Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 2) - histoire érotique

Après cette soirée matinée-là, je rentrais chez moi, vu mon amie, mon ami, on allait manger ensemble, je passais de bons moments, je les retrouvais un peu.

Je vis d'ailleurs un numéro de téléphone avec "merci pour tout, rappelle-moi"

J'appelais, pas sur de la personne que j'allais avoir au téléphone.
On discutait de tout et de rien, il voulait qu'on se revoie, je refusais, mais il insistait, quelque chose me disait de le voir, on se donnait donc rendez-vous dans un petit restaurant non loin de chez lui.

Comme je savais qu'il aimait me baiser les pieds, je mis des talons, en plus d'une robe, la soirée se passait bien, il était un peu stressé mais tout se passait bien, c'était agréable.

Je caressais alors sa jambe avec mon pied.

- Pourquoi voulais-tu me revoir, tu voulais remettre ce qu'on a fait la dernière soirée ?
- Non, je t'en parlerai après...

Finalement, je fus écourter le moment au restaurant et on allait dans sa voiture.

- Tu m'expliques ?
- C'est assez... Compliqué.
- Tu m'as baisée avec tes deux potes... Y a pas de gêne à me dire !
- Bon ok, j'aimerais encore te baiser les pieds, être à ton service.
- Wow, j'étais pas prête.

Je m'appuyais contre la portière et relevais ma jambe, lui dévoilant ma jambe presque entièrement nue, portant mon pied à hauteur de son visage. Sans réfléchir, sans se demander si on le verrait, il l'a baisé.

Je vis à la bosse de son pantalon qu'il était excité.

- Hum, ok, je veux bien tenter quelque chose, laisse ta voiture ici et vient dans la mienne.

Une fois dans ma voiture, je cherchais quelque chose pour lui bander les yeux, je retrouvais un foulard dans mon coffre.

- Couche-toi sur la banquette (arrière), et caresse-toi le sexe tout le long du trajet.
- Oui.
- Tu devras me répondre ; oui, madame.
- D'accord, madame.

Tout en conduisant, je voyais qu'il jouait avec son sexe à travers son pantalon.

- Pourquoi veux-tu faire cela ?
- Je suis tombé sous votre charme madame.
- Donc tu veux me baiser les pieds ?
- Oui, madame.
- Me nettoyer quand je vais uriner ?
- Oui, madame.
- Et quoi d'autres ?
- Tout ce que vous souhaiterez madame.

On arrivait chez moi, et je le fis rentrer, il ne voyait rien, j'abaissais les volets afin qu'il ne voie pas un seul détail du dehors de chez moi.

- Tu peux retirer ton bandeau.

Il fallut le temps que ses yeux se remettent par rapport à la clarté, je lui fis signe de me suivre et allais dans ma chambre, je retirais ma robe, il ne ratait pas une miette et également mon soutien-gorge, j'enfilais une petite nuisette, vraiment mini et m'asseyais sur le lit.

- Déshabille-toi, garde juste ton boxer.

Il fut très vite en boxer, de mon index, je lui fis signe de se rapprocher, il bandait très fort, je mis ma main sur son sexe et fit des vas et viens.

- Je vais venir.

Je m'arrêtais.

- Tu peux me baiser les pieds.

Il se mit à genoux et me baisait les pieds, les léchait, suçait chaque orteil.

- Branle-toi en même temps, je veux sentir que tu prends du plaisir à me baiser les pieds.

Il se branlait et se donnait même plus à fond que ce que je ne le pensais.

- Je vais venir madame !
- Ne t'arrête pas petit cochon.

Il vint dans son boxer, je vis une sorte de dégoût sur son visage, et la honte.

Je l'aidais à se redresser et l'embrassais, je sortis sa main de son boxer et l'essuyais sur mes fesses.

- Tu veux arrêter ?
- Non, madame.
- Suis-moi, je vais faire pipi.

Il se mit à genoux, son visage proche de ma chatte, me regardant pisser, lorsqu'il vit que j'avais fini, il me la léchait.

Je l'emmenais dans mon salon et le fis se mettre sur ma table basse, comme je l'avais été, je l'attachais de la même manière et m'assis en face de lui, je déposais mes pieds sur la table du salon et il me regardait.

- Je peux ?
- Bien sur, je vais me caresser pendant que tu me baise les pieds.
- Il semblait tellement honteux mais volontaire.

Je finis par me relever, lui détacher une cheville, j'avais abaissé son boxer qui était souillé, rattaché la cheville et détaché ensuite l'autre afin de lui retirer.

Je déposais le boxer sous ses yeux, il était maintenant à poil, à quatre pattes sur ma table basses, j'allais le tester.

- Qu'est-ce que je pourrais te faire ?
- Ce que vous souhaitez madame.
- J'aimerais te trouver un petit nom.
- Je répondrais au nom que vous me donner madame.
- Chipie.
- Bien madame.

Je me relevais et caressais son corps, son sexe, ses fesses, il frémissait.

- Chipie, j'aimerais jouer avec ton cul.

Un silence se fit.

- Madame..
- Je te détache et tu peux partir Chipie.
- Non, non svp madame.
- Alors demande moi de jouer avec ton cul de petite chienne.
- Madame, voulez-vous bien vous occuper de mon cul de petite chienne?
- Bien sur Chipie, tout de suite !

Je pris du plaisir à lui écarter son anus, à y jouer avec mes doigts, à faire des vas-et-vient avec un petit gode à moi et lui insérer un plug, je lui mis également un collier fin, discret.

- Comment tu te sens chipie ?
- Totalement à votre service madame.

Je partis dans la chambre et revins avec une boîte, je sortis des objets, me déshabillais et commençais à jouer avec chacun des jouets, mon sexe, mon anus, il me regardait les sucer, je voyais qu'il se remettait à bander.

Je le détachais, je me couchais sur le dos et dis :

- Chipie, j'aurais besoin d'un massage, et de sentir ta langue partout.

Il n'hésitait pas et sa langue passait bien partout s'attardant sur mon anus, ce qui me fit frémir.

- Chipie, regarde dans la boîte et prends deux godes que tu vas m'enfoncer, choisis ceux que tu veux, fais-moi grimper au rideau, mes trois orifices sont ouverts.
- Ceux que je veux Madame ?
- Oui, Chipie.

Il prit un d'une bonne taille et un bien plus gros, il me fit les sucer, alors que je restais allongée sur le ventre et inséra le plus gros dans ma chatte, le second dans mon cul et commençait les vas-et-vient, par moment je sentais son sexe frotter contre moi, selon le mouvement qu'il faisait.

Je me redressais, m'assis, me mis de manière à avoir les godes toujours placés, je dus les replacer et le fis se mettre à genoux.

- Branle-toi pour Madame.

Avec mon index, je lui fis ouvrir la bouge et me rapprochait, je le regardait dans les yeux et crachait dedans, il accélérait sa masturbation.Je me rapprochais de son oreille :

- Je suis en feu, j'ai envie de te prendre par derrière.
- Tout ce que vous voulez madame.
- Alors, tu vas te lever, tu vas choisir lequel gode je vais accrocher à la ceinture et tu iras à quatre pattes vers ma chambre, sur mon lit.

Il me tendit celui qui avait servi aussi pour mon cul, il ne se rendait pas compte de ce qu'il allait ressentir et il partit vers la chambre, je plaçais la ceinture avec le gode dessus, j'en avais un autre à l'intérieur qui me rentrait dedans et vibrait.

J'arrivais dans la chambre, il m'attendait, en position, tête baissée, je me mis derrière lui et retirait le plug, je lubrifiais son anus faisant rentrer mes doigts dedans.

Mais j'eus une autre idée, je le fis se mettre à genoux et se branler pendant qu'il suçait un gode.

- Je veux que tu gouttes mon cul, que tu craches sur mes pieds et les nettoies ensuite !

Ca l'avait excité encore plus, ce qu'il ne savait pas, c'est qu'après, son excitation allait redescendre et que j'allais le prendre ainsi, dans la plus grande honte qu'il pourrait avoir.

Et il léchait mes pieds, il laissait pas une goutte.

- Comment est le goût de ton sperme chipie ?
- Sucrée madame.
- Allais maintenant à 4 pattes, je vais t'enculer petite salope.

Il se plaçait, il avait l'air moins sûr, je le refis sucer un peu et partit me placer derrière lui, je suis rentré, petit à petit, il couinait, je ressorti quelquefois pour lubrifier, il finit par se faire prendre, crier et me remercier avec sa bite qui s'était ramollie.

Ce que je n'avais pas calculé est que, j'étais également en train d'aller vers un orgasme, lorsque je sentis que ça venait, je m'arrêtais, lui complètement ésoufflé se laissait tomber, je retirais le gode ceinture et me laissais tomber sur le dos.

- Chipie.
- Oui Madame ?
- Je te félicite.
- Merci madame.
- Viens me lécher la chatte, si j'ai un orgasme, tu pourras mettre ta tête dans la cuvette pendant que je pisse.

Et il vint se placer, j'avais plus d'énergie, je le laisse me lécher.

- Madame, est-ce que je peux aller chercher un gode pour l'enfoncer dans votre divin anus ?
- Vas Chipie.

Il revint et prit le gros gode, ce qui me fit sursauter, mais il arrivait à le mettre et lui faire faire des va-et-vient, je restais couchée, sans force, mon corps lui était en train de se laisser aller, et j'eus mon orgasme, j'accrochais mes jambes à ses épaules, je sentais que ma cyprine sortait, en coulant, je me tenais au drap du lit, quelques convulsions, essoufflement, et il se redresse.

- Madame ça va ?
- Tout est parfait Chipie...

Il m'aidait à me redresser, me léchait la chatte pour m'essuyer et me suivait à 4 pattes lorsque j'allais aux toilettes, il plaçait sa tête dans la cuvette et j'urinais dessus.

Je partis me laver, je remis une nuisette sans rien, il se levait, revint nu, ses vêtements étant de le salon.

- Chipie ?
- Oui, madame ?
- Tu veux dormir ici ? Je n'ai pas envie d'être seule.
- Je ne veux pas exagérer de votre hospitalité...

Je lançais vers lui deux paires de menottes.

- Chipie, si tu restes, je te laisse m'attacher, où tu veux, comme tu veux et me faire ce que tu souhaites, même me rentrer ton sexe où tu le veux.
- ...

Il restait là bouche bée.

Il finit par m'attacher la main dans le dos, chevilles ensemble, passer son temps à me lécher le corps, me faire le sucer de temps en temps, il me crachera au visage d'ailleurs, c'est sorti sans qu'il le sente, il m'attachera ensuite aux quatre coins du lit, il recommencera à me lécher partout, jouer avec les jouets dans chacun de mes orifices.

L'excitation montante, il me dit :

- Madame, je dois arrêter, j'ai envie de vous humilier, de vous pisser au visage aussi.

L'excitation montante de mon côté, mes vieux instincts.

- Alors je serais Chipie cette fois-ci.

Je me retrouverais très poignets et chevilles liés, il me dit que si je le souhaite, je peux aller placer ma tête dans les cuvettes, ce que je fais, il urine, j'essuie son sexe, la planche, il me redresse, mes fesses vers lui et me sodomise, tout en me tenant par les cheveux, il se retire, je sens que ça coule et il me dépose délicatement par terre.

Je reprends ma respiration, lui aussi, il me redresse et s'essuie sur mon visage, il m'emmène dans la douche, me lave, eau à bonne température, de la douceur lorsqu'il passe avec le gant de toilette.

- Je vous détache ?
- Je t'ai dis que jusqu'à demain tu fais ce que tu veux.
- ...
- Après tout ce que je t'ai fais, tu veux pas m'humilier ?
- Vous voulez être humiliée ?

Il me fit me mettre au sol et me dit.

- Allez-y madame nettoyer le sol.

Il fit couler de l'eau et je la nettoyais, finalement il me ramena dans le lit, détachait mes chevilles, jouait lentement avec un autre gode dans ma chatte et s'endormit, me laissant ainsi. Je finis quelque part frustré, pendant la nuit, j'irai tenter de le sucer mais rien.

Le lendemain matin, je me réveille, il a préparé le café, j'ai les mains détachées et il me baise les pieds.

- Je vais devoir aller rechercher ma voiture, mais si madame souhaite que j'éjacule sur ses pieds et me prenne, alors je suis à son service.

Je me redresse, je prends mon café en lui signifiant de faire, il vient bizarrement assez vite, il nettoie, il prend la ceinture, me demande quels godes y mettre, il le place et se met à 4 pattes.

J'active le vibro et en me rapprochant de lui, je lui dis :

- J'ai passée un bon moment avec toi, je veux qu'aujourd'hui, tu penses à moi.
- Je ne risques pas de pas penser à vous madame.

Je pousse, rentre petit à petit et commence à le prendre, je lui mets des claques sur les fesses, elles deviennent rouges, très rouges, je ne le vois pas encore mais il a les larmes aux yeux, il crie, il est à ma merci, je continue de le claquer, je passe ma main par dessous et lui serre les testicules et son sexe, je frappe.

- Tu es quoi Chipie ?
- Votre petite salope madame !

Je finis par me retirer.

- Ne bouge pas.

Je le regarde, je retire la ceinture, je m'essuie, j'enfile un string, un jean moulant, un soutien-gorge et un t-shirt, je vais chercher son téléphone, lui fais le déverrouiller, je prends son cul en photo et lui jette le téléphone.

- Va t'habiller, je vais te ramener.

Comme la veille foulard sur les yeux, je le ramène, il me remercie, je retourne chez moi, je ferme la porte, je me déshabille, je vais me laver, je me mets à pleurer, je me sens seule...

Mon téléphone vibre, je regarde, il m'a renvoyé la photo que j'ai prise et me dit : "Quand il faut vous baiser les pieds, où un petit trou à défoncer, appelez-moi. Chipie."