La sensation est grisante. Ce simple contact m'arrache un soupir d'aise. Mis en confiance, son autre main entreprend de caresser mon torse velu. Ses doigts se perdent dans l'épaisseur de mes poils. Sa main descend ensuite le long de mes abdos bien sculptés avant de finir sur mes couilles. Il les soupèse délicatement, les fait rouler entre ses doigts. Je sens que ça le fait kiffer de pétrir mes boules à travers le lyra. Il me jette régulièrement des regards interrogateurs pour voir s'il s'y prend bien.

Je décide qu'il est temps de passer aux choses sérieuses. J'appuie sur les épaules de mon mignon. Il hésite une seconde. Il sait ce que j'attends de lui. Il peut encore faire machine arrière, s'enfuir et retrouver sa femme, son gosse et son monde hétéro. C'est toujours un cap fatidique pour un novice. Le point de non retour. Je maintiens ma pression. Il se laisse tomber sur les genoux, sa bouche à quelques centimètres de mon gourdin. Il est fasciné par cette tige monstrueuse qui déforme le fin tissus de nylon. Il se dit qu'il peut tenter de la lécher à travers l'étoffe. Après tout, elle est prisonnière à l'intérieur. Il ne sera pas directement en contact avec elle. Il sort une langue timide. Il me jette un dernier regard avant que je n'appuie sur sa tête.

Je profite de son désarroi pour baisser mon maillot de bain. Ma queue se redresse tel un ressort trop comprimé. Mon gland rebondit sur son front. Il n'a jamais vu quelque chose d'aussi long, d'aussi gros...
Je promène mon dard sur ses lèvre fermées et lui intime l'ordre d'ouvrir la bouche. Il n'offre aucune résistance. Je passe le barrage de ses lèvres et introduit ma colonne de chair sans ménagement. Mon gland cogne contre son palais. Il a un geste de recul. Il n'a pas l'habitude d'une telle intrusion, c'est sa première pipe. Il faut qu'elle reste gravée à vie dans son cerveau.

Ma queue n'est clairement pas encore raide mais elle a du mal a rentrer entièrement dans sa bouche. Il finit par s'habituer à cet intrus. Il bave bien, me caresse encore les couilles et n'a plus peur de saliver sur ma bite. Mes 22X6 se développent et deviennent aussi rigides que du bois. Ce mec est doué. J'ai très envie de lui déboîter sa petite tronche de play-boy. Je lui chope l'arrière de la nuque et commence à imprimer un rythme de pipe effrénée que je transforme petit à petit en baise de gorge. Mon joli papa bave de plus en plus. Il suffoque, mais le bruit des jets de douche atténue le son.

À un moment, mon gland tape un peu trop fort au fond de sa gueule et glisse de lui-même à l'intérieur de sa gorge sur une bonne longueur. Je le vois suffoquer. Il veut s'extirper mais mes mains le retiennent de force. Je veux savourer ce gosier totalement vierge qui me réchauffe si bien le dard.

Je finis par relâcher mon emprise. Je le vois s'effondrer sur le carrelage, les yeux rouges et le bas du visage baveux. Il me jette un regard de chien battu qui me rend fou. Je l'ai définitivement maté. Je l'attrape par dessous les aisselles et le remets sur ses genoux.

- Continue de pomper. T'es super doué pour un mec marié. Ouvre juste la bouche et laisse-toi faire.

J'en ai rien à foutre de ce qu'il ressent, pour être honnête. Je veux juste lui faire découvrir le passif qui sommeille en lui.

Je reprends ma défonce buccale. Sa cavité est délicieuse. Il bave suffisamment pour me donner l'impression de pénétrer une chatte bien gluante. Sa tête ressemble beaucoup plus à un masturbateur qu'à un visage vu la vitesse à laquelle je le pilonne. Il s'étouffe, râle,... manque d'oxygène. Mon joli papa hétéro est complètement utilisé et abusé pour mon plus grand plaisir. Lui qui espérait découvrir les joies de l'homosexualité, avec moi il est servi. La seule chose que je lui offre c'est la violence avec laquelle j'utilise sa bouche.

Des bruits de pas se font entendre et une ombre se profile le long du mur. Merde, quelqu'un arrive. Je relève mon soumis et actionne le bouton d'eau chaude. Un homme, la quarantaine, entre et s'installe en face de nous. Putain!!! c'est le maître-nageur. Ce gros pervers a réussi à se libérer, il en pouvait plus de nous savoir dans les douches en train de nous tripoter. Je le sens chaud, tout comme la fois dernière. M'étonnerait pas qu'il m'allume dans ce lieu public ouvert aux quatre vents.

Sa queue est déjà bien tendue dans son maillot de bain noir. Il prend sa douche tout en me fixant. Pas de doutes, Il arbore une trique d'enfer qu'il ne cherche même pas à dissimuler. Je lui fais face et me touche un peu la queue tandis que mon petit papa reste sagement dans le coin le plus obscur en attendant qu'il déguerpisse pour que je puisse continuer son apprentissage. Il nous tourne le dos et profite de l'eau chaude pour se détendre.

Mon beau quadra tente de m'ignorer. Il a fermé les yeux et commence à se savonner le haut du corps. Il prend une petite noisette de mousse blanche qu'il répartit sur tout le torse puis descend jusqu'à ses abdos qu'il a bien apparents. Il profite des jets puissants pour glisser une main dans son slip de bain et se malaxe les couilles. Bordel!!! Il est prêt à tout pour se lever un mec, celui-là! À croire que sa femme ne lui suffit plus.

À présent, il a empoigné son manche qu'il branle sans retenue dans le maillot. Je vois ses doigts monter et descendre de plus en plus vite... il a l'air d'en avoir une grosse, c'est vrai que j'ai pas trop fait attention la semaine dernière quand nous étions enfermés dans une cabine et qu'il arrosait le carrelage de son épaisse purée. Mais je pense qu'il est bien monté, en tous les cas mieux que mon jeune père de famille qui se morfond dans son coin.

Je les regarde à tour de rôle, me voilà devant un choix cornélien. Qui va emporter la décision? Est-ce mon jeune trentenaire à dépuceler, ou ce bel étalon dans la force de l'âge?! Mes yeux vont de l'un à l'autre... Décidément, le choix est difficile.

Comme s'il voulait emporter la décision, mon maître-nageur vient de se retourner. Je peux admirer son dos puissant, ses trapèzes bien définis et surtout ce petit cul bombé qui pointe dans ma direction. Il actionne l'appareil à savon, fait couler un jet puissant puis s'enfonce un doigt dans la raie à travers le tissus du maillot de bain. Putain, ce mec ne reculera devant aucun sacrifice pour se faire sauter. Il prend des risques inconsidérés. Je pourrais le dénoncer, il perdrait à coup sûr son job. Mais non, cette grosse salope n'a qu'une obsession, ici dans les douches, se transformer en pute pour se faire exploser la rondelle. Et peu importe les conséquences...

Des pas résonnent tout proche de nous. Bientôt une femme apparaît, avec le logo de secouriste sur le T-shirt.

- Ah! Jeff! je te cherchais. On a besoin de toi à l'infirmerie, une mamie s'est blessée.

Je vois mon sauveteur-secouriste sortir précipitamment, sans le moindre regard à mon encontre. Bon, ce n'est que partie remise. Je vais pouvoir me concentrer entièrement à mon petit soumis qui attend bien sagement dans un coin. J'empoigne ses cheveux que je tire vers moi. Je le trouve soudain moins motivé. Sans doute l'attente ou sa femme qui doit s'impatienter. Sans compter qu'il vient d'être mis en balance avec un mec plus mûr, sans garantie de succès.

- Suis-moi!

Je passe le couloir et prends la direction des cabines.

- Je vais bien m'occuper de ton petit trou vierge.

Ses yeux m'interrogent en silence. Sans doute regrette-t-il de m'avoir allumé, même si son boule palpite d'excitation. Je sens bien qu'il appréhende ce qui va suivre même si au fond de lui, il a déjà intégré que je pourrais l'utiliser à ma convenance.

Une fois dans la cabine, je lui baisse son Speedo et le met de dos face à moi, les mains en appui sur sur la porte. Je passe mes doigts sur ses fesses velues. Ma bite prend des proportions démesurée, je la sens palpiter et bondir à chaque fois que j'écarte les miches de ma pute résignée.

Je crache dans ma main et enduis son trou de salive. Il a un geste de recul. Je le repositionne en lui écartant les jambes. Il a la tête baissée, les mains bien à plat sur la porte de la cabine. Je peux voir son alliance scintiller. Ça m'excite encore plus.

Il sent que quelque chose de brutal va bientôt se produire. Il tente de calmer la panique qui monte en lui. Il respire fort. J'essaie de le rassurer.

- Ça va le faire. Écarte bien les cuisses et penche-toi en avant. Encore plus... Voilà!

Je me plaque à lui et colle mon gros gourdin contre son petit trou vierge. Je force légèrement sans même essayer de le pénétrer, juste pour sentir sa résistance anale. Je suis en extase. J'approche ma bouche de son oreille et murmure:

- Je vais faire de toi ma chienne soumise. Tu vas souffrir mais je sais que tu peux encaisser. Serre les dents et surtout ne fais pas de bruit. Tu voudrais pas que ton mioche t'entende gueuler comme une truie?!

Il fait «non!» de la tête. Je l'ai vaincu. C'est le moment de vérité, celui où un hétéro se soumet à une queue. Je force sur sa pastille. Elle résiste et m'oblige à y appliquer plus de pression. Mon hétéro se met à gémir. Il allait être incapable de s'empêcher de crier ce con, alors je recouvre sa bouche de ma grosse pogne et donne un violent coup de rein qui perfore sa rondelle.

Ma queue pénètre sur dix bons centimètres. Je le sens anéanti. Mon conquérant père de famille vient de perdre sa virginité anale. Tout son corps est parcouru de spasmes. Mes bras l'entourent de partout, le bloquent contre la porte. Il se débat, mord mes doigts, me maudit en cet instant...
Je ressors complètement, recule mes fesses, puis les pousse fort en avant d'un coup sec. L'œillet de mon nouvel amant cède à nouveau. Ses cris se perdent dans ma main qui le bâillonnent.

Il gigote dans tous les sens, transpire abondamment. Mais j'en ai rien à faire, je continue ma pénétration sauvage. Mes vingt-deux centimètres progressent difficilement, mais au bout d'une minute je sens mes poils de couilles à l'entrée de sa chatte. Mon petit papa souffle, râle, continue de geindre dans la paume de ma main. Mais ce n'est que le début du carnage pour lui.

J'entame un lent mouvement de va-et-vient. Sa fine paroi anale moule chaque mouvement de mon pieu, ouvrant toujours plus cet intestin vierge de toute pénétration. J'accélère le mouvement. Il me mord les doigts tandis que je le pilonne profondément. Je sens ses boyaux ravagés par mon gland, son cul démonté par ma colonne de chair qui le fouille sans ménagement.

Ma baise se fait plus hard. La violence de chaque coup l'anéantit. Mon enculé a cessé de crier et à chaque fois que sa joue s'écrase contre la porte, un filet de bave s'échappe de la commissure de ses lèvres. Je l'ai détruit. Le seul bruit que l'on entend est celui de mes lourdes baloches qui tapent contre ce cul brisé. Il n'aurait jamais dû croiser mon regard. Il voulait tester de l'Homme, faire lever une bite d'étalon? Et bien il en a une dans le cul, dressée, vigoureuse, prête à le soumettre. Ça lui apprendra à exciter un mâle-alpha.

Je me transforme en bête féroce et le machine de plus en plus fort. Il se remet à gueuler. Je ferme les yeux et le bourre sans réfléchir. Je le pine comme un monstre, me félicitant de briser sa vie au bout de ma queue. Je l'imagine intérioriser toute la douleur que je lui fait subir. Il est né pour être dominé, je le sais et à partir d'aujourd'hui, il va devenir une vulgaire pute à jus cherchant désespérément sa dose. J'ai démoli le peu d'amour propre et de dignité qu'il lui restait.

Cette pensée m'envoie au septième ciel. Ma petite pute se remet à grogner alors que je viens de lui planter cinq coups de bite hyper violents qui le projette contre la porte de la cabine. Il hurle de douleur jusqu'au dernier coup qui lui fend le ventre et lui fait perdre connaissance.

Je calme le mouvement, histoire de laisser à cet ancien brouteur de minous le temps de retrouver ses esprits, puis je reprends le pilonnage de sa chatte avec de grands coups de parpaing qui s'encastrent bien profond dans son cul de salope. Dans le silence des cabines vides, on entend clairement le claquement de mes couilles sur ses fesses ravagées. Puis, bientôt, les gémissements de mon soumis reprennent. À chaque forage, son bassin se creuse avant de s'écraser contre la paroi. Il se débat beaucoup moins. Je jurerais qu'il prend plaisir à être abusé par ma grosse queue. En passant une main sous lui, je m'aperçois que son sexe est dur et chaud. Il bande comme un turc malgré le traitement de choc que je lui inflige. Puisque c'est ainsi, je vais le transformer en larve, en vide-couilles, en poubelle à sperme...

Je le reprends par les hanches et lui assène un violent coup de reins. Il en a le souffle coupé mais encaisse bien la charge. Je le lime sans ménagement. Il couine de plaisir, halète comme une chienne en chaleur. Je le sens au bout de sa vie, mais il en redemande...

Je ne peux me retenir davantage. Mon bazooka creuse dans son intestin, ravage sa prostate et crache giclées après giclées mon foutre conquérant contre ses parois d'hétéro brisé. Son cul est tellement démoli qu'à chaque pulsation de ma bite, son trou distendu avale ma queue comme une vraie chatte.

Après de longues et intenses secondes d'orgasme, je retrouve lentement mes esprits et desserre mon emprise. Je décule lentement de mon papa tarlouze et pousse un soupir de soulagement lorsque le gland sort de ses muqueuses ravagées. Je lui écarte les fesses pour admirer mon chef d'œuvre. Son trou est bien dilaté, rougi et boursouflé. Quelques traces de sang indiquent que l'assaut a été violent et sans pitié. Des coulées de mon foutre gras commencent à fuiter de sa rondelle. Je regarde une dernière fois cet abattage de pro avant d'essuyer ma transpiration d'un revers de main et remonter mon maillot.

Je tapote la joue de mon vide-couilles avant de m'éclipser. En déverrouillant la porte de la cabine, je remarque de longues traînées blanches contre la paroi intérieure. Ce nouveau soumis n'a pu résister à mon traitement de choc. Il a lâché sa purée contre la porte sans même se toucher.

Je retourne nager dix minutes, avant la fermeture au public. Je constate qu'une jeunette remplace mon maître-nageur. Elle invite les derniers occupants à sortir de l'eau et rejoindre l'accueil.

HÉTÉRO CURIEUX.
Je m'apprête à récupérer mes affaires lorsque j'entends un chahut monstre à l'entrée. Ce sont des collégiens qui viennent pour leur séance de natation. Ils sont jeunes, sans doute des sixièmes et parlent fort. Je capte au passage le regard du prof de sport. C'est un bel homme, autour de trente-cinq ans, belle gueule de gravure de mode, style Adam Levine, avec son air ténébreux et sa plastique impeccable. Il m'a vu et semble intéressé. Je viens de me vider les couilles mais je n'ai rien contre remettre le couvert. Les gosses se changent dans un grand vestiaire collectif pendant que mon enseignant occupe seul une cabine. Je suis proche de sa porte et je peux l'entendre fouiller dans son sac. Je me glisse dans le box d'à côté et sifflote, histoire de lui indiquer ma présence. J'ignore s'il sait que c'est moi, par contre, je ne peux ignorer le gros trou pratiqué dans la paroi qui sépare les deux cabines. Un morceau de papier bouche toute possibilité de vision de l'autre côté. Qu'à cela ne tienne, je pousse pour le faire tomber aux pieds du prof. Un silence s'en suit, suivi d'un œil inquisiteur qui se plaque contre l'ouverture. Il est juste à hauteur de maillot. L'occasion est trop belle. Je vire ce dernier pour montrer à mon voyeur une belle teub, bien décalottée, d'au moins 16cm au repos. J'entends le type se racler la gorge puis reculer. Alors, sans plus attendre, j'avance ma queue et la passe à travers le trou. Je n'ai guère à attendre avant qu'une bouche vorace s'empare de son trophée. Un premier coup de langue pour la mettre en forme suivi d'une succion sur le gland. Il embouche le tout avant de me pomper avec force comme pour recueillir ma sève le plus tôt possible. Ses va-et-vient me font de l'effet, si bien que ma bite arrive au meilleur de sa forme, raide, dure, le dard gonflé, prête à exploser. Ce type est un mort de faim, ma pine semble vouloir le combler. Il sent la pression de ses élèves qui attendent dans le couloir. Il devrait les rejoindre mais il ne peut pas. Pas avant d'avoir fait cracher cette queue qui lui martèle la gorge. L'incongruité du lieu et l'excitation me font décharger pour la seconde fois. Mon joli professeur d'EPS avale tout. Il ne voudrait pas tâcher son mini maillot de bain jaune citron.

Il abandonne mon sucre d'orge pour se précipiter dehors. Je reste encore un peu, affalé sur le banc. Va falloir me calmer, je ne peux décidément pas sauter sur tout ce qui bouge.

Un peu plus tard, je rejoins le parking de la piscine. Je monte dans mon bolide de sport et mets le contact, lorsque je vois à son tour sortir le maître-nageur. Il se dirige vers un Break familial. À l'intérieur, une femme l'attend. Sans doute sa moitié. Il l'embrasse sur les lèvres puis monte côté passager. Ma bite reprend du volume dans mon jogging. La façon dont il m'a allumé sous la douche me revient à l'esprit. Putain! Faudra que je rapplique un de ces jours...

J'ai un nouveau cul d'hétéro à fourrer.

Les avis des lecteurs

Super histoire, elle est bien explicite et j'aurai bien aimé être à la place de ton soumis. En maillot de bain Speedo...humm.
Pour ne pas qu'il cris, j'aurai mis son maillot dans sa bouche.
J'adore...



Texte coquin : HÉTÉROS ABUSÉS  (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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