Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 3)

Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 3)
Pendant des mois, nous nous sommes vus.
C'était ma petite salope, il me faisait un message lorsqu'il voulait me servir.
C'était plutôt régulier.
Avec son derrière, mon gode-ceinture avait été plus que rentabilisé.
Mais nous étions également devenus amis, on faisait des sorties, je l'ai accompagnée à deux mariages de ses collègues, j'ai même été acheté mes robes avec lui.
Mais, depuis quelques semaines, il voyait quelqu'un, il m'en avait parlé, un coup de foudre, on se voyait moins, je ressentais beaucoup de solitude et de la jalousie par la même occasion, ils finirent par se mettre ensemble.
Évidemment, nous étions amis, donc, ils nous arrivaient de nous voir. Moi, ma jalousie ne me faisait pas apprécier sa copine, qui, je l'avoue, était adorable. Du coup, à chaque fois que l'on se voyait, je portais des talons, je voyais qu'il regardait, mais je m'en amusais comme je le pouvais.
Nous étions à une soirée de son travail, il fallait deux personnes pour le bar mais sa copine ne voulut pas, donc on se retrouvait là, lui et moi, j'étais très mauvaise barmaid, mais les hommes venaient près de moi... et mon ami, lui, préparait les bières !
Nous devions faire beaucoup d'aller-retour dans la réserve, alors je tentais à chaque fois d'y aller en même temps, je me frottais une première fois, je l'effleurais une seconde... je le voyais me regarder, vers 1h30 au matin, ça se terminait, nous, nous rangions le bar et la réserve, je calculais nos déplacement pour me retrouver face à face avec lui et je finis par y arriver.
- Oups désolé ! Me dit-il.
- Menteur, tu attendais que ça ! Répondis-je.
Il ne me répondit pas, me tournait le dos et rangeait les verres dans les casiers prévus à cet effet, il était accroupi, je posais mon pied, dans son talon dessus.
Il relevait la tête et me dit :
- Non, c'est fini tout ça.
- Baise-les, profite que nous sommes seules, tu en as envie ! Dis-je en faisant glisser ma main le long de ma cuisse pour relever ma jupe.
Il le fit, bingo, il se laissait aller, j'aimais ça, je reprennais le dessus, mais il s'arrêtait.
- Non, ce n'est pas correct.
- Tu n'as pas envie que je t'encule comme avant ?
- ...
- Ou alors tu veux me prendre toi ? Une petite pipe ?
- Arrête de suite.
Il se redressait et sortit du bar, prétextant qu'il devait partir, n'ayant pas d'excuses, je rangeais, l'un de ses collègues vient gentiment m'aider, je m'attendais à une technique de drague mais rien.
2h17, je retournais vers la voiture, et rentrait chez moi, je me garais, m'apprêter à passer la porte et j'entendis "psss".
- Qu'est-ce que tu fais là ?
- Tais-toi, rentre vite, je te suis.
Une fois à l'intérieur, il fit descendre mes brides, faisait sauter mon soutien-gorge et abaissait mon string, il vit le plug.
Il me fit m'asseoir sur ma table à manger et se mit à baiser mes pieds, ma chatte, puis me fit descendre et retirait mon plug. Je sentis très vite son sexe dur contre moi et il me prit par derrière, il se vidait, me prit la main, m'emmenait devant les toilettes, je le regardais, il avait un regard froid.
Je m'y ma tête dans la cuvette et il se mit à uriner, il secouait son sexe au dessus de ma tête, je me redressais lui nettoyait et nettoyait la planche.
- Dorénavant, stp, ne tente plus rien, respecte là.
- ...
- Tu sais ce qu'on va faire ?
- Non ?
- Envoi moi des photos de toi chaque jours, trois, ça m'excitera pour que je couche encore plus souvent avec elle.
- T'es un...
- Génie, merci !
- Je n'allais pas dire ça.
- Je te prendrais bien en photo là, impuissante.
Il sortit son téléphone et le braquait sur moi.
- Vas-y.
Clic.
- T'es mon amie, je t'aime profondément, stp ne gâche pas cela.
Aussi tôt le pantalon relever et attaché qu'il partit.
Il avait pas tort, mais pas raison non plus.
Une vingtaine de minutes plus tard, je reçu un message de sa part, c'était la photo, me voir ainsi m'excitait.
Je ne lui répondis pas, j'avais pris ma douche, je me couchais dans mon divan et m'endormis.
Le lendemain, je repensais à ses trois photos, je fis la première sous la douche, plus tard dans la journée, je fis la seconde dans une cabine d'essayage, juste en string, le soir, il reçu la dernière où j'avais le gode en bouche.
J'eu pour seul réponse un émoticônes pouce.
Le lendemain, alors que j'allais utiliser le vibro, je finis une photo de mes jambes où l'on voyait où se trouvait le vibromasseur, une autre, où je me penchais et écartait les fesses avec mes mains, et la dernière seins nus, cachés, où je tirais une langue.
Toujours qu'un pouce.
Surlendemain, je décidai d'augmenter le niveau, je mis un bâillon et attachai mes poignets, mes mains devant moi à genoux par terre, je lui envoyais, l'après-midi simplement un string à moi sur mon lit avec un gode et un plug et du lubrifiant, le soir, moi à 4 pattes sur mon lit, mes fesses en visuel, un gode dans mes deux orifices.
Après ce jour-là, je reçu un message de sa copine.
"Est-ce que l'on peut se voir ? J'aimerais que cela reste entre nous."
Paniquée, je répondis simplement ; "oui, dis-moi quand tu es libre".
"Cette après-midi ?"
C'était ma petite salope, il me faisait un message lorsqu'il voulait me servir.
C'était plutôt régulier.
Avec son derrière, mon gode-ceinture avait été plus que rentabilisé.
Mais nous étions également devenus amis, on faisait des sorties, je l'ai accompagnée à deux mariages de ses collègues, j'ai même été acheté mes robes avec lui.
Mais, depuis quelques semaines, il voyait quelqu'un, il m'en avait parlé, un coup de foudre, on se voyait moins, je ressentais beaucoup de solitude et de la jalousie par la même occasion, ils finirent par se mettre ensemble.
Évidemment, nous étions amis, donc, ils nous arrivaient de nous voir. Moi, ma jalousie ne me faisait pas apprécier sa copine, qui, je l'avoue, était adorable. Du coup, à chaque fois que l'on se voyait, je portais des talons, je voyais qu'il regardait, mais je m'en amusais comme je le pouvais.
Nous étions à une soirée de son travail, il fallait deux personnes pour le bar mais sa copine ne voulut pas, donc on se retrouvait là, lui et moi, j'étais très mauvaise barmaid, mais les hommes venaient près de moi... et mon ami, lui, préparait les bières !
Nous devions faire beaucoup d'aller-retour dans la réserve, alors je tentais à chaque fois d'y aller en même temps, je me frottais une première fois, je l'effleurais une seconde... je le voyais me regarder, vers 1h30 au matin, ça se terminait, nous, nous rangions le bar et la réserve, je calculais nos déplacement pour me retrouver face à face avec lui et je finis par y arriver.
- Oups désolé ! Me dit-il.
- Menteur, tu attendais que ça ! Répondis-je.
Il ne me répondit pas, me tournait le dos et rangeait les verres dans les casiers prévus à cet effet, il était accroupi, je posais mon pied, dans son talon dessus.
Il relevait la tête et me dit :
- Non, c'est fini tout ça.
- Baise-les, profite que nous sommes seules, tu en as envie ! Dis-je en faisant glisser ma main le long de ma cuisse pour relever ma jupe.
Il le fit, bingo, il se laissait aller, j'aimais ça, je reprennais le dessus, mais il s'arrêtait.
- Non, ce n'est pas correct.
- Tu n'as pas envie que je t'encule comme avant ?
- ...
- Ou alors tu veux me prendre toi ? Une petite pipe ?
- Arrête de suite.
Il se redressait et sortit du bar, prétextant qu'il devait partir, n'ayant pas d'excuses, je rangeais, l'un de ses collègues vient gentiment m'aider, je m'attendais à une technique de drague mais rien.
2h17, je retournais vers la voiture, et rentrait chez moi, je me garais, m'apprêter à passer la porte et j'entendis "psss".
- Qu'est-ce que tu fais là ?
- Tais-toi, rentre vite, je te suis.
Une fois à l'intérieur, il fit descendre mes brides, faisait sauter mon soutien-gorge et abaissait mon string, il vit le plug.
Il me fit m'asseoir sur ma table à manger et se mit à baiser mes pieds, ma chatte, puis me fit descendre et retirait mon plug. Je sentis très vite son sexe dur contre moi et il me prit par derrière, il se vidait, me prit la main, m'emmenait devant les toilettes, je le regardais, il avait un regard froid.
Je m'y ma tête dans la cuvette et il se mit à uriner, il secouait son sexe au dessus de ma tête, je me redressais lui nettoyait et nettoyait la planche.
- Dorénavant, stp, ne tente plus rien, respecte là.
- ...
- Tu sais ce qu'on va faire ?
- Non ?
- Envoi moi des photos de toi chaque jours, trois, ça m'excitera pour que je couche encore plus souvent avec elle.
- T'es un...
- Génie, merci !
- Je n'allais pas dire ça.
- Je te prendrais bien en photo là, impuissante.
Il sortit son téléphone et le braquait sur moi.
- Vas-y.
Clic.
- T'es mon amie, je t'aime profondément, stp ne gâche pas cela.
Aussi tôt le pantalon relever et attaché qu'il partit.
Il avait pas tort, mais pas raison non plus.
Une vingtaine de minutes plus tard, je reçu un message de sa part, c'était la photo, me voir ainsi m'excitait.
Je ne lui répondis pas, j'avais pris ma douche, je me couchais dans mon divan et m'endormis.
Le lendemain, je repensais à ses trois photos, je fis la première sous la douche, plus tard dans la journée, je fis la seconde dans une cabine d'essayage, juste en string, le soir, il reçu la dernière où j'avais le gode en bouche.
J'eu pour seul réponse un émoticônes pouce.
Le lendemain, alors que j'allais utiliser le vibro, je finis une photo de mes jambes où l'on voyait où se trouvait le vibromasseur, une autre, où je me penchais et écartait les fesses avec mes mains, et la dernière seins nus, cachés, où je tirais une langue.
Toujours qu'un pouce.
Surlendemain, je décidai d'augmenter le niveau, je mis un bâillon et attachai mes poignets, mes mains devant moi à genoux par terre, je lui envoyais, l'après-midi simplement un string à moi sur mon lit avec un gode et un plug et du lubrifiant, le soir, moi à 4 pattes sur mon lit, mes fesses en visuel, un gode dans mes deux orifices.
Après ce jour-là, je reçu un message de sa copine.
"Est-ce que l'on peut se voir ? J'aimerais que cela reste entre nous."
Paniquée, je répondis simplement ; "oui, dis-moi quand tu es libre".
"Cette après-midi ?"
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