Inoubliables premières fois - histoire érotique

Je vous conterai ma 3ème entrevue sexe avec le vieux TBM, plus tard.
Cette fois, je vous parle d'une autre histoire.

Pour plus d'aisance, dorénavant, j'utiliserai toujours le "Je" plutôt que le "Il", pour le personnage principal.
A vous de deviner, si j'ai vraiment vécu les faits contés.

En tant que jeune homme introverti, j'ai mis du temps avant d'avoir des relations sexuelles.
Mais depuis deux ans, j'ai gagné en assurance, et j'enchaine les rapports avec ma petite amie, qui me considère comme un amant parfait.
Mais elle ignore tout de ma vie intime et cachée.
Celle que je vis, lorsque je m'isole.

Depuis mon enfance, je n'arrive pas à me passer de jeux interdits, avec mon anus.
Si j'ai connu ma première éjaculation vers 12 ou 13 ans, c'est vers 16 ans que j'ai atteins mon premier orgasme anal.
En atteignant ce sommet de plaisir, je remerciais la vie de connaitre ça.
Suite à l'excitation que cela m'a provoqué, c'est à la fin de la masturbation de ma queue, et la puissante éjaculation que j'ai vécu, que j'ai compris que je ne pourrai plus me passer de ce plaisir interdit.

Comme d'habitude, gagné par mes scrupules, j'ai encore chialé ensuite.
"Non, il faut que j'arrête ! Je veux pas devenir pédé !".

Mais comment lutter ? Surtout quand la force des orgasmes anaux sont supérieurs à celle d'une éjaculation.
Donc, ce fut une lutte intérieure continuelle contre ce besoin, physique avant tout.
Parce que les garçons ne m'attirent pas du tout !

J'avoue ressentir un trouble, devant la virilité d'un homme mur, sans savoir ce que cela cache.
J'en suis encore à penser que c'est une forme d'admiration, doublée d'un immense respect.
Aujourd'hui, je sais que sans le vouloir, je voulais qu'ils me dominent.
J'ai tenu bon jusqu'à 22 ans environ.

Lors de mes rechutes en solitaire, j'atteins l'orgasme anal constamment, ce qui ne m'aide pas à m'arrêter !
Puis, j'ai osé entrer dans un cinéma porno. Pour les films, au commencement.

Ce ne sera pas ma seule fois, mais les premières après-midi, je fuyais les hommes qui me draguaient.
Les fois suivantes m'ont particulièrement marquées.
Il faut avouer que plus je m'y rendais, et plus l'envie de jouer avec un homme me titillait.
L'idée faisait son chemin, mon vice gagnait du terrain.

Il m'est arrivé de reluquer des voisins qui se branlaient la queue, avec dégout au début, puis curiosité ensuite.
Et donc, à force de voir des grosses verges, je ressens une fascination pour ces hommes qui en possède une grosse, voir très grosse !
Dès que l'homme est mieux pourvu que moi, je suis fasciné.

Enfin, alors qu'on se branlaient l'un près de l'autre, l'un d'eux a su me persuader de le caresser, après qu'il ait remplacé ma main sur ma bite.
J'étais tétanisé, mais également très excité.

Puis c'est l'explosion, il me macule les doigts, qui se mettent à glisser avec beaucoup plus d'aisance sur sa belle bite, grâce à son abondant sperme gluant et chaud.
Je suis à la fois choqué et excité, ses remerciements me font du bien, mais entendre ses râles de plaisir est une découverte.
Ils me donnent un sentiment d'utilité, qui s'oppose au sentiment de honte.
J'ai adoré donner du bonheur à cet inconnu.
Je suis rentré après une masturbation solitaire, en me détestant ensuite.

Mais chaque nouvelle expérience revenait sans cesse à la charge. En gagnant du terrain dans mon esprit.
Bref, mon vice devenait plus important. J'avais envie de recommencer !
Toucher une belle verge bien dure, en avoir plein les doigts, à la fin.
Retrouver cette chaleur visqueuse.
Et surtout entendre le bonheur de celui qu'on masturbe, jusqu'au point final, où il est si fragile entre vos doits.

Donc, après quelques semaines à repousser cette envie, me revoilà, de nouveau dans un cinéma porno.
Un inconnu, se pose près de moi.

Nos regards se croisent, on se sourit, puis, c'est lui qui ose déballer sa verge en premier.
Comme je débute, et que je suis timide, je me laisse conduire.
Je l'imite en me caressant près de lui.
Sa verge est magnifique, épaisse et un peu longue, je suis ridicule à coté.
A peine, ai-je posé mes doigts sur elle, qu'il me force à me baisser.

Je suis surpris, je ne m'y attendais pas !
Comment dois-je faire ? Est ce que je vais aimer ça ?

Tout de suite, je pense à ma copine qui adore me sucer, et à tout ce qu'elle fait, quand elle me fait une fellation.
Instinctivement, je sors d'abord ma langue pour en tester le gout.
Orhhh ! C'est très agréable, et doux ! J'aime le contact chaud de sa peau, au niveau du gland.

La suite s'impose par sa faute, il m'appuie plus fort sur le crâne, et sa bite me remplit la gorge.
Je l'entend gémir, c'est encore une découverte pour moi.
L'afflux important de sang dans ma bite est sans appel, j'aime ce qui m'arrive.
Toujours instinctivement, je décide d'imiter ma copine quand elle me suce.

Et là, c'est une révélation ! J'en ai mal à la queue ! Putain, ce que ça m'excite de sucer cette bite !
Tout m'enivre ! Le gout, la dureté, ses râles ! Je me découvre gourmand comme jamais, j'en deviens inventif.
L'homme me complimente:

"Orhhhh ! Ce que tu suces bien ! Continues ! C'est bonnnn !".

Il ajoute:

"Tu l'aimes ma queue ? Elle te plait ?".
"Mmmmmmmm... Mmmmmmmm. Mmmoui ! Sllllrp... Sllllrp ! Elle m'excite !".

Je replonge sur elle comme un affamé, en amplifiant mon rythme d'enfoncement continu.
Quand il m'a bloqué d'un coup, je me suis affolé !
Putain, j'espérais qu'il me préviendrai, et qu'il éjaculerai dans mes doigts !

Le sperme gluant m'envahit le palais, sa chaleur me trouble.
Je découvre un gout légèrement salé, que je trouve agréable.
Le souvenir de ma copine me revient, elle avale toujours mon plaisir, pourquoi pas moi ?
Un détail important fini de me motiver, ce sont les râles de l'homme qui me remplit la gorge.
J'ai pas le droit de le décevoir, surtout que j'aime avoir ce gout dans la bouche.
J'avale ma première gorgée de sperme, ça m'enchante le gosier.
Hummm ! Contre toute attente, je comprends ma copine ! J'en veux encore !

A tout cela s'ajoute les significations symboliques, qui commencent à m'exciter gravement.
Je viens de faire une pipe à un homme de 50 ans, et il me crache son jus dans la bouche !
Je reprend ma fellation pour tout lui soutirer, pendant qu'il râle en me remerciant de lui faire vivre ce moment.
Ensuite, j'ai du mal à m'arrêter de le sucer, c'est addictif pour moi.
Il me stoppe, et me complimente:
"Tu m'as bien fait jouir, merci, jeune !".

Ce jour là, j'ai sucé 5 autres inconnus, avant de me branler dans les toilettes du cinéma.

Le retour à la raison fut horrible ! Putain, j'ai aimé sucer des hommes ! J'veux pas être pédé !
Inutile d'ajouter que je n'ai pas résisté longtemps avant de réitérer l'expérience sur 5 ou 6 mois.
Enfin, il y eu ce jour, ou je savais ce qui m'attendait.
Je commençais à me sentir frustré de toujours jouir du cul sur un objet inerte et froid (au début, ensuite c'est mieux)!
Je repoussai cette échéance, mais la curiosité et l'envie devenaient trop fortes.
J'avais surpris des hommes qui en baisaient d'autres, et ça aussi, ça gagnait du terrain.
Et puis, j'avais comme pensée que seule la verge d'un homme m'intéressait ! Pas lui !
La prochaine fois qu'on me sollicite pour me baiser, je ne refuserai pas, c'est décidé.

Comme les fois précédentes, des hommes se pressent pour profiter de mes talents buccaux.
Je m'abreuve de sperme à outrance.
Il y a rarement moins d'une cinquantaine d'inconnus dans ce cinéma, donc il m'arrive souvent d'en contenter les plus avantagés sexuellement.
Mon physique de jeune homme les attirent comme des mouches, donc il n'est pas rare que je suce de dix à une vingtaine de belles queues de toutes origines.

Je connais par cœur les "codes" du cinéma, à présent.
Il faut bouger !
Parfois un homme vient s'assoir près de vous dans les rangées de sièges, ou il vous rejoint aux toilettes.
Maintenant, je n'ai plus honte, j'accepte qu'on me surprenne entrain de sucer un homme près des urinoirs.
Cela depuis qu'un inconnu nous ai rejoint, puis un autre, et j'ai alors vécu une double éjaculation simultanée, pendant que le troisième arrosait le sol en se branlant, suite à mon refus de sodomie.
Tout ça me donnait le sentiment d'appartenir à un club secret, celui des hommes qui se font du bien à l'abri du regard des gens "normaux".

Donc, c'est en me rendant aux toilettes, que je me fais aborder par un inconnu d'une quarantaine d'année, voire plus.
Il arbore une verge splendide, très épaisse, bien longue et très dure.
J'avance timidement ma main vers sa bite, et commence à le masturber.

L'homme scrute les alentours et me dit:

"Je suis pas à l'aise, ici ! T'as pas un endroit pour qu'on soit tranquilles ?".
Je repense à ce désir que je ne cesse de refouler, si je dois passer le cap, pourquoi pas avec lui ? Mais la taille de sa verge me préoccupe.
Elle est plus grosse que mon jouet anal. Bon tant pis, on verra ! C'est le moment ou jamais !

"Je... je sais pas... Euh,... oui, on... on peut aller... à mon appartement ! J'habite à 500 m".
"T'as un appart ? C'est génial, on y va ? Tu me montres ou c'est ! J'te suis !".

On range nos sexes, et il m'emboite le pas vers la sortie.
Je n'oublierai jamais ce trouble que j'ai ressenti.
Est-ce que la vieille qui tient la caisse, va comprendre que l'homme me suit pour me baiser ?

Et les gens dans la rue ? Ils devinent ce que je m'apprête à vivre ?
J'essaie de ne pas me retourner trop souvent, pour vérifier si l'inconnu est toujours derrière moi.

Tous mes questionnements me reprennent.
"Putain ! Tu te rends compte de ce que tu vas faire ? Tu ne pourra plus revenir en arrière ! A partir de là, tu seras vraiment un pédé ! Y a pas d'autres mots !".
Mais le besoin de savoir est trop puissant, je veux connaitre la jouissance anale avec un vrai sexe, mon vice est plus fort que ma raison.
Pourvu que je ne sois pas déçu ! Qu'il ait un peu d'endurance !

Arrivé devant ma porte d'immeuble, je me retourne.
Il est toujours là, à dix mètres, à peine.
Aucun retour en arrière n'est possible.
Il se faufile dans l'entrée, puis me suit jusqu'à mon appartement.

Je ne sais pas quoi dire.
C'est lui qui m'enserre contre lui, en me disant:

"Hummmm ! Tu me plais beaucoup ! Tu rencontres souvent des mecs ?".
"Non, pas trop ! je vais surtout au cinéma, en fait ! T'es le premier que j'amènes ici ! J'ai l'appart depuis 3 semaines".
"Hummmm ! J'ai de la chance alors !".

Ses mains se baladent sur mon corps, et se concentrent sur mes fesses.
Puis, quelque chose que je n'avait pas prévu de déroule.
Il me prend la bouche, en m'offrant un long baiser pervers.
C'est mon premier baiser avec un homme.

Je réponds instinctivement, en espérant ne pas lui faire sentir que c'est pas vraiment mon truc.
Mais ça m'excite visiblement, puis que mes doigts ouvrent sa braguette, et vont tout naturellement sur sa verge.

A peine l'ai-je dégagée, qu'il m'imprime une poussée vers le bas.
Je suis dans une fébrilité anormale, je pense, tout excité:
(Putain, je vais sucer un homme chez moi ! Orhhhh, j'en ai trop envie ! Elle est trop belle)

"Hmmmmmmmmm ! Orhhhh ! Tu suces bien ! Jeune ! Continues comme ça !".

Je glousse sur sa bite.
"Mmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmm...".

J'adore admirer sa queue en pleine lumière.
Puis je tombe sur son regard dans le miroir de mon armoire, et je suis confronté à ma condition de jeune salope, pour la première fois de visu.
Finalement, j'aime ce que je vois, je m'y sens dans mon rôle, que je ne défini pas encore comme celui d'une femelle soumise.

L'homme prend son temps, et profite du plaisir que je lui offre en me complimentant.
Je suis comblé.
Puis, il me saisit par les cheveux, et me frappe le visage avec sa bite.
J'en bande davantage, et le regarde faire dans le miroir.

"T'aimes ça, salope ?".

C'est la première fois qu'on me parle comme ça, je suis d'abord troublé !
J'ai déjà reçu des insultes en suçant d'autres hommes, mais très rarement, et pas sur un ton aussi dominant.

"Alors ? Tu réponds ? Salope ?".
"Euh... oui, j'aime ça !".
"C'est bien ! Allez, tu vas me pomper comme une pute ! Viens là !".

Il s'assoit sur le bord de mon lit, après s'être débarrassé de son pantalon.
Sa grosse verge est tendue vers moi.
Je me suis dénudé à sa demande, en même temps que lui, avant de me prosterner entre ses cuisses.

"Hummmm ! T'es trop bandant ! J'vais m'éclater à te baiser !".

Il me met dans tous mes états, je pensais pas avoir envie d'un homme avec autant de force.
Je le pompe comme une salope gourmande.

Il m'arrête au bout de quelques minutes délicieuses.

"Stop ! Laisses moi me relever !".

Il m'embrasse encore, alors que je branle sa verge.
Mon corps est pivoté, mon regard se perd dans la glace, l'homme fait 30 cm de plus que moi.
Son corps est si corpulent derrière le mien.

Tout ça m'excite encore, j'ai tellement envie de lui appartenir !
Je suis penché d'un coup sur le lit, avec le dos à l'équerre devant lui.
Il s'enduit la queue de salive, et me badigeonne l'anus avec d'autres crachats.

Je pense (Ca y est ! C'est le moment fatidique ! Tu vas enfin connaitre la sensation d'une vraie bite dans ton cul ! Ca y est ! T'es devenu un pédé ! Tu vas te faire enculer pour de vrai !).

Je découvre ce premier contact. C'est plus dur que je ne le pensais !
L'homme pousse avec puissance, mais contrôle son insertion pour ne pas me faire mal.
Il recule, puis revient.
Comme j'ai déjà inséré des objets dans mon anus, j'imite ces moments intimes, en poussant sur mon muscle afin qu'il s'ouvre.

L'homme est doué, il s'insère patiemment, jusqu'à m'enfoncer son gros gland.

"Arghhhhhhhh ...!".
"Ca va ?".
"Orhhh ! Oui, ça va, tu peux continuer !".

Il recule, puis revient, et sa verge me rempli l'anus d'un coup, sans s'arrêter, dans un mouvement long et profond.
Je me perd dans mes pensées. Tout se bouscule dans ma tête.
(Orhhhh ! Putain, ça n'a rien a voir ! C'est tellement meilleur ! Enfin, j'ai une vraie bite dans le cul!)
Le plaisir me submerge.

"Arghhhhhhhhhhhh ! Orghhhhhhhhh ! C'est trop bon !".
"Elle te plait ma queue ? Je peux y aller maintenant ? T'es prêt ! j'peux te baiser comme j'ai envie ?".
"Orhhhh ! Oui, vas-y ! Encules-moi !".

Il amplifie ses mouvements, et me possède avec puissance.
Tout est découverte, je suis submergé par les sensations anales.
Bien plus fortes qu'avec un objet, je me laisse baiser par cet homme, et c'est bon de se laisser faire.
Qu'est-ce que c'est agréable d'être dans la peau de celui qu'on baise !
Il me fait connaitre un nouveau sentiment, celui de me sentir femelle sous les coups de bite de d'un homme.

"Hummmm ! Putain ! C'est bon de t'enculer ! T'es une bonne petite chienne ! T'encaisses bien pour un jeune de ton âge ! T'as l'air d'aimer ça ! Elle te fait du bien ma queue ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Oui, putain, tu m'encules bien. Je vais jouir ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh...".
"Ouais ! Ca, ça m'plait ! Tu couines bien ! Minot !".

Il me pousse devant lui, pour me coucher sur le lit, et me pilonner par derrière.
Je me sens dominé à outrance, et je découvre un nouveau besoin, j'en deviens fou.

Il me fait presque mal en s'enfonçant dans mon cul à fond, mais je me surprend à lui réclamer:

"Oui ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Plus fort ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".

En fait, cette première fois pour moi, pose les bases de ma future quête avec les hommes.

Ensuite, il me plie la jambe sur le coté, et reprend son pilonnage de ma jeune "chatte", que je n'appellerai ainsi que plus tard, pour imiter mes amants.

Mes cuisses pivotent encore, et il s'engouffre entre elles, pour m'enculer en m'embrassant.
Cette fois le plaisir anal m'aide à répondre avec envie, à ce baiser.
Je me sens encore plus femelle dans cette position, je m'imagine dans la peau de ma copine, quand je la possède.
Comme elle, mes cuisses et mes bras l'enserrent, pendant que je vis mon énième orgasme dans sa bouche.
Qu'est-ce que c'est bon !

Il se dresse un peu après, pour regarder sa verge qui me transperce, alors que je tiens mes cuisses relevées à sa demande.
Son corps claque contre mon cul.
Il me plante sans cesse en tenant mes chevilles, à présent.
Ma chatte dégouline de jus, elle a atteint sa béance maximale depuis longtemps.

Il se calme ensuite.
Il s'étend près de moi, et me dirige la bouche, vers son gland.

"Voilà ! Doucement, me fais-pas jouir ! Il faut que ça redescende ! Suces moi lentement !".
"Mmmmmmmm... mmmmmmmm... mmmmmmm... C'est bon... mmmmmmm... mmmmmmm...".
"Pour moi aussi, c'est bon ! T'es un bon coup ! J'me régale !".
"Mmmmmmmm... mmmmmmmm... merci... mmmmmmm... mmmmmmm...".

Cette tendre fellation me fait découvrir que j'aime offrir de la tendresse à une belle verge.
Je veux lui transmettre toute ma passion pour lui, avec ma langue et ma bouche.

Un long moment plus tard, il me fait monter sur sa verge.
Je m'en réjouis A mon tour de lui montrer que j'aime baiser avec lui !
Je m'empale comme une jeune folle sur sa grosse bite, en râlant mon plaisir anal comme une salope.

"Putain, tu me baises bien ! Orghhhhhhhhh ! Vas-y, défonces-toi la chatte ! Encore !".

Il m'arrête à nouveau, puis me place encore en levrette, avec ma tête coincée contre le mur.
Mon petit corps se fait secouer comme un pantin.
Je glisse une main sous mes couilles trempées.
Je constate l'évidence, il m'enfonce sa grosse bite jusqu'aux couilles et avec une force incroyable.
"Ca te plait que j'te casse le cul ! Salope ! Dis-le !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii...".

Je parviens à capter la vue de ce premier amant qui se déchaine derrière moi, dans le miroir.
Ses grandes mains qui se lèvent, et s'agrippent en me claquant les fesses pour m'enculer encore plus fort.
C'est trop bon ! Le plaisir est trop intense, tout me comble ! La vue de mon acte, la soumission physique et verbale que je subis, mes orgasmes successifs.
Rien ne sera plus jamais comme avant, désormais. Je vais devoir accepter cette réalité, j'aime me faire enculer par un homme comme lui!

Il augmente son rythme, j'en mord le matelas, tellement c'est soutenu et incroyablement bon.
Je joui en criant mon plaisir.
Puis je ressens des secousses saccadées dans mon anus.
D'un coup, ses râles me parviennent, pourtant il jouissait depuis quelques secondes, déjà.
Mais j'étais trop pris par mon plaisir.

Je le sens qui se contorsionne, en s'enfonçant à grands coups de verge dans ma jeune chatte.

"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! Arhhhhhhhhhhh ! Orhhhh ! Qu'es-ce que c'est bon ! Ourhhhhhhh ! J'aime trop jouir dans ton p'tit cul, minot ! Putain ! Tu m'as éclaté la bite !".

De mon coté, je vis une montée de plaisir cérébral, toute aussi intense, en comprenant que je me fais remplir la chatte de foutre chaud.
Il m'incite à m'étendre sous lui, puis fini de jouir longuement, en bougeant sa verge lentement dans mon trou béant, plein de foutre.
On partage avec perversité nos gémissements de bonheur.

Ensuite, il me demande de lui lécher la verge, "Comme tout à l'heure ! C'était bon !".

Je me régale de lui rendre le plaisir vécu, en lui offrant ce bonheur buccal.
On a ensuite discuté plus d'une heure, où je lui révèle que c'est ma première fois.
"Tu te fous de moi, c'est pas possible, ça s'est trop bien passé !".
J'ai pas insisté, j'avais honte de lui révéler que je me baisait en secret, depuis mon enfance.
Comme un idiot, je pensais lui avoir tellement plus, qu'on se reverrai, donc j'ai pas osé non plus, lui proposer une autre rencontre.

On a repris notre jeu buccal, avec un bonheur partagé.
Il m'a encore longuement enculé dans toutes les positions possibles, entre hommes.
Je n'ai éjaculé qu'à la fin, dix minutes avant lui, alors qu'il me possédait avec les cuisses écartées.
Il a joui en m'enculant par terre, comme une chienne, en levrette.

Il m'a laissé dans un état lamentable, mais tellement comblé.
J'ai découvert tant de plaisirs insoupçonnés, ce jour là !
Comme celui, d'avoir la semence d'un homme en moi.
Même les écoulements anaux incontrôlés m'ont excités.
Avoir des marques de mains sur les flancs de mes fesses, avec la vue de ma chatte rougie, écartelée et ruisselante de jus.
Remarquer ce jus gluant de couleur crème qui sort de mon orifice anal.
Vivre aussi cette sensation d'avoir encore sa verge en moi, alors que ma chatte est vide !

Je me suis écroulé tel quel, sur mon lit jusqu'à 10 heures du matin.
Puis, ce fut le désenchantement, le retour de mes scrupules pendant deux ans encore, avant d'accepter ce que je suis, un bisexuel soumis aux hommes.
Mais le plus dur, ce fut de réaliser que cette première fois à été trop belle !
Parce qu'après lui, j'ai du donner ma chatte à une multitude amants, avant d'en connaitre un aussi endurant.
J'allais de déception, en déception.
Je ne sais pas, si je l'ai marqué comme lui l'a fait sur moi.
Apparemment non, puisque je ne l'ai jamais revu ! Je ne connais même pas son prénom.
Pendant plus de 6 mois, je n'ai fréquenté que ce cinéma, avec l'espoir de le revoir.
15 ans plus tard, dans mon cercle amical, j'ai connu un homme qui lui ressemblait étrangement.
Un policier marié et proche de la retraite ! Est-ce que c'était lui ? Je ne le saurai jamais.