Histoire d'une soumission au Château - histoire érotique

Histoire d'une soumission au Château -
Olivier toute sa vie vécu sous la soumission, soumis à l'autorité de ses parents, puis de ses professeurs, de ses responsables au travail. L'obéissance était devenue la norme de sa vie, ainsi Olivier fut sans le savoir formaté dans le bût de répondre positivement aux autres. Surtout que la nature lui avait donné un caractère docile à se plier sans jamais de sa vie, avoir eu un seul sentiment de révolte. Il était de nature servile. Et si on parle de son intimité on dirait que sa sexualité ne fut guère épanouissante même si on considère qu'elle fut normale, seule la découverte du plaisir avec une femme se réalisa tardivement. Il avait des rapports réguliers mais sans grande intensité. Il lui manquait quelque chose, et il mit des années avant de comprendre ce qui manquait tant à sa sexualité et plus profondément à son mental aussi. Ce besoin quasi viscéral d'avoir dans son intimité un rapport de Dominant à dominer pour vivre son quotidien. Ainsi pour combler son manque, il commença à cheminer vers la découverte de nouveaux plaisirs espérant ainsi trouver son bonheur. Nouveaux plaisirs, qu'il chercha d'abord sur internet par le visionnage de vidéos, puis par des tchats un peu plus poussés sur Messenger. Ainsi, il put par écrit exprimer et faire partager son besoin de soumission auprès d'un homme Dominant se faisant appeler Maître. Olivier était ainsi un chien soumis dans l’âme et en recherche d’une main ferme d'un Maître pour le tenir fermement. Les messages écrits et échangés avec ce Maître le mettaient en situation de ses fantasmes, comme par exemple d'aller sous le bureau de son chef, un mâle autoritaire sûr de lui qui en imposait auprès du personnel, et dans le bût de lui faire une fellation telle une bonne chienne pute ou plus tôt tel un bon chien soumis… Ainsi ce genre de conversation textuelle avec ce Maître virtuel, aboutie au bout de quelques semaines à une rencontre dans le bureau même de ce Dominant et avocat de renom, afin de vivre en réel son fantasme. Quand il fut introduit dans le bureau par la secrétaire, intimidé il lança simplement le premier mot en balbutiant :
- Bon… bonsoir …- Bonsoir qui ?
- Bonsoir Maître- Oui, tu as bien compris, tu m'appelleras Maître, maintenant- Tu vas te comporter comme ma petite pute ce soir, j'ai eu une journée de travail fatigante, viens sous mon bureau me soulager- Bien Maître, je vais me glisser sous votre bureau, laisser-moi m'approcher ouvrer bien vos cuisses ….

Le Maître sourit, Olivier venait en effet de passer sous le bureau, la journée du Maître allait se terminer de la meilleure façon rien de telle qu'une bonne fellation pour décompresser. Olivier commença par masser les bourses du Maître à travers le pantalon. Ses mains se promenaient sur les couilles afin de dégager celles-ci, le sexe lui-même se dressait, Olivier savait s'y prendre, son seul objectif était de garder le silence et faire jouir le Maître avec application. Ainsi il ouvrit la braguette du Maître, celui-ci écarta un peu plus ses cuisses, le soumis allait dans quelques instants découvrir l'objet de son désir, voir le sexe du Maître et pouvoir l'honorer. La braguette s'ouvrit complètement, laissant deviner un sexe long et ferme sous un slip qui le masquait encore sauf que celui-ci ne recouvrait qu'une partie du mandrin. Le gland violacé était visible, luisant même et aussi surtout odorant après une journée de travail. Olivier n'en fut pas choqué, sa main se porta maintenant vers l'élastique du slip afin de bien dégager le sexe du Maître. Celui-ci dit :
- C'est bien ma petite pute, allez applique-toi, soulage-moi bien.

Olivier approcha son visage sa bouche s'ouvrit pour laisser passer sa langue remonter le long du mandrin, le but étant de procurer le maximum de plaisir sans prendre en bouche tout de suite le gland le Maître afin de faire monter le désir du mâle Dominant. Le soumis était attentif à ce qu'était sa mission : La jouissance du Maître. Après avoir lécher le mandrin longuement avec application, mais aussi les bourses qui furent également léchées gobées et embrassées mainte fois, il était de temps de prendre le volumineux sexe en bouche. Olivier présenta sa bouche devant le gland et l'aspira, prenant bien soin de lubrifier par sa salive la verge tendue du Maître. Le mouvement de va et vient allait pouvoir commencer …
Le mouvement fut puissant, la bouche d'Olivier se déforma face à l'assaut du membre, Olivier s'appliqua à bien répondre aux coups de boutoir en restant bien en place. A ce moment-là, il n'est qu'un objet dédié au plaisir de Celui qu'il devait appeler Maître. Rapidement Olivier comprit que l'éjaculation serait puissante et abondante, et effectivement, c'est ce qui arriva, Olivier au début fut surpris mais ne refusa pas cette semence. Le flot de sperme se déversa tout au fond de sa gorge, il avala consciencieusement et avec application. Le pantalon du Maître ne devait pas être taché et donc il s'appliqua aussi à bien aspirer et à bien lécher le gland pour recueillir la dernière goutte de sperme. C'est ainsi que l'on doit agir quand on est un soumis dédié au plaisir du Maître. D'ailleurs Celui-ci ayant jouis, le congédia sans dire un mot par un signe de la main directif. Olivier quitta donc ce bureau et à cette heure tardive son départ était d'ailleurs imminent. Le temps de trajet pour regagner son domicile était propice à la réflexion … Pourquoi ce besoin de soumission ? Ce besoin d'être traité de cette façon, de rechercher ces sensations-là qui lui procurent tellement de plaisir, pourquoi ressentit-il son sexe se tendre ? Olivier avait besoin de réponses…
Internet permettait beaucoup de recherches et Olivier savait qu'une partie de la soirée serait consacrée à la visite de sites évoquant des situations de Dominations/soumission entre Maître et soumis. Son besoin de comprendre ce qu'il lui arrivait le poussa à consulter un site médical évoquant les addictions, notamment sexuelles. Un site particulièrement attirait son attention et donnait le nom d'un psychiatre spécialisé dans ce genre de pathologies. En voulant en savoir plus sur lui-même il décida d'appeler dès le lendemain pour prendre rendez-vous… Le lendemain, il effectua cette tâche, une voix de femme, la secrétaire, répondit au téléphone, et le rendez-vous fut fixé avec le psychiatre. Il était prévu pour le 15 mars prochain. En attendant la date de la rencontre, Olivier vaqua à ses occupations quotidiennes… Le 15 mars arriva et Olivier se déplaça à l'adresse indiquée, l'accueil et les formalités administratives furent rapidement effectués et Olivier se trouva dans la salle d'attente. Quand son tour arriva, et une fois introduit dans son cabinet, il se retrouva face à un médecin d'un certain âge, poliment celui-ci le pria de s'assoir sur la chaise devant son bureau. La première dizaine de minutes fut consacrée à des questions liées à son enfance, son éducation, sa place dans la société, son quotidien, etc …. Puis le questionnaire porta sur le pourquoi de sa venue. Olivier expliqua son addiction pour la soumission, ce besoin absolue d’être soumis. Le médecin écouta attentivement d'un air intéressé, de temps en temps il prenait des notes. Olivier au bout d'un moment se tût, il avait expliqué d'une manière très claire ce qu'il faisait et pourquoi ce comportement le dérangeait. Le médecin soudain prit la parole.

- Bien, j'ai compris votre cas, vous êtes dans un système ou vous êtes partagé entre ce que vous pourriez faire et avec qui, d’une part, et ce que vous souhaitez faire d’autre part. Tant que vous n'avez pas franchi le pas, vous serez insatisfait. Vous aurez toujours un manque dans votre sexualité et dans votre Etre intérieur tout entier. Il est évident que la soumission doit vous apporter l’équilibre intérieur et ainsi combler ce manque autant à votre intellect qu’à votre libido…
Le médecin repris sa respiration, tout en se grattant le bout du menton en levant la tête, signe qu’il pensait à quelqu’un. Alors, il continua :
- Je vais prendre contact avec quelqu'un qui va vous recevoir afin de vous aider à assouvir ce que vous êtes en devenir. C'est un de mes vieux amis, un Grand spécialiste de la Domination/soumission, une éminence dans ce domaine. D’ailleurs il est une référence mondiale dans ce monde mal connu du commun des mortels, monde D/s que la société puritaine qualifie de déviant. Il s'appelle Monsieur Le Marquis d'Evans. C’est un milliardaire à la tête d’une grande multinationale et de plus est, c’est un Noble issu de notre vieille royauté française, descendant d’une grande lignée de marquis depuis 1625... Son Château est situé dans le Beaujolais... Je vais l'appeler pour qu'il vous prenne en charge dans sa Demeure. Il devrait pouvoir vous aider à trouver votre voix. J'en suis persuadé... Vous recevrez bientôt un courrier de ma part vous indiquant la marche à suivre pour être admis chez Lui. Maintenant, je dois quand même m'assurer de vos dispositions pour la soumission, car je ne peux pas me permettre de vous adresser à Monsieur le Marquis, si je me suis trompé dans mon diagnostic. Je vous demande donc de vous dévêtir entièrement, offrez moi votre nudité…
Olivier se leva et tout en regardant dans les yeux le médecin, il se déshabilla et se trouva nu au regard du docteur. Alors, il commença à baisser la tête, ce qui occasionna la remarque du psychiatre :
- Bien, je vois que tu baisses naturellement la tête, c'est une bonne chose. Ton sexe est glabre de tout poil ce qui veut dire que tu prends du plaisir à l’épiler, c’est un signe de prédisposition… Pour le reste mon assistante va contrôler tes dispositions à la soumission... Mais avant cela regarde bien ce qui va se passer, car ça te donnera une idée de ce qui t’attend chez Monsieur le Marquis d’Evans, si tu souhaites, bien entendu, toujours y aller après ce que tu vas voir …
A ces mots, le médecin en tendant le bras, appuya sur l'interphone posé sur son bureau et intima d'une voix sèche l'ordre à sa secrétaire particulière de les rejoindre... Elle entra dans l'instant et referma la porte derrière elle, puis avança jusqu'à un mètre du docteur avant de s'immobiliser. Il ne lui accorda même pas un regard et il claqua des doigts tout en prenant une cigarette qu'il alluma. Au claquement de doigts, la secrétaire en silence, avait dégrafé son chemisier et l'avait laissé tomber, dévoilant une poitrine ferme et lourde, aux tétons épais et marrons ... puis elle fit glisser sa jupe sur le sol. Elle ne portait qu'un porte-jarretelle et des bas noirs, sa croupe était rebondie et cambrée... sur la peau persistaient les traces encore fraîches d'une flagellation qui avait du être très appuyée car les stries étaient encore rouges et il restait des bleus sur la peau blanche du cul rebondi de la femelle.

- Tu vois, dit le médecin, elle a passé deux semaines chez Monsieur le Marquis d’Evans avant de revenir travailler ici... Elle était un peu rétive au début, mais elle a vite appris. Maintenant c'est une bonne petite putain, elle travaille bien ici et sait comment m'apporter un peu de détente lorsque j'en ai besoin. Et le reste du temps, elle vit dans une chambre de bonne dans mon immeuble, à ma disposition... Et à celle de Claire (c'était sa femme) qui est beaucoup plus exigeante que moi, d'ailleurs"...

(A suivre …)