Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°775)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°775)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°775) –
Olivier était présent depuis plusieurs jours dans le Château de Monsieur le Marquis d’Evans, il avait fait sa connaissance par l’intermédiaire d’un médecin qui l’avait ausculté lors de la visite qu’il avait passé lors de son embauche. Le médecin l’avait interrogé sur sa situation professionnelle et avait pu se rendre compte qu’Olivier avait des prédispositions certaines à la soumission. Le docteur (vieil ami de MDE) avait donc décidé de le mettre en contact avec le Noble, c’est pour cette raison qu’il logeait au Château après avoir reçu un mail d’invitation. Son séjour avait commencé de la manière la plus perverse à commencer par Walter le Majordome, qui faisait aussi office de chauffeur du Noble, ensuite par Marie qui s’occupait des cuisines du Château. Tous étaient attentifs à ce qu’Olivier ressente ce que l’on attendait de lui ici par sa soumission latente à mettre en évidence et en éveil. Le Maître des lieux l’avait reçu et lui avait déjà montré une certaine domination à son égard et donc Olivier avait vite compris que le Châtelain attendait quelque chose de lui de plus évident en lui faisant comprendre que la soumission était bien ancrée dans l’esprit d’Olivier. Lors de leur rencontre le Noble avait prévenu :
- Profite de mon hospitalité en obéissant à tout ce qui te sera exigé, je reçois le weekend prochain de très bon amis, et mes Invités ont hâte de faire ta connaissance, tu seras le centre de leurs intérêts, crois-moi bien, petit chien …
Olivier ne savait pas quoi répondre, il n’avait pas l’habitude de passer du temps avec des personnes de qualité, il savait que le Châtelain était d’une noble extraction et que ses amis étaient sûrement des gens faisant partie de la haute société. Olivier ne pouvait qu’attendre, et c’est ce qu’il fit. Durant cette attente, il fut maintes fois préparé à l’obéissance totale par l’humiliation, la soumission, par des Exigences de plus en plus perverses. En effet il fut maintes fois sodomisé, fouetté, attaché, baisé, utilisé, on usa et abusa de ses orifices sans ménagement ... Le samedi approchant le Châtelain eu une conversation avec Olivier (en présence de Walter) afin de clarifier le rôle de celui-ci :
- Samedi soir, je veux que tous mes amis et moi-même jouissions de toi. Sache que je ne tolérai aucun écart de ta part. Tu devras te soumettre à nos caprices et Exigences, et tu peux me croire que nous savons ce que nous voulons. Tu es ici uniquement pour Me satisfaire. En cela, tu trouveras ton épanouissement en tant que soumis chien à Mes nobles pieds.
Le soumis ne savait que dire, il ne doutait plus que Monsieur le Marquis avait une grande expérience sur la façon de modeler les individus, sa Bibliothèque reflétait d’ailleurs cela. Olivier avait pu voir que de nombreux livres du Marquis de Sade étaient présents. Il ne doutait plus aussi que Monsieur le Marquis était plutôt un Dominateur expérimenté, Olivier quant à lui, était vite devenu durant l’attente du samedi, un soumis docile empli de dévotion et de reconnaissance envers le Maître et il sera donc ainsi lors de cette soirée prévue le samedi soir, très docile. Le Noble était justement en grande conversation avec Walter à ce sujet.
- Walter, je reçois samedi mes bon amis que tu connais, je veux que le Donjon soit prêt, soumis Olivier sera à notre disposition, je compte le soumettre longuement et profiter de lui et surtout en faire profiter mes Invités. Il sera, bien entendu, préparé à cette soirée, demain matin, tu le réveilleras comme tu sais si bien le faire, en l’enculant si c’est toi qui le réveille sinon ce sera Marie qui s’occupera de lui comme bon lui semblera si c’est elle qui le réveille. Oui tu le prépareras, je disais, car j’ai remarqué qu’il n’était pas complètement glabre alors je veux que son pubis soit exempte de tous poils ainsi que son anus, je veux passer ainsi avec mes convives une bonne soirée en usant et abusant de ce chien.
- Oui Monsieur le Marquis, demain il sera prêt, je m’en occupe et ainsi vous pourrez faire ce vous voulez de ce chien d’esclave, je vais vérifier ses dispositions afin qu’il vous soit totalement docile…
Cela commença à 7 heures le lendemain matin quand la porte de son cachot s’ouvrit avec fracas, Marie la cuisinière tonna sévèrement :
- Allez, debout le chien ! Tu crois que tu vas te la couler douce, tu es ici pour servir Monsieur le Marquis d’Evans.
Olivier sursauta, depuis son arrivée au cachot, il avait pris l’habitude par obligation à dormir nu et quand d’un geste Marie prit la seule couverture laquelle il avait droit, elle le découvrit et elle put s’apercevoir qu’il bandait à moitié.
- Mais tu bandes… certes mou, mais tu bandes ! Espèce de chien en chaleur…
Le soumis dans un réflexe avait porté ses mains devant son sexe, Marie gloussa devant ce geste enfantin, montre-moi tout cela tout en lui assenant une claque, que je vois tes couilles et cette bite de chien. Le soumis se cabra en recevant cette gifle et il porta sa main au visage pour se protéger se faisant il découvrit son sexe devenu rapidement mou. Marie remarqua la petitesse de la verge, vite ramollie par l’arrivée tonitruante de la cuisinière dans le cachot et surtout par la honte et l’humiliation de se faire traiter de ‘chien en chaleur’…
- J’en étais certaine, tu n’es pas bien pourvu par madame Nature, mon pauvre chien, tu es ce que nous avions tous pensé depuis ton arrivée, un soumis chien qui ce soir sera l’esclave de Monsieur le Marquis et à genou tu le supplieras, crois-moi j’ai une expérience certaine de la chose. Et maintenant debout, tu restes nu et en plus tu dois adopter l’attitude qui plait à Monsieur le Marquis : Tu ne dois jamais croiser les jambes, tes parties tu exposeras en permanence, tu dois te rendre disponible à Nos Volontés et à Nos Exigences. Tes orifices sont à notre entière disposition. Mais tout d’abord, tu dois te débarrasser de tes poils disgracieux. Tu as un rasoir, de la mousse à raser et un miroir que je dépose là sur ta cuvette des WC, tu utiliseras l’eau des chiottes, tu as une demi-heure pour tout enlever surtout n’oublie pas le pourtour de ton anus, Walter va venir tout à l’heure pour vérifier cela. De plus le connaissant, il va surement vouloir profiter de ton orifice anal, Monsieur le Marquis d’Evans aime avoir le ressenti de Walter avant de passer à la présentation au Donjon…
Olivier alla à quatre pattes vers la cuvette des WC, Marie constat qu’il y allait sans protester, voilà quelqu’un qui ne posera pas de soucis, se dit-elle. Le soumis se saisit du rasoir et appliqua la mousse à raser à hauteur de sa verge, par des gestes réguliers et précis il dégagea le pourtour de son sexe, la peau apparut lisse, blanche, sans la protection des poils sa queue lui parut encore plus petite, pour l’anus se fut plus difficile, il dut s’agenouiller et écarter les cuisses, le miroir posé par terre lui permettait de vérifier de la qualité de son travail au bout d’un moment son anus apparut. Marie lui avait dit que Walter allait vérifier donc il prit bien soin d’enlever le moindre poil, même si ce n’était pas évident de rincer le rasoir pour l’utiliser sur ses parties intimes avec l’eau froide des chiottes. Une fois cela fait, il fut autorisé à prendre une douche froide dans la petite pièce attenante au cachot et qui n’avait qu’un pommeau de douche suspendu au plafond et une évacuation d’eau allant vers une grille entre les dalles froides du sol. Cette pièce sans carrelage ni fenêtres, était simplement crépie à la chaux blanche. Aussi Olivier était en train de s’essuyer quand Walter surgit :
- Allez lopette, montre-moi tes parties de chien.
Olivier se tourna alors nu comme un vers devant le sourire narquois du Domestique.
- Bien, voilà une nouille bien glabre comme j’aime et ton anus comment est-il ?
- J’ai enlevé aussi les poils, Monsieur.
La paire de gifles qu’il reçut le cueillait à froid :
- Espèce de chien, je n’ai pas ordonné un commentaire, je t’ordonne de me montrer ton cul de lopette, allez tourne-toi, écarte les jambes et baisse toi.
Encore sous le choc, Olivier obéit, et c’est tremblant qu’il offrit son orifice anal au regard de Walter. Celui-ci s’approcha et le soumis entendit le bruit d’une fermeture éclair qui se baissait tout en laissant apparaitre le volumineux sexe du Majordome, le gland violacée de celui-ci commençait à prendre de l’épaisseur. Le Majordome savourait ce moment, sa verge dressée en un instant allait prendre possession de ce cul offert. Il était clair que le domestique était déjà bien excité à l’idée de saillir le soumis. Il allait le besogner pour vérifier de nouveau l’aptitude de ce soumis à l’obéissance et de plus son orifice serait plus souple pour ce soir. Monsieur le Marquis aimait cette qualité et ses amis aussi. Ainsi ils pourraient apprécier ce soir que ce soumis soit vraiment réceptif. Walter cracha en direction de l’anus, son gland recueilli au passage sa salive et glissa en direction de l’orifice qui paraissait bien serré. D’une poussée franche et ferme, il prit possession d’Olivier :
- Voilà un cul bien serré comme je les aime, tu es vraiment une petite pute et dans deux minutes, c’est comme une chienne en chaleur que tu vas haleter…
Le Majordome alors commença le mouvement de vas et viens et le soumis faillit crier de douleurs quand le sexe de Walter allait et venait, coulissant, écartant les chairs de cet anus qui se dilatait sous les coups de boutoirs du Domestique. Olivier d’abord sentit cette dilatation douloureusement, son anus s’ouvrait et puis ce fut un sentiment de plaisir qui monta et qui succéda vite à la douleur, son esprit venait de se rendre compte qu’il était finalement un chien qui avait besoin d’être Dominé. Walter fut satisfait quand il entendit les premiers gémissements d’Olivier qui sentit la main du Majordome se saisir de son sexe, il tira en arrière sa queue. Walter voulait s’assurer de quelque chose. Olivier ce chien soumis bandait et la main de Walter constata cela avec satisfaction. Le soumis serait ce soir un met de choix pour Monsieur le Marquis et ses convives, il se laissait faire et son corps réagissait positivement. Walter prit garde en revanche de ne pas éjaculer dans son trou du cul, seul le Maître avait ce privilège. Alors il sortit sa verge du cul d’Olivier, la rondelle était suffisamment assouplie et préparer à la soirée de ce soir. Alors le Majordome jouit dans la bouche du chien soumis qui prit garde de bien tout garder de l'abondant flot de semence qui jaillit dans sa gorge et emplit sa bouche de lopette. Walter lui lança :
- Avale tout la pute et sache que c’est simplement le hors d’œuvre, ce soir tu verras, cela va être autre chose et tu devras obéir en tout point à Monsieur le Marquis. Maintenant le chien, tu vas me suivre, c’est le retour à ton cachot qui t’attends en attendant ce soir.
Olivier se laissa guider à quatre pattes vers les bas-fonds du Château jusqu’à son cachot qu’il retrouva. Nu comme un ver, il se recroquevilla sur lui-même sur la paillasse qui lui servait de lit et il se mit la seule couverture qu’il disposait sur son corps afin de se réchauffer de l’humidité ambiante. Il comprit que la journée allait être longue dans l’attente jusqu’à ce soir auprès du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Qu’allait-on encore exiger de lui ?... Vers 14 heures, Marie la cuisinière lui porta à manger, rompant ainsi avec sa solitude, Olivier se restaura à quatre pattes en mangeant dans une gamelle sa pâtée nutritive devant Marie. Il remarqua aussi la baguette qu’elle tenait dans sa main gauche qu’elle tapotait contre sa hanche. La cuisinière avait pour rôle de vérifier l’aptitude des soumis à recevoir une correction, la baguette répondait à cette usage, longue et fine, Marie savait doser son geste. Dans un instant, elle allait pouvoir se prouver encore une fois son savoir-faire.
- Aller le chien, debout maintenant, tourne toi je vais te donner dix coups de cette baguette, tu vas écarter tes jambes, je veux voir tes couilles de chien, tu vas aussi mettre tes mains levées sur le mur, tête baissé, cul bombé en arrière. Aller en position maintenant, j’ai dit !
Olivier obéit et c’est dans l’attitude exigée par Marie qu’il reçut le premier coup, son corps se raidit et il ne put s’empêcher de crier.
- Tais-toi espèce de chien couinant, lui dit Marie. Tu dois recevoir ta punition en silence, seul le Maître peut t’inviter à parler, d’ailleurs sache que ce soir, tu dois lui porter respect, tu dois parler que si on t’exige à prendre la parole. Tu as bien compris, le chien !
- Oui
Une retentissante paire de gifles retentit, ce qui fait grandement rougir les joues du soumis
- Oui qui ??? Espèce de larve insignifiante- Oui Madame- C’est mieux ! Tu dois apprendre qui commande ici et ne pas nous manquer de respect. Ainsi tache de ne jamais n’oublier de terminer tes phrases par Maître quand tu es en présence de Monsieur le Marquis, tu comprends bien cela, obéissance absolue tu devras avoir...
Olivier bandait déjà rien qu'au fait de penser qu'il devra obéir, ça l'excitait grandement ...
(A suivre…)
Olivier était présent depuis plusieurs jours dans le Château de Monsieur le Marquis d’Evans, il avait fait sa connaissance par l’intermédiaire d’un médecin qui l’avait ausculté lors de la visite qu’il avait passé lors de son embauche. Le médecin l’avait interrogé sur sa situation professionnelle et avait pu se rendre compte qu’Olivier avait des prédispositions certaines à la soumission. Le docteur (vieil ami de MDE) avait donc décidé de le mettre en contact avec le Noble, c’est pour cette raison qu’il logeait au Château après avoir reçu un mail d’invitation. Son séjour avait commencé de la manière la plus perverse à commencer par Walter le Majordome, qui faisait aussi office de chauffeur du Noble, ensuite par Marie qui s’occupait des cuisines du Château. Tous étaient attentifs à ce qu’Olivier ressente ce que l’on attendait de lui ici par sa soumission latente à mettre en évidence et en éveil. Le Maître des lieux l’avait reçu et lui avait déjà montré une certaine domination à son égard et donc Olivier avait vite compris que le Châtelain attendait quelque chose de lui de plus évident en lui faisant comprendre que la soumission était bien ancrée dans l’esprit d’Olivier. Lors de leur rencontre le Noble avait prévenu :
- Profite de mon hospitalité en obéissant à tout ce qui te sera exigé, je reçois le weekend prochain de très bon amis, et mes Invités ont hâte de faire ta connaissance, tu seras le centre de leurs intérêts, crois-moi bien, petit chien …
Olivier ne savait pas quoi répondre, il n’avait pas l’habitude de passer du temps avec des personnes de qualité, il savait que le Châtelain était d’une noble extraction et que ses amis étaient sûrement des gens faisant partie de la haute société. Olivier ne pouvait qu’attendre, et c’est ce qu’il fit. Durant cette attente, il fut maintes fois préparé à l’obéissance totale par l’humiliation, la soumission, par des Exigences de plus en plus perverses. En effet il fut maintes fois sodomisé, fouetté, attaché, baisé, utilisé, on usa et abusa de ses orifices sans ménagement ... Le samedi approchant le Châtelain eu une conversation avec Olivier (en présence de Walter) afin de clarifier le rôle de celui-ci :
- Samedi soir, je veux que tous mes amis et moi-même jouissions de toi. Sache que je ne tolérai aucun écart de ta part. Tu devras te soumettre à nos caprices et Exigences, et tu peux me croire que nous savons ce que nous voulons. Tu es ici uniquement pour Me satisfaire. En cela, tu trouveras ton épanouissement en tant que soumis chien à Mes nobles pieds.
Le soumis ne savait que dire, il ne doutait plus que Monsieur le Marquis avait une grande expérience sur la façon de modeler les individus, sa Bibliothèque reflétait d’ailleurs cela. Olivier avait pu voir que de nombreux livres du Marquis de Sade étaient présents. Il ne doutait plus aussi que Monsieur le Marquis était plutôt un Dominateur expérimenté, Olivier quant à lui, était vite devenu durant l’attente du samedi, un soumis docile empli de dévotion et de reconnaissance envers le Maître et il sera donc ainsi lors de cette soirée prévue le samedi soir, très docile. Le Noble était justement en grande conversation avec Walter à ce sujet.
- Walter, je reçois samedi mes bon amis que tu connais, je veux que le Donjon soit prêt, soumis Olivier sera à notre disposition, je compte le soumettre longuement et profiter de lui et surtout en faire profiter mes Invités. Il sera, bien entendu, préparé à cette soirée, demain matin, tu le réveilleras comme tu sais si bien le faire, en l’enculant si c’est toi qui le réveille sinon ce sera Marie qui s’occupera de lui comme bon lui semblera si c’est elle qui le réveille. Oui tu le prépareras, je disais, car j’ai remarqué qu’il n’était pas complètement glabre alors je veux que son pubis soit exempte de tous poils ainsi que son anus, je veux passer ainsi avec mes convives une bonne soirée en usant et abusant de ce chien.
- Oui Monsieur le Marquis, demain il sera prêt, je m’en occupe et ainsi vous pourrez faire ce vous voulez de ce chien d’esclave, je vais vérifier ses dispositions afin qu’il vous soit totalement docile…
Cela commença à 7 heures le lendemain matin quand la porte de son cachot s’ouvrit avec fracas, Marie la cuisinière tonna sévèrement :
- Allez, debout le chien ! Tu crois que tu vas te la couler douce, tu es ici pour servir Monsieur le Marquis d’Evans.
Olivier sursauta, depuis son arrivée au cachot, il avait pris l’habitude par obligation à dormir nu et quand d’un geste Marie prit la seule couverture laquelle il avait droit, elle le découvrit et elle put s’apercevoir qu’il bandait à moitié.
- Mais tu bandes… certes mou, mais tu bandes ! Espèce de chien en chaleur…
Le soumis dans un réflexe avait porté ses mains devant son sexe, Marie gloussa devant ce geste enfantin, montre-moi tout cela tout en lui assenant une claque, que je vois tes couilles et cette bite de chien. Le soumis se cabra en recevant cette gifle et il porta sa main au visage pour se protéger se faisant il découvrit son sexe devenu rapidement mou. Marie remarqua la petitesse de la verge, vite ramollie par l’arrivée tonitruante de la cuisinière dans le cachot et surtout par la honte et l’humiliation de se faire traiter de ‘chien en chaleur’…
- J’en étais certaine, tu n’es pas bien pourvu par madame Nature, mon pauvre chien, tu es ce que nous avions tous pensé depuis ton arrivée, un soumis chien qui ce soir sera l’esclave de Monsieur le Marquis et à genou tu le supplieras, crois-moi j’ai une expérience certaine de la chose. Et maintenant debout, tu restes nu et en plus tu dois adopter l’attitude qui plait à Monsieur le Marquis : Tu ne dois jamais croiser les jambes, tes parties tu exposeras en permanence, tu dois te rendre disponible à Nos Volontés et à Nos Exigences. Tes orifices sont à notre entière disposition. Mais tout d’abord, tu dois te débarrasser de tes poils disgracieux. Tu as un rasoir, de la mousse à raser et un miroir que je dépose là sur ta cuvette des WC, tu utiliseras l’eau des chiottes, tu as une demi-heure pour tout enlever surtout n’oublie pas le pourtour de ton anus, Walter va venir tout à l’heure pour vérifier cela. De plus le connaissant, il va surement vouloir profiter de ton orifice anal, Monsieur le Marquis d’Evans aime avoir le ressenti de Walter avant de passer à la présentation au Donjon…
Olivier alla à quatre pattes vers la cuvette des WC, Marie constat qu’il y allait sans protester, voilà quelqu’un qui ne posera pas de soucis, se dit-elle. Le soumis se saisit du rasoir et appliqua la mousse à raser à hauteur de sa verge, par des gestes réguliers et précis il dégagea le pourtour de son sexe, la peau apparut lisse, blanche, sans la protection des poils sa queue lui parut encore plus petite, pour l’anus se fut plus difficile, il dut s’agenouiller et écarter les cuisses, le miroir posé par terre lui permettait de vérifier de la qualité de son travail au bout d’un moment son anus apparut. Marie lui avait dit que Walter allait vérifier donc il prit bien soin d’enlever le moindre poil, même si ce n’était pas évident de rincer le rasoir pour l’utiliser sur ses parties intimes avec l’eau froide des chiottes. Une fois cela fait, il fut autorisé à prendre une douche froide dans la petite pièce attenante au cachot et qui n’avait qu’un pommeau de douche suspendu au plafond et une évacuation d’eau allant vers une grille entre les dalles froides du sol. Cette pièce sans carrelage ni fenêtres, était simplement crépie à la chaux blanche. Aussi Olivier était en train de s’essuyer quand Walter surgit :
- Allez lopette, montre-moi tes parties de chien.
Olivier se tourna alors nu comme un vers devant le sourire narquois du Domestique.
- Bien, voilà une nouille bien glabre comme j’aime et ton anus comment est-il ?
- J’ai enlevé aussi les poils, Monsieur.
La paire de gifles qu’il reçut le cueillait à froid :
- Espèce de chien, je n’ai pas ordonné un commentaire, je t’ordonne de me montrer ton cul de lopette, allez tourne-toi, écarte les jambes et baisse toi.
Encore sous le choc, Olivier obéit, et c’est tremblant qu’il offrit son orifice anal au regard de Walter. Celui-ci s’approcha et le soumis entendit le bruit d’une fermeture éclair qui se baissait tout en laissant apparaitre le volumineux sexe du Majordome, le gland violacée de celui-ci commençait à prendre de l’épaisseur. Le Majordome savourait ce moment, sa verge dressée en un instant allait prendre possession de ce cul offert. Il était clair que le domestique était déjà bien excité à l’idée de saillir le soumis. Il allait le besogner pour vérifier de nouveau l’aptitude de ce soumis à l’obéissance et de plus son orifice serait plus souple pour ce soir. Monsieur le Marquis aimait cette qualité et ses amis aussi. Ainsi ils pourraient apprécier ce soir que ce soumis soit vraiment réceptif. Walter cracha en direction de l’anus, son gland recueilli au passage sa salive et glissa en direction de l’orifice qui paraissait bien serré. D’une poussée franche et ferme, il prit possession d’Olivier :
- Voilà un cul bien serré comme je les aime, tu es vraiment une petite pute et dans deux minutes, c’est comme une chienne en chaleur que tu vas haleter…
Le Majordome alors commença le mouvement de vas et viens et le soumis faillit crier de douleurs quand le sexe de Walter allait et venait, coulissant, écartant les chairs de cet anus qui se dilatait sous les coups de boutoirs du Domestique. Olivier d’abord sentit cette dilatation douloureusement, son anus s’ouvrait et puis ce fut un sentiment de plaisir qui monta et qui succéda vite à la douleur, son esprit venait de se rendre compte qu’il était finalement un chien qui avait besoin d’être Dominé. Walter fut satisfait quand il entendit les premiers gémissements d’Olivier qui sentit la main du Majordome se saisir de son sexe, il tira en arrière sa queue. Walter voulait s’assurer de quelque chose. Olivier ce chien soumis bandait et la main de Walter constata cela avec satisfaction. Le soumis serait ce soir un met de choix pour Monsieur le Marquis et ses convives, il se laissait faire et son corps réagissait positivement. Walter prit garde en revanche de ne pas éjaculer dans son trou du cul, seul le Maître avait ce privilège. Alors il sortit sa verge du cul d’Olivier, la rondelle était suffisamment assouplie et préparer à la soirée de ce soir. Alors le Majordome jouit dans la bouche du chien soumis qui prit garde de bien tout garder de l'abondant flot de semence qui jaillit dans sa gorge et emplit sa bouche de lopette. Walter lui lança :
- Avale tout la pute et sache que c’est simplement le hors d’œuvre, ce soir tu verras, cela va être autre chose et tu devras obéir en tout point à Monsieur le Marquis. Maintenant le chien, tu vas me suivre, c’est le retour à ton cachot qui t’attends en attendant ce soir.
Olivier se laissa guider à quatre pattes vers les bas-fonds du Château jusqu’à son cachot qu’il retrouva. Nu comme un ver, il se recroquevilla sur lui-même sur la paillasse qui lui servait de lit et il se mit la seule couverture qu’il disposait sur son corps afin de se réchauffer de l’humidité ambiante. Il comprit que la journée allait être longue dans l’attente jusqu’à ce soir auprès du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Qu’allait-on encore exiger de lui ?... Vers 14 heures, Marie la cuisinière lui porta à manger, rompant ainsi avec sa solitude, Olivier se restaura à quatre pattes en mangeant dans une gamelle sa pâtée nutritive devant Marie. Il remarqua aussi la baguette qu’elle tenait dans sa main gauche qu’elle tapotait contre sa hanche. La cuisinière avait pour rôle de vérifier l’aptitude des soumis à recevoir une correction, la baguette répondait à cette usage, longue et fine, Marie savait doser son geste. Dans un instant, elle allait pouvoir se prouver encore une fois son savoir-faire.
- Aller le chien, debout maintenant, tourne toi je vais te donner dix coups de cette baguette, tu vas écarter tes jambes, je veux voir tes couilles de chien, tu vas aussi mettre tes mains levées sur le mur, tête baissé, cul bombé en arrière. Aller en position maintenant, j’ai dit !
Olivier obéit et c’est dans l’attitude exigée par Marie qu’il reçut le premier coup, son corps se raidit et il ne put s’empêcher de crier.
- Tais-toi espèce de chien couinant, lui dit Marie. Tu dois recevoir ta punition en silence, seul le Maître peut t’inviter à parler, d’ailleurs sache que ce soir, tu dois lui porter respect, tu dois parler que si on t’exige à prendre la parole. Tu as bien compris, le chien !
- Oui
Une retentissante paire de gifles retentit, ce qui fait grandement rougir les joues du soumis
- Oui qui ??? Espèce de larve insignifiante- Oui Madame- C’est mieux ! Tu dois apprendre qui commande ici et ne pas nous manquer de respect. Ainsi tache de ne jamais n’oublier de terminer tes phrases par Maître quand tu es en présence de Monsieur le Marquis, tu comprends bien cela, obéissance absolue tu devras avoir...
Olivier bandait déjà rien qu'au fait de penser qu'il devra obéir, ça l'excitait grandement ...
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