Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 4)

- Par l'auteur HDS Pael -
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Récit libertin : Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 4)
Nous étions arrivés à un stade où coucher était devenu normal entre nous, où il faisait des petites expériences.

Dernièrement, il m'avait attachée et caressée tout mon corps, baisé, léché, avait joué avec tous les objets qu'il trouvait, il m'avait mise complètement en transe, je coulais abondamment, n'avais plus de contrôle sur moi-même.

C'était vraiment devenu sympa !

Mais aujourd'hui était le jour de l'anniversaire surprise, elle avait choisi les robes, le genre de robe que j'aimais mettre, je vous laisse imaginer !

Lorsqu'il arrivait, il était surpris, content et remerciait sa copine. Celle lui dit que j'étais dans le coup, il me remerciait également et la soirée se passait bien, nous rigolions, les gens que je connaissais moins étaient sympathique.

Évidemment, nous avions tous bu, nous nous retrouvâmes, moi, lui et sa copine, à discuter.

- Alors, tu es content ? Lui dit-elle.
- Oui, vraiment, merci à vous deux ! Répondit-il.
- C'est avec plaisir. Dis-je.
- Tu as vu comme nous sommes belles ? C'est moi qui ai eu l'idée qu'on soit assorties, ta copine et ta meilleure amie, tu aimes ?
- Oui, vous êtes magnifique ! Dit-il ne tournant pas son regard sur moi.
- On pourrait faire un truc à trois !

Dit-elle, me faisant cracher ce que je buvais.

- Sois pas coincée, on peut s'amuser ! Dit-elle.
- Je crois que tu es un peu saoule. Lui dit-il.
- J'avoue, je ne tiens plus !
- Je vais te ramener...
- Non, pas besoin, ne pars pas de ta fête...
- Je vais revenir après, dans 15 minutes je suis revenu !
- D'accord, tu as peut-être raison, je vais rentrer...

Elle me regardait et me dit :

- Merci pour tout, pour ton aide, t'es une vraie amie !

Puis elle me prit dans ses bras, laissant aller son corps et me laissant fort, il l'a reprise et partit avec.

Je partis m'asseoir, mon verre en main, j'étais pensive, c'était quoi cette scène ? J'allais sûrement en prendre pour mon grade, que je l'aurais pervertie... Je restais la pensive, et il arrivait devant moi.

- Désolé, elle à un peu forcer sur la boisson.
- On en est tous là, je crois... Répondis-je.

Il s'assit à côté de moi et nous discutions un moment, il partit voir les autres invités, moi j'étais à une table avec ses collègues, et les gens partaient petit à petit, les heures avançant.

J'étais dans les dernières, rentrer chez moi signifiait me retrouver seule, ça ne me donnait pas envie, donc je traînais jusqu'à temps de n'avoir plus le choix.

On finit par sortir avec les derniers invités, je fermais la porte derrière-moi, on se dit tous au revoir.

- Tu vas faire quoi maintenant ? Me dit-il.
- Je vais rentrer... Il est assez tard, embrasse-là de ma part.
- Là, c'est toi que j'ai envie d'embrasser.

Et il avançait vers moi et m'embrassait, je le laissais faire quelques instants et le repoussait.

- Non, on ne peut plus faire ça.
- Viens, suis-moi...
- Qu'est-ce que tu veux faire ?
- Viens, tu le verras.
- Stp, on ne peut pas.
- Tu ne m'as pas offert de cadeau, viens.

Et je le suivais.

On partit dans l'allée sur le côté de la salle, se mit à m'embrasser, me caresser, faire tomber mes vêtements, jouer avec ma poitrine, ma chatte... me fit m'accroupir, le sucer, puis me redressait et me penchait contre le mur, il me prit ainsi.

- Ta chatte m'avais manquée, j'aime ma copine, mais j'aime aussi me vider en toi.

Les coups de reins étaient assez vifs, forts. Après un moment, ils s'accélèrent, me faisant gémir. Il ne venait pas, il avait couché avec sa copine, où était-ce l'alcool ? Et il finit par venir, serrant mes hanches, il remettait quelques coups pour être sûr de s'être vidé et se retirait en me disant de ne pas bouger.

Il sortit un paquet de mouchoir de la poche de sa veste et s'essuyait, il me regardait et me dit :

- Tu restes ainsi, jusqu'à temps que tu entendes ma voiture démarrer, après, tiens, tu pourras t'essuyer.

Il mit le paquet dans ma main droite qui était toujours appuyée contre le mur, releva son pantalon.

- Ça m'a excité cette histoire de plan à 3, je vous imagine bien toutes les deux, j'essaierai que ça se concrétise ! D'ici là, tiens-toi prête si j'ai besoin.

Il vint sur mon côté, me fis une bise sur la joue et me remerciait pour la soirée.

J'entendis sa voiture démarrer et partir, je m'essuyais et remis mes vêtements, je rentrais dans La voiture et rentrait chez moi également, je me mis à pleurer et m'endormir ainsi, sans même m'être changée.

Le lendemain matin, j'avais un message de la part de sa copine qui s'excusait et me demandait si je pouvais passer chez eux.

Elle me donnait rendez-vous à 17h pour manger là-bas.

J'y allais, tenue très sobre.

- Je voulais m'excuser pour hier, être partie mais surtout ce que j'ai suggérée..
- Ce n'est pas grave, tu étais saoule...
- Oui...
- Oublions ça ! Dis-je lui faisant un sourire.

Lors d'un de ces allers-retours à la cuisine, mon ami me dit :

- Débrouille-toi pour revenir sur le sujet et dire que tu n'es pas contre, tu rajouteras même que tu es toute à son service.
- Mais t'es fou, elle va avoir peur ! Chuchotais-je.
- Ne me dis pas que tu n'as pas envie qu'elle te soumette !
- ...
- C'est bien ce que je pensais, donc je vais m'absenter quelques minutes, tu vas en profiter.

Et c'est ce qu'il se passait, lorsqu'elle revint, il s'excusait et sortit de la pièce, je m'excécutait donc.

- Dis... Pour ce que l'on a parlé tout à l'heure...
- Oui ?
- Je ne serais pas contre...
- Je ne crois pas bien comprendre ?
- Je ne serais pas contre ce plan à 3...

Je crus que ses yeux allaient sortir de leur orbite.

- Mais tu décideras de tout, je ne ferais ni plus ni moins que ce que tu veux !

Toujours une absence de réponse, je voulais partir en courant loin de là et il revint.

- Ben, qu'est-ce qui se passe ? Dit-il.
- Demande à ton amie ce qu'il se passe !

Il se tournait vers moi, d'un air sérieux mais je le savais satisfait à l'intérieur.

- Je... Rien, je m'excuse, je vais devoir m'en aller. Dis-je baissant les yeux.
- Elle vient de me suggérer de faire un plan à 3 ! Et qu'elle ferait tout ce que je veux !

Dit-elle, dans la plus grande normalité pas contente.

- Tu sais que, c'est toi qui lui a proposé en premier ? Et qu'en plus, tu m'as déjà dit que tu aimerais en faire un... Tu ne peux pas lui en vouloir ! Lui dit-il avec une certaine douceur.
- Et toi, c'est quoi cette histoire de faire tout ce qu'elle veut ? Me dit-il d'un ton plus dur...
- Ben, je.. euh...
- Euh, euh... Ca ne me répond pas, tu voudrais qu'elle te soumette, c'est ça ?
- Je n'ai pas dit ça ainsi, mais vu que je pensais qu'elle voulait un plan à 3, qu'elle était mal à l'aise et que pour une femme en couple, j'imagine que c'est compliqué de partager son homme, je voulais la laisser décidée pour qu'elle soit à l'aise.
- J'aurais préféré que tu suggère d'être sa soumise, ça m'aurais vraiment excité et j'aurais pu lui faire beaucoup de bien. Dit-il.
- Attendez ! Donc là, on parle de plan à 3, c'est ça ? Dit-elle.
- Oui, répondit-il.
- Ok... Et que toi, tu me sois soumise ?
- Oui... Répondis-je.
- Trop d'information.

Il y eu un blanc, léger car mon ami reprit vite la parole.

- Et elle pourrait faire quoi si tu te soumets à elle ?
- Ce qu'elle veut...
- Des limites ?
- Non.. Pas que je sache...
- Tu pratiques le sexe oral ? Anal ?
- Oui... Dis-je en me disant qu'il le savait très bien.
- Si elle peut te punir et t'humilier, alors je signe ! Dit-il en rigolant.
- Hey, laisse-là tranquille, c'est déjà bien ce qu'elle offre.
- Non, pas de soucis, ne t'inquiète pas. Dis-je.
- Alors tu es ok sur tout ? Rajouta-t-il.
- Oui.
- Elle est à toi. Dit-il à sa copine.
- Attendez j'arrive.

Elle partit dans la cuisine et se servit plusieurs fois à boire, elle revient, resta droite devant nous et me dit :

- Ok, je ne m'étais pas apprêtée à cela mais pour m'aider, montre moi que tu es à mon écoute, maintenant.

Je sentais le regard de mon ami briller.

Je me levais et retirais le tee-shirt que je portais, le pliais et le déposais sur la table, apparaissait à présent mon soutien-gorge, je retirais mes sneakers et mes petites chaussettes que je mis sur le côté, je détachais mon pantalon, le fis glisser le long de mes jambes et le retirais à son tour, le repliant et le mettant en dessous de mon tee-shirt. Je n'osais pas la trop la regarder, mais elle ne me lachais pas des yeux.

Je sentais mon coeur battre dans ma poitrine, j'avais honte, je me sentais déjà humiliée car elle ne me voyait pas ainsi, elle me considérait... Je dégrafais mon soutien-gorge et le mis avec mes vêtements, je fis pareil avec ma culotte que je fis glisser et rejoindre le reste des vêtements.

Les yeux baissés, je m'avançais vers elle et me mis à genoux devant elle.

- Je suis à ton service.
- Incroyable ! Dit-elle, l'air sous le choc.
- Je vais te poser des questions, ça l'aidera à savoir ce qu'elle peut faire, d'accord ? Dit-il.
- Oui. Répondis-je.
- Je commence, j'imagine qu'elle peut te toucher ?
- Oui.
- Elle peut te mettre des objets également ?
- Oui.
- Où ?
- Où elle le souhaite.
- Elle peut te punir ?
- Oui.
- Comment ?
- Comme elle le souhaite.
- Donc, elle peut prendre une spatule et frapper sur chaque partie de ton corps ?
- Oui.
- Si elle veut que tu lui baise les pieds ?
- Je lui baise.
- Si, elle veut t'humilier ?
- Elle peut.
- Tout ?
- J'imagine..
- Alors chérie ?

Elle restait devant moi, puis retirait ses chaussures, elle était pied nus, je m'abaissais et lui baisais.

- Je vais essayer, mais je ne promets rien, tu m'appelleras madame et tu me vouvoieras, toi, on va te trouver un nom, c'est compris ?
- Oui, madame.

Elle se retirait et s'assit sur sa chaise, elle agitait son pied devant moi et je recommençais.

- Caresse-toi en même temps, mon cher amoureux va trouver quelque chose que tu pourras te mettre.

Je l'entendis se lever pendant que je lui baisais les pieds, les léchais.
Lorsqu'il revint, elle eu un petit rire.

- Non, pas ça, on ne peut pas lui faire se mettre ça !
- Ben, elle a dit que tu pouvais lui mettre ce que tu voulais et qu'elle acceptait d'être humiliée !
- Ah oui, c'est vrai.

Je vis une banane arriver à côté de ma tête, je la pris et je commençais à la rentrer en moi, faire des mouvements de plus en plus rapides. Après, un bon moment, alors que j'étais excitée, elle relevais son pied qu'elle mis sur mon épaule pour m'écarter, se levait, moi je continuais à me prendre avec la banane.

- Mets-toi à quatre pattes, continue de te prendre avec la banane.

Je me mis en position et continuai, leur offrant une vue parfaite de la banane qui rentrait et sortait de moi.

Des coups commencèrent à arriver sur mes fesses, mais peu nombreux, elle ne semblait pas à l'aise et s'arrêtait.

- Retourne toi, mets toi à genoux devant nous et épluche et mange la banane qui t'as prise.
- Je n'aurais pas pensé à ça ! Dit-il.

Alors que je me mis à faire ce qu'elle disait, elle lui demandait.

- Tu t'es déjà imaginé avec elle ?
- Non.
- C'est vrai ?
- Oui.
- Jamais tu t'es branlée en pensant à elle ?
- Si, elle m'a même sucé une fois.

Mais qu'est-ce qu'il racontait ? Pourquoi faisait-il ça ?

- Quand tu as fini ta banane, débarrasse la table et couche-toi dessus sur le dos.

Elle était plus froide, je finis la banane et débarassais la table, elle était partie et revenue avec des menottes, elle les attachais aux quatre coins de la table, je me retrouvais donc nue, attachée, sur la table où l'on venait de manger.

- Un peu avant qu'on se mette ensemble, elle m'a même demandé pour que l'on couche ensemble, elle m'avait fait une déclaration.
- Mais...
- Tais-toi. Me dit-elle.
- Oui, madame...

C'était totalement faux, il faisait en sorte de sortir de ses gonds.

- En fait, t'es qu'une petite salope qui veut se faire prendre.
- Oui, madame.
- Elle détachait mes jambes et les attachait de manière à ce que mes fesses soient visibles, les relevant.
- On va te trouver un petit nom, chaque fois que le petit nom ne me plaît pas, tu as un coup de spatule.
- D'accord, Madame...
- On commence.
- Petite chienne.

PAF.

- Grosse salope.

PAF.

- Sac à sperme.

PAF.

- Fourre-tout.

Hésitation PAF.

Je crois avoir dit une vingtaine de noms, aucun ne lui plaisait, j'en tentais d'autres avec les larmes aux yeux.

- Chipie ?

PAF. Mon ami souriant derrière elle.

- Vachette ?

PAF.

- Allais, trouve un nom, tu es déjà en sueur et à la limite de pleurer, en plus une fois qu'on aura trouvé, pour te féliciter, je m'attaquerai à ton sexe.

Je pris quelques secondes à réfléchir :

- Puante ?

Je fermais les yeux, mais pas de "PAF".

- C'est bien ça, c'est comme ça que tu vas repartir d'ici.

Elle vint sur mon coté, passait la spatule sur ma chatte et me dit.

- Qu'est-ce que tu dois me demander ?
- Voulez-vous bien utiliser votre spatule contre mon minou, svp ?
- Combien de coups veux-tu ?
- C'est vous qui décidez...
- Bien, bonne réponse.

C'était une femme en colère, qui ressentait que je l'avais trahie. Je pense avoir reçu une vingtaine de coups, assez pour déclencher mes larmes et me laisser lâcher un gaz qui les fit rire tous les deux.

Malgré tout, ma chatte était humide, je le sentais, et ils le voyaient. Elle partit dans sa chambre et revint avec un vibromasseur qu'elle me mit et bloquait avec du scotch, elle enfilait un gant et lubrifiait ses doigts.

- Chérie, tu devrais mettre des pinces sur ses seins.
- Bonne idée, va en chercher deux stp mon amour!

Il partit mais revint aussi vite.

- Tu peux lui placer ? Demanda-t-elle.

Il se plaçait au-dessus de moi, souriait, me dit avec sa bouche sans sortir de paroles : "c'est bien, continue" et me plaçait les deux pinces à linges. Elle commençait à jouer avec mon petit trou, le vibromasseur lui se chargeait de ma chatte.

Je finis par sentir trois doigts, quatre... je poussais beaucoup de gémissements et de petits cris, il lui fit me mettre un baillon, enfin, un bandeau, je transpirais, je n'en pouvais plus, j'allais exploser.

Lui, voyant que je perdais le contrôle lui dit.

- Si tu arrives à mettre ta main dans son cul et la fister, je te lèche en même temps.

Il ne fallut pas plus pour la motiver, j'eus essayé de protester, mais le seul effet que cela fit était qu'avec sa main de libre elle jouait avec les pinces à linge.

Je finis par avoir son poing dans mon anus, m'arrachant un râle jamais fait de ma part, elle me regardais dans mes yeux humides, j'avais bon malgré la situation, elle me retirait le bandeau et me dit :

- Tu aimes mon poing dans ton cul ? Tu le sens bien ?
- Oui madame...
- J'imagine que tu veux des vas et viens ?
- Oui madame...
- Demande le moi.
- Voulez-vous bien faire des vas et viens avec votre poing divin dans mon petit cul de puante svp.

Elle ne me répondit pas mais commençait, je m'accrochais sur les côtés de la table, du peu que j'arrivais à les tenir, je repliais mes orteilles, jamais je ne m'étais sentie aussi vulnérable... Et pourtant...

Je me rendis compte que je ne voyais plus mon ami, en essayant de balayer la pièce, je remarquais que son pantalon à elle était baissé, il était entrain de la lécher... Après un moment, n'opposant plus de résistance mon corps se laissait aller, le mouvement était devenu "normal".

Elle s'arrêtait, retirait son gant qu'elle mit à côté de ma tête, lui se relevait, elle relevait son pantalon, abaissait le sien et juste à gauche de moi, elle le suçait. Après quelques minutes, elle s'arrêtait, partit dans la cuisine, alla dans son frigo, fit couler de l'eau, revint avec un bol d'eau et une carotte, qui avait toujours ses feuilles, elle me l'a mit dans l'anus.

Ils se remirent à s'embrasser, lui prit la carotte où il fit des vas et viens avec.

Ils me détachèrent et m'aidèrent à descendre de la table, je n'avais plus de force, du mal à tenir sur mes jambes, ils m'aidèrent à me mettre à genou et elle mit le bol devant moi, je me mis à quatre pattes pour boire, elle s'assit sur la chaise, je m'avançais vers elle et me mit à lui lécher les pieds.

Elle détachait son pantalon et se relevait pour le baisser, gardant son string. Elle prit ma tête et la mit à hauteur de son entrejambe, celui-ci ayant une odeur d'excitation. Elle me fit lécher son string, tentant de pousser avec ma langue.

La carotte finit par tombé hors de mes fesses, elle repoussait ma tête et prit la carotte qu'elle présentait devant ma bouche, je me mis à la sucer.

- Regarde-moi dans les yeux quand tu suces la carotte qui s'était logée dans ton cul.

Je relevais mes yeux humide et la regardais.

- Je vois donc comme il te voyait !

Elle retirait son pantalon, elle avait des jambes magnifique, son string glissait, sa chatte l'était tout autant et elle me fit sentir son string.

- Ouvre la bouche.

J'ouvris et je me retrouvais avec son string dedans.

- Prend la table basse et amène là au pied du lit de la chambre mon amour.

Ce qu'il fit rapidement, je les suivais jusqu'à là à quatre pattes, attachée sur la petite table du salon, face au lit, j'avais compris ce qu'il se passerait.

Ils se déshabillèrent tous les deux, elle vint placer sa chatte en dessous de moi, me fit la goûter un long moment, s'essuyait la chatte avec son string et me le remit en bouche, puis ce fut à son tour à lui de s'occuper de sa chatte, et inversement, elle le suçait, il finit par la prendre en levrette devant moi, elle était face à moi, je voyais sa poitrine basculer, elle me regardait avec un sourire satisfait...

Lorsqu'il se retirait, elle se tournait vers moi, repris le string essuyait un peu sa chatte et me fis la lécher tout en lui demandant.

- Si, je fais ce qu'il faut, tu serais prêt pour un second round ?
- Toujours ! Donne-moi juste le temps. Cria-t-il de la salle de bain ou des toilettes.

Il revint, elle prit le string qu'elle frottait sur mon visage et me le remis en bouche.

- Tu aimes ça ? Me demanda-t-elle

Je hochais de la tête, lui se recouchait dans le lit, et elle se plaçait derrière moi, je ressentis une douleur vive sur la fesse et je poussais un cri camouflé légèrement par son string.

Elle me mettait des coups de ceintures aux fesses, les ceintures fines que nous, les femmes, portons. Les larmes coulaient, elle défit le scotch qui me fit également réagir et retirait le vibromasseur, l'éteignit et me le fit nettoyer avec ma bouche, elle le laissait avec le string juste sous mes yeux et se remit à l'oeuvre.

Puis ce fut au tour de ma chatte, elle y allait moins fort et restait moins longtemps dessus, et puis par les côtes pour atteindre mes seins.

Je me sentais coulée, transpirée, bavée... Lui, ne bandait toujours pas.

- Je t'imaginerais bien attachée ainsi sur un banc, dans un parc, à la merci de tous, je suis sûr que tu kifferais ! Me dit-elle.

Puis elle se mit à côté de lui, se blottit contre et lui dit.

- Je n'ai plus d'idées.
- Pisse lui à la gueule ! Lui dit-il dans le plus grand des calmes.
- Quand j'en aurais terminée avec elle ça.

Je savais déjà à quoi m'en tenir.

Elle se mit entre ses jambes, pour le lécher à l'entrejambe et me présentait ses fesses, elle poussait pour me faire comprendre que je devais lécher, je l'entendais y prendre du plaisir.

- Fais des choses avec elle, un 69 et en même temps tu lui fourre un truc dans le cul elle aime bien ! Moi, je reprendrais la spatule.
- Elle est toute dégueulasse.
- On est un peu transpirant aussi, allais ma chérie.
- Tout ce que tu veux mon amour.

Je finis par être détachée, elle se plaçait en dessous de moi, nos têtes dans l'entrejambe l'une de l'autre, elle avait pris l'un de ses godes pour me goder le cul et lui spatulée mes fesses, je finis par complètement me lâcher et avoir un orgasme... Elle se retirait et me laissait m'allonger sur le lit, attendant que je me reprenne. Quand ce fut fini, elle prit ma tête et la déposait là où je m'étais lachée.

Je ne bougeais pas, je restais là, lui était debout juste à côté du lit, son sexe qui se durcissait petit à petit face à mes yeux, elle s'agenouillait, le suçait un moment puis se penchait sur le lit, il l'a pris sous mes yeux, il finit par se vider et essuyer sur mon visage, je ne bouge toujours pas, elle s'apprête à s'essuyer avec des mouchoirs et je descends du lit pour me placer et la nettoyer.

Elle me repousse et appuie son pied sur mon épaule, me fais descendre jusqu'à le sol et pose son pied sur mon visage.

Lui est déjà partit, je l'ai entendu dans la toilette et maintenant dans la salle de bain, elle retire son pied et se lève après un moment.

- Suis-moi puante.

Je la suis, elle se met par-dessus les toilettes, elle l'appelle, il vient, il regarde la scène, ma tête par-dessous et elle commence à déverser son liquide, lorsqu'elle a fini elle s'essuie, je vois le morceau de papier passer devant mon visage, elle se retire, me tient par les cheveux et me rapproche de goutte sur la planche, je nettoie avec ma langue.

Je pleure, pas de honte, j'ai plus d'énergie, mon corps me dis de pleurer.

- Au fait bébé, elle ne m'a jamais sucée et fais des avances, j'avais besoin de te décoincer.
- Oh, le petit menteur !

Elle me relâche doucement, je suis allongé par terre, ma tête sous la toilette, mon corps sortant dans le couloir, je les entends parler, je discerne pas tout, elle dit que du coup elle à exagérée, il lui demande de me regarder et lui demande si je semble ne pas avoir aimé, elle dit que non...

- Tu peux te relever et t'habiller. Me dit-elle alors accroupie à côté de moi.
- Je peux prendre une douche ?
- Non, on t'a dit que tu retournerais puante ! Dit-il avec une pointe de sarcasme.

Elle partit se laver et enfiler une robe de nuit, elle vint me dire au revoir, me remercier pour la soirée et s'excuser si elle avait été trop loin, se justifiant qu'elle pensait que ... Je lui rendis un sourire, et partit.

En chemin, je reçus un message, je l'écoutais dans ma voiture : "Tu m'as trop fait bander, j'avais trop envie de te sauter."

Je rentre, j'ai vraiment plus de force, je me mets sous la douche, je m'enroule de mon drap, je n'ai plus la force de chercher quoi que ce soit pour dormir avec, je m'endors ainsi dans mon lit.

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