Je l'ai persuadé. - histoire érotique

A cette époque, je bossais dans une entreprise du bâtiment. J'avais 24 ans.

C'est l'heure de quitter le boulot, je rejoins les potes aux vestiaires.
Une fois changé, ça m'arrive rarement, mais je ressens encore cette gênante sensation de l'anus.
Je me rend aux toilettes, afin de me soulager de ce phénomène de sphincter qui s'ouvre sans que je puisse l'en empêcher.
Surtout que cela s'accompagne de sécrétions gluantes.
Sur les WC, je me vide de quelques sécrétions anales, mon anus est ouvert et poisseux.
Et la vue de mon slip pollué, me confirme ce que je vis.
Pourtant, j'ai pas d'envie particulière ! Je mets ça sur la chaleur étouffante de l'été ! Presque 40 degrés !

En attendant mon bus, je pense à Daniel, mon ancien amant de plus de cinquante ans.
Il m'aurait fait beaucoup de bien ! Bon, tant pis.
Je le vois, seul dans le fond du car, comme chaque soir.

On a convenu de s'éviter, il est trop attaché à moi, et ne supporte plus de me partager avec Corinne.
Notre amitié me manque aussi.

Mais, j'écoute mes pulsions, et je vais le rejoindre.

"Je peux m'assoir avec toi ?".
"Oui, tu peux ! Tu vas bien ?".
"Oui, et toi ?".
"Oui, j'essaie d'aller de l'avant !".

"Notre amitié me manque ! On peut pas se revoir comme avant ?".
"Je... Je sais pas, c'est encore trot tôt ! Notre amitié me manque, à moi aussi, mais c'est dur d'être près de toi !".
"J'ai envie que tu m'invites à boire un café, allez acceptes !".

En disant ça, j'ai l'anus qui suinte encore, j'ai envie de lui, pourvu qu'il accepte.

"Bon, OK ! Je veux bien !".

On se sourit, et nous reprenons une discussion plus simple.
En entrant chez lui, je me dis qu'il n'est pas dupe, et sait que j'ai envie de lui.
Il me surprend en disant:

"Tu veux prendre une douche ?".
"Euh, oui, je veux bien, merci !".
"De rien, c'est normal avec ton boulot ! Vas y, je t'amène une serviette !".

Je suis nu sous le jet, lorsqu'il entre.

"T'es toujours aussi beau, même couvert de mousse !".

Je lui souris, la douche m'a un peu calmé.

"Tu veux pas venir avec moi ?".
"Non, ce serait pas raisonnable !".

Je me rince, puis sort en m'avançant vers lui.
Je le plaque contre la porte, en lui massant la verge.

"Je te fais plus envie ? Prends moi, s'il te plait ! Baises-moi, il faut que tu me fasses jouir !".
Sa verge commence à bander sous mes doigts.
Il m'attrape par les cheveux et me dit:

"Tu veux jouir du cul ? Que je te défonce la chatte? Tu sais m'exciter, salope ! J'vais me soulager, j'en peux plus de me branler en pensant à toi !".
"Orhhhh ! Pardon, chéri ! Oui, défoules toi ! Défonces-moi !".

Il m'éloigne pour se dévêtir, puis me colle contre le mur.
Un gros crachat me couvre l'anus, puis son gros gland vient forcer mon orifice.
Je m'ouvre déjà, en moins de trois poussées, il commence à m'investir analement.

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiii ! Putain, j'en avais besoin ! Arhhhhhhhhhhhhh ! C'est bon, Daniel !...".
"Orhhhhhhhhhh ! Putain ! Pourquoi t'aimes les filles ? On serait tellement heureux tous les deux !".
"Chuttt ! Tais toi ! Contentes toi de m'enculer ! J'en ai besoin !".

Il me plie devant lui, et me secoue en me transperçant comme un pantin sexuel.
Mon anus lubrifie sa verge avec abondance, ma béance anale est à son apogée.
Je suis bien, avec sa grosse bite qui me burine sans retenue.

"Je vais jouir, Daniel ! Encore ! Arghhhhhhhhhhhhh ! C'est trop bon ! Arhhhhhhhhhh...".
"Putain ! Tu me trempes la queue, mon chéri ! Tu m'excites ! T'es le seul qui me prend en entier comme ça ! T'es faite pour ma bite, ma p'tite salope !".
"Ouiiiiiiiii ! Encore ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh !...".

Je reçois des claques sur les fesses, il se lâche.

"C'est ça que tu voulais, salope ! Que je t'éclate la chatte !"
"Arghhhhhhhh ! Oui, pardon, mais j'en avais trop besoin ! Arghhhhhhhh ! Oui, comme ça !...".

Il sort de mon orifice, et contemple ma béance anale en se tenant la queue.

"Putain, t'as la chatte toute trempée ! J'adore !".
"Je sais, j'ai mouillé du cul toute l'après-midi, il fallait que tu me baises !".

Je me retourne, et le couche au sol, pour l'enfourcher.
Je m'appuie sur son torse, en provoquant des bruits de flatulences, pendant que je m'empale sur son gros mandrin.

"Putain, c'est bon, tu me baises bien, Pascal ! Tu m'excites avec ta chatte ! Encore ! Vas-y défonces la, plus fort !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiii !".

Je me colle à sa bouche, pour gémir dans sa gorge.
Il prend les choses en main, pour m'aider à le baiser.
Il me redresse, j'ai pris un plaisir anal énorme, et je redescend de mon nuage lentement.
Il fixe ma verge, toujours au repos.

"Tu veux pas jouir avec ta queue ?".
"J'y pense pas, j'ai besoin de plaisir anal, ça se voit non ? Tu veux que j'éjacule ?".
"Oui ! J'aimerai bien ! Continues, je vais te branler pendant que tu me baises la bite.

Je bouge avec amplitude, sur sa grosse verge, en lui laissant l'espace nécessaire à la masturbation de mon sexe.

Le moment est délicieux, j'aime le voir et l'entendre gémir, tout en s'appliquant à me faire bander, de plus en plus fermement.
Je le sens, de plus en plus serré dans ma chatte, qui se comprime à cause de mon érection.

"Arghhhhhhhhhh ! Daniel, je te sens bien ! Arghhhhhhhhhh ! Encore, je vais cracher ! Arggggggggggggggg !...".

Il regarde mon sperme qui lui recouvre le ventre, puis m'attire contre sa bouche, pour un baiser tendre et pervers à la fois.
Il gémit dans ma gorge, en mêlant son plaisir au mien.
Des à-coups me confirment qu'il m'envoie son foutre au fond de la chatte.

Ca m'excite tellement que je bouge sur lui, comme une femelle en chaleur.
Il s'extirpe de ma bouche, pour se mettre à râler son plaisir éjaculatoire.
Je plonge dans son cou pour jouir avec lui, avec uce bonheur extrême, de ressentir chaque moment d'insémination, avec force.

"Orhhh ! Oui, Daniel, encore, donnes moi tout ! Orghh ...Comme ça ! Mmmmm ! C'est bon !".

Il m'entoure de ses bras, en secouant son bassin autant que nécessaire, pour se vider de tout son plaisir.
Après un long moment de cette "petite mort", il brise le silence:

"Il faut plus revenir ici, Pascal ! C'est trop dur pour moi !".
"Je suis désolé, j'ai réagi à une trop forte pulsion ! Mais je te comprends ! Excuses-moi ! J'irai voir un autre homme, la prochaine fois !".
"C'est dur d'y penser, mais je préfère !".
"Dommage, c'est tellement bon avec toi !".
"Pour moi aussi, mais tu veux pas quitter ta femme ! Il vaut mieux en rester là !".
"Bon, je vais me rhabiller, et je te laisse !".

Il me retient, et ajoute:

"Attends ! On est bien, là ! Pour aujourd'hui, c'est plié ! Donc, autant en profiter ! Tu veux ton café ?".
"Oui !".

Il me prépare ma boisson chaude, pendant que je rejette son sperme sous la douche, avec un lavement.
Un rapide coup d'œil pervers, sur le foutre qui disparait dans la bonde finit de m'exciter, j'aime tellement me faire prendre par Daniel.

Je le rejoins dans le salon, affublé uniquement d'un slip, il fait trop chaud et il est nu lui aussi.

"T'es pressé, ce soir ?".
"Pas vraiment ! Tu sais que je suis libre de mes envies, avec Corinne ! Pourquoi ?".

"Elle a quelqu'un en ce moment, elle voit toujours Chris ?".
"Non, elle a quelqu'un d'autre ! Qu'elle voit plus rarement d'ailleurs!".
"Tu veux l'appeler, pour lui dire que je te garde un peu ?".

Je l'ai fait, mais pas de réponse au bout du fil, elle n'est peut être pas encore rentrée !

"Elle répond pas, mais je reste quand même !".

Après une bonne heure de conversation sur notre histoire, il s'est levé pour m'enfoncer sa grosse bite dans la gorge.
J'en gémis de bonheur, j'ai pas eu cette chance, tout à l'heure !
Il me caresse la tête en m'admirant, coulissant sur son gros mandrin de plaisir.

"Hummmmm ! Elle me rend dingue ta bite ! J'aime trop la sucer ! Je la voudrais tous les jours dans ma bouche !".
"Ca ne tient qu'à toi, mon chéri ! Orhhhh ! C'est bon ! Oui, comme ça ! Arhhh....".

Je vais m'en donner à cœur joie, pendant de longues minutes, puis, je me dirige vers le canapé, pour m'y poser en écartant les cuisses.

"Viens ! Fais moi tout ce que tu veux !".

Dès ses premiers mouvements, ma chatte flatule en rejetant du jus avec abondance.

"Putain, ce que tu mouilles du cul ! J'hallucine ! Ca glisse tout seul ! C'est bon !".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Je joui ! Encore ! Encules-moi plus fort !".

Il me possède assez longuement pour me provoquer un écoulement de prostate.
Il me pose par terre et replonge entre mes cuisses, en écrasant son corps sur le mien.
J'inonde nos deux ventres. Mes râles lui révèlent mes puissants orgasmes.

Je sais qu'il n'est pas prêt de vivre sa deuxième éjaculation, même si j'aurai pu me contenter de m'arrêter là !

Mes écoulements ont cessé, il me redresse et me couche sur le ventre, contre sa table de salon.
Il m'encule en me frappant le fessier, et lâchant quelques insultes.

Il agrément le jeu, en se faisant pomper la bite pendant une à deux minutes, de temps en temps.
J'aime avoir le gout de ma chatte, en le suçant.
Ensuite, il m'encule encore et encore, et recommence en me défonçant la gorge.

Je le reprend encore en bouche pour la énième fois, on est trop excités, c'est sur !
Ma chatte et l'intérieur de mes cuisses sont dégoulinants.

Il me surprend, quand il décide de se branler tout seul, en visant ma gorge.
Il me tient par le haut de la chevelure, et montre des signes de fébrilité.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ca y est ! Ouvres ta p'tite gueule ! Salope ! Arghhhhhhhhhh ! Avales !".

Son jus s'éjecte dans ma gorge, moins abondamment que ce qu'il m'a joui dans la chatte, mais assez pour me combler d'un plaisir cérébral énorme.

Il me couvre de mots tendres et d'insultes vicieuses, tour à tour, entre chaque gémissement de plaisir.
Je vis un moment buccal intense, j'aime sucer cet homme !

Il me prend par le bras, et m'attire vers le canapé pour que je lui dévore la verge plus tranquillement, en s'allongeant sous moi.

"Hummmmm ! Je pourrai passer des heures à me faire sucer comme ça ! Elle est trop bonne ta bouche !".
"Mmmmmm ! Mmmmmmm ! Mmmmmm ! Merci ! Mmmmmm !...".

"Régales toi ! Moi j'en profite ! C'est surement notre dernière fois !".
"Elle va me manquer ! J'aime l'avoir dans la chatte, la bouche ! Partout, j'adore son jus aussi ! Hummmm ! Mmmmm ! ...".
"Chhut ! Tais toi ! Orhhhh ! C'est bon...".

Il me coince la tête pour mimer une possession de ma gorge, j'aime ce traitement.
Ensuite, il me relève le visage, je comprends que c'est la fin de notre séance, dommage !

Je l'ai laissé, persuadé qu'on recommencerai, et j'avais raison !
La fois suivante, c'est lui qui m'a persuadé de le suivre chez lui, il nous a fallu plusieurs mois pour cesser de nous voir !