Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau)

Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau)
Suite au départ de Mr X, j'avais été bouleversée.
Mon amie m'avait soutenue, elle était présente lorsque j'en avais besoin, mais me laissait l'espace nécessaire pour me remettre, elle m'avait d'ailleurs accompagnée à l'enterrement.
Par la suite, j'avais dit à mes deux amis que je souhaitais arrêter la relation que nous entretenions, je voulais me recentrer sur moi-même, repartir de l'avant, ils l'avaient bien compris.
Lorsque j'avais été chez Mr X, rencontré son neveu et sa nièce pour reprendre un objet, j'avais remarqué qu'il ne restait aucun ustensile que nous avions utilisé... Il avait réellement tout prévu.
Tout était retombé, je passais beaucoup de temps seule chez moi, je pleurais beaucoup, je ne m'étais d'ailleurs plus touchée depuis ce jour, je finis par allumer mon vieil ordinateur et chercher des chats en ligne, j'avais envie de discuter, mais pas avec mes amis qui me savaient peiner.
Je remarquais très vite que les tchats, c'était un nid à pervers... Je finis quand même par discuter de tout et de rien, certains étaient sympathiques, puis, quand je vais bien, je suis comme eux après tout !?
Je ne sais pas comment, un réussi à me faire allumer ma webcam, il m'avait dit de mettre un masque si ça me mettait plus à l'aise, on discutait en vocal, on rigolait, je ne le voyais pas, même si je lui demandais plusieurs fois.
On parlait depuis 2 ou 3 heures, mais à peine avais-je mis ma cam, sa voix peut-être, il réussit à me faire me déshabiller, à me faire me mettre à quatre pattes devant l'écran.
Il me fit lui montrer mes différents objets, j'avais de tout... D'abord je dû mettre un bâillon, afin de ne plus parler et écouter, puis je dû prendre mon petit fouet et tourner mon cul vers l'écran et me fouetter jusqu'à ce qu'il m'autorise à stopper.
Evidemment, il me fit faire plus fort que ce que je faisais, il me fit ensuite me baiser devant lui avec l'un de mes godes, pour ensuite jouer du fouet au même endroit.
Il me le disait, et le savait que j'aimais être dans cet état, j'avais des larmes qui avait coulées sous le masque dû à la douleur, la bave qui coulait du baillon...
Je finis à quatre pattes, vibro dans la chatte, gode dans mon cul et suçant un autre gode, j'eus un début de femme fontaine, je restais là sur le sol, les fesses en l'air à continuer de me sodomiser, il allumait sa caméra, je vis son sexe, pas très grand, il se branlait.
- Continue à jouer dans ton cul, je vais venir.
Il finit par venir assez vite et coupa caméra et conversation.
Il était 23h14.
Je partis prendre une douche, alors que je me lavais, je décidai que j'allais boire un verre, j'enfilais une robe légèrement décolletée, des talons, ce soir j'allais me faire sauter.
Nous avions un endroit, regroupant des cafés où les gens faisaient la fête, j'y allais, me posais au comptoir et prenais un verre.
Voyant une femme seule, plusieurs hommes m'abordaient tout au long de la soirée, mais ils n'avaient rien qui me donnait envie, certains étaient séduisants, mais ça s'arrêtait là.
- Salut, je peux t'offrir un verre ?
- Tu peux, oui. Dis-je.
- On te voit avec mes amis depuis tout à l'heure, seule, te faisant accoster et recaler tout le monde, on s'est dit que tu pourrais venir avec nous, on termine la soirée ensemble ainsi.
- Pourquoi pas, après tout...
- Chef, tu remets la même bouteille à ma table ?
Et je partis près d'eux, on se présentait tous et la soirée se passait bien, ils étaient gentils, marrants, bons, pas des hommes que je regarderais, mais au moins je passais un bon moment.
Après quelques heures, le café commençait à se vider, ça allait fermer, celui qui m'avait abordé dit alors.
- Ben voilà, on va devoir rentrer, tu rentres comment ?
- En voiture. Dis-je.
- Si tu veux, tu peux revenir avec nous, la terminée avec nous.
Je réfléchis un instant et puis me dis pourquoi pas.
- Donne moi l'adresse et j'arrive.
On se quittait et je rentrais dans ma voiture, mon amie avait ma localisation dans son téléphone dans le pire des cas et je sais qu'elle regardait souvent !
J'arrivais devant une petite maison, je voyais de la lumière dans une pièce au rez-de-chaussée et j'appuyais sur la sonnette, ils furent étonnés. Je rentrais, mais l'ambiance était différente, ils semblaient gênés.
- Qu'est-ce que vous avez ?
- Rien pourquoi ? Dis l'un d'eux.
- On dirait que vous avez un balais dans le cul, vous étiez plus amusant tout à l'heure.
- C'est que...
- C'est que vous voulez me sauter mais vous ne vous attendiez pas à ce que je vienne ?
- Voilà, oui...
- Et vous voulez me prendre tout les trois ?
- Oui...
Je les regardais tous les trois, ça se sentait qu'ils manquaient d'expérience, ils allaient avoir ce qu'ils voulaient mais je voulais m'amuser.
- Abaissez tous les trois vos pantalons et vos slips pour voir ce que vous avez à proposer.
Ils furent surpris, ne réagirent pas, je fis un peu glisser la bride de ma robe en disant que j'avais chaud.
Un abaissait, suivi des autres.
J'avais les trois sexes face à moi, pas bien grand, pas bien épais, mais ça ferait l'affaire.
- Vous semblez excités...
Je découvrais mes deux épaules, laissant apparaitre mon soutien gorge.
- Vous aimez ce que vous voyez ?
Tous les trois, le sexe bien tendu me répondirent par la positive.
- Rapprochez vous de moi, j'aimerais vous voir vous branler proche de moi, de mon visage.
L'excitation montante, ils ne se firent pas prier, un premier s'arrêtait, car ça allait venir.
- Je suis déçue, baise moi les pieds alors.
Et il le fit !
Un autre eu pareil et sans que je lui dise, fit comme son ami.
Le troisième tenait, je décidais de le regarder dans les yeux, de rapprocher mes lèvres de son sexe.
Il finit par s'arrêter aussi, essoufflé.
- Retirer complètement vos vêtements.
Ils le firent et l'un me dis :
- Et toi?
- Laisse moi profiter un peu, après tu vas avoir tout ce que tu veux. Dis-je
Une fois nu, je leur dis :
- Branler vous à genou devant moi, je veux que ça sorte.
- Mais après...
Je le coupais et dit :
- Après, je vais vous faire rebander, vous tiendrez un peu plus longtemps.
Trois gicles de sperme par terre, des mouchoirs utilisés pour s'essuyer, je les fis s'asseoir dans les divans, je montais sur le premier, l'embrassais dans le cou tout en frottant mon sexe caché par mon string contre le sien, mes seins toujours pas dénudés contre son torse, et je fis pareil avec les deux autres.
Je me relevais et fit glisser mon string, que je déposais sur la table, je pointais un du doigt.
- Viens près de moi.
Je le fis passer sous ma jupe et il se mit, maladroitement, à me lécher, très maladroitement. Je pointais du doigt un second et lui fis signe de faire pareil derrière, lui le faisait mieux, le 3ème regardait, je passais mes mains sous mon soutien-gorge.
L'excitation avait prit le dessus, je me retirais.
- Vous avez aimés ?
- Oui ! Dirent-ils.
- Qu'est-ce qu'on pourrait faire maintenant ?
- Je te verrais bien à 4 pattes sur la table, je t'attache et on s'occupe de toi ? Dis alors le 3ème, qui se relevait du divan.
Il s'approchait de moi et me dit.
- Je pense que tu as été vilaine non?
- Oui, très.
- A poil et mets-toi à 4 pattes sur la table.
Je m'excécutais, je voyais à leur visage qu'ils n'en revenaient pas, ils m'attachèrent aux quatre coins, et alors que j'étais en excitation plus qu'extrême, l'un me demandait.
- Excuse-moi, je peux te mettre une fessée ?
Ce qui me refroidis. Et ils le virent, un peu blazé je dis :
- Je suis attachée, faites ce que vous voulez !
Et je me pris un grand nombre de fessées, j'en avais des larmes, mais ça ne les arrêtait plus, un autre m'écrivait dessus, faisait des flèches vers mes orifices, on tirait mes tétons et puis on se mit à écarter mon anus, je ne sais pas avec quoi exactement car je n'avais pas vu l'objet, mais ils avaient du lubrifiant.
- Asseyez vous, je vais vous montrer un spectacle !
Les deux autres s'assirent en rigolant.
- Est-ce qu'un stylo bille peut rentrer dans son cul?
Il le fit rentrer et fit des va-et-vient, me faisant relever la tête de la vitesse qu'il avait été.
- Et oui Messieurs dames ! Au suivant, est-ce que le manche de la brosse à cheveux de mon ex, rentre dans son cul ?
Il partit dans la salle de bain et revint.
- Voyons voir, tadaaaam ça rentre !
Il fit des vas et viens et un des deux assis me demanda :
- Tu aimes ?
- Oui... Répondis-je sans plus vraiment de force.
- Et si on essayait le gode de mon ex ?
Encore une fois, il partit et très vite, j'eus le gode dans l'anus, il jouait en même temps avec ma chatte, je fis des petits râles, il adorait ça, ça durait plus longtemps que les deux précédents objets.
Tout en me laissant le gode dans le cul et me demandant de ne pas le faire tomber, ils décidèrent de faire une pause, ils partirent dans la cuisine que je voyais d'où j'étais, se servirent à boire, m'amenèrent à boire également, avec une paille et m'aidaient, puis je les entendais parler.
"Elle est parfaite", "Je pourrais l'épouser", "Franchement, je l'adore", etc etc... Puis j'entends "non je ne crois pas", "tu crois?", "on va voir"
Les deux premiers arrivèrent et s'assirent à nouveau sur le divan et me parlaient, me demandaient si ça allait, etc. Alors que je leur parlais, le dernier arrivait.
- Messieurs, le clou du spectacle, est-ce que ce petit cul peut accueillir cet énorme concombre ?
- Oui, dis un.
- Je ne crois pas dis l'autre !
- Mademoiselle au cul écarté, voulez-vous me demander de vous rentrer ce concombre dans votre trou.
- Veux-tu bien m'enfoncer le concombre stp.
- Oh mais bien sur !
Il a dû sûrement le lubrifier, je le sentais l'appuyer sur mon anus et réussir à le rentrer petit à petit, au final, mon cul avait eu de l'entraînement ! Et il le rentrait bien profond, je me "redressais" de ce que je pouvais et sentais les va-et-vient qu'il faisait dedans. Il finit, après un long moment, à le retirer et le déposait devant moi.
Il s'assit à côté des deux autres et dit "suivant"
Le gringalet se levait et vint près de moi, il me détachait, ses amis demandaient ce qu'il faisait et m'aidaient à me relever, il me regardait et me dit :
- J'aimerais que tu m'embrasses, fougueusement, quand t'as fini, tu te mettras à genoux par terre et tu nettoyeras le sperme que tu nous as fait cracher.
Les deux autres rigolèrent, applaudissait et moi je me sentais "bête", je m'étais faite avoir à mon propre jeu.
Je l'embrassais, je collais mon corps contre le sien, je le sentais me caresser de partout, je frottais mon sexe contre le sien, je voulais faire durer le moment pour ne pas avoir à lécher devant les trois, mais il me rappelait à l'ordre.
- Allais, va nettoyer.
Je me mis donc à genoux, quatre pattes et me rapprochais de la première trace de sperme, je léchais, on me prit par le cou et mis mon visage sur la seconde qu'on me fit lécher en me tenant et pareil pour la troisième.
On m'amenait laver mon visage, j'utilisais du dentifrice vite fait dans ma bouche et on retournait là.
- Alors, on est prête ?
- Prête à ?
- Nous sucer tous les trois, mets toi entre mes jambes.
Très vite, à genoux devant le premier, j'eus sa bite dans ma bouche, les autres ne rataient pas une miette, me caressaient les seins et il se vidait dans ma bouche, les trois y passèrent.
L'un deux me couchait sur le dos, sur la table du salon et se mit à me lécher, les deux autres caressaient mon corps, jouaient avec mes seins, ils passèrent à tour de rôle sur ma chatte.
Un premier su bander, il mit un préservatif et vint me prendre, sans douceur, et il ne venait pas, je caressais ses couilles, tentais de le branler, rien ne venait, il finit par venir et resta couché contre moi un petit moment.
Je commençais à fatiguer, fallait que j'abrège, je me dirigeais vers le gringalet, assis dans le divan et montait sur lui, je frottais mon sexe contre le sien, il ne bandait plus du tout !
Celui qui venait de me prendre me mis une gifle sur la fesse, me faisant pousser un petit cri, le gringalet dit :
- Continue de lui mettre des grosses gifles, ça va m'exciter.
Et c'est ce qu'il se passait, je pris une rafale de gifles sur les fesses et il se mit à bander, je lui mis son préservatif et m'empilait dessus, je me donnais à fond pour qu'il vienne au plus vite, il jouait avec mes seins, tirait mes tétons, me faisait descendre pour le sucer, il finit par venir en me prenant en levrette.
Le dernier, lui, me fis me mettre à quatre pattes sur la table, il appuyait assez vite son sexe contre mon anus, tout en me disant "c'est le meilleur moyen de te claquer les fesses" et m'embrochait, il me mit de lourdes fessées, j'étais entre plaisir et douleur, cela dura un bon moment et puis il finit par venir, lorsqu'il se retirait, je restais allongée sur la table.
J'avais plus d'énergie, mais j'étais déçue de pas m'être fait prendre par deux en même temps, on m'aidait à me relever, me tendis un verre d'eau, je les regardais tous les trois, ils semblaient bienveillant.
- Ça va ? Me dit l'un d'eux.
- Je reprends mes esprits, puis je suis à vous. Dis-je.
- Ouf, moi j'en peux plus !
- Moi, non plus !
- Je ne vais jamais rebander ! Dis le dernier en rigolant.
- Sérieux ? J'ai cru que vous alliez me faire subir des tas de trucs... Dis-je un peu perturbée.
- Non, on voulait coucher avec toi mais pas te faire du mal.
- Dis ça à mes fesses. Dis-je en rigolant.
Je déposais le verre et leur dit :
- Où se trouve les toilettes ?
- La porte à côté de la salle de bain, me répondis celui qui s'était amuser à exploser mes fesses.
- Merci, venez avec moi.
Je partis vers les toilettes, ils étaient tous les trois face à moi et je me mis à uriner. Je m'essuyais et me levais.
- Je vais penser à rentrer alors.
- Vu ton état et l'heure, tu peux restée ici, je vais regarder pour te passer un vêtement.
On regardait dans sa garde-robe, il restait quelques vêtements de son ex. Je pris une nuisette, qui restait courte et légèrement décolletée, quitte à être dans la provocation autant l'être à fond, et restait ainsi.
Ils me préparent un lit, il y avait un lit d'une personne dans la seconde chambre et j'allais me coucher là, je m'endormis très vite.
Je ne sais pas quel heure il était quand nous sommes allés nous coucher mais peu avant midi, j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir.
- Excuse-moi, je viens te dire au revoir car je vais m'en aller, la soirée d'hier je ne l'oublierai pas, je te remercie.
- Euh... Avec plaisir...
- Et surtout, je n'ai pas d'avis négatif sur toi, sache-le ! J'espère qu'on se recroisera, et ce, sans penser à ce qu'on a fait.
- J'ai cru que tu venais pour un second round.
- non non ! Dit-il avec des gestes assez expressif.
Je regardais son boxer, il bandait et lui fit remarquer.
- Hey bien, t'es très belle, je te vois allongée, j'aperçois des parties de ton corps et je repense à hier c'est pour ça...
Je me redressais, toujours la tête dans les nuages et lui dis.
- Tu as fait tout ce que tu voulais faire hier ?
- Oui.
- Ça va alors, merci d'avoir dit au revoir, c'est gentil.
- Mais...
- Mais ?
- J'ai apprécié te baiser les pieds, quand tu as fais pipi, j'avais envie de te lecher..
Je tendis mon pied et lui dis ;
- Tu peux toujours le faire.
Et il se mit à genoux et se mit à me baiser, lécher les pieds, je le laissais faire un moment, puis le stoppais.
- Je dois aller faire pipi, si ça te dis.
Et comme quelques heures plus tôt, il me regardait, j'en jouais en faisant glisser mes brides, faire comme si j'avais chaud et lorsque j'eus fini, je lui fis un signe du regard d'y aller, il me nettoyait alors le sexe avec sa langue, ce sexe qui venait d'uriner et je prenais mon pied, il s'arrêtait, me remerciait, partit s'apprêter et partit.
Je n'arrivais plus à dormir, je partis boire un verre d'eau et tournais ensuite en rond dans le lit.
J'allais dans le salon, les deux autres dormaient chacun sur un divan, je fis assez de bruit pour les réveiller, discrètement.
- Oups, pardon.
- T'inquiète, ça va ?
- Oui, et toi? Je vais te laisser te rendormir.
- Et toi ? tu dors pas ?
- Je n'arrive plus. Dis-je.
- Si tu veux, viens près de moi, je vais avoir aucun mal à dormir.
- D'accord.
Je me couchais, mon dos contre son torse et lui dis.
- Hier, j'ai vraiment été vilaine, j'ai de la chance de pas avoir été plus punie.
Le tout en frottant mes fesses contre son sexe pour me blottir.
Il ne dit rien, mais je sentais que son sexe se redressait.
Finalement, on se rendormit pas, je finis par caresser son sexe avec ma main, il me dit :
- T'en as jamais assez en fait ?
- Je t'ai dis que j'étais une vilaine fille, à trois, vous ne m'avez pas fais mon affaire.
- Hey, on voulait pas exagérer non plus.
- Je n'ai pas dis ça, mais je pensais être plus punie.
Il sortit d'un coup du fauteuil, le sexe bien dresser, son pote commençait à immerger, il vit que j'étais dans l'autre divan.
- Qu'est-ce qui se passe ? Vous avez encore ... ?
- Non, elle arrivait pas à dormir, mais là, elle me chauffe.
Il expliquait tout et le second dit :
- C'est vrai que tu es vilaine, viens près de moi me dire bonjour.
J'allais près de lui, il prit ma main et je me retrouvais sur le ventre, sur ses genoux.
- C'est ça que tu veux.
- Toi, t'en as envie ? Dis-je en narguant.
Il relevait le dessous de ma nuisette, dévoilant mes fesses et se mit à me mettre la fessée, de ce que j'ai compris, mes fesses étaient bien rouges lorsqu'il eut fini.
- On va faire comme hier, tu vas nous sucer tous les deux, après tu retourneras sur la table, retire ta nuisette.
Ce côté un peu "faché", en tout cas très direct, m'excitait.
- Mais avant que tu suces, je vais pisser, viens avec moi.
Je le suivais, il se mit à uriner, puis me prenant par la nuque, il me fit m'abaisser pour le sucer, il se vidait, ce fut rapide, le second suivait et même scène, mis à part que j'étais déjà à genoux.
- Maintenant, tu vas aller te placer sur la table, quand tu te déplaces, c'est à quatre pattes.
Je partis à quatre pattes et montai sur la table, comme la vieille, ils m'attachèrent aux quatre coins, à quatre pattes. Il partit dans sa chambre, revint avec un autre vibro, il le fit aller contre mon sexe et le positionnait de manière à ce que ça ne bouge plus.
Il me mit un bandeau dans la bouche.
- Prend du plaisir, on prend notre café, dans le silence.
Je coulais ... De la bouche et de la chatte...
- Tu aimes ça, te retrouvée attachée ?
Je fis oui de la tête.
- Mais tu veux réellement qu'on te punisse ?
Je hochais encore la tête.
Il me retirait le bandeau et me dit :
- Mais tu veux quoi à la fin ?
- Faites ce que vous voulez de moi, faites-moi mal, humiliez-moi... L'excitation était trop grande et je parlais trop franchement.
- Tu es sur et certaine ?
- Oui, je ressentirais plus qu'avec ton petit zizi.
Je vis la tête du second derrière choqué, lui me remit le bandeau et de nombreuses gifle sur les fesses.
- Puisqu'elle veut jouer.
Il partit et revint avec une petite boîte.
- Ma chère, à défaut de pendre le linge, je vais te mettre des pinces à linge, tu veux toujours jouer ?
Mon regard devint incertain, mais son regard satisfait me poussait à dire hocher la tête.
- Ok, alors commençons.
Il plaçait d'abord une pince à linge sur chacun de mes tétons, m'arrachant grimaces et cris étouffés.
- Je continue ?
- Vas-y petite bite.
Dis-je à travers le bandeau avec de la bave qui coulaient.
Il m'en plaçait sur la chatte, je pense, six, j'avais les larmes aux yeux, le second me regardait en me demandait si ça allait discrètement, je dis toujours que oui. Et puis plic ploc sur mon corps.
Il partit dans la cuisine, revint avec un petit pot et passait derrière moi.
- Fais pas ça, elle va pleurer.
- Si, elle s'excuse, je ne le fais pas.
Le second me retirait le bandeau de la bouche.
- Je m'excuserais pas.
Le bandeau pas remis que je sentais qu'il passait quelque chose sur mon anus et ensuite, que cela devenait chaud, très vite sur ma chatte, les larmes coulaient, mais pas de douleur c'était mon corps qui se laissait aller.
Il vint devant moi, satisfait, encore où tu t'excuses.
- Rêve.
Il repassait derrière, et caressait mon anus avec cette substance, je finis par lâcher des gaz, cela me couvrant de honte, il se mit à rire. Il partit et revenait avec un collier, il me le passait, me détachait et me fis descendre me promenant dans toutes les pièces.
Son ami était parti chercher de l'eau, et me le déposais, dans une assiette creuse, je du le boire ainsi.
- Je suis trop excité. Dit-il.
- Moi aussi, répondit celui qui me tenait en laisse.
- On la prend à deux ?
- D'abord, je veux qu'elle ai honte d'elle !
Il prit le gode et me le jeta.
- Baise-toi par terre, sale chienne.
Je baisais, les pinces me gênait, parfois ça m'étirais et me faisais mal, j'avais ma tête au sol, lui me tenait toujours en laisse, il plaçait son pied que je baisais, puis il mis son pied sur ma tête.
- Va chercher le concombre sur la table et encule-toi avec pendant que tu te baises avec le gode.
Je partis à quatre pattes le chercher, revenir avec dans ma bouche, me remettre comme j'étais, lui prendre la laisse et jouer dans mes orifices, il s'accroupit et me fit le regarder pendant que je me prenais, il fit ouvrir ma bouche et crachait dedans.
- Crachoir, ça te vas bien.
Il passait la laisse au second, qui me tirait vers lui. J'avançais comme je pouvais, tenant toujours les deux ustensiles en moi. Il s'assit sur le divan, mit ses pieds sur la table basse et mit ma tête près de son anus.
Je n'eus besoin de nul mot et me mis à le lui lécher.
Quand ce fut assez, ils attachèrent mes mains dans mon dos, mes chevilles ensemble et m'amenèrent dans la salle de bain.
Une douche froide, savonner, faisant sauter les pinces à linge et profitant de mes petits cris, ils m'essuyèrent, me firent une queue de cheval et me ramenèrent dans le salon, à genoux devant le divan, entre eux deux, ils se décident à faire une partie de console.
J'ai du mal à tenir, parfois, ils me redressent, jouent avec mes sens entre deux parties.
- Ouvre la bouche.
Chaque fois que j'ouvre, ils crachent dedans, ils bandent tout les deux, j'essaie d'aller vers la bite d'un, de l'autre, mais ils me repoussent.
Puis ils se décident d'arrêter, on me fait monter au-dessus du visage de celui avec qui je me suis couchée quelques instants et il se met à me lécher, l'autre se met à me lécher l'anus, je suis totalement bloquée, poignet et chevilles liés, je suis comme un sac de patate qu'ils transportent... Mais là, qu'ils lèchent et qui ne sait pas bouger.
Il détache mes chevilles et me fait redescendre, ils mettent chacun un préservatif, on me place sur le premier et le second vient se mettre derrière moi, bingo !
Les deux me prennent, je me laisse totalement aller, je crie, je me prends des fessées, on tire sur mes seins mais je les sens juste en moi, celui qui me sodomise finit par venir, aggripant mes fesses avec une telle force que je grimace, grille et pleure.
Le second continue de poursuivre son affaire et termine un peu plus tard. Je reste là, couchée sur lui, à reprendre mon souffle. Je suis complètement plaquante, je sens que derrière moi, il rattache mes chevilles.
Il tire sur le collier et me laisse par terre, toujours à reprendre mon souffle, ils font couler leur préservatif sur mon visage, je ne bouge pas, je ne dis plus rien, je ne sais pas lequel place le vibro contre mon sexe, je gémis, gémis, gémis et finit après un long moment par venir, je les entends rire, je ne sais pourquoi, je suis en larmes, est-ce toute la "pression" qui redescend ?
Le premier se penche au dessus de moi, je vois son sexe pandant.
- C'est bon, t'as eu ce que tu voulais, j'ai gagné ?
- Petite bite. Dis-je dans une dernière provocation sarcastique.
Il tire sur la laisse et m'emmène à travers les pièces, on est devant la toilette.
- Tu veux faire la maline ? Mets ta tête dans le WC.
Je le regarde, le défiant, je n'en ai pas envie, le second le voit et dit :
- N'exagère pas, on ne va pas lui pisser dessus.
- On va faire partir le sperme qui lui coule dessus, à moins que j'ai gagné ?
Je me redressais tant bien que mal et mis ma tête dans la cuvette.
- Après tu nettoieras la planche si on fait des gouttes.
Ils me pissèrent tout les deux dessus, s'essuyèrent sur moi et puis me regardèrent nettoyer la planche.
Le second partit se laver, le premier me regardait un moment, puis me caressa gentiment l'épaule, partit ranger, je restais ma tête sur la planche, honteuse, mais heureuse.
lorsque le second fut lavé, il partit, me remerciant pour cette soirée.
On partit chacun notre tour nous laver, je reviens nue car mes vêtements était toujours dans le salon et le premier était redevenu "lui", super sympathique puis il me dit.
- Du coup, ta place elle est où?
Je me plaçais à quatre pattes sur la table et lui dit :
- Ici.
Mon amie m'avait soutenue, elle était présente lorsque j'en avais besoin, mais me laissait l'espace nécessaire pour me remettre, elle m'avait d'ailleurs accompagnée à l'enterrement.
Par la suite, j'avais dit à mes deux amis que je souhaitais arrêter la relation que nous entretenions, je voulais me recentrer sur moi-même, repartir de l'avant, ils l'avaient bien compris.
Lorsque j'avais été chez Mr X, rencontré son neveu et sa nièce pour reprendre un objet, j'avais remarqué qu'il ne restait aucun ustensile que nous avions utilisé... Il avait réellement tout prévu.
Tout était retombé, je passais beaucoup de temps seule chez moi, je pleurais beaucoup, je ne m'étais d'ailleurs plus touchée depuis ce jour, je finis par allumer mon vieil ordinateur et chercher des chats en ligne, j'avais envie de discuter, mais pas avec mes amis qui me savaient peiner.
Je remarquais très vite que les tchats, c'était un nid à pervers... Je finis quand même par discuter de tout et de rien, certains étaient sympathiques, puis, quand je vais bien, je suis comme eux après tout !?
Je ne sais pas comment, un réussi à me faire allumer ma webcam, il m'avait dit de mettre un masque si ça me mettait plus à l'aise, on discutait en vocal, on rigolait, je ne le voyais pas, même si je lui demandais plusieurs fois.
On parlait depuis 2 ou 3 heures, mais à peine avais-je mis ma cam, sa voix peut-être, il réussit à me faire me déshabiller, à me faire me mettre à quatre pattes devant l'écran.
Il me fit lui montrer mes différents objets, j'avais de tout... D'abord je dû mettre un bâillon, afin de ne plus parler et écouter, puis je dû prendre mon petit fouet et tourner mon cul vers l'écran et me fouetter jusqu'à ce qu'il m'autorise à stopper.
Evidemment, il me fit faire plus fort que ce que je faisais, il me fit ensuite me baiser devant lui avec l'un de mes godes, pour ensuite jouer du fouet au même endroit.
Il me le disait, et le savait que j'aimais être dans cet état, j'avais des larmes qui avait coulées sous le masque dû à la douleur, la bave qui coulait du baillon...
Je finis à quatre pattes, vibro dans la chatte, gode dans mon cul et suçant un autre gode, j'eus un début de femme fontaine, je restais là sur le sol, les fesses en l'air à continuer de me sodomiser, il allumait sa caméra, je vis son sexe, pas très grand, il se branlait.
- Continue à jouer dans ton cul, je vais venir.
Il finit par venir assez vite et coupa caméra et conversation.
Il était 23h14.
Je partis prendre une douche, alors que je me lavais, je décidai que j'allais boire un verre, j'enfilais une robe légèrement décolletée, des talons, ce soir j'allais me faire sauter.
Nous avions un endroit, regroupant des cafés où les gens faisaient la fête, j'y allais, me posais au comptoir et prenais un verre.
Voyant une femme seule, plusieurs hommes m'abordaient tout au long de la soirée, mais ils n'avaient rien qui me donnait envie, certains étaient séduisants, mais ça s'arrêtait là.
- Salut, je peux t'offrir un verre ?
- Tu peux, oui. Dis-je.
- On te voit avec mes amis depuis tout à l'heure, seule, te faisant accoster et recaler tout le monde, on s'est dit que tu pourrais venir avec nous, on termine la soirée ensemble ainsi.
- Pourquoi pas, après tout...
- Chef, tu remets la même bouteille à ma table ?
Et je partis près d'eux, on se présentait tous et la soirée se passait bien, ils étaient gentils, marrants, bons, pas des hommes que je regarderais, mais au moins je passais un bon moment.
Après quelques heures, le café commençait à se vider, ça allait fermer, celui qui m'avait abordé dit alors.
- Ben voilà, on va devoir rentrer, tu rentres comment ?
- En voiture. Dis-je.
- Si tu veux, tu peux revenir avec nous, la terminée avec nous.
Je réfléchis un instant et puis me dis pourquoi pas.
- Donne moi l'adresse et j'arrive.
On se quittait et je rentrais dans ma voiture, mon amie avait ma localisation dans son téléphone dans le pire des cas et je sais qu'elle regardait souvent !
J'arrivais devant une petite maison, je voyais de la lumière dans une pièce au rez-de-chaussée et j'appuyais sur la sonnette, ils furent étonnés. Je rentrais, mais l'ambiance était différente, ils semblaient gênés.
- Qu'est-ce que vous avez ?
- Rien pourquoi ? Dis l'un d'eux.
- On dirait que vous avez un balais dans le cul, vous étiez plus amusant tout à l'heure.
- C'est que...
- C'est que vous voulez me sauter mais vous ne vous attendiez pas à ce que je vienne ?
- Voilà, oui...
- Et vous voulez me prendre tout les trois ?
- Oui...
Je les regardais tous les trois, ça se sentait qu'ils manquaient d'expérience, ils allaient avoir ce qu'ils voulaient mais je voulais m'amuser.
- Abaissez tous les trois vos pantalons et vos slips pour voir ce que vous avez à proposer.
Ils furent surpris, ne réagirent pas, je fis un peu glisser la bride de ma robe en disant que j'avais chaud.
Un abaissait, suivi des autres.
J'avais les trois sexes face à moi, pas bien grand, pas bien épais, mais ça ferait l'affaire.
- Vous semblez excités...
Je découvrais mes deux épaules, laissant apparaitre mon soutien gorge.
- Vous aimez ce que vous voyez ?
Tous les trois, le sexe bien tendu me répondirent par la positive.
- Rapprochez vous de moi, j'aimerais vous voir vous branler proche de moi, de mon visage.
L'excitation montante, ils ne se firent pas prier, un premier s'arrêtait, car ça allait venir.
- Je suis déçue, baise moi les pieds alors.
Et il le fit !
Un autre eu pareil et sans que je lui dise, fit comme son ami.
Le troisième tenait, je décidais de le regarder dans les yeux, de rapprocher mes lèvres de son sexe.
Il finit par s'arrêter aussi, essoufflé.
- Retirer complètement vos vêtements.
Ils le firent et l'un me dis :
- Et toi?
- Laisse moi profiter un peu, après tu vas avoir tout ce que tu veux. Dis-je
Une fois nu, je leur dis :
- Branler vous à genou devant moi, je veux que ça sorte.
- Mais après...
Je le coupais et dit :
- Après, je vais vous faire rebander, vous tiendrez un peu plus longtemps.
Trois gicles de sperme par terre, des mouchoirs utilisés pour s'essuyer, je les fis s'asseoir dans les divans, je montais sur le premier, l'embrassais dans le cou tout en frottant mon sexe caché par mon string contre le sien, mes seins toujours pas dénudés contre son torse, et je fis pareil avec les deux autres.
Je me relevais et fit glisser mon string, que je déposais sur la table, je pointais un du doigt.
- Viens près de moi.
Je le fis passer sous ma jupe et il se mit, maladroitement, à me lécher, très maladroitement. Je pointais du doigt un second et lui fis signe de faire pareil derrière, lui le faisait mieux, le 3ème regardait, je passais mes mains sous mon soutien-gorge.
L'excitation avait prit le dessus, je me retirais.
- Vous avez aimés ?
- Oui ! Dirent-ils.
- Qu'est-ce qu'on pourrait faire maintenant ?
- Je te verrais bien à 4 pattes sur la table, je t'attache et on s'occupe de toi ? Dis alors le 3ème, qui se relevait du divan.
Il s'approchait de moi et me dit.
- Je pense que tu as été vilaine non?
- Oui, très.
- A poil et mets-toi à 4 pattes sur la table.
Je m'excécutais, je voyais à leur visage qu'ils n'en revenaient pas, ils m'attachèrent aux quatre coins, et alors que j'étais en excitation plus qu'extrême, l'un me demandait.
- Excuse-moi, je peux te mettre une fessée ?
Ce qui me refroidis. Et ils le virent, un peu blazé je dis :
- Je suis attachée, faites ce que vous voulez !
Et je me pris un grand nombre de fessées, j'en avais des larmes, mais ça ne les arrêtait plus, un autre m'écrivait dessus, faisait des flèches vers mes orifices, on tirait mes tétons et puis on se mit à écarter mon anus, je ne sais pas avec quoi exactement car je n'avais pas vu l'objet, mais ils avaient du lubrifiant.
- Asseyez vous, je vais vous montrer un spectacle !
Les deux autres s'assirent en rigolant.
- Est-ce qu'un stylo bille peut rentrer dans son cul?
Il le fit rentrer et fit des va-et-vient, me faisant relever la tête de la vitesse qu'il avait été.
- Et oui Messieurs dames ! Au suivant, est-ce que le manche de la brosse à cheveux de mon ex, rentre dans son cul ?
Il partit dans la salle de bain et revint.
- Voyons voir, tadaaaam ça rentre !
Il fit des vas et viens et un des deux assis me demanda :
- Tu aimes ?
- Oui... Répondis-je sans plus vraiment de force.
- Et si on essayait le gode de mon ex ?
Encore une fois, il partit et très vite, j'eus le gode dans l'anus, il jouait en même temps avec ma chatte, je fis des petits râles, il adorait ça, ça durait plus longtemps que les deux précédents objets.
Tout en me laissant le gode dans le cul et me demandant de ne pas le faire tomber, ils décidèrent de faire une pause, ils partirent dans la cuisine que je voyais d'où j'étais, se servirent à boire, m'amenèrent à boire également, avec une paille et m'aidaient, puis je les entendais parler.
"Elle est parfaite", "Je pourrais l'épouser", "Franchement, je l'adore", etc etc... Puis j'entends "non je ne crois pas", "tu crois?", "on va voir"
Les deux premiers arrivèrent et s'assirent à nouveau sur le divan et me parlaient, me demandaient si ça allait, etc. Alors que je leur parlais, le dernier arrivait.
- Messieurs, le clou du spectacle, est-ce que ce petit cul peut accueillir cet énorme concombre ?
- Oui, dis un.
- Je ne crois pas dis l'autre !
- Mademoiselle au cul écarté, voulez-vous me demander de vous rentrer ce concombre dans votre trou.
- Veux-tu bien m'enfoncer le concombre stp.
- Oh mais bien sur !
Il a dû sûrement le lubrifier, je le sentais l'appuyer sur mon anus et réussir à le rentrer petit à petit, au final, mon cul avait eu de l'entraînement ! Et il le rentrait bien profond, je me "redressais" de ce que je pouvais et sentais les va-et-vient qu'il faisait dedans. Il finit, après un long moment, à le retirer et le déposait devant moi.
Il s'assit à côté des deux autres et dit "suivant"
Le gringalet se levait et vint près de moi, il me détachait, ses amis demandaient ce qu'il faisait et m'aidaient à me relever, il me regardait et me dit :
- J'aimerais que tu m'embrasses, fougueusement, quand t'as fini, tu te mettras à genoux par terre et tu nettoyeras le sperme que tu nous as fait cracher.
Les deux autres rigolèrent, applaudissait et moi je me sentais "bête", je m'étais faite avoir à mon propre jeu.
Je l'embrassais, je collais mon corps contre le sien, je le sentais me caresser de partout, je frottais mon sexe contre le sien, je voulais faire durer le moment pour ne pas avoir à lécher devant les trois, mais il me rappelait à l'ordre.
- Allais, va nettoyer.
Je me mis donc à genoux, quatre pattes et me rapprochais de la première trace de sperme, je léchais, on me prit par le cou et mis mon visage sur la seconde qu'on me fit lécher en me tenant et pareil pour la troisième.
On m'amenait laver mon visage, j'utilisais du dentifrice vite fait dans ma bouche et on retournait là.
- Alors, on est prête ?
- Prête à ?
- Nous sucer tous les trois, mets toi entre mes jambes.
Très vite, à genoux devant le premier, j'eus sa bite dans ma bouche, les autres ne rataient pas une miette, me caressaient les seins et il se vidait dans ma bouche, les trois y passèrent.
L'un deux me couchait sur le dos, sur la table du salon et se mit à me lécher, les deux autres caressaient mon corps, jouaient avec mes seins, ils passèrent à tour de rôle sur ma chatte.
Un premier su bander, il mit un préservatif et vint me prendre, sans douceur, et il ne venait pas, je caressais ses couilles, tentais de le branler, rien ne venait, il finit par venir et resta couché contre moi un petit moment.
Je commençais à fatiguer, fallait que j'abrège, je me dirigeais vers le gringalet, assis dans le divan et montait sur lui, je frottais mon sexe contre le sien, il ne bandait plus du tout !
Celui qui venait de me prendre me mis une gifle sur la fesse, me faisant pousser un petit cri, le gringalet dit :
- Continue de lui mettre des grosses gifles, ça va m'exciter.
Et c'est ce qu'il se passait, je pris une rafale de gifles sur les fesses et il se mit à bander, je lui mis son préservatif et m'empilait dessus, je me donnais à fond pour qu'il vienne au plus vite, il jouait avec mes seins, tirait mes tétons, me faisait descendre pour le sucer, il finit par venir en me prenant en levrette.
Le dernier, lui, me fis me mettre à quatre pattes sur la table, il appuyait assez vite son sexe contre mon anus, tout en me disant "c'est le meilleur moyen de te claquer les fesses" et m'embrochait, il me mit de lourdes fessées, j'étais entre plaisir et douleur, cela dura un bon moment et puis il finit par venir, lorsqu'il se retirait, je restais allongée sur la table.
J'avais plus d'énergie, mais j'étais déçue de pas m'être fait prendre par deux en même temps, on m'aidait à me relever, me tendis un verre d'eau, je les regardais tous les trois, ils semblaient bienveillant.
- Ça va ? Me dit l'un d'eux.
- Je reprends mes esprits, puis je suis à vous. Dis-je.
- Ouf, moi j'en peux plus !
- Moi, non plus !
- Je ne vais jamais rebander ! Dis le dernier en rigolant.
- Sérieux ? J'ai cru que vous alliez me faire subir des tas de trucs... Dis-je un peu perturbée.
- Non, on voulait coucher avec toi mais pas te faire du mal.
- Dis ça à mes fesses. Dis-je en rigolant.
Je déposais le verre et leur dit :
- Où se trouve les toilettes ?
- La porte à côté de la salle de bain, me répondis celui qui s'était amuser à exploser mes fesses.
- Merci, venez avec moi.
Je partis vers les toilettes, ils étaient tous les trois face à moi et je me mis à uriner. Je m'essuyais et me levais.
- Je vais penser à rentrer alors.
- Vu ton état et l'heure, tu peux restée ici, je vais regarder pour te passer un vêtement.
On regardait dans sa garde-robe, il restait quelques vêtements de son ex. Je pris une nuisette, qui restait courte et légèrement décolletée, quitte à être dans la provocation autant l'être à fond, et restait ainsi.
Ils me préparent un lit, il y avait un lit d'une personne dans la seconde chambre et j'allais me coucher là, je m'endormis très vite.
Je ne sais pas quel heure il était quand nous sommes allés nous coucher mais peu avant midi, j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir.
- Excuse-moi, je viens te dire au revoir car je vais m'en aller, la soirée d'hier je ne l'oublierai pas, je te remercie.
- Euh... Avec plaisir...
- Et surtout, je n'ai pas d'avis négatif sur toi, sache-le ! J'espère qu'on se recroisera, et ce, sans penser à ce qu'on a fait.
- J'ai cru que tu venais pour un second round.
- non non ! Dit-il avec des gestes assez expressif.
Je regardais son boxer, il bandait et lui fit remarquer.
- Hey bien, t'es très belle, je te vois allongée, j'aperçois des parties de ton corps et je repense à hier c'est pour ça...
Je me redressais, toujours la tête dans les nuages et lui dis.
- Tu as fait tout ce que tu voulais faire hier ?
- Oui.
- Ça va alors, merci d'avoir dit au revoir, c'est gentil.
- Mais...
- Mais ?
- J'ai apprécié te baiser les pieds, quand tu as fais pipi, j'avais envie de te lecher..
Je tendis mon pied et lui dis ;
- Tu peux toujours le faire.
Et il se mit à genoux et se mit à me baiser, lécher les pieds, je le laissais faire un moment, puis le stoppais.
- Je dois aller faire pipi, si ça te dis.
Et comme quelques heures plus tôt, il me regardait, j'en jouais en faisant glisser mes brides, faire comme si j'avais chaud et lorsque j'eus fini, je lui fis un signe du regard d'y aller, il me nettoyait alors le sexe avec sa langue, ce sexe qui venait d'uriner et je prenais mon pied, il s'arrêtait, me remerciait, partit s'apprêter et partit.
Je n'arrivais plus à dormir, je partis boire un verre d'eau et tournais ensuite en rond dans le lit.
J'allais dans le salon, les deux autres dormaient chacun sur un divan, je fis assez de bruit pour les réveiller, discrètement.
- Oups, pardon.
- T'inquiète, ça va ?
- Oui, et toi? Je vais te laisser te rendormir.
- Et toi ? tu dors pas ?
- Je n'arrive plus. Dis-je.
- Si tu veux, viens près de moi, je vais avoir aucun mal à dormir.
- D'accord.
Je me couchais, mon dos contre son torse et lui dis.
- Hier, j'ai vraiment été vilaine, j'ai de la chance de pas avoir été plus punie.
Le tout en frottant mes fesses contre son sexe pour me blottir.
Il ne dit rien, mais je sentais que son sexe se redressait.
Finalement, on se rendormit pas, je finis par caresser son sexe avec ma main, il me dit :
- T'en as jamais assez en fait ?
- Je t'ai dis que j'étais une vilaine fille, à trois, vous ne m'avez pas fais mon affaire.
- Hey, on voulait pas exagérer non plus.
- Je n'ai pas dis ça, mais je pensais être plus punie.
Il sortit d'un coup du fauteuil, le sexe bien dresser, son pote commençait à immerger, il vit que j'étais dans l'autre divan.
- Qu'est-ce qui se passe ? Vous avez encore ... ?
- Non, elle arrivait pas à dormir, mais là, elle me chauffe.
Il expliquait tout et le second dit :
- C'est vrai que tu es vilaine, viens près de moi me dire bonjour.
J'allais près de lui, il prit ma main et je me retrouvais sur le ventre, sur ses genoux.
- C'est ça que tu veux.
- Toi, t'en as envie ? Dis-je en narguant.
Il relevait le dessous de ma nuisette, dévoilant mes fesses et se mit à me mettre la fessée, de ce que j'ai compris, mes fesses étaient bien rouges lorsqu'il eut fini.
- On va faire comme hier, tu vas nous sucer tous les deux, après tu retourneras sur la table, retire ta nuisette.
Ce côté un peu "faché", en tout cas très direct, m'excitait.
- Mais avant que tu suces, je vais pisser, viens avec moi.
Je le suivais, il se mit à uriner, puis me prenant par la nuque, il me fit m'abaisser pour le sucer, il se vidait, ce fut rapide, le second suivait et même scène, mis à part que j'étais déjà à genoux.
- Maintenant, tu vas aller te placer sur la table, quand tu te déplaces, c'est à quatre pattes.
Je partis à quatre pattes et montai sur la table, comme la vieille, ils m'attachèrent aux quatre coins, à quatre pattes. Il partit dans sa chambre, revint avec un autre vibro, il le fit aller contre mon sexe et le positionnait de manière à ce que ça ne bouge plus.
Il me mit un bandeau dans la bouche.
- Prend du plaisir, on prend notre café, dans le silence.
Je coulais ... De la bouche et de la chatte...
- Tu aimes ça, te retrouvée attachée ?
Je fis oui de la tête.
- Mais tu veux réellement qu'on te punisse ?
Je hochais encore la tête.
Il me retirait le bandeau et me dit :
- Mais tu veux quoi à la fin ?
- Faites ce que vous voulez de moi, faites-moi mal, humiliez-moi... L'excitation était trop grande et je parlais trop franchement.
- Tu es sur et certaine ?
- Oui, je ressentirais plus qu'avec ton petit zizi.
Je vis la tête du second derrière choqué, lui me remit le bandeau et de nombreuses gifle sur les fesses.
- Puisqu'elle veut jouer.
Il partit et revint avec une petite boîte.
- Ma chère, à défaut de pendre le linge, je vais te mettre des pinces à linge, tu veux toujours jouer ?
Mon regard devint incertain, mais son regard satisfait me poussait à dire hocher la tête.
- Ok, alors commençons.
Il plaçait d'abord une pince à linge sur chacun de mes tétons, m'arrachant grimaces et cris étouffés.
- Je continue ?
- Vas-y petite bite.
Dis-je à travers le bandeau avec de la bave qui coulaient.
Il m'en plaçait sur la chatte, je pense, six, j'avais les larmes aux yeux, le second me regardait en me demandait si ça allait discrètement, je dis toujours que oui. Et puis plic ploc sur mon corps.
Il partit dans la cuisine, revint avec un petit pot et passait derrière moi.
- Fais pas ça, elle va pleurer.
- Si, elle s'excuse, je ne le fais pas.
Le second me retirait le bandeau de la bouche.
- Je m'excuserais pas.
Le bandeau pas remis que je sentais qu'il passait quelque chose sur mon anus et ensuite, que cela devenait chaud, très vite sur ma chatte, les larmes coulaient, mais pas de douleur c'était mon corps qui se laissait aller.
Il vint devant moi, satisfait, encore où tu t'excuses.
- Rêve.
Il repassait derrière, et caressait mon anus avec cette substance, je finis par lâcher des gaz, cela me couvrant de honte, il se mit à rire. Il partit et revenait avec un collier, il me le passait, me détachait et me fis descendre me promenant dans toutes les pièces.
Son ami était parti chercher de l'eau, et me le déposais, dans une assiette creuse, je du le boire ainsi.
- Je suis trop excité. Dit-il.
- Moi aussi, répondit celui qui me tenait en laisse.
- On la prend à deux ?
- D'abord, je veux qu'elle ai honte d'elle !
Il prit le gode et me le jeta.
- Baise-toi par terre, sale chienne.
Je baisais, les pinces me gênait, parfois ça m'étirais et me faisais mal, j'avais ma tête au sol, lui me tenait toujours en laisse, il plaçait son pied que je baisais, puis il mis son pied sur ma tête.
- Va chercher le concombre sur la table et encule-toi avec pendant que tu te baises avec le gode.
Je partis à quatre pattes le chercher, revenir avec dans ma bouche, me remettre comme j'étais, lui prendre la laisse et jouer dans mes orifices, il s'accroupit et me fit le regarder pendant que je me prenais, il fit ouvrir ma bouche et crachait dedans.
- Crachoir, ça te vas bien.
Il passait la laisse au second, qui me tirait vers lui. J'avançais comme je pouvais, tenant toujours les deux ustensiles en moi. Il s'assit sur le divan, mit ses pieds sur la table basse et mit ma tête près de son anus.
Je n'eus besoin de nul mot et me mis à le lui lécher.
Quand ce fut assez, ils attachèrent mes mains dans mon dos, mes chevilles ensemble et m'amenèrent dans la salle de bain.
Une douche froide, savonner, faisant sauter les pinces à linge et profitant de mes petits cris, ils m'essuyèrent, me firent une queue de cheval et me ramenèrent dans le salon, à genoux devant le divan, entre eux deux, ils se décident à faire une partie de console.
J'ai du mal à tenir, parfois, ils me redressent, jouent avec mes sens entre deux parties.
- Ouvre la bouche.
Chaque fois que j'ouvre, ils crachent dedans, ils bandent tout les deux, j'essaie d'aller vers la bite d'un, de l'autre, mais ils me repoussent.
Puis ils se décident d'arrêter, on me fait monter au-dessus du visage de celui avec qui je me suis couchée quelques instants et il se met à me lécher, l'autre se met à me lécher l'anus, je suis totalement bloquée, poignet et chevilles liés, je suis comme un sac de patate qu'ils transportent... Mais là, qu'ils lèchent et qui ne sait pas bouger.
Il détache mes chevilles et me fait redescendre, ils mettent chacun un préservatif, on me place sur le premier et le second vient se mettre derrière moi, bingo !
Les deux me prennent, je me laisse totalement aller, je crie, je me prends des fessées, on tire sur mes seins mais je les sens juste en moi, celui qui me sodomise finit par venir, aggripant mes fesses avec une telle force que je grimace, grille et pleure.
Le second continue de poursuivre son affaire et termine un peu plus tard. Je reste là, couchée sur lui, à reprendre mon souffle. Je suis complètement plaquante, je sens que derrière moi, il rattache mes chevilles.
Il tire sur le collier et me laisse par terre, toujours à reprendre mon souffle, ils font couler leur préservatif sur mon visage, je ne bouge pas, je ne dis plus rien, je ne sais pas lequel place le vibro contre mon sexe, je gémis, gémis, gémis et finit après un long moment par venir, je les entends rire, je ne sais pourquoi, je suis en larmes, est-ce toute la "pression" qui redescend ?
Le premier se penche au dessus de moi, je vois son sexe pandant.
- C'est bon, t'as eu ce que tu voulais, j'ai gagné ?
- Petite bite. Dis-je dans une dernière provocation sarcastique.
Il tire sur la laisse et m'emmène à travers les pièces, on est devant la toilette.
- Tu veux faire la maline ? Mets ta tête dans le WC.
Je le regarde, le défiant, je n'en ai pas envie, le second le voit et dit :
- N'exagère pas, on ne va pas lui pisser dessus.
- On va faire partir le sperme qui lui coule dessus, à moins que j'ai gagné ?
Je me redressais tant bien que mal et mis ma tête dans la cuvette.
- Après tu nettoieras la planche si on fait des gouttes.
Ils me pissèrent tout les deux dessus, s'essuyèrent sur moi et puis me regardèrent nettoyer la planche.
Le second partit se laver, le premier me regardait un moment, puis me caressa gentiment l'épaule, partit ranger, je restais ma tête sur la planche, honteuse, mais heureuse.
lorsque le second fut lavé, il partit, me remerciant pour cette soirée.
On partit chacun notre tour nous laver, je reviens nue car mes vêtements était toujours dans le salon et le premier était redevenu "lui", super sympathique puis il me dit.
- Du coup, ta place elle est où?
Je me plaçais à quatre pattes sur la table et lui dit :
- Ici.
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