HÉTÉTOS ABUSÉS (1)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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HÉTÉTOS ABUSÉS (1)
HÉTÉROS ABUSÉS (1)
JOLI PAPA.
Cela fait maintenant une heure que j'enchaîne les bassins. Près de six kilomètres dans les bras et dans les jambes. Une dernière longueur et je m'accroche au rebord pour reprendre mon souffle. Je suis rompu à ce genre d'exercice de part mon métier. Je suis commandant dans les forces spéciales, sous les ordres de l'OTAN.
Je vois ma toison de poils ruisselants battre à un rythme élevé. Peu à peu, ma respiration s'apaise. Je lève les yeux de ma poitrine pour jeter un coup d'œil dans les vitres de la piscine: cheveux rasés, barbe hirsute, yeux sombres, physique de sportif accompli, j'ai conscience d'être un bel homme malgré mes 45 piges.
J'aime me rendre dans cette piscine municipale pour m'entraîner. Mais je ne suis pas ici uniquement pour le boulot. Il est temps de joindre l'utile à l'agréable.
Je m'accoude tranquillement en observant la population de nageurs, à la recherche de ma proie. Autour de moi, des vieilles qui font leur séance d'aquagym, des jeunes qui chahutent, des mères célibataires surveillant leurs mioches,... et un jeune papa qui joue avec son gamin de huit ans.
Je me transforme immédiatement en mode prédateur, regard de fauve en chasse qui a repéré sa cible.
Mon joli papa, la trentaine, s'amuse dans le petit bassin avec son fils et une grande brune que je devine être sa femme. Il est vraiment canon avec sa barbe de trois jours, ses cheveux blonds coupés courts, sa musculature bien dessinée et une ligne de poils fins qui part du nombril pour disparaître sous le Speedo bleu turquoise que je devine bien rempli. Humm!!! Je suis gâté aujourd'hui. Mon adorable père de famille va goûter à une grosse saucisse et je suis sûr qu'il va kiffer. Je vais en faire mon quatre heures. J'en salive d'avance,... ainsi que ma queue qui se redresse dans mon maillot.
Je le fixe intensément. Il ne s'aperçoit de rien jusqu'à ce qu'il croise mon regard. Il s'arrête de bouger pendant trois secondes, avant d'être gêné par mes yeux inquisiteurs. Il marque un temps d'arrêt puis reprend ses jeux avec son fils.
Putain, son regard de braise m'a immédiatement allumé. Je l'ai senti troublé. Le type n'en a sûrement pas eu conscience, mais moi j'ai décelé des signes qui ne trompent pas. Ce mec est un passif. Sous ses airs d'hétéro sûr de lui, il a besoin d'être dominé, rabaissé à sa condition de femelle soumise par un mâle comme moi. Sa bouche ne va bientôt comprendre qu'une chose: téter de la bite. Un de plus qui va enfin découvrir sa vraie nature...
Pour l'heure, je l'observe sans relâche. Il fait passer son môme entre ses jambes, rajuste son maillot, rit de bon cœur quand son rejeton boit la tasse. Bordel, ce type me rend dingue, je suis sûr qu'il va me regarder à nouveau. Impossible qu'il lance ce genre d'œillade s'il n'a pas des papillons dans l'estomac. Je le fixe intensément pour qu'il sente le poids de mon regard.
Il finit par tourner la tête dans ma direction et nos yeux se croisent. Il rougit, comme pris en flagrant délit. Putain, pas de doutes, j'ai bien affaire à un hétéro qui veut goûter de la queue! Je tâte la mienne à travers le lycra. Qu'à cela ne tienne, vos désirs seront des ordres...
Sans plus attendre, je traverse le bassin en mode compétition afin de me mêler aux autres nageurs. Je me retrouve à quelques mètres de mon jeune papa. Je m'avance encore un peu, si bien que lorsqu'il me cherche à nouveau, il est surpris de me voir aussi proche de lui. Je le sens déstabilisé, pourtant il ne peut se résoudre à me tourner le dos. Ses yeux me renvoient plein d'interrogations où se mêlent désarroi, panique, mais aussi envie. Cette fois, c'est moi qui brise le jeu du regard. Il importe de ne pas être repéré, la faune qui grouille autour de nous ne doit rien soupçonner. À plus forte raison, sa femme...
Il tente de battre en retraite mais la graine est plantée. Le vers est dans le fruit. J'ai tissé ma toile et il vient de s'engluer dedans. Je sais qu'il va me zieuter toutes les quinze secondes. J'ai pris le pouvoir sur lui.
Je continue à l'observer par tranches de cinq/sept secondes, un sourire amusé sur les lèvres. Immanquablement, je le sens comme hypnotisé, il me fixe de plus en plus longtemps. Je m'apprête à lui faire signe quand sa moitié l'appelle depuis le banc. Mon jeune père semble surpris et déçu de devoir sortir de l'eau. Il rejoint sa petite famille un peu bougon.
Je les vois plier bagages. Bordel!!! NON. Ils ne vont pas partir. Pas maintenant! Je suis capable de le troncher dans les cabines en présence de son fils, tant ce petit con m'a excité.
Il me jette un regard à la dérobée tout en discutant énergiquement avec sa rombière. Il doit sans doute négocier quelques minutes supplémentaires. Bon sang, ce mec en veut. Il est prêt à tout pour se faire crémer la rondelle.
Après moult palabres je le vois abandonner sa femme et son mioche pour plonger dans le grand bassin. Il entreprend deux longueurs qu'il a du mal à terminer. Il n'est pas aussi sportif que je le supposais. J'ai rejoint l'endroit le plus profond de la piscine, là où peu de nageurs s'aventurent. Je le vois arriver à ma hauteur, prendre appui sur le rebord, le souffle court. Il n'ose me regarder, rouge de honte et sans doute de désir. Je devine sa main disparaître dans son maillot de bain bleu turquoise. Il faut que j'en ai le cœur net! Je prends ma respiration et plonge. Effectivement, ses doigts s'activent sous le tissus. Ses fesses s'agitent et se contractent à chaque mouvement de poignet. Quelle petite allumeuse! J'ai envie de lui saisir fermement les jambes et les écarter comme une vulgaire poupée gonflable... Mais non, je ne peux pas, il y a trop de monde. Quoi que... pourquoi ne pas tenter, si nous restons discrets.
Je remonte à la surface, à un mètre de mon provocateur. Je vérifie autour de moi que personne ne remarque mon manège. Il y a bien le maître-nageur, perché sur sa chaise et qui nous regarde à la dérobée, mais je suis trop excité pour me refréner. Tant pis pour les conséquences...
Je reprends mon souffle et hop! sous l'eau. Mon joli trentenaire s'astique toujours le manche. Je ne suis qu'à quelques centimètres de sa bosse. Je lui agrippe les deux chevilles avec force et les écarte le plus possible. Il est désarçonné mais ne me repousse pas. Le contrôler ainsi me fait légèrement gonfler le zob. Je m'éloigne, par manque d'air dans les poumons. Je le vois, une main accoudée à la margelle, écarlate comme un coquelicot. Je regarde autour de moi. Personne ne semble faire attention à nous. J'avise le maître-nageur sur son perchoir. Un beau quadra, cheveux courts, barbe soigneusement taillée, des yeux noisettes et une belle musculature de sportif. Il nous mate avec envie. Je sais qu'il a tout vu, mais il ne dit rien. Pire, je crois même que son maillot de bain noir a doublé de volume. Il a une main posée sur sa grosse bosse et ses doigts s'activent discrètement dessus. Putain, ce vicieux se paluche devant tout le monde! Je vais lui en donner pour son argent, à lui aussi. Il ne va pas manquer une miette du spectacle. Il est assis aux premières loges et s'il continue à jouer les voyeurs, je jure que la prochaine fois, c'est lui qui sera l'acteur principal.
Je replonge une troisième fois en direction de mon beau brun. Mais cette fois, je remonte à sa hauteur. Il veut dire quelque chose mais je lui intime l'ordre de se taire. Avec un sourire féroce, je lui sors la main de son Speedo et la plonge d'autorité dans mon slip de bain. Il entrouvre la bouche, à la fois surpris et choqué par ce qu'il touche. Ce doit être sans doute la première fois qu'il tâte le service trois-pièces d'un autre homme. Il est impressionné par ce qu'il a entre les doigts. Vingt-deux centimètres bien épais. À l'aide de ma main, je guide mon puceau. Ses phalanges glissent sur mes poils, voyagent dans ma toison jusqu'à prendre possession de mes couilles bien pleines. Après quelques secondes à rester sans bouger, mon joli papa fait rouler mes boules dans sa pogne. Il y prend un réel plaisir, vu la bosse indécente qui étire le fin tissus de son maillot. Je me retiens de soupirer d'aise et surveille les alentours, tout en jetant des regards pervers à mon bel hétéro pour l'inciter à découvrir ma grosse queue bandée. Il semble avoir compris mes attentes. Il attrape mon engin à pleine main. La sensation est grisante et je ne peux m'empêcher de râler de contentement. Il entreprend de lui-même un mouvement de va-et-vient. Il manque d'expérience, ça se voit. Il me jette régulièrement des regards pour vérifier qu'il s'y prend bien. Mes râles de plus en plus sonores lui indiquent qu'il est sur la bonne voie. Il accélère... Le salaud va me faire cracher. Putain!!! C'est trop bon. Un dernier coup de poignet et, sans attendre mon approbation, il me tire des litres de foutre qui se répandent à la surface de l'eau chlorée. Une fine traînée blanche dérive vers le large. J'observe la poignée de débutants qui barbotent un peu plus loin, la prochaine tasse risque d'être salée...
Le temps de retrouver mes esprits, mon beau branleur s'est éclipsé pour rejoindre sa petite famille qui commençait à s'impatienter. Je le vois remonter par l'échelle, une demi molle dans le maillot. Il se dispute avec sa bonne femme avant de ramasser ses affaires et passer devant moi, son fils à ses côtés. Il m'ignore royalement. Ah, ces hétéros, tous les mêmes... Passé le moment d'égarement, ils reprennent leur quotidien comme si de rien n'était.
Je reste encore un peu dans l'eau. J'expurge les dernières gouttes de spermes puis je sors du bassin et me dirige vers les vestiaires. En passant devant le maître-nageur, je me souviens tout à coup qu'il nous lorgnait bizarrement depuis son promontoire. Il est toujours assis, me dévore des yeux et écarte bien grand les jambes quand je passe sous sa chaise. Son maillot de bain noir laisse apparaître deux énormes boules et une longue tige que sa main caresse ouvertement. Bon sang, ce beau quadra m'allume sur son lieu de travail. Mais je suis vidé. Il n'a qu'à laper mon jus qui flotte à la surface.
CURIEUX PUNI.
Je retourne chercher mes affaires à l'accueil et entreprends de me changer dans une cabine. Une fois prêt, j'ouvre la porte et là, je tombe nez à nez sur mon maître-nageur qui se paluche encore le jonc. Ma queue ne fait qu'un tour et, d'un mouvement de tête, je lui fais signe de me rejoindre dans le box. Il regarde autour de lui, un peu inquiet, puis, prenant son courage à deux mains, il entre et verrouille la porte. Je n'ai rien à faire, c'est lui qui prend la direction des opérations. Il me baisse la braguette et sort mon membre à moitié dur. Je ne peux m'empêcher de l'humilier alors qu'il louche sur mon gros boudin blanc.
- C'est ça que tu zieutais depuis tout à l'heure?
Il me regarde en rougissant et fait un «oui» timide de la tête. J'exerce une légère pression sur ses épaules, il s'agenouille à mes pieds puis se saisit de ma queue. Il la contemple quelques secondes avant de l'enfourner avec gourmandise. Il malaxe doucement mes couilles pour les masser.
- Putain, t'avais faim, toi.
Il grogne en signe d'approbation et se met direct au turbin. Ma main se pose sur sa nuque pour imprimer un mouvement d'arrière en avant mais c'est inutile, il coulisse tout seul le long de mon pieu. C'est alors que mon esprit dominateur reprend le dessus. Je perfore sa bouche d'un coup sec après un violent coup de reins puis je m'enfonce le plus loin possible. Mon pipeur manque d'air, je l'entends râler et un abondant filet de bave s'échappe de la commissure des lèvres. Ma queue est bien au chaud tout au fond de sa gorge, son nez se retrouve coincé dans la broussaille de poils de mon bas-ventre et j'ondule du bassin pour gagner quelques millimètres de plus.
- Bordel, tu suces mieux qu'une poule.
Sans lui demander son avis, je le plaque contre la paroi et commence à lui baiser la tronche aussi sauvagement que si c'était un vagin. Durant de longues minutes, je ne lui laisse aucun répit, visitant le moindre recoin de sa cavité buccale. Je lui baise la gueule d'une main de Fer jusqu'à ce que j'entende trois coups discrets frappés à la porte.
- Ça va, tout se passe bien à l'intérieur?
Nous avons dû être un peu trop bruyants car un visiteur s'inquiète de ce qui se passe. Je le rassure de ma grosse voix autoritaire. Il n'insiste pas. Pendant ce temps, mon maître-nageur continue de me sucer mais à son rythme, ce qui n'est pas pour me déplaire. J'aime quand mes soumis prennent des initiatives. Sa langue va de tout son long sur ma hampe. Elle part du gland qu'elle suçote, coulisse sur ma colonne de chair pour finir sur mes couilles poilues. Je vois bien qu'il meurt d'envie de les bouffer mais on n'a pas toute la journée, alors, je le rappelle à l'ordre en lui indiquant quelles sont ses priorités. Ses mains prennent donc le relais de sa langue et pétrissent mes boules pendant que sa bouche reprend son travail de ventouse. Mon manche bien raide pilonne sa belle gueule de bâtard avant que je ne sente ce léger spasme révélateur.
Il comprend le message et, en bonne pute à jus, accélère la cadence. Ma queue se fige trois secondes avant de décharger dans son gosier. La charge est telle, qu'une partie ressort de la commissure des lèvres et coule le long du menton. En même temps, je le vois déglutir au rythme de mes giclées. Il a viré son maillot sur les cuisses et se branle furieusement. Il jouit à son tour en poussant des cris étouffés par ma grosse queue qui lui crache les dernières gouttes. Il prend bien soin de tout avaler avant de me laper le dard en signe de reconnaissance.
Je suis vidé. Je me suis rarement senti aussi épuisé. Lui, s'est relevé, a rajusté son Speedo noir et disparaît dans le couloir sans même se retourner. Je le vois s'éloigner, un peu chancelant. Son petit cul bombé épouse bien la forme du lycra et sa raie mange avec envie le fin tissus. Humm!!! Tout cela me remet en appétit.
'' C'est ça, va rejoindre ton poste. M'étonnerait que ton boule me résiste longtemps.''
C'est sur ces bonnes paroles que je rejoins ma caisse sur le parking. Avant de démarrer, je rajuste ma teub en me jurant de revenir la semaine prochaine.
(à suivre...)
JOLI PAPA.
Cela fait maintenant une heure que j'enchaîne les bassins. Près de six kilomètres dans les bras et dans les jambes. Une dernière longueur et je m'accroche au rebord pour reprendre mon souffle. Je suis rompu à ce genre d'exercice de part mon métier. Je suis commandant dans les forces spéciales, sous les ordres de l'OTAN.
Je vois ma toison de poils ruisselants battre à un rythme élevé. Peu à peu, ma respiration s'apaise. Je lève les yeux de ma poitrine pour jeter un coup d'œil dans les vitres de la piscine: cheveux rasés, barbe hirsute, yeux sombres, physique de sportif accompli, j'ai conscience d'être un bel homme malgré mes 45 piges.
J'aime me rendre dans cette piscine municipale pour m'entraîner. Mais je ne suis pas ici uniquement pour le boulot. Il est temps de joindre l'utile à l'agréable.
Je m'accoude tranquillement en observant la population de nageurs, à la recherche de ma proie. Autour de moi, des vieilles qui font leur séance d'aquagym, des jeunes qui chahutent, des mères célibataires surveillant leurs mioches,... et un jeune papa qui joue avec son gamin de huit ans.
Je me transforme immédiatement en mode prédateur, regard de fauve en chasse qui a repéré sa cible.
Mon joli papa, la trentaine, s'amuse dans le petit bassin avec son fils et une grande brune que je devine être sa femme. Il est vraiment canon avec sa barbe de trois jours, ses cheveux blonds coupés courts, sa musculature bien dessinée et une ligne de poils fins qui part du nombril pour disparaître sous le Speedo bleu turquoise que je devine bien rempli. Humm!!! Je suis gâté aujourd'hui. Mon adorable père de famille va goûter à une grosse saucisse et je suis sûr qu'il va kiffer. Je vais en faire mon quatre heures. J'en salive d'avance,... ainsi que ma queue qui se redresse dans mon maillot.
Je le fixe intensément. Il ne s'aperçoit de rien jusqu'à ce qu'il croise mon regard. Il s'arrête de bouger pendant trois secondes, avant d'être gêné par mes yeux inquisiteurs. Il marque un temps d'arrêt puis reprend ses jeux avec son fils.
Putain, son regard de braise m'a immédiatement allumé. Je l'ai senti troublé. Le type n'en a sûrement pas eu conscience, mais moi j'ai décelé des signes qui ne trompent pas. Ce mec est un passif. Sous ses airs d'hétéro sûr de lui, il a besoin d'être dominé, rabaissé à sa condition de femelle soumise par un mâle comme moi. Sa bouche ne va bientôt comprendre qu'une chose: téter de la bite. Un de plus qui va enfin découvrir sa vraie nature...
Pour l'heure, je l'observe sans relâche. Il fait passer son môme entre ses jambes, rajuste son maillot, rit de bon cœur quand son rejeton boit la tasse. Bordel, ce type me rend dingue, je suis sûr qu'il va me regarder à nouveau. Impossible qu'il lance ce genre d'œillade s'il n'a pas des papillons dans l'estomac. Je le fixe intensément pour qu'il sente le poids de mon regard.
Il finit par tourner la tête dans ma direction et nos yeux se croisent. Il rougit, comme pris en flagrant délit. Putain, pas de doutes, j'ai bien affaire à un hétéro qui veut goûter de la queue! Je tâte la mienne à travers le lycra. Qu'à cela ne tienne, vos désirs seront des ordres...
Sans plus attendre, je traverse le bassin en mode compétition afin de me mêler aux autres nageurs. Je me retrouve à quelques mètres de mon jeune papa. Je m'avance encore un peu, si bien que lorsqu'il me cherche à nouveau, il est surpris de me voir aussi proche de lui. Je le sens déstabilisé, pourtant il ne peut se résoudre à me tourner le dos. Ses yeux me renvoient plein d'interrogations où se mêlent désarroi, panique, mais aussi envie. Cette fois, c'est moi qui brise le jeu du regard. Il importe de ne pas être repéré, la faune qui grouille autour de nous ne doit rien soupçonner. À plus forte raison, sa femme...
Il tente de battre en retraite mais la graine est plantée. Le vers est dans le fruit. J'ai tissé ma toile et il vient de s'engluer dedans. Je sais qu'il va me zieuter toutes les quinze secondes. J'ai pris le pouvoir sur lui.
Je continue à l'observer par tranches de cinq/sept secondes, un sourire amusé sur les lèvres. Immanquablement, je le sens comme hypnotisé, il me fixe de plus en plus longtemps. Je m'apprête à lui faire signe quand sa moitié l'appelle depuis le banc. Mon jeune père semble surpris et déçu de devoir sortir de l'eau. Il rejoint sa petite famille un peu bougon.
Je les vois plier bagages. Bordel!!! NON. Ils ne vont pas partir. Pas maintenant! Je suis capable de le troncher dans les cabines en présence de son fils, tant ce petit con m'a excité.
Il me jette un regard à la dérobée tout en discutant énergiquement avec sa rombière. Il doit sans doute négocier quelques minutes supplémentaires. Bon sang, ce mec en veut. Il est prêt à tout pour se faire crémer la rondelle.
Après moult palabres je le vois abandonner sa femme et son mioche pour plonger dans le grand bassin. Il entreprend deux longueurs qu'il a du mal à terminer. Il n'est pas aussi sportif que je le supposais. J'ai rejoint l'endroit le plus profond de la piscine, là où peu de nageurs s'aventurent. Je le vois arriver à ma hauteur, prendre appui sur le rebord, le souffle court. Il n'ose me regarder, rouge de honte et sans doute de désir. Je devine sa main disparaître dans son maillot de bain bleu turquoise. Il faut que j'en ai le cœur net! Je prends ma respiration et plonge. Effectivement, ses doigts s'activent sous le tissus. Ses fesses s'agitent et se contractent à chaque mouvement de poignet. Quelle petite allumeuse! J'ai envie de lui saisir fermement les jambes et les écarter comme une vulgaire poupée gonflable... Mais non, je ne peux pas, il y a trop de monde. Quoi que... pourquoi ne pas tenter, si nous restons discrets.
Je remonte à la surface, à un mètre de mon provocateur. Je vérifie autour de moi que personne ne remarque mon manège. Il y a bien le maître-nageur, perché sur sa chaise et qui nous regarde à la dérobée, mais je suis trop excité pour me refréner. Tant pis pour les conséquences...
Je reprends mon souffle et hop! sous l'eau. Mon joli trentenaire s'astique toujours le manche. Je ne suis qu'à quelques centimètres de sa bosse. Je lui agrippe les deux chevilles avec force et les écarte le plus possible. Il est désarçonné mais ne me repousse pas. Le contrôler ainsi me fait légèrement gonfler le zob. Je m'éloigne, par manque d'air dans les poumons. Je le vois, une main accoudée à la margelle, écarlate comme un coquelicot. Je regarde autour de moi. Personne ne semble faire attention à nous. J'avise le maître-nageur sur son perchoir. Un beau quadra, cheveux courts, barbe soigneusement taillée, des yeux noisettes et une belle musculature de sportif. Il nous mate avec envie. Je sais qu'il a tout vu, mais il ne dit rien. Pire, je crois même que son maillot de bain noir a doublé de volume. Il a une main posée sur sa grosse bosse et ses doigts s'activent discrètement dessus. Putain, ce vicieux se paluche devant tout le monde! Je vais lui en donner pour son argent, à lui aussi. Il ne va pas manquer une miette du spectacle. Il est assis aux premières loges et s'il continue à jouer les voyeurs, je jure que la prochaine fois, c'est lui qui sera l'acteur principal.
Je replonge une troisième fois en direction de mon beau brun. Mais cette fois, je remonte à sa hauteur. Il veut dire quelque chose mais je lui intime l'ordre de se taire. Avec un sourire féroce, je lui sors la main de son Speedo et la plonge d'autorité dans mon slip de bain. Il entrouvre la bouche, à la fois surpris et choqué par ce qu'il touche. Ce doit être sans doute la première fois qu'il tâte le service trois-pièces d'un autre homme. Il est impressionné par ce qu'il a entre les doigts. Vingt-deux centimètres bien épais. À l'aide de ma main, je guide mon puceau. Ses phalanges glissent sur mes poils, voyagent dans ma toison jusqu'à prendre possession de mes couilles bien pleines. Après quelques secondes à rester sans bouger, mon joli papa fait rouler mes boules dans sa pogne. Il y prend un réel plaisir, vu la bosse indécente qui étire le fin tissus de son maillot. Je me retiens de soupirer d'aise et surveille les alentours, tout en jetant des regards pervers à mon bel hétéro pour l'inciter à découvrir ma grosse queue bandée. Il semble avoir compris mes attentes. Il attrape mon engin à pleine main. La sensation est grisante et je ne peux m'empêcher de râler de contentement. Il entreprend de lui-même un mouvement de va-et-vient. Il manque d'expérience, ça se voit. Il me jette régulièrement des regards pour vérifier qu'il s'y prend bien. Mes râles de plus en plus sonores lui indiquent qu'il est sur la bonne voie. Il accélère... Le salaud va me faire cracher. Putain!!! C'est trop bon. Un dernier coup de poignet et, sans attendre mon approbation, il me tire des litres de foutre qui se répandent à la surface de l'eau chlorée. Une fine traînée blanche dérive vers le large. J'observe la poignée de débutants qui barbotent un peu plus loin, la prochaine tasse risque d'être salée...
Le temps de retrouver mes esprits, mon beau branleur s'est éclipsé pour rejoindre sa petite famille qui commençait à s'impatienter. Je le vois remonter par l'échelle, une demi molle dans le maillot. Il se dispute avec sa bonne femme avant de ramasser ses affaires et passer devant moi, son fils à ses côtés. Il m'ignore royalement. Ah, ces hétéros, tous les mêmes... Passé le moment d'égarement, ils reprennent leur quotidien comme si de rien n'était.
Je reste encore un peu dans l'eau. J'expurge les dernières gouttes de spermes puis je sors du bassin et me dirige vers les vestiaires. En passant devant le maître-nageur, je me souviens tout à coup qu'il nous lorgnait bizarrement depuis son promontoire. Il est toujours assis, me dévore des yeux et écarte bien grand les jambes quand je passe sous sa chaise. Son maillot de bain noir laisse apparaître deux énormes boules et une longue tige que sa main caresse ouvertement. Bon sang, ce beau quadra m'allume sur son lieu de travail. Mais je suis vidé. Il n'a qu'à laper mon jus qui flotte à la surface.
CURIEUX PUNI.
Je retourne chercher mes affaires à l'accueil et entreprends de me changer dans une cabine. Une fois prêt, j'ouvre la porte et là, je tombe nez à nez sur mon maître-nageur qui se paluche encore le jonc. Ma queue ne fait qu'un tour et, d'un mouvement de tête, je lui fais signe de me rejoindre dans le box. Il regarde autour de lui, un peu inquiet, puis, prenant son courage à deux mains, il entre et verrouille la porte. Je n'ai rien à faire, c'est lui qui prend la direction des opérations. Il me baisse la braguette et sort mon membre à moitié dur. Je ne peux m'empêcher de l'humilier alors qu'il louche sur mon gros boudin blanc.
- C'est ça que tu zieutais depuis tout à l'heure?
Il me regarde en rougissant et fait un «oui» timide de la tête. J'exerce une légère pression sur ses épaules, il s'agenouille à mes pieds puis se saisit de ma queue. Il la contemple quelques secondes avant de l'enfourner avec gourmandise. Il malaxe doucement mes couilles pour les masser.
- Putain, t'avais faim, toi.
Il grogne en signe d'approbation et se met direct au turbin. Ma main se pose sur sa nuque pour imprimer un mouvement d'arrière en avant mais c'est inutile, il coulisse tout seul le long de mon pieu. C'est alors que mon esprit dominateur reprend le dessus. Je perfore sa bouche d'un coup sec après un violent coup de reins puis je m'enfonce le plus loin possible. Mon pipeur manque d'air, je l'entends râler et un abondant filet de bave s'échappe de la commissure des lèvres. Ma queue est bien au chaud tout au fond de sa gorge, son nez se retrouve coincé dans la broussaille de poils de mon bas-ventre et j'ondule du bassin pour gagner quelques millimètres de plus.
- Bordel, tu suces mieux qu'une poule.
Sans lui demander son avis, je le plaque contre la paroi et commence à lui baiser la tronche aussi sauvagement que si c'était un vagin. Durant de longues minutes, je ne lui laisse aucun répit, visitant le moindre recoin de sa cavité buccale. Je lui baise la gueule d'une main de Fer jusqu'à ce que j'entende trois coups discrets frappés à la porte.
- Ça va, tout se passe bien à l'intérieur?
Nous avons dû être un peu trop bruyants car un visiteur s'inquiète de ce qui se passe. Je le rassure de ma grosse voix autoritaire. Il n'insiste pas. Pendant ce temps, mon maître-nageur continue de me sucer mais à son rythme, ce qui n'est pas pour me déplaire. J'aime quand mes soumis prennent des initiatives. Sa langue va de tout son long sur ma hampe. Elle part du gland qu'elle suçote, coulisse sur ma colonne de chair pour finir sur mes couilles poilues. Je vois bien qu'il meurt d'envie de les bouffer mais on n'a pas toute la journée, alors, je le rappelle à l'ordre en lui indiquant quelles sont ses priorités. Ses mains prennent donc le relais de sa langue et pétrissent mes boules pendant que sa bouche reprend son travail de ventouse. Mon manche bien raide pilonne sa belle gueule de bâtard avant que je ne sente ce léger spasme révélateur.
Il comprend le message et, en bonne pute à jus, accélère la cadence. Ma queue se fige trois secondes avant de décharger dans son gosier. La charge est telle, qu'une partie ressort de la commissure des lèvres et coule le long du menton. En même temps, je le vois déglutir au rythme de mes giclées. Il a viré son maillot sur les cuisses et se branle furieusement. Il jouit à son tour en poussant des cris étouffés par ma grosse queue qui lui crache les dernières gouttes. Il prend bien soin de tout avaler avant de me laper le dard en signe de reconnaissance.
Je suis vidé. Je me suis rarement senti aussi épuisé. Lui, s'est relevé, a rajusté son Speedo noir et disparaît dans le couloir sans même se retourner. Je le vois s'éloigner, un peu chancelant. Son petit cul bombé épouse bien la forme du lycra et sa raie mange avec envie le fin tissus. Humm!!! Tout cela me remet en appétit.
'' C'est ça, va rejoindre ton poste. M'étonnerait que ton boule me résiste longtemps.''
C'est sur ces bonnes paroles que je rejoins ma caisse sur le parking. Avant de démarrer, je rajuste ma teub en me jurant de revenir la semaine prochaine.
(à suivre...)
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Chaud...
Instructif...
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Instructif...
Et j'adorerais avoir ce regard qui detecte l'hetero à soumettre...