JE SUIS UN THON (3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : JE SUIS UN THON (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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(9.0 / 10)

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JE SUIS UN THON (3)
Je m’appelle Gertrude, mais j’ai décidé de changer ce prénom et de m’appeler Véronique. Je suis sur les hauteurs de Neuchatel chez un docteur que je croyais être un homme, mais qui peut être une femme de la manière dont la secrétaire l’a présenté.

La salle d’attente où elle me fait entrer est meublée avec goût, je comprendre que le docteur gagne très bien sa vie.
Je m’avance jusqu’à la fenêtre et la vue qui m’est offerte, est magnifique. Le lac sous toute sa splendeur avec la chaîne des alpes majestueuses dans cette nuit commençant à tomber me fait penser à une carte postale.

• Bonjour ou je devrais dire bonsoir, je suis le docteur Lee.

Si Lee, semble être son nom Wan est son prénom. Ce petit bout de femme, moins grand que moi bien typé allant bien avec son nom et ses yeux bridés me, tend la main.

• Je voulais m’excuser de mon retard, mais les yeux d’un enfant, c’est sacré, d’autant plus que mon intervention semble être un succès.
• Je suis enchanté de l’apprendre, je m’appelle Véronique.
• Vous avez de la chance d’avoir un si joli prénom, j’aimerais avoir, moi aussi un prénom différent d’un nom. Vous savez, ce sont nos parents qui font le choix pour nous.

Ce petit bout de femme pétillante me fait rire intérieurement si elle savait que je me prénom Gertrude.

• Vous êtes libre ce soir.
• Oui, j’ai des rendez-vous demain en France à une heure de route.
• Alors, je vous invite au restaurant pour me faire pardonner du retard et ainsi nous joindrons l’utile à l’agréable, mon estomac est vide depuis hier midi, j’ai une faim de loup et nous parlerons de votre produit devant un bon verre.
• Madame, je vous laisse, à demain.

C’est la secrétaire qui vient de passer la tête par la porte et qui part sa journée terminée.

• Venez Véronique, nous allons prendre ma voiture.
Avant je vais tout fermer, venez jusqu’à mon bureau, il y en a pour une minute.

Fermés tous les volets d’une telle maison vont lui prendre certainement plus d’une minute, contrairement à elle j’ai mangé à midi, j’ai donc le temps.
Elle s’installe à sa table, tape sur son clavier d’ordinateur.
Les deux volets de la pièce descendent automatiquement et un claque de sécurité s’entendent.
Wan avait dit une minute et tout ce fait en moins de trente secondes.

• La lumière dans la cuisine est ouverte, attendez, j’appuie là et c’est éteint.

Toute la maison est sous contrôle par ordinateur même le chauffage par pièce, Wan a dû dépenser une fortune pour équiper, une telle bâtisse mais le résultat est probant et surtout efficace Il lui reste son sac à main à récupérer et son bureau à éteindre pour sortir et récupérer sa Mercedes coupée sport.

• Vous allez voir, je connais une merveille de restaurant où la nourriture est aussi bonne qu’en France.
Et si l’on se tutoyait.
• Aucun inconvénient, Wan.
• C’est parfait Véronique.

En me disant cela, alors que nous venons de nous asseoir dans son bolide, elle me pose la main sur ma cuisse quelques secondes. Cette main chaude fait passer dans mon corps un frisson proche du plaisir malgré le tissu qui sépare nos peaux.
Le restaurant où nous entrons est une vraie bonbonnière ou plutôt une maison de poupée.
Poupée comme la patronne qui nous accueille.
Dans la salle une table est occupée par deux hommes et la plupart des tables par des femmes mais aussi deux couples, j’allais dire normaux.
Elle nous fait la bise montrant que Wan à ses entrées dans la maison et nous installe dans un coin tranquille.
Nous sommes dans un milieu lesbien mais l’atmosphère et la manière dont toutes ces femmes se comportent même si c’est très discret me fait voir les penchants que Wan doit avoir pour son propre sexe.
À aucun moment je me suis posé la question de ce que je ferai si une femme entreprenait de me séduire, mais il me faut reconnaître qu’au moment présent, être ou pas être mon cerveau accepte cette nouvelle situation.
Rapidement je penche pour essayer cette nouvelle situation. Je voulais donner du piment au thon que je suis, depuis quelques jours je suis servi alors si elle est d’accord, je suis prêt à tester les rapports féminins. J’aurai toujours la possibilité de revenir à mes pratiques habituelles du style de celle que j’ai faite la nuit dernière avec mon auto-stoppeur puceau.
La commande passée, Wan tient à détendre l’atmosphère qui est devenue pesante depuis que nous sommes entrés dans cette salle.
Elle me prend la main que j’ai posée sur la table et qui joue avec mon couteau censé me donner une contenance.

• Chérie, tu veux que je t’explique ma vie.

Je suis tellement surprise qu’elle me dise chérie que je lui laisse ma main.
Mieux, la chaleur qui passe entre nous à tendance à me faire mouiller.

• Tu as remarqué que nous sommes dans un restaurant où les femmes aiment se retrouver entre elle et ainsi évité d’être agressées par les hommes qui sont toujours à chercher à nous draguer pour nous baiser.
J’ai toujours ma virginité même si j’ai perdu mon hymen depuis bien des années.
J’ai toujours recherché des filles dans ma vie. J’ai vécu avec l’une d’elles jusqu’à, il y a six mois où elle est partie vivre aux États-Unis pour prendre un poste de direction dans une grosse entreprise ayant sa succursale en Suisse qu’elle dirigeait.
• Pourquoi moi, je suis moche et je suis sûr que si tu t’en donne-la peine, tu es capable de trouver mieux et surtout une fille qui saura te donner les plaisirs qui me sont inconnus.
• Véronique, rien ne s’explique, lorsque je t’ai vu de dos regardant le paysage, une étincelle a surgi en moi et j’ai tout de suite été persuadé que tu es celle que j’ai toujours cherchée. Tu vois, j’en ai la confirmation depuis que je te tiens la main, je sens tes ondes positives passées en moi.
Je suis sûr que tu mouilles.

Comme une petite fille prise en faute, je baisse la tête.

• Oui.

En même temps que, j’avoue mon crime, je sens son pied sous la table se placer sur mon entrejambe et venir me caresser.
J’ai un instant le regret d’être en jupe et que ce pied soit directement en contact avec ma chatte que je sens ruisseler.

• Tu vois, j’ai raison, ton pantalon est humide, reste comme tu es, je vais te faire jouir.

Ce qu’il m’arrive est incroyable, elle a raison, ses doigts qui courent sur mon sexe me font dégager des sensations qui vont me faire atteindre le plaisir.
Je descends ma main opposée à la salle et j’appuie sur son pied pour accentuer mes sensations L’orgasme qui monte en moi va scandaliser tous les convives aussi je me mords la lèvre et à part un petit bruit mal refréner, je suis persuadé avoir évité le scandale.
C’est sans compter la perspicacité des femmes entre elles lorsque j’ouvre les yeux et que je voie ces dames des deux tables les plus proches me faire un signe de connivence.

• Ma pauvre chérie, tu saignes dommage que nous soyons en compagnie, je te soignerai avec ma langue, tu verras, je suis très doué.

J’ai devant moi une femme dévastatrice, sur de son faite, elle avance ses pions et le plus surprenant c’est que j’adhère. Je n’ai jamais ressenti ce pincement au cœur avec mon mari ou mes amants comme j’en ressens un en ce moment.
Je veux lui faire voir que moi aussi je peux prendre des initiatives.
Ma chaussure enlevée, je suis en pantalon, sans bas, je remonte ma jambe comme elle la fait avec moi.
Surprise, surprise, elle a oublié sa culotte en cherchant mon chemin, mon pouce trouve sa vulve dilatée et entre sans que je force.
Contrairement à moi elle est moins discrète et l’Oh ! que sa bouche émet est entendue par les tables voisines. Mieux même, les deux hommes tournent la tête et cela me permet de constater qu’ils se prennent la main en se disant des paroles impossibles à entendre pour nous.
La patronne voyant que nos amours deviennent dévastateurs accélère le service et rapidement je monte dans la Mercédes.
En sortant je la remercie pour ce bon repas.

• Vous féliciterez le chef pour sa bonne cuisine.
• Pas le chef, la chef, c’est mon amie qui fait la cuisine.

Je comprends mieux de A à Z je suis entouré de femme qui veulent que je viennent connaître leur monde et je sens que je ne suis pas hostile.
Dans la voiture, Wan me prend les lèvres et je dois reconnaître que cette petite langue agile me procure des sensations que je jamais je pensais connaître un jour.
Je m’étais persuadé lorsque j’ai compris les orientations sexuelles de Wan que je serai active, mais devant la montagne qu’est cette évolution de vie, je reçois sa langue et sa main sur mon intimité sans pouvoir prendre la moindre initiative.
Sans me demander mon avis, elle prend le chemin du retour chez elle.
Après une fraction de lucidité, je reconnais ma bêtise, ma voiture est garée chez elle.
C’est presque en courant que nous entrons et que nous montons à l’étage où se trouve son appartement.
Je n’ai pas le temps de visiter, car elle m’entraîne directement vers son lit ou elle me jette littéralement pour enlever mon pantalon et ma culotte. Je ne peux avoir l’outrecuidance de dire ma petite culotte.
À aucun moment mes seins semblent l’intéresser du moins pour le moment.
J’aimerais lui ôter la jupe de son tailleur, mais elle avance déjà sa bouche vers ma toison et je vois pointer sa petite langue à laquelle je dois reconnaître, que c’est le premier élément de l’amour qui monte en moi.
À chaque étape de ce que je découvre depuis le début de soirée ce petit bout d’elle est là.
Jamais ce petit organe que chacun a dans la bouche des homos…sapiens n’a eu autant d’importance.
À tous les moments de notre vie, elle est là. Et nos rapports sexuels sont conditionnés par son agilité et sa persévérance à nous apporter du plaisir.
La langue de Wan suit cette réalité lorsqu’elle atteint la petite turgescence que je possède en haut de ma vulve et que l’on aperçoit lorsqu’elle écarte mes grandes lèvres.
Ma chatte a été sucée par mes amants, mais jamais une telle agilité ne c’est fait sentir au centre de mon corps.
Mon cerveau disjoncte de mon corps qui part dans des hauteurs ou des niveaux extrêmes et un orgasme manquant me faire perdre conscience quelques secondes éclate.
J’ai relativement bien souvent joui en baisant surtout ces derniers jours mais là, c’est incomparable d’autant plus que je suis restée passive.
Je reprends conscience pour inviter Wan à me rejoindre afin que nos deux corps nous soient accessibles à toutes les deux.
Je la prends dans mes bras et je lui offre mes lèvres. C’est encore ma langue qui vient entourer la sienne en même temps que ma main vient couvrir sa toison d’un brun très foncé.
C’est drôle de constater que notre désir a été si violent que nous sommes restés à moitié habillés.
Je lui arrache sa jupe, elle m’arrache mon corsage, je lui enlève le sien, mon soutien-gorge tombe et pour finir j’enlève le sien non sans avant avoir donné des coups de langue sur son visage que je trouve si beau.
Que dire de ce que je découvre, la pointe de ses seins, non, pas une pointe, une fraise des bois, non trop petite, une vrai fraise non trop grosse, je finis par trouver, ses seins sont petits et surmontés de mûre dont la base est si ténue que d’un simple coup de dent, je suis sûr que je pourrai la détacher ?
Il va sans dire que je n’en fais rien, je me contente de les faire rouler sous ma langue jusqu’au moment où sans ne rien faire de plus elle cabre son corps frappé par des frissons de plaisir.
Il me reste à découvrir, son sexe. Ce que je fais dès que la pensée m’en vient. Avec regret je laisse mon savoureux dessert pour descendre ma langue sur son fripon petit nombril.
Mes amants en avaient tous un, mais le tarauder avec la pointe de ma langue me seraient venus. Aucun point de comparaison, mais celui de Wan est si profond que j’arrive à entrer le tiers de ma langue.
J’ai l’impression qu’elle est, sexe mâle et que le nombril de ma petite est, sexe femelle.
En descendant le long de son corps, j’ai libéré l’espace pour qu’elle puisse, elle aussi descendre le long de nos corps.
Je reste à la hauteur de son nombril le temps quelle face le même chemin et lorsque je sens son souffle et les petits lapements à l’endroit où j’ai été détaché de ma mère, je reprends ma descente imitée par Wan qui me suit au même rythme.
Je reprendre mon chemin vers le bas et découvre l’entre jambes de mon amante.
Sa toison est très bien taillée comparée à la mienne qui est plutôt du genre forêt vierge et coupée en carré car des petits poils me montre la vaste étendue qui doit être recouverte si elle ne fait rien.
Je sens qu’elle a atteint le même point de nos corps aussi, je prendre son bouton en bouche lorsque mes yeux tombent dessus.
À part le mien, vu lorsque j’avais quinze ans en me servant d’une glace pour découvrir mon entrejambe qui me chatouillait depuis quelque temps, ce que j’avais vu, avaient des différences avec ce que je vois.
Son clitoris ressemble à une petite bite comme celle d’un bébé garçon avec en son point haut une jolie bille bien rose.
Au moment où je vais la saisir Wan fait exactement le même mouvement et à deux millimètres de nos clitos une décharge électrique traverse nos corps.
Décharge normale car nous venons de connecter deux phases identiques de nos corps provoquant cette décharge positive.
Son clitoris en bouche, conjugué au mien au centre de la sienne nous, apporte un bien-être jamais ressenti de toute ma vie.
Je dis nous, car je suis certaine au même instant que mon amante ressent exactement la même chose.
Nous jouissons plusieurs fois au simple contact de nos bouches et le plaisir dévastateurs qui nous emporte nous retrouve au matin dans la même position.
Nous nous endormons nous étant à nouveau enlacés.
Quelle journée, un puceau et une maîtresse jolis comme un cœur qui m’initie aux plaisirs des femmes.

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