Je t'aime, moi non plus (moment seule - Renouveau 6) - histoire érotique

Quelques semaines se passaient depuis notre escapade dans les bois.

Il ne me donnait plus de rendez-vous, jusqu'au jour où :

- As-tu prévu quelque chose ce jeudi soir ?
- Non, pourquoi ?
- Mets une jolie tenue, courte de préférence, et rendez-vous dans le bois à 20h30 tapante, bande tes yeux, je te préviens, on ne restera pas là, c'est ok ?
- Oui, j'y serais !

Trois jour devant moi, trois jours à m'excitée, me faire du bien, m'imaginer des scènes !

Le jour était arrivé, après ma douche, j'enfilais un string noir, pas de soutien-gorge, une jupe noire, un chemisier que je n'avais pas totalement boutonné blanc, pas de soutien-gorge, je mis des chaussures à talons ouverts, j'avais mis du vernis transparent sur mes ongles de mains et de pied.

Je fis une queue de cheval, car il avait suggéré qu'il aimait cela.

Je me dirigeais au rendez-vous, les talons n'étaient pas ce qu'il y avait de plus approprié ! J'avais oublié de réfléchir en m'apprêtant, je me bandais les yeux, et attendais sur place.

J'entendais des bruits de pas, mon coeur s'accélérait, et si ce n'était pas lui ? Et puis, plus rien, mais je le sentais face à moi, je l'entendais passer derrière moi, attraper mes poignets et les lier avec des menottes, il fit glisser sa main, relevant un rien ma jupe et puis me passait un petit collier autour du cou, alors qu'il était toujours derrière moi, je sentis que l'on attachait une laisse à l'avant.

- Mais, que.. Commençait-je.
- Chut. fit-il.

On tirait sur la laisse et me fit avancer à travers le bois, il me tenait par le bras m'aidant à me diriger, le stress me donnait des sueurs, j'entendis que l'on ouvrit comme une porte d'une camionnette, m'aidait à rentrer dedans et me fit m'asseoir à même le sol.

Je ne sais pas comment, je compris que c'était lui qui conduisait, l'autre personne était à côté de moi, ne parlant pas, ne me touchant pas.

On roulait pendant un bon moment, j'entendis que l'on arrivait dans un garage, la porte se fermer, on me fit sortir et avancer, descendre des escaliers et puis me laisser en place.

Mes mains furent détachées.

- Tu peux retirer ton bandeau.

Je retirais mon bandeau, il me fallut un petit moment pour que tout devienne clair, je le vis, lui, ainsi qu'une femme qui était vraiment magnifique, plus grande que moi, de longs cheveux bruns, des yeux verts et semblait-il une belle poitrine.

Je restais là figée et elle se mit à parler.

- Donc, elle veut vivre de nouvelles expériences ?
- Oui. Dit-il.
- Intéressant, tu es docile ?
- Oui, madame. Dis-je.

Elle avançait son pied face au sol. Sans qu'elle ne dise un mot, je me mis à genoux et les lui baisais.

- Quels sont tes limites ?
- Je ne sais pas...
- Très bien, nous le découvrirons, tu peux te relever.

Je la sentais m'inspecter.

- Retire ton chemisier et ta jupe.

Aussi vite demandé, aussi vite fait ! Elle me scrutait, tournait autour de moi, elle restait très sérieuse, elle revint devant moi et me dit.

- Urine-toi dessus.

C'était dit avec de la douceur, mais le ton de sa voix ne laissait pas de choix, ni l'envie de discuter. Je me mis alors à remplir mon string et sentir couler cela le long de mes jambes. Je baissais les yeux, n'osant plus la regarder.

- Tu es vraiment docile, c'est incroyable, suis-moi.

Je les suivais, on passait dans pièce à côté, toujours tamisée, il y avait une cage.

- Monte et couche-toi sur le ventre sur la cage.

Ils m'attachèrent poignets et chevilles à des parties de la cage, lui passaient dedans, jouaient avec mes tétons par-dessous. Il n'y avait évidemment pas besoin de cela pour qu'ils soient durs, il m'y accrochait deux petites pinces, qui étaient reliées par une chaînette. Je poussais un petit cri, mais aucun des deux ne réagis, elle me regardait et je la sentais passer par derrière moi.

Je la sentais se rapprocher, elle approchait son visage près de mes fesses et reniflait.

- Hum, cette odeur de la honte.

Elle baissait mon string de manière à dévoiler mes fesses et mon entrejambe et passait devant moi, elle prit un baillon, non pas en boule mais plutôt un cylindre, qu'elle me plaçait dans la bouche et attachait derrière ma tête, je ne l'avais pas vu, mais lui était passé en dessous m'accrocher des pinces à mes lèvres inférieures, ce qui me fit mordiller le baillon.

Ils étaient tous deux derrière moi, je ne savais pas ce qu'il faisait et puis j'entendis un bruit de vibromasseur. Elle vint le poser contre mon entrejambe et me fit démarrer. Si je me redressais devant, je tirais sur mes tétons, si je relevais mes fesses, mon entrejambe, je me concentrais un moment pour ne plus bouger, mais l'objet me faisait de plus en plus d'effet, je bavais abondamment, je ne savais plus sur qu'elle partie me concentrer !

Alors que je pensais ne pas être en plus mauvaise position, elle dit alors :

- Tu m'as dis que tu voulais aller entre ses fesses, n'est-ce pas ?
- Oui, je me suis branlé deux fois aujourd'hui et j'ai mis un peu de poudre pour bien la prendre.
- Profites-en.

J'entendis qu'elle mettait ou il lui mettait un gant, un bruit de bouteille que l'on presse et très vite une sensation de froid sur mon anus, elle n'eut aucun mal à y rentrer, à augmenter son nombre de doigts qui s'insérait, je n'aurais pas pu me concentrer pour l'en empêcher même si je le souhaitais, je voulais exploser.

Je finis par me relacher, mon corps se laissais faire, je ne sais même pas où elle en était avec mon anus, elle vint devant moi et je la vis prendre une cravache. Il ne fallut pas longtemps pour que des coups pleuvent sur mes fesses, les larmes coulaient, j'en voulais plus !

Elle se mit devant moi, passait sa main sur son visage, elle avait un sourire rassurant, je le sentais lui s'insérer et commençait à faire des va-et-vient, je le sentais en moi, mais soit elle avait vraiment bien lubrifié, soit mon corps était prêt à tout encaisser.

Il finit par venir, il essuyait son sexe sur ma fesse droite, surement rouge, comme le reste de mon corps qui était totalement transpirant.

Elle me retirait le baillon, je reprenais mon souffle, elle s'accroupit face à moi et le léchait de tout son long.

Ils me détachèrent, retirèrent les chainettes, elle s'assit et me fit signe de son index d'avancer, j'étais assise par terre, toujours à reprendre mon souffle et mes émotions, j'avançais à 4 pattes vers elle, elle tendit son pied, je lui baisais, je les léchais.

Elle me fit me redresser et me remit le bandeau, elle me tenait par le bras et m'aidait à remonter, on rentrait dans la camionnette, elle me retirait le bandeau, il y avait une grande caisse en bois.

- Rentre dedans.

Je rentrais dedans, je m'assis, les jambes repliées qu'elles prirent soin d'attacher entre elles, elle m'attachait les bras dans le dos et me bandait à nouveau les yeux, elle fermait le couvercle et tapotait dessus en disant :

- Direction le client, il va être content d'avoir une esclave ainsi.
- Quoi ? Non ! SVP !

J'essayais de me relever mais elle tapait sur la table en disant :

- Tais-toi !

Je me mis à pleurer et j'entendis la camionnette démarrer, le trajet fut long, je pleurais, j'avais mal au ventre, j'étais mal mise... Qu'avais-je eu comme idée encore ?

Puis, la camionnette fini par s'arrêter, elle ouvrit le couvercle et détachait mes jambes, me fit sortir, lui arrivait, je les suppliais mais ils ne me répondirent pas.

On me fit descendre de la camionnette, mon coeur battait de plus en plus fort, ma respiration s'accélérait et je transpirais de stress, ils me retirèrent le bandeau et je vis... Qu'on était revenu dans le bois.

Ils sourièrent tous les deux.

- Tu ne pensais quand même pas qu'on allait te filer à quelqu'un ?
- Si ! Dis-je en relâchant mon stress et en me mettant à pleurer.
- On voulait te mettre en état de stress, tu semblais supporter beaucoup de choses !
- Je l'ai été, j'en ai mal au ventre.
- Si tu dois déféquer, je t'en prie. Dit-elle en me montrant un coin et détachant mes poignets.

J'avais compris que c'était un ordre, je m'accroupis et m'apprêtait à le faire, mais avant même que je ne commence elle me dit :

- Non, à quatre pattes.

Je me positionnais donc ainsi et exécutait son ordre, lorsque j'eu fini, elle rentrait dans la camionnette et sortit avec un petit sac à dos, elle me fit le mettre et me dit.

- Maintenant, retourne à quatre pattes là où nous sommes venus te chercher, tu pourras te rhabiller là, allais hop.

Sans rien dire, m'apprêtait à partir.

- Hey, tu oublie ton téléphone ! Me dit-il.

Je m'arrêtais, il l'avait mis dans une pochette plastique qu'il accrochait à mon cou, celui-ci était en appel vidéo avec moi et regardait le chemin que je parcourais.

- Allais, pars avec ta merde au cul.

Et je retournais au point de départ, je voulais m'essuyer mais je n'avais pas de papier, je pensais bien à des feuilles, mais j'avais peur qu'il y ait des bêtes, je finis par m'essuyer avec mon string plein de pisse et le jeter dans un coin, je remis ma jupe, mon chemisier froissé, mes talons et me redirigeais vers la voiture.

Je rentrais, j’étais mes affaires au linge et prenais une douche, lorsque je sortis de la douche, j'avais reçu un message :

- Je me suis branlé deux fois, je t'ai enculée et je bande déjà à nouveau ! Merci pour cette soirée, j'espère que ça t'a plu.
- Je suis toujours toute humide. Répondis-je.