Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 4) - histoire érotique

Elle m'avait donnée rendez-vous dans un petit café dans la ville voisine.

J'étais tendue, stressée, certaine qu'elle savait tout, qu'elle avait vu quelque chose... Je restais un moment dans ma douche à réfléchir, comment j'allais me justifier ? Je savais que mon comportement n'avait pas été correct.

Je sortis de ma douche, drap de bain autour de moi et me dirigeais dans ma chambre, j'ouvris ma garde-robe, regardais un instant et pris un jean, un sweat léger, j'allais dans mes tiroirs, culotte et soutien et je m'habillais, je me regardais un instant dans le miroir, je ne me reconnus pas vraiment.

Je paraissais bien sage et timide ainsi.

J'attrapais mon sac à main et pris la route. Sur la route, je continuais à me chercher des excuses, mais je n'en trouvais pas vraiment. Je me garais, me dirigeais vers le petit café, il était adorable d'ailleurs, un petit café à l'ancienne. D'ailleurs, je devais être la plus jeune dedans, il n'y avait pas beaucoup de personnes.

L'attente était insoutenable, je tapotais du pied sous la table, je jouais avec mes mains, et puis elle arrivait, grand sourire, démarche assurée, je m'imaginais qu'elle avait imprimé les photos et qu'elle allait les jeter sur la table.

Elle me saluait, nous commandions, et on se mit à discuter, de tout et de rien pour commencer, puis elle vint au vif du sujet, c'était l'anniversaire de son copain, elle voulait marquer le coup et avait besoin de mon aide, je n'osais pas lui dire qu'il ne me parlait plus ! Elle suggéra même que l'on porte la même robe, sa meilleure amie et sa copine qui s'accordent...

J'allais mourir !

Je me retrouvais donc à aider à organiser l'anniversaire d'un garçon qui ne me parlait plus, à qui j'envoyais des photos plus qu'osées... Avec sa copine qui était vraiment adorable.

Lorsqu'elle partit, je restais encore quelques instants à table, repris un verre et lui fis un message.

"Hello, pourrait-on se voir ? Je tiens à m'excuser de mon comportement en face à face"

Après quelques minutes, il me répondit :

"Rejoins-moi dans une heure, près de mon travail, tu vois le parc ?"

"Oui, je serais là" répondis-je.

Lorsqu'il arrivait, j'étais déjà là, assise sur un banc, sur mon téléphone.

- Salut !
- Hey, contente que tu sois venue ! Dis-je en me lèvant.
- De quoi voulais-tu me parler ?
- Comme je te l'ai dit, mon comportement n'a pas été correct, nous avons vécu des trucs fous ensemble et j'ai apprécié chaque moment à tes côtés, mais nous n'étions pas en couple et je n'aurais pas dû réagir ainsi, ta copine est vraiment quelqu'un de bien et j'aimerais que l'on se reparle.

Il restait silencieux un moment, mais cela n'était pas un de ces moments gênants, je voyais qu'il prenait l'information et réfléchissait.

- Je peux simplement te remercier pour ces quelques mots, je suis triste aussi d'avoir dû un peu m'éloigner, mais si on peut être amis, alors je pense que l'on peut éviter de se perdre.
- Promis !

Dis-je en lui tendant la main, il sourit et me serre la main.

On discutait un peu et il partit.

Je rentrais chez moi, tout de même triste, j'installais des applications de rencontres sur mon téléphone, très vite on vient me parler, pourtant je n'avais mis aucune photo osée !

Pendant plusieurs semaines, je me suis ennuyée, c'était rare qu'une conversation continue longtemps. Quand je quittais mon téléphone, je me faisais du bien à moi-même. Dans le même temps, je les voyais, me tenant à carreaux, et avec sa copine on organisait les festivités.

J'avais contacté ses deux amis qui étaient à présent tous deux en couple également, et ses collègues les plus proches, elle sa famille et d'autres connaissances.

J'avais été voir mon amie, une journée shopping où je m'étais un peu (trop) lâchée, mais qui m'avait fait du bien, je devais la revoir plus tard pour aller manger un bout. C'était la meilleure journée depuis longtemps !

En arrivant devant chez moi, j'ouvris mon coffre et je soufflais à l'idée de devoir tout sortir et faire les allers-retours. Mon voisin, deux maisons plus loin, me proposait de m'aider. Il était dans le début de la vingtaine, je ne le voyais pas souvent, mais lui et ses parents me saluaient toujours lorsque l'on se croisait.

Nous déposions les derniers sacs dans mon hall.

- Je te remercie, je crois que je n'aurais pas tout rentré de suite sans ton aide !
- De rien, c'est avec plaisir.
- Est-ce que je peux te donner quelque chose pour te remercier ?

Dis-je en allant dans mon sac à main prendre mon portefeuille.

- Non, surtout pas, c'était vraiment volontiers.
- Je tiens à te remercier, je peux t'offrir un verre ?
- Ok pour un verre.

Je pris quelques affaires, il prit les dernières et lui emboitait le pas en montant les escaliers. Sur le moment, je n'y pensais pas, mais j'agitais mes fesses sous ses yeux.

Il prit un verre d'eau.

- Alors, tu aides souvent les gens ?
- Quand je les vois en difficulté, oui...
- C'est bien, c'est gentil !
- C'est normal, on m'a élevé ainsi.
- Tu pourras féliciter tes parents !
- Merci.
- Et tu as une copine ?

Il rougit et fit non de la tête.

- C'est pourtant de ton âge, profite !
- Je, je n'en ai eu qu'une.

Je le regardais, mais au final, je pouvais comprendre, il ne sortait pas beaucoup, il était timide et physiquement... Il était un peu en dessous de la moyenne.

- Alors mets-toi au travail et trouve une ! Dis-je en souriant.

Je voyais qu'il me regardait, que je lui plaisais, alors je lui posais des questions sur son type de femmes, les expériences qu'il avait déjà eues (très peu, très basique, pas de fellation de part et d'autres), etc...

- Si j'ai bien compris, j'en conclus que je suis ton genre de femme !
- Vous êtes très belle, mais un peu âgée pour moi...

Ca, ça faisait mal, j'étais à peine dans la trentaine !

- Sans drague, sans arrière pensée, cela veut dire que si une femme de mon âge vient vers toi, tu n'en voudrais pas ?
- Je pense que non...
- Je suis vexée, attend, je vais te faire changer d'avis.

Je retirais mon haut et baissais mon pantalon, que je retirais, je me tenais devant lui et lui dis :

- Donc, ça, tu dirais non?
- Waouw, je, non, je sais pas... Vous êtes très belle !

Je m'assis et restais vexée, je déposais mes coudes sur mes jambes tout en le regardant un peu dépitée.

Il se levait et s'accroupit à côté de moi, mettant sa main sur mon épaule.

- Je ne voulais pas vous vexée, comme je l'ai dis, vous êtes très belle...
- Mais je suis vieille !
- Mais non !
- Mais si !
- Je vous dis que non.
- Si j'étais entièrement nue devant toi, consentante, tu n'en profiterais pas ?
- Je ne sais pas... Je n'ai pas votre expérience...
- Je dois comprendre que je suis un...
- Non ! Mais de mon côté c'est le néant ! Dit-il en étant complètement rouge.

Je me redressais, dégrafais mon soutien-gorge et le fis tomber, je fis glisser ma culotte et la laissai au sol.

- Voilà, je suis nue devant toi.

Il détourna le regard.

- Non, regarde-moi... Je suis déjà assez atteinte dans mon égo là.
- Vous êtes magnifique...
- Tu veux que je t'aide à prendre de l'expérience ?

Il ne savait plus ou se mettre.

- Je, je ne veux pas abuser de votre gentillesse.

Je pris sa main et la dirigeais vers mes seins, il était tout raide.

- Palpe-les, caresse-les, ne t'inquiète pas !

Ma main restait sur la sienne, je le fis descendre à mon entre jambe.

- Regarde, joue un peu ici sur mon "bouton", en général nous aimons cela.

Et il le fit, très maladroitement mais il finit par se lacher un peu, pour ma part aussi, et il le sentait que je m'excitais.

- Allais, viens mettre ta tête entre mes jambes.

Il vint et je ne sais pas si, au final, c'était plus mouillé, par ma faute, ou la sienne... Mais je lui expliquais comment donner du plaisir, en tout cas à moi.

Il me mit des doigts, de lui-même, puis, je lui signifiais qu'il pouvait arrêter, il se relevait, je me mis à genoux devant lui, on aurait dit qu'il avait touché le graal.

- Je peux ? Dis-j'en ayant mes mains près des boutons de son pantalon.
- Oui, oui... Dit-il avec un léger bégaiement.

Je détachais son pantalon et le fis glisser, il était trop dur, je pris son boxer et l'abaissais, il avait déjà fait des gouttes dessus, je regardais son sexe, il n'était pas bien grand, mais ça pourrait faire l'affaire.

Je passais d'abord délicatement avec ma langue sur le bout de son sexe, puis le long, finis par le mettre en bouche. Moins d'une minute plus tard, il crachait et, surpris, se retirait en me crachant au visage, sur la poitrine. J'étais surprise, sans l'être.

- Pa, pa, pardon !
- Ca arrive... Dis-je.
- Où se trouve votre salle de bain ? Je vais aller chercher un gant de toilette et un essuie.

Du doigt, je lui montrai la porte, il y courait, pantalon aux chevilles et revint, il me tendit le gant de toilette, j'étais toujours à genoux, je passais un coup sur mon visage, mon corps, m'essuyais, il avait relevé son pantalon.

Je me relevais et lui dis :

- Ecoute, ce n'est pas grave, ce sont des choses qui arrivent !

Je partis dans la salle de bain, prit une douche et sortit un drap de bain autour de moi, et sur ma tête.

- Je suis vraiment désolé ! Dit-il.
- Ce n'est rien je t'ai dis ! Lui dis-je en souriant.

Je lui reproposais un verre d'eau, j'en pris un également.

- Je peux vous poser une question ?
- Oui, je t'en prie !
- Pourquoi faites-vous cela ?
- Comment ça ?
- Ben... Vous déshabiller, les choses qu'on a faites...
- Pour être franche, ça fait quelques semaines, voire quelques mois que je me sens seule, une relation qui s'est terminée et dont je fais toujours le deuil, avec toute ta gentillesse, tu m'as aidée, ça m'a fait plaisir, puis en discutant, je n'ai pas trop réfléchi... J'espère que tu ne m'en veux pas ?
- Au contraire... Je m'en veux que cela n'ai pas durer plus longtemps... Dit-il détournant du regard.
- Si tu veux, quand tu te sens prêt, viens sonner à la maison, on testera à nouveau.
- Vous êtes sûr ?
- Ça me fait une gentille compagnie et toi, ça te ferait de l'expérience, ça nous ferait du bien à tous les deux.

On terminait nos verres tous les deux et je le raccompagnais à la porte, je regardais s'il n'avait pas fait des gouttes ailleurs, non, je me couchais dans le divan et m'assoupis, lorsque je me réveillais, j'allais faire mes cheveux, j'enfilais un mini short de pyjama et le t-shirt qui allait avec et me mis dans mon divan, devant la télévision.

20h30, mon amie m'appelle, me demande où je suis passée, je lui explique que je me suis endormie et lui demande de reporter, elle rigole et est d'accord. 20h37, on sonne à ma porte, mon voisin est devant.

- Je, je peux venir ?

Je fis un pas de côté, et l'invitait à rentrer, je lui offre à boire.

- Tu es déjà prêt ? Je ne pensais pas que tu reviendrais de si tôt !
- Je m'en voulais, et j'étais toujours.. Enfin, j'avais toujours super envie.
- Tu aurais du te masturber avant ! Dis-je à la fois en rigolant mais sérieusement.

Il ne dit rien, mais sa tête me laissais penser qu'il l'avait fait.

- Mais, on dirait que tu l'as fait !
- Oui... Deux fois...
- Tu redémarres vite, dis donc !
- J'ai regardé des vidéos...
- Et tu as vu des trucs que tu aimerais faire ?
- Oui, mais je ne peux pas !
- Pourquoi ?
- Parce que je vous respecte...

Je me levais, le pris par la main et l'emmenais dans la chambre, je le déshabillais, le poussais sur le lit et me mis entre ses jambes, son sexe restait tout mou malgré tout ce que je lui faisais, je ne me vexais pas, je le regardais, je me déshabillais, toujours pas de réaction.

- Alors dis-moi, qu'est-ce que tu as vu, qu'est-ce que tu aimerais me faire ? Qu'est-ce qui pourrait faire se relever le soldat ?

Je pris ses mains et les mis sur moi.

- Touche-moi où tu veux pendant que tu m'expliques.
- J'aimerais refaire des bisous à votre entrejambe, vous toucher partout,...
- Et ça te ferait bander ?
- Je ne sais pas...
- Qu'est-ce qui te ferait bander ?
- C'est gênant...
- Pas de gêne, dis-moi ! Allais, s'il te plaît.
- Vous ne vous fachez pas ?
- Non, je sais que tu as vu ça, donc vas-y
- Ok... Vous voir marcher à quatre pattes par terre, jouer dans vos fesses...

Je sortis du lit et me mit à marcher à quatre pattes.

- Comme ceci ?
- Oui... Dit-il gêné.
- Si tu veux, dis-moi où je dois aller, fais-moi te suivre, allais, je te laisse décider.

Il me fit le suivre dans toute la maison, mais j'avais beau regarder son sexe, cela ne changeait rien, je décidais donc d'aller dans ma boîte et prendre quelques godes, des petits, des grands et du lubrifiant.

- Si tu veux me prendre par derrière, il faudra que tu m'écartes un peu, prends un peu de lubrifiant et mets-en sur ton index.

Je me couchais sur le ventre et écartait mes fesses, relevant un peu mon bassin.

- Maintenant, mets en un peu sur mon petit trou, fais des petits cercles, pousse un peu pour faire rentrer ton doigt, si je suis bien lubrifier, tu arriveras, je te laisse faire, tout ce qui est là, tu peux t'en servir.

Je finis par sentir ses doigts rentrer petit à petit, puis je l'entendis prendre le lubrifiant, ou plutôt en mettre sur un des godes, il y allait par taille, il finit par rentrer le premier et les suivants, jusqu'à arriver au plus grand où là, je prenais mon pied.

Je ne me rendais pas compte que je m'étais totalement redressée, à quatre pattes sur mon lit pendant qu'il me sodomisait avec chacun des godes, il jouait beaucoup avec mes seins et ma chatte.

Je finis par tourner la tête et je vis qu'il bandait, je me tournais pour aller avec ma bouche sur sa bite, le gode était bien empilé, je me mis à le sucer, après un long moment, je me demandais si il viendrait.

- Alors, maintenant que tu bandes bien, que veux-tu ?
- Je peux aller par derrière ?
- Oui, mais demande mieux que ça...
- Svp ?
- Non, décoince-toi !
- Je veux vous prendre par derrière ! Me dit-il d'un air sûr.
- Non...
- Comment alors ?
- Dis moi ; "A quatre pattes, je vais t'enculer !"

Il semblait saisi par le ton de la phrase et il dit.

- Mettez-vous à quatre pattes, je vais venir par derrière.

Beaucoup moins excitant, mais bon !

Je me retournais, creusais mon bassin et dandinnais mes fesses sous ses yeux.

Il vint se placer derrière moi, je le sentis appuyer et rentrer sans grand difficulté, il prit du temps à venir, lubrifié comme je l'étais, je ne sentais pas de trop, lorsqu'il finit par venir, ce sont des giclées qui me remplirent.

Il sortit en me remerciant, je lui donnais un mouchoir, en prit un et couru aux toilettes.

Je l'invitais à se rhabiller et partir, de revenir quand il le souhaitait.

Il revint régulièrement, pour ne pas dire tous les jours et c'était chaque fois de mieux en mieux.